19 research outputs found

    Evaluation de la vision fonctionnelle de patients atteints de dégénérescence maculaire liée à l'ùge (identification d'images et exploration visuelle)

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    La dĂ©gĂ©nĂ©rescence maculaire liĂ©e Ă  l'Ăąge (DMLA) est une atteinte rĂ©tinienne consĂ©cutive Ă  l'avancĂ©e en Ăąge. En limitant les informations visuelles accessibles dĂšs les premiĂšres Ă©tapes du traitement, celle-ci perturbe fortement la perception.L'objectif de ce travail concerne l'Ă©valuation de la vision fonctionnelle de patients atteints de DMLA. Deux sous-modalitĂ©s visuelles ont Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©es : l'identification d'images et l'exploration visuelle en manipulant respectivement le contenu frĂ©quentiel des images et le contraste chromatique.Le postulat Ă  l'origine des premiĂšres Ă©tudes rĂ©alisĂ©es est que la pathologie opĂšre tel un filtre passe-bas en rendant les hautes frĂ©quences spatiales inaccessibles. En contrĂŽlant le contenu frĂ©quentiel des images, nous montrons que les informations vĂ©hiculĂ©es par les basses frĂ©quences spatiales sont suffisantes pour identifier une scĂšne et sont prĂ©servĂ©es lors de DMLA. De plus, les patients amĂ©liorent leurs performances au cours des examens (mĂ©morisation des images). Enfin, le fond nuit Ă  la perception de la forme et leur capacitĂ© Ă  identifier les images n'est pas corrĂ©lĂ©e de façon simple avec les mesures cliniques standards.D'autres expĂ©riences ont testĂ© la dĂ©tection d'un contraste chromatique dans une tĂąche d'exploration visuelle. MalgrĂ© l'atteinte maculaire, ces patients demeurent capables de dĂ©tecter un contraste chromatique, mĂȘme Ă  bas niveau de contraste et pour les diffĂ©rents axes chromatiques considĂ©rĂ©s. Etrangement, les patients et les tĂ©moins montrent une augmentation de la vitesse de traitement du stimulus avec l'augmentation du nombre de distracteurs le composant. Du fait du scotome central qui perturbe leur exploration visuelle, ce rĂ©sultat est expliquĂ© lors de DMLA en termes d’incertitude spatial quant Ă  la localisation de la cible lors de stimulus Ă  2 pastilles. L'incertitude spatial n'explique pas les performances des sujets tĂ©moins, ceux-ci bĂ©nĂ©ficiant davantage de la configuration des 8 pastilles en un cercle virtuel.LYON2/BRON-BU (690292101) / SudocSudocFranceF

    Striate cortex, extrastriate cortex, and colliculus: some new approaches

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    The full-text of this book chapter is not available in ORA. Citation: Braddick, O., Atkinson, J. & Hood, B. (1996) Striate cortex, extrastriate cortex, and colliculus: some new approaches. In: Vital-Durand, F., Atkinson, J. & Braddick, O. J. (eds.) Infant vision. New York: Oxford University Press, pp. 203-220

    Influence of background on image recognition in normal vision and age-related macular degeneration.

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    International audiencePURPOSE: The influence of background attenuation on the spatial frequency bandwidth requirements for image recognition was assessed in normal young and older groups and in a group with age-related macular degeneration (AMD). Bandwidth requirements were also assessed in the visual periphery of young normal observers. METHODS: In Experiment 1, each observer was presented with 20 series of images. Each series consisted of a sequence of progressively low-pass filtered images, presented in an order of increasing bandwidth, i.e., according to an ascending method of limits. For half of the series, the background of the base image was selectively darkened by 80% of its original luminance. Three measures were analyzed: (1) the critical bandwidth defined as the bandwidth in cycles/image (cpi) at which 50% of the images were recognized, (2) the minimal bandwidth, defined as the minimal bandwidth at which images were recognized and (3) the proportion of images recognized at full bandwidth. In Experiment 2, young normal observers were similarly tested in central vision and at 5.5° eccentricity (superior or inferior visual field). A third background attenuation condition was included, as well, in which the background was low-pass filtered. RESULTS: The critical bandwidth for image recognition was significantly reduced by darkening the image background for normal young and old and the AMD groups. This improvement was found to be contrast dependent for the darkened background. In addition, AMD observers tended to recognize more images at full bandwidth if the background was darkened. For normal young observers, making the background low-pass was ineffective in lowering the critical bandwidth in the fovea. Fewer images were recognized at full bandwidth at 5.5° eccentricity for a low-pass background and marginally fewer for a darkened background. CONCLUSIONS: Selective attenuation of the image background can lead to reductions in the bandwidth requirements for image recognition in AMD. However, performance of young normal observers for images presented in the periphery was unlike AMD performance under the conditions investigated. These results have interesting implications for the design of image enhancement algorithms to aid low vision observers

    Déficits visuels : dépistage et prise en charge chez le jeune enfant

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    En France, plus de 10 % des enfants ĂągĂ©s de moins de 5 ans pourraient prĂ©senter une ou plusieurs anomalies de la vision. Or l’on sait qu’un dĂ©ïŹcit prĂ©coce de la fonction visuelle peut interfĂ©rer avec le dĂ©veloppement de l’enfant et retentir sur l’ensemble de ses compĂ©tences, qu’elles soient motrices, cognitives ou affectives, et avoir ainsi des rĂ©percussions sur ses performances scolaires puis sur son insertion sociale et professionnelle.Les dĂ©ïŹcits les plus frĂ©quents (hypermĂ©tropie, myopie, astigmatisme et strabisme), souvent dĂ©nuĂ©sd’impact immĂ©diat notable sur le comportement ou la vie quotidienne du nourrisson ou du jeune enfant, sont parfois difficiles Ă  dĂ©celer. S’ils ne sont pas diagnostiquĂ©s et traitĂ©sprĂ©cocement, ils peuvent ĂȘtre Ă  l’origine d’une baisse irrĂ©versible de l’acuitĂ© visuelle, que l’allongement de la vie contribuera encore Ă  majorer. Il est donc pertinent de s’interroger sur le bĂ©nĂ©ïŹce mĂ©dical et Ă©conomique d’un dĂ©pistage prĂ©coce et systĂ©matique des anomalies de la vision chez le jeune enfant et le nourrisson.La Mutuelle gĂ©nĂ©rale de l’Éducation nationale a souhaitĂ© accĂ©der Ă  un bilan des connaissances sur les modalitĂ©sdedĂ©pistage et de prise en charge prĂ©coces des diffĂ©rents types de dĂ©ïŹcits visuels rencontrĂ©s chez l’enfant.Pour rĂ©pondre Ă  cette demande, l’Inserm a, dans le cadre de la procĂ©dure d’expertise collective, rĂ©uni un groupe d’experts mĂ©decins et chercheurs dont les compĂ©tences ont couvert l’ensemble des aspects du problĂšme : Ă©pidĂ©miologie, ophtalmologie pĂ©diatrique, neurosciences, psychologie cognitive, gĂ©nĂ©tique, ingĂ©nierie optique, Ă©conomie...Le groupe d’experts a structurĂ© son analyse de la littĂ©rature internationale autour des questions suivantes :‱ Comment se dĂ©veloppent les structures et les fonctions visuelles chez l’homme ? Quelles en sont les Ă©tapes-clĂ©s? À partir de quel Ăąge peut-on dĂ©tecter des anomalies ?‱ Que sait-on des interactions entre un dĂ©ïŹcit des fonctions visuelles et le dĂ©veloppement de l’enfant, en particulier l’apprentissage de la lecture ?‱ Quelles sont les anomalies visuelles rencontrĂ©es chez le nourrisson et le jeune enfant, et leur Ă©tiologie ? Comment en faire le diagnostic ? Quelles sont les techniques diagnostiques validĂ©es ?‱ Quels sont les modes de prise en charge (optique, chirurgicale, mĂ©dicamenteuse) des diffĂ©rents troubles recensĂ©s?‱ Quelles sont les prĂ©valences des diffĂ©rentes anomalies de la vision chez le nourrisson et l’enfant, et leur impact en santĂ© publique ?‱ Comment identiïŹer des populations Ă  risque ? Quels sont les facteurs gĂ©nĂ©tiques impliquĂ©s dans les dĂ©ïŹcits visuels ? ‱ Quels sont les programmes de dĂ©pistage gĂ©nĂ©ral ou spĂ©ciïŹque mis en place chez les enfants d’ñge prĂ©scolaire dans diffĂ©rents pays ? Quelle est l’efficacitĂ© de ces programmes ? Quelles sont les donnĂ©es sur les Ă©valuations Ă©conomiques des stratĂ©gies de dĂ©pistage et de traitement prĂ©coces ?Une interrogation ciblĂ©e des bases bibliographiques Medline, Embase, Pascal et Psycinfo a permis de sĂ©lectionner plus de 1 400 articles. Au cours de 10 sĂ©ances de travail organisĂ©es entre dĂ©cembre 2000 et septembre 2001, les experts ont, chacun dans leur champ de compĂ©tences, prĂ©sentĂ© un bilan critique des publications qui leur ont Ă©tĂ© proposĂ©es pour analyse. Les toutes derniĂšres rĂ©unions ont Ă©tĂ© consacrĂ©es Ă  l’élaboration d’une synthĂšse commune et Ă  la proposition de recommandations d’action et de recherche.Des auditions ont Ă©tĂ© programmĂ©es et font l’objet de communications. Elles ont permis au groupe d’experts de prendre connaissance des rĂ©sultats d’études pilotes de dĂ©pistage prĂ©coce dans certaines rĂ©gions françaises, et de recueillir l’expĂ©rience de professionnels spĂ©cialisĂ©s dans la prise en charge des enfants malvoyants

    Déficits visuels : dépistage et prise en charge chez le jeune enfant

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    En France, plus de 10 % des enfants ĂągĂ©s de moins de 5 ans pourraient prĂ©senter une ou plusieurs anomalies de la vision. Or l’on sait qu’un dĂ©ïŹcit prĂ©coce de la fonction visuelle peut interfĂ©rer avec le dĂ©veloppement de l’enfant et retentir sur l’ensemble de ses compĂ©tences, qu’elles soient motrices, cognitives ou affectives, et avoir ainsi des rĂ©percussions sur ses performances scolaires puis sur son insertion sociale et professionnelle.Les dĂ©ïŹcits les plus frĂ©quents (hypermĂ©tropie, myopie, astigmatisme et strabisme), souvent dĂ©nuĂ©sd’impact immĂ©diat notable sur le comportement ou la vie quotidienne du nourrisson ou du jeune enfant, sont parfois difficiles Ă  dĂ©celer. S’ils ne sont pas diagnostiquĂ©s et traitĂ©sprĂ©cocement, ils peuvent ĂȘtre Ă  l’origine d’une baisse irrĂ©versible de l’acuitĂ© visuelle, que l’allongement de la vie contribuera encore Ă  majorer. Il est donc pertinent de s’interroger sur le bĂ©nĂ©ïŹce mĂ©dical et Ă©conomique d’un dĂ©pistage prĂ©coce et systĂ©matique des anomalies de la vision chez le jeune enfant et le nourrisson.La Mutuelle gĂ©nĂ©rale de l’Éducation nationale a souhaitĂ© accĂ©der Ă  un bilan des connaissances sur les modalitĂ©sdedĂ©pistage et de prise en charge prĂ©coces des diffĂ©rents types de dĂ©ïŹcits visuels rencontrĂ©s chez l’enfant.Pour rĂ©pondre Ă  cette demande, l’Inserm a, dans le cadre de la procĂ©dure d’expertise collective, rĂ©uni un groupe d’experts mĂ©decins et chercheurs dont les compĂ©tences ont couvert l’ensemble des aspects du problĂšme : Ă©pidĂ©miologie, ophtalmologie pĂ©diatrique, neurosciences, psychologie cognitive, gĂ©nĂ©tique, ingĂ©nierie optique, Ă©conomie...Le groupe d’experts a structurĂ© son analyse de la littĂ©rature internationale autour des questions suivantes :‱ Comment se dĂ©veloppent les structures et les fonctions visuelles chez l’homme ? Quelles en sont les Ă©tapes-clĂ©s? À partir de quel Ăąge peut-on dĂ©tecter des anomalies ?‱ Que sait-on des interactions entre un dĂ©ïŹcit des fonctions visuelles et le dĂ©veloppement de l’enfant, en particulier l’apprentissage de la lecture ?‱ Quelles sont les anomalies visuelles rencontrĂ©es chez le nourrisson et le jeune enfant, et leur Ă©tiologie ? Comment en faire le diagnostic ? Quelles sont les techniques diagnostiques validĂ©es ?‱ Quels sont les modes de prise en charge (optique, chirurgicale, mĂ©dicamenteuse) des diffĂ©rents troubles recensĂ©s?‱ Quelles sont les prĂ©valences des diffĂ©rentes anomalies de la vision chez le nourrisson et l’enfant, et leur impact en santĂ© publique ?‱ Comment identiïŹer des populations Ă  risque ? Quels sont les facteurs gĂ©nĂ©tiques impliquĂ©s dans les dĂ©ïŹcits visuels ? ‱ Quels sont les programmes de dĂ©pistage gĂ©nĂ©ral ou spĂ©ciïŹque mis en place chez les enfants d’ñge prĂ©scolaire dans diffĂ©rents pays ? Quelle est l’efficacitĂ© de ces programmes ? Quelles sont les donnĂ©es sur les Ă©valuations Ă©conomiques des stratĂ©gies de dĂ©pistage et de traitement prĂ©coces ?Une interrogation ciblĂ©e des bases bibliographiques Medline, Embase, Pascal et Psycinfo a permis de sĂ©lectionner plus de 1 400 articles. Au cours de 10 sĂ©ances de travail organisĂ©es entre dĂ©cembre 2000 et septembre 2001, les experts ont, chacun dans leur champ de compĂ©tences, prĂ©sentĂ© un bilan critique des publications qui leur ont Ă©tĂ© proposĂ©es pour analyse. Les toutes derniĂšres rĂ©unions ont Ă©tĂ© consacrĂ©es Ă  l’élaboration d’une synthĂšse commune et Ă  la proposition de recommandations d’action et de recherche.Des auditions ont Ă©tĂ© programmĂ©es et font l’objet de communications. Elles ont permis au groupe d’experts de prendre connaissance des rĂ©sultats d’études pilotes de dĂ©pistage prĂ©coce dans certaines rĂ©gions françaises, et de recueillir l’expĂ©rience de professionnels spĂ©cialisĂ©s dans la prise en charge des enfants malvoyants
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