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    JDM treatment with rituximab Personal non-commercial use only

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    ABSTRACT. Objective. To evaluate the safety and efficacy of rituximab (RTX) in juvenile dermatomyositis (JDM) in off-trial patients. Methods. We conducted a multicenter prospective study of patients with JDM included in the French Autoimmunity and Rituximab (AIR) registry. Results. Nine patients with severe JDM were studied. The main indication for RTX treatment was severe and/or refractory muscle involvement (7 patients), severe calcinosis (1 patient), or severe chronic abdominal pain associated with abdominal lipomatosis (1 patient). RTX was associated with corticosteroids, immunosuppressive drugs, and plasma exchange therapy in 9/9, 5/9, and 2/9 patients, respectively. Mild infections of the calcinosis sites occurred in 2 patients and an infusion-related event in 1. Complete clinical response was achieved in 3/6 patients treated with RTX for muscle involvement. In these responders steroid therapy was stopped or tapered to < 15% of the baseline dosage, with no relapse, with a followup ranging from 1.3 to 3 years. Calcinosis did not improve in the 6 affected patients. Conclusion. This small series suggests that rituximab may be effective for treating muscle and skin involvement in a small subset of children with severe JDM, and that its safety profile was satisfactory. Further studies are needed to identify predictive factors of response to RTX in patients with sever

    Allogreffe de cellules souches hématopoïétiques chez l'enfant et l'adolescent au CHU de Grenoble de 1983 à 2007

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    L allogreffe de cellules souches hématopoïétiques constitue le traitement curatif de certaines hémopathies malignes et non malignes. Les indications en pédiatrie sont essentiellement représentées par les leucémies aiguës de haut risque et un certain nombre de pathologies hématologiques plus rares. Objectifs : rapporter l évolution des indications retenues d allogreffe dans les populations pédiatrique au CHU de Grenoble, évaluer la morbidité et la mortalité liées à la greffe ainsi que les complications et les séquelles à long terme. Evaluer la faisabilité d un programme de transplantation de cellules souches hématopoïétiques dans un centre mixte adultes-enfants, avec un nombre limité d indications. Méthode : Analyse rétrospective, descriptive monocentrique de 1983 à 2007, portant sur tous les patients allogreffés âgés de moins de 19 ans, ayant bénéficié d une allogreffe de cellules souches hématopoïétiques au CHU de Grenoble. Résultats : 69 patients ont été allogrreffés durant les 25 années étudiées, pour des pathologies diverses (leucémies aiguës : n=45, leucémies myéloïdes chroniques : n= 7, lymphomes non hodgkiniens : n=4, aplasies médullaires idiopathiques : n=6, syndromes myélodysplasiques : n=2, indications plus rares : n=5). La survie actuelle pour l ensemble de ce groupe d enfants est de 55%. Pour les leucémies aiguës lymphoblastiques la survie passe de 30.8% de 1983 à 1995 à 73.3% de 1996 à 2007, et pour les leucémies aiguës myéloblastiques de 42.8% à 50%. Les complications endocriniennes représentent les séquelles à long terme les plus fréquentes avec 52.6% de la cohorte. Conclusion : ces résultats démontrent un progrès dans la prise eh charge des patients pédiatriques allogreffés regroupant un meilleur choix dans el conditionnement, le choix du greffon, la prophylaxie et le traitement de la GVH et les soins de support. Ils soulignent également l importance du suivi prolongé jusqu à l âge adulte pour dépister les complications tardives.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Indications et apports du lavage broncho-alvéolaire dans le diagnostic des pneumopathies de l'enfant immunodéprimé au cours du traitement d'une pathologie maligne

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    Les complications pulmonaires représentent la première cause de mortalité et morbidité des patients traités pour des pathologies malignes. Objectifs : Décrire les apports de la réalisation d un lavage broncho-alvéolaire dans la prise en charge des pneumopathies des enfants immunodéprimés en oncohématologie pédiatrique et son impact en terme de morbidité, mortalité et modification thérapeutique. Déterminer les indications de réalisation d un LBA, décrire ses complications, effectuer une revue de la littérature et proposer un protocole de prise en charge local. Méthodes : Analyse rétrospective multicentrique des patients du service d oncohématologie pédiatrique du CHU de Grenoble ayant bénéficié d un LBA dans le cadre de la prise en charge d une pneumopathie entre 1992 et 2007 (n=37). Résultats : La réalisation d un LBA a permis de mettre en évidence une étiologie dans 46% des cas, le plus souvent infectieuse dans 35% des cas. Chez 73% des patients, le LBA a entraîné une modification thérapeutique. Le taux de complications est de 11%. Le taux de mortalité lié à l épisode de pneumopathie est 8% et 8% des enfants ont présenté des séquelles pulmonaires. Chez les enfants en aplasie, un diagnostic est fait grâce au LBA dans 60% des cas. Il semble que le rendement diagnostique du LBA soit proportionnel à la précocité de sa réalisation. Conclusion : Le LBA réalisé précocement reste un outil diagnostique sûr et nécessaire dans le diagnostic étiologique des pneumopathies de l enfant immunodéprimé, et en particulier de l enfant en aplasie. Un travail prospectif multicentrique pourrait permettre de valider nos résultats en terme de morbidité, mortalité et impact économique de cet examen.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Photophérèse en milieu pédiatrique et AJA (intérêt d une démarche de thérapie cellulaire pour optimiser le protocole de soins)

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    La photochimiothérapie extracorporelle ou photophérèse est utilisée depuis une vingtaine d années dans le traitement de la maladie du greffon contre l hôte ou GVH. Nous avons réalisé une étude monocentrique rétrospective étudiant l impact du nombre de cellules traitées sur l efficacité de la PCE dans le traitement de la GVH chez les enfants, adolescents et jeunes adultes. Nous avons inclus 20 patients traités selon la méthode de Vilber Lourmat entre 2003 et 2013. Pour la GVH aigüe (n=13), nous retrouvons un nombre moyen de cellules traitées plus grand chez les patients répondeurs que chez les patients non répondeurs avec une différence statistique significative (p<0,05). Pour la GVH chronique (n=7), cette différence n est pas retrouvée. En l absence de données scientifiques précises sur les mécanismes de fonctionnement de la PCE, notre étude ne nous permet pas de conclure que le nombre de cellules traitées est un facteur prédictif d une bonne réponse au traitement mais ces résultats pourraient constituer le prérequis à des études prospectives multicentriques. Nous avons aussi étudié la question de la faisabilité de la PCE chez les patients et en particulier les enfants de petit poids (<20kg) ou en situation clinique sévère. L association d une homogénéisation des pratiques avec l existence d une plateforme technique favorable à la réalisation des soins (collaboration interservices, accès à un service de réanimation pédiatrique) sont des facteurs favorisant la réalisation des séances de PCE et optimisant les chances de succès du traitement.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocSudocFranceF

    Troubles mnésiques et attentionnels chez les enfants traités pour un médulloblastome (à propos de 32 cas traités en région Rhône-Alpes entre 1992 et 2003)

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    Trente-deux patients, traités pour un médulloblastome ont bénéficié d'une évaluation neuropsychologique détaillée et standardisée dans le cadre du suivi neuropsychologique des enfants traités pour des tumeurs cérébrales. L'objectif principal de ce travail était d'évaluer de façon précise les troubles mnésiques et attentionnels au sein de cette population, leur retentissement sur les apprentissages et de décrire les mesures de remédiation mise en place notamment à l'école. Tous ces patients ont été traités par exérèse chirurgicale et radiothérapie sur la fosse cérébrale postérieure, plus ou moins radiothérapie craniospinale et chimiothérapie. Vingt patients ont pu être évalués une deuxième fois. Nous rapportons un déclin cognitif dans le temps et des troubles de la mémoire de travail visuo-spatiale prédominants. Le jeune âge semble être le principal facteur de risque. Le rôle important des lésions cérébelleuses précoces dans la survenue de séquelles cognitives est suggéré.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Long-Term Follow-Up and Optimization of Interleukin-1 Inhibitors in the Management of Monogenic Autoinflammatory Diseases: Real-Life Data from the JIR Cohort

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    International audienceObjectives: The major role of interleukin (IL)-1 in the pathogenesis of hereditary recurrent fever syndromes favored the employment of targeted therapies modulating IL-1 signaling. However the best use of IL1 inhibitors in terms of dosage is difficult to define at present. Methods: In order to better understand the use of IL1 inhibitors in a real-life setting, our study assessed the dosage regimens of French patients with one of the four main hereditary recurrent fever syndromes (Familial Mediterranean Fever (FMF), TNF receptor associated periodic syndrome (TRAPS), cryopyrin associated periodic fever (CAPS) and mevalonate kinase deficiency). The patients were retrieved retrospectively from the JIR cohort, an international platform gathering data of patients with pediatric inflammatory diseases. Results: Forty five patients of the JIR cohort with a hereditary recurrent fever syndrome had received at least once an IL1 inhibitor (anakinra or canakinumab). Of these, 43% received a lower dosage than the one suggested in the product recommendations, regardless of the type of the IL1 inhibitor. Especially patients with FMF and TRAPS seemed to need lower treatment regimens; in our cohort none of the FMF or TRAPS patients received an intensified dose of IL-inhibitor. On-demand treatment with a short half-life IL-1 inhibitor has also been used successfully for some patients with one of these two conditions The standard dose was given to 42% of the patients; whereas an intensified dose of IL-1 inhibitors was given to 15% of the patients (44% of CAPS patients and 17% of mevalonate kinase deficiency patients). In our cohort each individual patient's need for treatment seemed highly variable, ranging from on demand treatment regimens to intensified dosage maintenance therapies depending on the activity and the severity of the underlying disease. Conclusion: IL-1 inhibitors are a good treatment option for patients with a hereditary recurrent fever syndrome, but the individual need of the dosage of IL-1 inhibitors to control the disease effectively seems highly variable. Severity, activity but also the type of the underlying disease, belong to the parameters underpinning the treat-to-target strategy implemented in an everyday life practice
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