164 research outputs found

    Cherchez la femme

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    Tandis que l\u27on s\u27interroge sur la véritable nature de l\u27appel à contribution de Wikipédia à l\u27adresse des bibliothécaires, certains d\u27entre eux à Lyon , ont déjà renversé cette proposition au profit de la bibliothÚque, faisant de la participation à l\u27encyclopédie en ligne un thÚme d\u27atelier plébiscité

    Le renforcement des populations de phoque gris et de phoque veau-marin sur les cĂŽtes de France

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    Le cycle annuel d’activitĂ© de Coronella austriaca laur

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    Notes sur la biologie de Vipera aspis L. dans les Pyrénées

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    Le cycle annuel de Vipera aspis a Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©, dans les PyrĂ©nĂ©es centrales, entre 1 500 et 2 300 m d’altitude. Dans l’étage subalpin, le plus frĂ©quentĂ© par les VipĂšres, la rĂ©partition locale est dĂ©ter minĂ©e par deux facteurs essentiels : l’exposition permettant une insolation optimale, et le biotope, gĂ©nĂ©ralement constituĂ© par une zone d’éboulis fixĂ© Ă  petites touffes de vĂ©gĂ©tation. Aux environs de 1 800 m, la pĂ©riode active s’étend, en moyenne, sur 6 mois 1/2 chez les mĂąles et 5 mois 1/2 chez les femelles. Quelques mĂąles apparaissent dĂšs la mi-mars, mais la majoritĂ© surtout dans la deuxiĂšme quinzaine d’avril. Les premiĂšres sorties des femelles ont lieu en fin d’avril ou dĂ©but de mai, et les accouplements commencent aussitĂŽt. L’hivernage, au contraire, commence plus tĂŽt chez les mĂąles (fin septembre) que chez les femelles (dĂ©but octobre), et il ne semble pas exister de pĂ©riode d’accouplement en automne. La survie des VipĂšres en montagne n’est possible qu’en raison de l’intensitĂ© et de la frĂ©quence de l’insolation qui leur permet d’assurer leur thermorĂ©gulation Ă©cologique suivant le mĂȘme mode qu’en plaine. Toutefois, la pĂ©riode d’alimentation se rĂ©duit Ă  4 mois environ, chez les deux sexes, et le nombre des mues semble limitĂ© Ă  3. L’échelle thermique d’activitĂ© et, en particulier, l’opti mum de « basking period » (27 Ă  29°) laisse supposer qu’il n’y a pas d’adaptation spĂ©ciale, sur ce plan, chez les VipĂšres de mon tagne.The annual cycle of Vipera aspis was studied in the central Pyrenees at an altitude of 1500 to 2300 m. At sub-alpine altitudes, the local distribution of vipers is mainly concentrated in « sunny » areas where there are vegetation tufts on scree. At 1800 m the duration of the period of activity is about 6 \ months for males and 5 \ months for females. The majority of males appear during the second part of April, though some may appear as early as mid-March. Mating occurs on the appearance of females in late April-early May. The wintering period starts earlier for males (late September) than for females (early October). There is appa rently no mating period in the autumn. The survival of vipers in mountains is dependent on the inten sity and frequency of sunshine allowing a similar thermo-regula tion to that which occurs in lowlands. For both sexes the duration of the period of ingestion is 4 months. Molting occurs only three times. Consideration of the temperature range for activity and particularly the basking optimum (27-29° C), makes it unlikely that these vipers have any special thermo-regulatory adaptations to montane conditions

    Cycle annuel d’activitĂ© et reproduction de la Couleuvre vipĂ©rine

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    L’étude du cycle annuel d’activitĂ© et de la reproduction chez Natrix maura repose, d’une part sur les manuscrits de Rollinat (1891-1931) et nos propres observations dans la nature, d’autre part sur l’examen histologique de 75 mĂąles et 57 femelles, en majoritĂ© adultes, autopsiĂ©s aux diffĂ©rentes Ă©poques de l’annĂ©e. Les spĂ©cimens proviennent soit du centre de la France (Rollinat), soit de l’ouest de ce pays, entre Nantes et La Rochelle (Duguy et Saint Girons). Les premiĂšres sorties des mĂąles ont lieu au dĂ©but de mars, celles des femelles un peu plus tard, vers le milieu du mois. A partir de cette date, commence la pĂ©riode d’accouplement vernale qui dure jusqu’en mai, mais est surtout intense durant la premiĂšre quinzaine d’avril. Pendant toute la belle saison, les activitĂ©s de la Couleuvre vipĂ©rine sont principalement d’ordre alimentaire : recherche et capture des proies, le plus souvent dans l’eau, puis digestion Ă  des emplacements suffisamment chauds. Le rĂ©gime est composĂ© principalement de Poissons et de TĂȘtards et, occasionnellement, d’Amphibiens adultes. Il existe une deuxiĂšme pĂ©riode d’accouplement en automne, du 10 septembre au 15 octobre environ, mais l’activitĂ© sexuelle est beaucoup moins forte qu’au printemps. Les derniĂšres sorties ont lieu la deuxiĂšme quinzaine d’octobre, un peu plus tĂŽt chez les femelles que chez les mĂąles. L’hivernage dure au moins quatre mois, un peu plus long temps (quatre mois et demi, voire cinq mois) chez les femelles, ou lorsque les conditions climatiques sont dĂ©favorables Ă  la fin d’octobre ou au dĂ©but de mars. Le cycle sexuel des mĂąles est caractĂ©risĂ©, comme chez les Colubridae des rĂ©gions tempĂ©rĂ©es, par une spermatogenĂšse estivale, de type prĂ©nuptial. La multiplication des spermatogonies commence Ă  la fin de mars, les spermatocytes de premier ordre sont abondants de la fin d’avril Ă  la mi-juin et les premiers spermatozoĂŻdes apparaissent au dĂ©but de juillet ; la spermiogenĂšse dure jusqu’en aoĂ»t. Il semble exister une deuxiĂšme poussĂ©e spermatocytogĂ©nĂ©tique, peu intense, en juillet-aoĂ»t, suivie d’une nouvelle spermiogenĂšse, partiellement abortive, en septembre-octobre. Les spermatozoĂŻdes sont stockĂ©s durant l’hiver dans les canaux dĂ©fĂ©rents. En fait, les tubes sĂ©minifĂšres de Natrix maura ne sont jamais au repos complet ; toutefois, l’activitĂ© spermatogĂ©nĂ©tique n’est vraiment intense que pendant une courte pĂ©riode, de juin Ă  aoĂ»t. Le segment sexuel du rein est hypertrophiĂ© pendant presque toute l’annĂ©e, mais prĂ©sente un stade de nette involution en juillet et au dĂ©but d’aoĂ»t. La vitellogenĂšse des femelles est principalement vernale et s’effectue, pour la plus grande part, durant le mois de mai. L’ovulation a lieu au cours de la premiĂšre quinzaine de juin, la ponte un mois plus tard en moyenne. L’oviducte (Ă©pithĂ©lium du tube vaginal, glandes utĂ©rines, Ă©pithĂ©lium muqueux et rĂ©ceptacles sĂ©minaux de la trompe) est au repos ou modĂ©rĂ©ment dĂ©veloppĂ© pendant la plus grande partie de l’annĂ©e et s’hypertrophie de façon spectaculaire en mai ou au dĂ©but de juin. L’involution de l’oviducte est rapide au dĂ©but de la gestation et se poursuit progressivement jusqu’aprĂšs la ponte. Il convient d’insister sur le fait que l’oviducte peut se trouver Ă  des stades de stimulation assez diffĂ©rents, au dĂ©but du printemps et Ă  l’automne, chez des femelles dont le comportement sexuel est, par ailleurs, identique, L’éclosion des jeunes a lieu, le plus souvent au dĂ©but de septembre, mais la durĂ©e de l’incubation est trĂšs variable et le dĂ©veloppement embryonnaire peut n’ĂȘtre pas terminĂ© en novembre. A l’éclosion, les jeunes mesurent de 15 Ă  17 cm et ils grandissent un peu avant l’entrĂ©e en hivernage. La taille des mĂąles est approximativement de 25 cm Ă  1 an, 34 cm Ă  2 ans et 39 cm Ă  3 ans. A ce moment, ils atteignent leur maturitĂ© sexuelle mais, dĂšs l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente, on pouvait observer une premiĂšre poussĂ©e spermatogĂ©nĂ©tique, tardive et presque complĂštement abortive. La croissance des femelles est un peu plus rapide que celle des mĂąles et, Ă  3 ans, elles mesurent au moins 42 Ă  45 cm. Chez les adultes, il existe un net dimorphisme sexuel de la taille, au profit des femelles. Le premier accouplement a lieu au plus tĂŽt Ă  3 ans, peut-ĂȘtre seulement Ă  3 ans et demi ou mĂȘme Ă  4 ans chez certaines femelles. Dans la plupart des cas, les femelles ne Se reproduisent pas avant 4 ou 5 ans, voire 6 ans. Le nombre moyen d’Ɠufs par ponte est de 7,3 (4 Ă  16) et, dans l’ensemble, il est d’autant plus Ă©levĂ© que la Couleuvre est plus grande. La fĂ©conditĂ© varie donc selon la croissance des individus

    Self-Organized Criticality of Wildfires Ecologically Revisited.

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    Wildfire cumulative frequencyÂżarea distributions of Mediterranean landscapes are examined for agreement with self-similar (fractal) behavior. Our results support landscape-specific restricted scaling regions of 1.5Âż3.5 orders of magnitude in size, which are delimited by breakpoints or `cut-offsÂż. By identifying the extent of such regions in the fractal frequencyÂżarea distribution of wildfires, fractal statistics may give a deeper insight into the scale-invariant dynamics of fire spread, whereas the observed cut-offs may be related to changes in the processÂżpattern interactions that control wildfire propagation at the landscape scale.Peer Reviewe

    Metodologia para determinação das classes de risco de incĂȘndio florestal usando a FĂłrmula de Monte Alegre modificada

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    The objective of this study was to calculate the Modified Monte Alegre Formula (FMAâș) and adjust the wildfire risk classes of areas of forests planted in the northern-central coast of the state of EspĂ­rito Santo state and the southern coast of Bahia state. The methodology used included six stages: risk calculation; spreadsheet development according to the occurrence, or not, of forest fires; spreadsheet development according to the wildfire season in the study region; risk class definition; result analysis of the determined classes; best fit selection. It was observed that the class definition methodology for the FMAâș system obtained excellent results. It increased by 19.3, 21.53, and 31.3% for the percentage of success for subzones 1, 2, and 3, respectively, which implies this an important study for the successful implementation of FMAâș in other areas.O objetivo deste estudo foi calcular a FĂłrmula Modificada de Monte Alegre (FMAâș) e ajustar as classes de risco de incĂȘndio em ĂĄreas de florestas plantadas na costa norte-central do estado do EspĂ­rito Santo e na costa sul do estado da Bahia. A metodologia utilizada incluiu seis etapas: cĂĄlculo de risco; desenvolvimento de planilhas de acordo com a ocorrĂȘncia, ou nĂŁo, de incĂȘndios florestais; desenvolvimento de planilhas de acordo com a estação de incĂȘndios florestais na regiĂŁo estudada; definição de classe de risco; anĂĄlise de resultados das classes determinadas; seleção de melhor ajuste. Observou-se que a metodologia de definição de classe para o sistema FMAâș obteve excelentes resultados. Aumentou em 19,3; 21,53 e 31,3% para o percentual de sucesso nas subzonas 1, 2 e 3, respectivamente, o que traduz em resultados este importante estudo para a implementação bem-sucedida da FMAâș em outras ĂĄreas

    System for calculating and defining classes in modified Monte Alegre Formula - FMA + Sisclass

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    The objective of this work was to develop a computational system for the calculation, storage, and definition of new classes for the forest fire hazard index classified by the Monte Alegre Altered Formula - FMA+, which aims to store the occurrence of forest fires, allowing the generation of statistics on the hazard index and its occurrence, in addition to generating graphical plots and statistics on the performance of the FMA+, the contingency matrix and the monthly analysis of the hazard classes demanded by Nunes et al. (2006) and Eugenio et al. (2020 a). The Sisclass FMA+ application obtained excellent results in previous tests, achieving an increase of up to 31.30% in the percentage of success of the FMA + index. Sisclass FMA+ is accessible to the scientific community and available free of charge
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