19 research outputs found

    Le groupe de parole “Maternités et cultures, échanges autour des berceaux”

    No full text
    International audienceAt the Port-Royal maternity ward in Paris (14th arrondissement), a system has been set up as part of the liaison work. The discussion group "Maternities and cultures, exchanges around cradles" offers a sharing and carrying place in this so singular period of "becoming a mother" . Cultural and professional mixing is at the heart of this system. Presentation of observations of the group's movements over two years

    Bassan (34), La Louire. Aqua domitia – Maillon Biterrois. Un petit groupe funéraire du premier Moyen Âge dans la campagne nord-biterroise

    No full text
    Les fouilles menées au lieu-dit « La Louire » à Bassan, dans le cadre du projet d’aménagement du réseau hydraulique par le groupe BRL, ont permis d’étudier, sur une surface réduite d’environ 320 m², plusieurs vestiges d’époques variées. Les découvertes ont été réparties en cinq phases d’occupation qui s’étendent entre l’Antiquité et l’époque contemporaine. Si quelques tessons d’amphore massaliète paraissent indiquer une éventuelle occupation au cours de l’âge du Fer, c’est au cours du Haut-Empire que la première phase d’occupation est attestée, par un petit réseau de traces agraires caractéristiques de fosses de plantation viticole associées à des petits fossés parallèles.C’est au cours de la seconde phase que les vestiges sont les plus importants, avec la découverte d’un petit espace funéraire du premier Moyen Âge qui a pu être étudié et daté par plusieurs mesures du radiocarbone entre le VIIe et le IXe siècle au plus tard. Le groupe de six sépultures (en fosse simple à couverture) correspond à des inhumations individuelles primaires, orientées et sans mobilier funéraire. La mauvaise conservation générale des ossements a limité l'étude ostéologique, mais il ne semble pas y avoir eu de sélection sexuelle ni par âge. L’état sanitaire est passable et les individus présentent presque tous des lésions mécaniques qui sont peut-être à relier à des activités nécessitant le port de charges lourdes.Les phases suivantes d’occupation (phases 3, 4 et 5) sur le site ne sont représentées que par des fossés et quelques fosses dont l’interprétation et la datation restent le plus souvent limitées par la rareté du mobilier et par la faiblesse de l’emprise de fouille. Ainsi, entre la fin du Moyen Âge et le début du XX e siècle, on observe plusieurs phases d’aménagement, de comblement et de ré-aménagement du parcellaire en lien avec les activités agricoles ou viticoles qui ont dû se succéder sur la parcelle. La céramique est plus fréquente en phase 4 où la vaisselle permet de proposer une datation entre le XVIII e et le début du XIX e siècle. La dernière phase voit, probablement au cours du XIX e siècle ou au début du XX e siècle, le comblement des aménagements fossoyés et le remblaiement probable de la partie méridionale du site, qui formait jusqu’alors le pied d’une butte ancienne. La mise en terrasse de la parcelle pourrait témoigner des travaux qui ont accompagné l’essor de la production de vin au début du siècle dernier

    Bassan (34), La Louire. Aqua domitia – Maillon Biterrois. Un petit groupe funéraire du premier Moyen Âge dans la campagne nord-biterroise

    No full text
    Les fouilles menées au lieu-dit « La Louire » à Bassan, dans le cadre du projet d’aménagement du réseau hydraulique par le groupe BRL, ont permis d’étudier, sur une surface réduite d’environ 320 m², plusieurs vestiges d’époques variées. Les découvertes ont été réparties en cinq phases d’occupation qui s’étendent entre l’Antiquité et l’époque contemporaine. Si quelques tessons d’amphore massaliète paraissent indiquer une éventuelle occupation au cours de l’âge du Fer, c’est au cours du Haut-Empire que la première phase d’occupation est attestée, par un petit réseau de traces agraires caractéristiques de fosses de plantation viticole associées à des petits fossés parallèles.C’est au cours de la seconde phase que les vestiges sont les plus importants, avec la découverte d’un petit espace funéraire du premier Moyen Âge qui a pu être étudié et daté par plusieurs mesures du radiocarbone entre le VIIe et le IXe siècle au plus tard. Le groupe de six sépultures (en fosse simple à couverture) correspond à des inhumations individuelles primaires, orientées et sans mobilier funéraire. La mauvaise conservation générale des ossements a limité l'étude ostéologique, mais il ne semble pas y avoir eu de sélection sexuelle ni par âge. L’état sanitaire est passable et les individus présentent presque tous des lésions mécaniques qui sont peut-être à relier à des activités nécessitant le port de charges lourdes.Les phases suivantes d’occupation (phases 3, 4 et 5) sur le site ne sont représentées que par des fossés et quelques fosses dont l’interprétation et la datation restent le plus souvent limitées par la rareté du mobilier et par la faiblesse de l’emprise de fouille. Ainsi, entre la fin du Moyen Âge et le début du XX e siècle, on observe plusieurs phases d’aménagement, de comblement et de ré-aménagement du parcellaire en lien avec les activités agricoles ou viticoles qui ont dû se succéder sur la parcelle. La céramique est plus fréquente en phase 4 où la vaisselle permet de proposer une datation entre le XVIII e et le début du XIX e siècle. La dernière phase voit, probablement au cours du XIX e siècle ou au début du XX e siècle, le comblement des aménagements fossoyés et le remblaiement probable de la partie méridionale du site, qui formait jusqu’alors le pied d’une butte ancienne. La mise en terrasse de la parcelle pourrait témoigner des travaux qui ont accompagné l’essor de la production de vin au début du siècle dernier

    Bassan (34), La Louire. Aqua domitia – Maillon Biterrois. Un petit groupe funéraire du premier Moyen Âge dans la campagne nord-biterroise

    No full text
    Les fouilles menées au lieu-dit « La Louire » à Bassan, dans le cadre du projet d’aménagement du réseau hydraulique par le groupe BRL, ont permis d’étudier, sur une surface réduite d’environ 320 m², plusieurs vestiges d’époques variées. Les découvertes ont été réparties en cinq phases d’occupation qui s’étendent entre l’Antiquité et l’époque contemporaine. Si quelques tessons d’amphore massaliète paraissent indiquer une éventuelle occupation au cours de l’âge du Fer, c’est au cours du Haut-Empire que la première phase d’occupation est attestée, par un petit réseau de traces agraires caractéristiques de fosses de plantation viticole associées à des petits fossés parallèles.C’est au cours de la seconde phase que les vestiges sont les plus importants, avec la découverte d’un petit espace funéraire du premier Moyen Âge qui a pu être étudié et daté par plusieurs mesures du radiocarbone entre le VIIe et le IXe siècle au plus tard. Le groupe de six sépultures (en fosse simple à couverture) correspond à des inhumations individuelles primaires, orientées et sans mobilier funéraire. La mauvaise conservation générale des ossements a limité l'étude ostéologique, mais il ne semble pas y avoir eu de sélection sexuelle ni par âge. L’état sanitaire est passable et les individus présentent presque tous des lésions mécaniques qui sont peut-être à relier à des activités nécessitant le port de charges lourdes.Les phases suivantes d’occupation (phases 3, 4 et 5) sur le site ne sont représentées que par des fossés et quelques fosses dont l’interprétation et la datation restent le plus souvent limitées par la rareté du mobilier et par la faiblesse de l’emprise de fouille. Ainsi, entre la fin du Moyen Âge et le début du XX e siècle, on observe plusieurs phases d’aménagement, de comblement et de ré-aménagement du parcellaire en lien avec les activités agricoles ou viticoles qui ont dû se succéder sur la parcelle. La céramique est plus fréquente en phase 4 où la vaisselle permet de proposer une datation entre le XVIII e et le début du XIX e siècle. La dernière phase voit, probablement au cours du XIX e siècle ou au début du XX e siècle, le comblement des aménagements fossoyés et le remblaiement probable de la partie méridionale du site, qui formait jusqu’alors le pied d’une butte ancienne. La mise en terrasse de la parcelle pourrait témoigner des travaux qui ont accompagné l’essor de la production de vin au début du siècle dernier
    corecore