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    Thermoregulation at birth differs between piglets from two genetic lines divergent for residual feed intake

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    peer-reviewedThermoregulation is essential to piglets' neonatal survival. This study used infrared thermography (IRT) to assess thermoregulation abilities of piglets from two lines divergent for residual feed intake (RFI). At birth, morphology (weight, length, width and circumference), vigour (respiration, mobility and vocalisation), and rectal temperature were recorded from piglets of the 11th generation of the low RFI (LRFI, more efficient; n = 34) and the high RFI (HRFI, less efficient; n = 28) lines. Infrared thermography images were taken at 8, 15, 30 and 60 min post partum. Temperatures of the ear base and tip, and of the back (i.e. shoulders to rumps) were extracted (Thermacam Researcher Pro 2.0) and analysed with linear mixed models (SAS 9.4). Piglets had different average hourly weight gain (HRFI = 7.1 ± 1.3 g/h, LRFI = 3.6 ± 1.3 g/h; P < 0,001) but did not differ in morphology or vigour. All temperatures increased overtime. At birth, piglets' rectal temperature was correlated with the initial temperature of the ear base and the maximum back temperature (0.37 and 0.33, respectively; P < 0.05). High residual feed intake piglets had lower ear tip temperatures than LRFI piglets at 15 (24.7 ± 0.37 °C vs. 26.3 ± 0.36 °C, respectively; F1, 63.5 = 9.11, P < 0.005) and 30 min post partum (26.2 ± 0.47 °C vs. 27.6 ± 0.44 °C, respectively; F1, 66.9 = 4.52, P < 0.05). Moreover, thermal pattern of the ear tip differed between the two genetic lines. In conclusion, IRT allowed non-invasive assessment of piglets' thermoregulation abilities and indicated an influence of genetic selection for RFI on neonatal thermoregulation abilities.SuBPi

    Relations entre métabolismes tissulaires et efficacité alimentaire chez le porc en croissance: Incidence de la génétique et de l’alimentation

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    L’amélioration de l’efficacité alimentaire est un enjeu majeur pour la filière porcine. L’objectif de cette thèse est d’identifier les métabolismes tissulaires associés aux variations d’efficacité alimentaire chez le porc en croissance. Pour cela, nous avons caractérisé les métabolismes glucidiques et lipidiques, impliqués dans le stockage et l’utilisation tissulaire de l’énergie, et la synthèse et la dégradation protéiques, processus coûteux en énergie, en réponse aux variations d’efficacité alimentaire. Deux leviers jouant sur l’efficacité alimentaire ont été étudiés : la génétique en comparant deux lignées sélectionnées sur la consommation moyenne journalière (CMJR), un estimateur de l’efficacité alimentaire, et l’alimentation en termes de quantité d’aliment allouée et de fréquence de distribution quotidienne de l’aliment (2 et 12 fois par jour). Nos résultats indiquent qu’une CMJR élevée n’a pas d’impact majeur sur les métabolismes tissulaires et la composition corporelle à un stade précoce de la croissance (19 kg). Elle est associée à une accélération des voies cataboliques énergétiques dans le foie et le muscle et une adiposité plus importante au stade commercial d’abattage (115 kg). La réduction de la fréquence des repas, qui améliore l’indice de consommation des porcs, modifie les réponses postprandiales des concentrations plasmatiques en nutriments et en insuline sans induire de modification des formes de stockage de l’énergie (glycogène ou lipides) et des activités enzymatiques tissulaires. Nous montrons également que la prise en compte des interactions entre organes est essentielle pour la compréhension des bases métaboliques de l’efficacité alimentaire
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