242 research outputs found

    La Belgique, l'Italie et l'Europe centrale : Le Paléolithique.

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    Communications de J.-L. Guadelli, M. Olive, A. Tuffreau présentées par J.-L. Guadelli.4 fig.ISBN : 2-7068-1873-5 / 2-86538 -294-XLes auteurs présentent les résultats principaux des travaux de trois missions archéologiques subventionnées par le Ministère des Affaires Étrangères : Mission « Le Paléolithique de Roumanie », Mission Campo delle Piane, Italie et Mission préhistorique française en Bulgarie du Nord

    Caniac-du-Causse – Abri sous-roche de Pradayrol

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    Lien Atlas (MCC) :http://atlas.patrimoines.culture.fr/atlas/trunk/index.php?ap_theme=DOM_2.01.02&ap_bbox=1.603;44.598;1.706;44.662 Caniac-du-Causse est un vaste abri sous roche ouvert au nord, de 30 m de long sur une dizaine de mètres de profondeur qui surplombe une profonde doline. Des deux salles principales, celle à l’ouest est aménagée en bergerie, et la salle est a fait l’objet des premiers sondages archéologiques de la part de R. Séronie-Vivien entre 1998 et 2005. Ces opérations avaient..

    Datations radiométriques de l'extinction des grandes faunes pléistocènes au Pérou.

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    International audienceThe discovery in northern Peru of fossil deposits belonging to large mammals allows the dating of the extinction of this fauna. The method based on desequilibrium within the uranium family (230Th/234U) was used. The extinction occurred at the end of the Pleistocene (15-16 Kyrs Cal BP) and is contemporaneous with the beginning of the deglaciation. Moreover, this dating, compared with the results of excavations of palaeo-indian "Paijan" sites, indicates that human groups in Peru did not play a significant role in the extinction of this large fauna.Les restes osseux découverts dans les gisements paléontologiques à grands mammifères du Pérou ont pu être datés par la méthode fondée sur les déséquilibres de la famille de l'uranium (230Th-234U). L'extinction de cette grande faune coïncide avec la fin du Pléistocène et le début de la déglaciation (15-16 Ka Cal BP). La chronologie et les fouilles menées dans les gisements paijaniens montrent que les groupes humains préhistoriques au Pérou ne semblent pas avoir joué un rôle significatif dans cette extinction qui semble être la conséquence de changements climatiques importants dans cette région

    L'environnement animal.

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    36-43, 3 fig.La Chapelle-aux-Saints et la préhistoire en Corrèze. Sous la dir. de J-P. Raynal et Y. Pautrat. Association pour la Recherche Archéologique en Limousin.The fauna of La Chapelle-aux-Saints is dominated by Rangifer tarandus and Bovinae (the Bison being doubtless only represented), the other species (Sus scrofa, Cervus elaphus, Capra ibex, Equus caballus, Marmota) playing only a minor role. This faunal assemblage supplies us with information in domains so varied as the paleoclimatology, paleoenvironments, chronology and palethnology.La faune de La Chapelle-aux-Saints est dominée par Rangifer tarandus et les Bovinae (le Bison étant sans doute seul représenté), les autres espèces (Sus scrofa, Cervus elaphus, Capra ibex, Equus caballus, Marmota) ne jouant qu'un rôle mineur.Cette association faunique nous fournit des renseignements dans des domaines aussi variés que la paléoclimatologie, les paléoenvironnements, la chronologie et la palethnologie

    Éléments de distinction des portions pétreuses de temporal d'Ovis aries et de Capra hircus ; applications des caractères à la distinction de quelques autres Caprinae (Capra ibex, Rupicapra rupicapra)

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    25 fig., 9 tab.International audienceDistinctive features of Ovis aries and Capra hircus petrosal part of temporal bone: application of the features to the distinction of other caprinae (Capra ibex, Rupicapra rupicapra). In this paper, the authors highlight the morphometric features allowing the distinction between the petrous part of the temporal bone of some Caprinae, with a particular consideration of sheep (Ovis aries) and goat (Capra hircus), in association with some specific features of ibex (Capra ibex) and chamois (Rupicapra rupicapra). The authors also consider the implication of the study of petrous bones for these particular taxa in zooarchaeological and palaeontological analysis, especially for post-pleistocene faunal assemblages: identification of domesticated and wild forms, domestication geographic areas, chronological extension of the domestication process; death age estimation for curves of mortality...Dans cet article, les auteurs mettent en évidence les caractères morphométriques permettant de distinguer les portions pétreuses de temporal de différents Caprinae, en insistant sur le Mouton (Ovis aries) et la Chèvre (Capra hircus), et en complétant avec quelques caractères propres au Bouquetin (Capra ibex) et au Chamois (Rupicapra rupicapra). Sont abordées également les implications de l'étude des portions pétreuses de ces taxons dans les analyses archéozoologiques et paléontologiques des ensembles fauniques post-pléistocènes : problèmes liés aux formes domestiquées et reconnaissance des races domestiques, bassins de domestication, chronologie de l'expansion de ce processus ; estimation de l'âge au décès pour la constitution des courbes de mortalité..

    Quelques traits morphologiques permettant de reconnaître les portions pétreuses de temporal de certains artiodactyles fréquents dans le Pléistocène européen (Cervidae, Caprinae, Antilopinae, Suidae) lorsqu’ils sont de taille similaire

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    L’étude morphologique de la portion pétreuse de temporal permet de déterminer de manière sûre les différents taxons mêmes ceux qui sont difficilement identifiables à l’aide d’autres os. Nous nous proposons ici de livrer quelques clés morphologiques de détermination propres à identifier les rochers de trois Bovidae – le bouquetin de Alpes (Capra ibex), le chamois (Rupicapra rupicapra) et le tahr (Hemitragus sp.) et à les distinguer d’autres taxons de taille semblable.The morphological study of the petrous bone makes it possible to determine safely the different taxa, even those which are difficult to identify using other bones. We propose here to give some morphological keys of determination to identify the Ibex (Capra ibex), Chamois (Rupicapra rupicapra) and Tahr (Hemitragus sp.) petrous bone and to distinguish them from other taxa of similar size

    Distinctive features of Ovis aries and Capra hircus petrosal parts of temporal bone: Applications of the features to the distinction of some other Caprinae (Capra ibex, Rupicapra rupicapra)

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    Dans cet article, les auteurs mettent en évidence les caractères morphométriques permettant de distinguer les portions pétreuses de temporal de différents Caprinae, en insistant sur le Mouton (Ovis aries) et la Chèvre (Capra hircus), et en complétant avec quelques caractères propres au Bouquetin (Capra ibex) et au Chamois (Rupicapra rupicapra). Sont abordées également les implications de l’étude des portions pétreuses de ces taxons dans les analyses archéozoologiques et paléontologiques des ensembles fauniques post-pléistocènes : problèmes liés aux formes domestiquées et reconnaissance des races domestiques, bassins de domestication, chronologie de l’expansion de ce processus ; estimation de l’âge au décès pour la constitution des courbes de mortalité…In this paper, the authors highlight the morphometric features allowing the distinction between the petrous part of the temporal bone of some Caprinae, with a particular consideration of sheep (Ovis aries) and goat (Capra hircus), in association with some specific features of ibex (Capra ibex) and chamois (Rupicapra rupicapra). The authors also consider the implication of the study of petrous bones for these particular taxa in zooarchaeological and palaeontological analysis, especially for post-pleistocene faunal assemblages : identification of domesticated and wild forms, domestication geographic areas, chronological extension of the domestication process ; death age estimation for curves of mortality

    : Maar of Saint-Hippolyte (Puy de DĂ´me, France) : thermoluminescence dating, fossil flora and fauna, human settlement, climatochronology and dynamic of the paleo-lacustrine system

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    pdf du manuscritThe phreatomagmatic eruption of Saint Hippolyte (Puy de Dôme, France) takes place at the end of a temperate phase of the Early Würm, 94 000 years B.P. Then, a lake settles in the maar crater. Sedimentological, palynological and paleontological results attest that sedimentation is dependant of climatic changes. Three main phases characterize the paleo-lake evolution : a pro-lacustrine phase (with progressive filling up and upraise of water level), a pleni-lacustrine phase (water level at its maximum and creation of an exsurgence) and a tardi-lacustrine phase (fall of the water level, erosion offormer deposits, stepped beaches). During the pro-lacustrine phase, paleolithic man (Mousterian) settles twice on the lake banks for hunting, during cold and dry periods.L'explosion du maar de Saint-Hippolyte (Puy de Dôme, France) se produit à la fin d'une phase tempérée du début du Würm ancien, vers 94 000 B.P. Un système lacustre s'installe alors dans la dépression cratérique : la sédimentation y est commandée par les fluctuations climatiques comme l'attestent les résultats de l'étude sédimentologique, palynologique et paléontologique des dépôts. Trois phases principales sont définies et caractérisent l'évolution du paléo-lac : une phase pro-lacustre (comblement progressif et remontée du plan d'eau), une phase pléni-lacustre (plan d'eau au maximum et création d'un exutoire) et une phase tardi-lacustre (abaissement progressif du plan d'eau, érosion des dépôts antérieurs, étagement de plages). Pendant la phase pro-lacustre, l\'homme paléolithique (Moustérien) occupe les berges du lac à deux reprises (activités de chasse) en périodes froides et sèches

    Le Bison des steppes, Bison priscus Bojanus, 1827, de la grotte d’Habarra à Arudy (Pyrénées-Atlantiques)

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    Au cours du Quaternaire, vraisemblablement à plusieurs reprises, la grotte d’Habarra a piégé de nombreux grands mammifères passés par des deux ouvertures naturelles du toit de la caverne. Le gisement paléontologique a été découvert en 1984 et des fouilles furent pratiquées la même année réunissant des membres du Groupe Spéléologique de la Vallée d’Ossau (G.S.V.O.), du Groupe Archéologique des Pyrénées-Occidentales (G.A.P.O), de la Direction des Antiquités Préhistoriques d’Aquitaine et de l’Institut du Quaternaire de l’Université de Bordeaux I. Bien que le remplissage fossilifère n’ait été que faiblement entamé, de nombreux ossements furent exhumés se rapportant à plusieurs taxons de grands mammifères pléistocènes : Renne, Cheval, Cerf, Rhinocéros… mais le taxon le mieux représenté est le Bison des steppes tant en nombre de restes qu’en nombre d’individus. Vingt bisons au moins sont représentés et quatre d’entre eux le sont par un nombre élevé d’éléments de leurs squelettes. L’ensemble constitue une documentation sur Bison priscus exceptionnelle qui a été exploitée dans des directions qui ne peuvent être abordées qu’à partir d’échantillons importants.Des éléments de morphologie et de biométrie ont été recherchés pour une distinction 1) au niveau sexuel : pour Bison priscus de nombreux caractères distinctifs mâle-femelle ont été établis ; 2) au niveau spécifique : quelques points concernant notamment les dimensions relatives de grands segments osseux ont pu être précisés ; ils aident à caractériser Bison priscus ; relativement à Bison bison et Bison bonasus ; 3) au niveau générique : l’évidence de l’appartenance des ossements de Bovinés d’Habarra à Bison priscus a permis d’aborder la question de la pertinence de certains critères de différenciation entre les deux genres Bos et Bison.Ce travail a été conçu afin d’en rendre aisée sa consultation, un peu comme un manuel d’anatomie comparée propre aux grands Bovidés qui serait fondé non seulement sur des données actuelles mais aussi sur des restes fossiles : la table des matières, détaillée, permet de localiser rapidement l’emplacement des descriptions et informations relatives soit à un os soit à un individu particulier et le tableau 42 donne pour chaque individu la liste des os lui appartenant.Tout en sachant qu’il n’est pas sans défauts, nous souhaitons que ce travail soit utile et contribue efficacement à faire avancer les connaissances sur ce grand ongulé pléistocène qu’était le Bison des steppes ; en effet, si la silhouette de Bison priscus nous est familière grâce aux représentations que nous en ont laissées les peintres et graveurs préhistoriques, son squelette était jusqu’à présent assez mal documenté, du moins dans sa variabilité morphologique et biométrique.During the Quaternary, Habarra cave acted as a natural trap: many large mammals fell through two natural openings in the roof and became entombed within it. Discovered in 1984, the site was subsequently excavated by members of the Groupe Spéléologique de la Vallée d’Ossau (G.S.V.O.), the Groupe Archéologique des Pyrénées-Occidentales (G.A.P.O), the Direction des Antiquités Préhistoriques d’Aquitaine, and the Institut du Quaternaire of the Université de Bordeaux I. Even though the excavations were not extensive, many fossil specimens from a variety of large Pleistocene mammals were retrieved, including those of reindeer, horse, red deer, and rhinoceros. Best documented in terms of both specimens and individuals is the steppe bison (Bison priscus). The remains of at least 20 of these animals were collected, of which four individuals are particularly well-represented. The collection as a whole provides remarkably thorough documentation of the Bison priscus skeleton, in turn allowing detailed osteological analyses.We have used morphological and biometric analyses to improve our understanding of 1) sexual differences within Bison priscus, establishing a number of skeletal characters that can be used to distinguish males and females of this species; 2) species-level differences, providing biometric data that allow more secure differentiation of Bison priscus from Bison bison and Bison bonasus, and, 3) genus-level differences, since we have been able to use the Habarra Cave Bison priscus material to examine the validity of a series of criteria that may allow the differentiation of Bos and Bison.We have presented our results in the form of a manual of comparative anatomy for Bos and Bison, a manual founded on both modern material and on the fossil remains of the animals involved. The detailed table of contents will allow the reader to quickly find descriptions and information relevant to a particular skeletal element or individual, while Table 42 provides a list of specimens for each Habarra Bison priscus individual. The profile of Bison priscus is familiar to us from the depictions left by prehistoric artists, but much less has been known of the skeleton of this remarkable Pleistocene ungulate, at least in terms of morphological and biometric variability. Although we are fully aware that this work is not without fault, it is our hope that it will help fill this significant gap in our knowledge
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