7 research outputs found
Novel parameters in blood cell counters
Many modern automated cell counters offer novel parameters. Some of these, such as the CHr, reticulocyte hemoglobin equivalent, or immature platelet fraction, schistocytes have been accepted by many clinicians; the CHr has even become part of clinical practice guidelines for dialysis patients. Other parameters are still research-use only and lack well-defined reference ranges. One important albeit rare clinical problem is to characterize platelet volume in case of inherited thrombocytopenia. Most novel parameters are specific for certain instrument platforms, and results of even similar parameters from different manufacturers are often difficult to compare
A rare case of primary cutaneous follicle centre lymphoma presenting as a giant tumour of the scalp and combined with JAK2V617F positive essential thrombocythaemia
Primary cutaneous follicle centre lymphoma (PCFCL) is a rare cutaneous B cell lymphoma in middle-age adults with excellent prognosis. Here we present a case of a patient with a PCFCL in the form of a giant tumour of the scalp in combination with a myeloproliferative neoplasm, JAK2V617F positive essential thrombocythaemia. This case may be of interest because of the favourable outcome in spite of the large size of the PCFCL, the rare combination with essential thrombocythaemia and because it contributes to discussion on the role of JAK2 mutation in such patients
Maladies parodontales : thérapeutiques et prévention
Les dents, comparables à la partie visible de l'iceberg, sont l'objet de multiples soins etattentions, mais malheureusement il n'en va pas de même du parodonte, leur point d'ancrage etsoutien indispensable. Quoi de plus banal en effet qu'un saignement survenant lors dubrossage quotidien ? Il ne déclenche bien souvent aucune inquiétude ni demande deconsultation. Il s'agit pourtant là d'un des signes cliniques les plus évidents de la « maladieparodontale » (recouvrant en réalité un ensemble de pathologies complexe et multiformedésigné par le terme de « parodontopathies ») qui affecte, à des degrés divers, pratiquement90 % de la population en France dans toutes les tranches d'âge et cause la perte de 30 à 40 %des dents.Si l'étiologie infectieuse des parodontopathies ne fait aucun doute, il est encore difficileaujourd'hui d'attribuer un rôle déterminant à un germe précis en raison de la richesse de laflore buccale et de la complexité des réponses inflammatoires face à l'agression.L'antibiothérapie simple ou composée est donc d'une efficacité limitée elles perspectives d'uneprotection par voie vaccinale classique, encore lointaines. Quels sont actuellement le ou leschoix thérapeutiques et leur prise en charge ?Afin de faire le point sur les modalités de traitements et leur suivi, sur les stratégies deprévention et de prise en charge des maladies parodontales, la Mutuelle générale del'éducation nationale a demandé à l'INSERM de mener une expertise collective. Un groupeinternational pluridisciplinaire, composé d'une vingtaine d'experts, cliniciens, universitaires etchercheurs spécialisés dans les domaines allant de l'immunologie la plus fondamentale àl'économie de la santé, a analysé plus de 2 000 publications de la littérature internationalepertinente des cinq dernières années.Face à ce véritable problème de santé publique deux types de réponse sont possibles: enpriorité, la prévention sous toutes ses formes puis, lorsque la maladie est déclarée, le recours àl'arsenal des thérapeutiques les mieux adaptées aux différentes formes de parodontites et auniveau de destruction du parodonte. Mais il faut souligner que la protection des résultatsacquis au prix des techniques les plus performantes est complètement dépendante d'un étroitpartenariat entre la patient et le spécialiste dans le cadre d'un protocole très élaboré demaintenance, déjà fonctionnel dans certains pays européens. Voici donc les trois maître-motsde la lutte contre ces maladies
Molecular basis of leukocyte rolling on PSGL-1. Predominant role of core-2 O-glycans and of tyrosine sulfate residue 51.
Interactions between the leukocyte adhesion receptor L-selectin and P-selectin glycoprotein ligand-1 play an important role in regulating the inflammatory response by mediating leukocyte tethering and rolling on adherent leukocytes. In this study, we have examined the effect of post-translational modifications of PSGL-1 including Tyr sulfation and presentation of sialylated and fucosylated O-glycans for L-selectin binding. The functional importance of these modifications was determined by analyzing soluble L-selectin binding and leukocyte rolling on CHO cells expressing various glycoforms of PSGL-1 or mutant PSGL-1 targeted at N-terminal Thr or Tyr residues. Simultaneous expression of core-2 beta1,6-N-acetylglucosaminyltransferase and fucosyltransferase VII was required for optimal L-selectin binding to PSGL-1. Substitution of Thr-57 by Ala but not of Thr-44, strongly decreased L-selectin binding and leukocyte rolling on PSGL-1. Substitution of Tyr by Phe revealed that PSGL-1 Tyr-51 plays a predominant role in mediating L-selectin binding and leukocyte rolling whereas Tyr-48 has a minor role, an observation that contrasts with the pattern seen for the interactions between PSGL-1 and P-selectin where Tyr-48 plays a key role. Molecular modeling analysis of L-selectin and P-selectin interactions with PSGL-1 further supported these observations. Additional experiments showed that core-2 O-glycans attached to Thr-57 were also of critical importance in regulating the velocity and stability of leukocyte rolling. These observations pinpoint the structural characteristics of PSGL-1 that are required for optimal interactions with L-selectin and may be responsible for the specific kinetic and mechanical bond properties of the L-selectin-PSGL-1 adhesion receptor-counterreceptor pair