23 research outputs found

    De l’argument Ă  l’action : la biodiversitĂ© au service des jardins familiaux

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    Le prĂ©sent article Ă©tudie les relations qui se tissent entre les jardins familiaux et la notion de biodiversitĂ©. Pour ce faire, il confronte deux Ă©chelles d’analyse. À l’échelle nationale, il montre que la biodiversitĂ© procĂšde pleinement de la stratĂ©gie de la FĂ©dĂ©ration nationale des jardins familiaux et collectifs en faveur de la (rĂ©)affirmation de ces potagers urbains. Cette structure accompagne ainsi des projets pensĂ©s comme durables et conçus pour ĂȘtre favorables Ă  la faune et Ă  la flore. À l’échelle locale, les relevĂ©s Ă©cologiques rĂ©alisĂ©s dans des sites marseillais dĂ©signent les jardins familiaux comme des rĂ©servoirs d’une biodiversitĂ© abondante mais ordinaire. Face Ă  l’urbanisation, celle-ci sert souvent d’argument de dĂ©fense pour les associations de gestion. Les jardins familiaux gĂ©nĂšrent, par ailleurs, des considĂ©rations et des pratiques renouvelĂ©es, mais encore fortement empreintes de reprĂ©sentations et d’ambiguĂŻtĂ©s Ă  l’égard de la notion de biodiversitĂ©. De fait, la flore spontanĂ©e et la faune du sol demeurent des impensĂ©s de l’écosystĂšme du potager.This article studies the relationships between allotment gardens and the notion of biodiversity. To do so, it compares two levels of analysis. On the national level, it shows that biodiversity is an integral part of the strategy developed by the National Federation of Allotment and Community Gardens (in French FĂ©dĂ©ration nationale des jardins familiaux et collectifs) in support of these urban vegetable gardens. This association facilitates projects designed to be sustainable and to provide a favourable environment for plant and animal life. At the local level, ecological surveys conducted in certain locations in Marseilles have designated allotment gardens as the reservoirs of an abundant although ordinary biodiversity. In a context of urbanisation, this often serves as an argument in favour of community garden management associations. Allotment gardens also give rise to renewed considerations and practises, but ones which are greatly marked by representations and ambiguities regarding the notion of biodiversity. As a result, the spontaneous growth of plants and animal life in the soil are the unplanned results of the vegetable garden

    Les vulnérabilités numériques

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    International audienceThe development of digital technologies raises many hopes, but the digital environment reinforces some vulnerabilities while at the same time creating new ones. To illustrate this point, this contribution addresses the case of vulnerabilities between online platforms and user companies as well as the vulnerability of the persons concerned by the processing of personal data. Finally, decision support tools or exclusively automated tools are not without questions regarding transparency.Le dĂ©veloppement des technologies numĂ©riques suscite de nombreux espoirs, mais force est de constater que l’environnement numĂ©rique renforce certaines vulnĂ©rabilitĂ©s tandis qu’il en fait naĂźtre de nouvelles. Pour illustrer ce propos, cette contribution aborde le cas des vulnĂ©rabilitĂ©s entre plateformes en ligne et entreprises utilisatrices, ainsi que la vulnĂ©rabilitĂ© des personnes concernĂ©es par un traitement de donnĂ©es Ă  caractĂšre personnel. Enfin, les outils d’aide Ă  la prise de dĂ©cision ou exclusivement automatisĂ©es ne sont pas sans poser des questions en matiĂšre de transparence

    Multivariate analysis of polyploid data reveals the role of railways in the spread of the invasive South African Ragwort (Senecio inaequidens)

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    International audienceGenetic studies constitute a powerful approach to study the introduction and expansion of invasive species. Senecio inaequidens DC is one of the Europe's fastest plant invaders and is suspected to use railway corridors to expand. In France, the species has first been observed in the city of Paris in the late 1990's and today it is present throughout the region. In order to assess the role of railways in S. inaequidens invasion, we used innovative multivariate analyses to study population genetic diversity of this allotetraploid species. We analyzed the genetic diversity at 11 microsatellite markers of a total of 450 individuals sampled at 15 locations along railways connecting the city of Paris to the surrounding suburban/rural areas. Geographical distances among locations ranged from 1 to 83 km with four locations within Paris at the departure train stations of the national/international train lines studied. To our knowledge, studies on invasive allotetraploid plants where data were kept in the tetraploid format are still scarce. Our analyses revealed substantial genetic diversity and clear genetic differentiation among some populations, with a genetic gradient detected along one railway line. Results also showed no genetic bottleneck between Parisian populations and the historically introduced population located in South of France. Our study thus revealed the role of railways as a corridor among S. inaequidens populations within central Paris. However, connecting networks appeared more complex in the suburban and rural areas suggesting other potential vectors

    Bondoufle (91), impasse renĂ©-Lacoste, ZAE de la MariniĂšre. Évolution d'un habitat groupĂ© du VIIIe s. au XIIe s.

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    La fouille archĂ©ologique de Bondoufle, Impasse RenĂ© Lacoste est situĂ©e Ă  l’ouest de la ville, dans une zone d’activitĂ© Ă©conomique. Elle a permis de mettre au jour 913 structures sur 6 967 mÂČ.Quelques tessons de cĂ©ramique et d’anciens fossĂ©s tĂ©moignent d’une occupation datĂ©e de la Protohistoire. Quelques terres cuites architecturales tĂ©moignent de la prĂ©sence Ă  proximitĂ© du site d’une occupation antique, sans toutefois pouvoir la dater plus prĂ©cisĂ©ment.L’occupation du haut Moyen Âge est centrĂ©e sur la pĂ©riode carolingienne.Quelques structures tĂ©moignent d’une occupation plus rĂ©cente sur l’emprise de fouille pouvant ĂȘtre associĂ©e Ă  un habitat mĂ©rovingien qui se dĂ©veloppe Ă  une centaine de mĂštres Ă  l’ouest. L’extension maximale de l’habitat est datĂ©e du Xe siĂšcle.De nombreux bĂątiments sont Ă©rigĂ©s, suivant un axe nord-ouest – sud-est.Grands bĂątiments et petites annexes avoisinant fonds de cabane et structures de stockages des cĂ©rĂ©ales s’organisent Ă  l’intĂ©rieur de parcelles dĂ©limitĂ©es par des fossĂ©s et des palissades. Le traitement et la conservation des denrĂ©es agricoles ainsi que la pratique de l’élevage sont les activitĂ©s principales. À la fin du Xe siĂšcle, une rĂ©organisation de l’habitat est perceptible. L’occupation devient moins dense mais reste axĂ©e sur les activitĂ©s agropastorales. Une activitĂ© de mĂ©tallurgie est installĂ©e au nord de l’emprise, au-delĂ  des limites de fouille.Trois autres parcelles proches de notre emprise de fouille sont Ă©galement investiguĂ©es. La parcelle au nord doit Ă©galement faire l’objet d’une prescription de fouille. La mise en commun des rĂ©sultats de ces diffĂ©rentes opĂ©rations nous permettra de mieux suivre l’évolution d’un habitat installĂ© Ă  l’époque latĂ©nienne jusqu’à son abandon au dĂ©but du XIIe siĂšcle.Volume 1 (560p.), volume 2 (222p.), volume 3 (605p.

    Bondoufle (91), impasse renĂ©-Lacoste, ZAE de la MariniĂšre. Évolution d'un habitat groupĂ© du VIIIe s. au XIIe s.

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    La fouille archĂ©ologique de Bondoufle, Impasse RenĂ© Lacoste est situĂ©e Ă  l’ouest de la ville, dans une zone d’activitĂ© Ă©conomique. Elle a permis de mettre au jour 913 structures sur 6 967 mÂČ.Quelques tessons de cĂ©ramique et d’anciens fossĂ©s tĂ©moignent d’une occupation datĂ©e de la Protohistoire. Quelques terres cuites architecturales tĂ©moignent de la prĂ©sence Ă  proximitĂ© du site d’une occupation antique, sans toutefois pouvoir la dater plus prĂ©cisĂ©ment.L’occupation du haut Moyen Âge est centrĂ©e sur la pĂ©riode carolingienne.Quelques structures tĂ©moignent d’une occupation plus rĂ©cente sur l’emprise de fouille pouvant ĂȘtre associĂ©e Ă  un habitat mĂ©rovingien qui se dĂ©veloppe Ă  une centaine de mĂštres Ă  l’ouest. L’extension maximale de l’habitat est datĂ©e du Xe siĂšcle.De nombreux bĂątiments sont Ă©rigĂ©s, suivant un axe nord-ouest – sud-est.Grands bĂątiments et petites annexes avoisinant fonds de cabane et structures de stockages des cĂ©rĂ©ales s’organisent Ă  l’intĂ©rieur de parcelles dĂ©limitĂ©es par des fossĂ©s et des palissades. Le traitement et la conservation des denrĂ©es agricoles ainsi que la pratique de l’élevage sont les activitĂ©s principales. À la fin du Xe siĂšcle, une rĂ©organisation de l’habitat est perceptible. L’occupation devient moins dense mais reste axĂ©e sur les activitĂ©s agropastorales. Une activitĂ© de mĂ©tallurgie est installĂ©e au nord de l’emprise, au-delĂ  des limites de fouille.Trois autres parcelles proches de notre emprise de fouille sont Ă©galement investiguĂ©es. La parcelle au nord doit Ă©galement faire l’objet d’une prescription de fouille. La mise en commun des rĂ©sultats de ces diffĂ©rentes opĂ©rations nous permettra de mieux suivre l’évolution d’un habitat installĂ© Ă  l’époque latĂ©nienne jusqu’à son abandon au dĂ©but du XIIe siĂšcle.Volume 1 (560p.), volume 2 (222p.), volume 3 (605p.

    Bondoufle (91), impasse renĂ©-Lacoste, ZAE de la MariniĂšre. Évolution d'un habitat groupĂ© du VIIIe s. au XIIe s.

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    La fouille archĂ©ologique de Bondoufle, Impasse RenĂ© Lacoste est situĂ©e Ă  l’ouest de la ville, dans une zone d’activitĂ© Ă©conomique. Elle a permis de mettre au jour 913 structures sur 6 967 mÂČ.Quelques tessons de cĂ©ramique et d’anciens fossĂ©s tĂ©moignent d’une occupation datĂ©e de la Protohistoire. Quelques terres cuites architecturales tĂ©moignent de la prĂ©sence Ă  proximitĂ© du site d’une occupation antique, sans toutefois pouvoir la dater plus prĂ©cisĂ©ment.L’occupation du haut Moyen Âge est centrĂ©e sur la pĂ©riode carolingienne.Quelques structures tĂ©moignent d’une occupation plus rĂ©cente sur l’emprise de fouille pouvant ĂȘtre associĂ©e Ă  un habitat mĂ©rovingien qui se dĂ©veloppe Ă  une centaine de mĂštres Ă  l’ouest. L’extension maximale de l’habitat est datĂ©e du Xe siĂšcle.De nombreux bĂątiments sont Ă©rigĂ©s, suivant un axe nord-ouest – sud-est.Grands bĂątiments et petites annexes avoisinant fonds de cabane et structures de stockages des cĂ©rĂ©ales s’organisent Ă  l’intĂ©rieur de parcelles dĂ©limitĂ©es par des fossĂ©s et des palissades. Le traitement et la conservation des denrĂ©es agricoles ainsi que la pratique de l’élevage sont les activitĂ©s principales. À la fin du Xe siĂšcle, une rĂ©organisation de l’habitat est perceptible. L’occupation devient moins dense mais reste axĂ©e sur les activitĂ©s agropastorales. Une activitĂ© de mĂ©tallurgie est installĂ©e au nord de l’emprise, au-delĂ  des limites de fouille.Trois autres parcelles proches de notre emprise de fouille sont Ă©galement investiguĂ©es. La parcelle au nord doit Ă©galement faire l’objet d’une prescription de fouille. La mise en commun des rĂ©sultats de ces diffĂ©rentes opĂ©rations nous permettra de mieux suivre l’évolution d’un habitat installĂ© Ă  l’époque latĂ©nienne jusqu’à son abandon au dĂ©but du XIIe siĂšcle.Volume 1 (560p.), volume 2 (222p.), volume 3 (605p.

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    La fouille archĂ©ologique de Bondoufle, Impasse RenĂ© Lacoste est situĂ©e Ă  l’ouest de la ville, dans une zone d’activitĂ© Ă©conomique. Elle a permis de mettre au jour 913 structures sur 6 967 mÂČ.Quelques tessons de cĂ©ramique et d’anciens fossĂ©s tĂ©moignent d’une occupation datĂ©e de la Protohistoire. Quelques terres cuites architecturales tĂ©moignent de la prĂ©sence Ă  proximitĂ© du site d’une occupation antique, sans toutefois pouvoir la dater plus prĂ©cisĂ©ment.L’occupation du haut Moyen Âge est centrĂ©e sur la pĂ©riode carolingienne.Quelques structures tĂ©moignent d’une occupation plus rĂ©cente sur l’emprise de fouille pouvant ĂȘtre associĂ©e Ă  un habitat mĂ©rovingien qui se dĂ©veloppe Ă  une centaine de mĂštres Ă  l’ouest. L’extension maximale de l’habitat est datĂ©e du Xe siĂšcle.De nombreux bĂątiments sont Ă©rigĂ©s, suivant un axe nord-ouest – sud-est.Grands bĂątiments et petites annexes avoisinant fonds de cabane et structures de stockages des cĂ©rĂ©ales s’organisent Ă  l’intĂ©rieur de parcelles dĂ©limitĂ©es par des fossĂ©s et des palissades. Le traitement et la conservation des denrĂ©es agricoles ainsi que la pratique de l’élevage sont les activitĂ©s principales. À la fin du Xe siĂšcle, une rĂ©organisation de l’habitat est perceptible. L’occupation devient moins dense mais reste axĂ©e sur les activitĂ©s agropastorales. Une activitĂ© de mĂ©tallurgie est installĂ©e au nord de l’emprise, au-delĂ  des limites de fouille.Trois autres parcelles proches de notre emprise de fouille sont Ă©galement investiguĂ©es. La parcelle au nord doit Ă©galement faire l’objet d’une prescription de fouille. La mise en commun des rĂ©sultats de ces diffĂ©rentes opĂ©rations nous permettra de mieux suivre l’évolution d’un habitat installĂ© Ă  l’époque latĂ©nienne jusqu’à son abandon au dĂ©but du XIIe siĂšcle.Volume 1 (560p.), volume 2 (222p.), volume 3 (605p.

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