19 research outputs found

    Captación y selección de materias primas en la primera metalurgia del Sureste de la península ibérica

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    The authors are grateful for the technical and human support provided by SGIker of UPV/EHU and European funding (ERDF and ESF). We are also in debt with Eduardo Galán, Ruth Maicas and Carmen Cacho, curators of the Museo Arqueológico Nacional (Madrid) for facilitating the sampling and study of metal objects as well as with Ignacio Soriano Llopis for his help on the selection and sampling of the Palmela points, with Massimo Chiaradia who performed the analyses of the Palmela points at the Department of Earth Sciences (University of Geneva, Switzerland) and with Óscar García Vuelta for his pictures of some assemblages. We also appreciate and the careful work of editing and style of the TP editorial team.The role of metallurgy in the Copper Age communities of the Iberian Southeast is a recurrent question of archaeological research in western Europe. Based on lead isotope and trace element analyses of archaeometallurgical remains, this paper addresses the territorial organisation of metallurgical production during the Copper Age (3100-2200 cal BC) in the Vera Basin (Almería, Spain), the region with the earliest metallurgical evidence in western Europe. This paper comprises the study of materials from the three main settlements with metallurgical activity in the area (Las Pilas, Santa Bárbara and Almizaraque), as well as some metal objects from these and other sites (La Encantada I, Loma de Belmonte and Las Churuletas 1). The results support a model of small-scale regional production whereby settlements exploited the resources of their nearby surroundings (up to 30 km as the crow flies). However, metallurgical exploitation prioritised mineralisations rich in arsenic and other elements, even when other sources were more readily accessible: for the case of Las Pilas, the exploitation of Pinar de Bédar sources instead of Sierra Cabrera, closer to the site; for the cases of Santa Bárbara and Almizaraque, the sources of Cerro Minado. The possibility that Almizaraque and Las Pilas also exploited the minerals of Herrerías, although to a lesser extent, remains open. Broader exchange networks are indicated by the data from finished objects, from which greater mobility can be inferred.El papel de la metalurgia en las comunidades de la Edad del Cobre del Sureste de la península ibérica es una cuestión recurrente en la investigación arqueológica en Europa occidental. A partir del análisis de isótopos de plomo y elementos traza de restos arqueometalúrgicos, este artículo aborda la organización territorial de la producción metalúrgica durante la Edad del Cobre (3100-2200 cal aC) en la cuenca de Vera (Almería, España); la región con las primeras evidencias metalúrgicas en Europa Occidental. Este artículo incluye el estudio de materiales de los tres principales asentamientos con actividad metalúrgica en la zona (Las Pilas, Santa Bárbara y Almizaraque), así como algunos objetos metálicos de estos y otros sitios (La Encantada I, Loma de Belmonte y Las Churuletas 1). Los resultados sustentan un modelo de producción regional a pequeña escala mediante el cual los asentamientos explotaron varios de los recursos de su entorno cercanos (hasta 30 km en línea recta). Se priorizaron las mineralizaciones ricas en arsénico y otros elementos, incluso cuando otras fuentes eran más accesibles: para el caso de Las Pilas, la explotación de las fuentes de Pinar de Bédar en lugar de las de Sierra Cabrera, más cercanas al yacimiento; y para los casos de Santa Bárbara y Almizaraque, las fuentes de Cerro Minado. La posibilidad de que tanto Almizaraque como Las Pilas también explotaran los minerales de Herrerías, aunque en menor medida, permanece abierta. La existencia de redes de intercambio más amplias queda reflejada por los datos de los objetos, a partir de los cuales se puede inferir una mayor movilidad.European funding (ERDF)European funding (ESF)This study was suported by the following sources of funding: a Marie Curie Intra European Fellowship (PN623183) funded within the 7th European Community Framework Programme; two Research and Development (R&D) projects funded by the Spanish Ministry of Science, Innovation and Universities: “Metal and amber: Models of raw materials circulation in Iberian Recent Prehistory” (HAR2017-82685-R) and “Tecnología y Sociedad. Las primeras artesanías de las comunidades neolíticas en Andalucía oriental entre el VI y el III milenio a.n.e” (HAR 2016-78197-P); and a Research Excellence Chair 2011-2016 “Activités minières et métallurgiques: anthropisation des milieux et productions matérielles”, funded by the Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)

    Autun (Saône-et-Loire). Traces d’occupation médiévale au sein du complexe monumental antique de la Genetoye

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    Un programme collectif de recherches sur le complexe monumental antique de La Genetoye, en périphérie de l’ancienne capitale des Éduens à l’époque romaine (Autun Augustodunum, Saône-et-Loire) a été mis en place en 2012. La première campagne de fouilles programmées s’est déroulée durant l’été 2013. Une occupation du Moyen Âge a pu être détectée au cours de ces investigations, très marquée aux abords immédiats du temple dit de Janus, plus fugaces à proximité du théâtre, en particulier le long d..

    2500 avant notre ère: l’implantation campaniforme en France méditerranéenne

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    Autour de 2 500 avant notre ère, apparaissent dans diverses régions d’Europe de petits vases à boire en céramique décorée, fréquemment associés à des parures et des armes spécifiques,caractérisant ce qu’il est convenu d’appeler le phénomène campaniforme. En France méditerranéenne, plus de 600 points de découvertes sont connus. Dans cette zone très riche à l’échelle de l’Europe, il est possible de s’interroger sur le caractère allochtone de ce phénomène, ses modes d’implantation et de développement ainsi que ses relations avec les groupes du Néolithique final déjà établis dans le sud de la France et de proposer un modèle d’implantation similaire à la colonisation grecque du littoral méditerranéen

    La nécropole Bronze ancien de Gerzat, Chantemerle (Puy-de-Dôme)

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    Au lieu-dit « Chantemerle », sur la commune de Gerzat (Puy-de-Dôme), un ensemble funéraire composé de six enclos circulaires, d'un enclos ovale et de 72 tombes contenant les restes de 83 individus a été fouillé préventivement durant le printemps et l'été 2001. Il couvre une surface d'environ 6 000 m2. Les perspectives d'étude sont très favorables dans la mesure où l'on peut estimer que la fouille a touché la majeure partie de la nécropole au vu de la densité et de la répartition des tombes. L’aménagement des 72 tombes varie du simple contenant à parois rigides (coffres) à des constructions complexes comportant à la fois un dallage aménagé sur le fond de la fosse, un contenant à parois rigides (coffre), un blocage massif (calage du coffre) et un système de signalisation de surface composé d'un ou plusieurs blocs de basalte. L'élément structurant de cet ensemble semble résider dans la position et l'orientation des individus inhumés qui reposent, le plus souvent, la tête tournée vers le sud. Au-delà de ce constat, le choix du mode d'inhumation (fosse aménagée, contenant rigide ou souple, pleine terre, association de mobilier) ne laisse rien au hasard. La combinaison des différents critères descriptifs (anthropologiques, architecturaux, dépôts mobiles) a montré des cas récurrents d'associations. Il a été possible de dégager des axes et des groupes structurants au plan spatial qui ont pu être confrontés aux données de la chronométrie fournies par les radiodatations et l'étude du mobilier céramique et métallique essentiellement. Ainsi, au terme d'une publication minutieuse des constats et arguments, c'est l'histoire globale de cette nécropole, avec ses modalités de recrutement et le statut des individus, qui est mise en évidence. Cet ensemble sépulcral revêt un caractère exceptionnel par des contours connus, une trame d'organisation spatiale, une longue durée d'utilisation, le nombre et la nature variée des sépultures, une bonne conservation globale des restes osseux, un mobilier particulier. Son étude ouvre de nouvelles perspectives dans l'approche des pratiques funéraires et dans la perception de l'organisation sociale et des courants culturels qui ont marqué cette communauté du centre de la France. Son intérêt dépasse les frontières nationales et place la nécropole de Gerzat Chantemerle parmi les sites de référence européens du Bronze ancien
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