Genetic Structure of Chimpanzee Populations

Little is known about the history and population structure of our closest living relatives, the chimpanzees, in part because of an extremely poor fossil record. To address this, we report the largest genetic study of the chimpanzees to date, examining 310 microsatellites in 84 common chimpanzees and bonobos. We infer three common chimpanzee populations, which correspond to the previously defined labels of “western,” “central,” and “eastern,” and find little evidence of gene flow between them. There is tentative evidence for structure within western chimpanzees, but we do not detect distinct additional populations. The data also provide historical insights, demonstrating that the western chimpanzee population diverged first, and that the eastern and central populations are more closely related in time.</p

Genetic Structure of Chimpanzee Populations

Little is known about the history and population structure of our closest living relatives, the chimpanzees, in part because of an extremely poor fossil record. To address this, we report the largest genetic study of the chimpanzees to date, examining 310 microsatellites in 84 common chimpanzees and bonobos. We infer three common chimpanzee populations, which correspond to the previously defined labels of “western,” “central,” and “eastern,” and find little evidence of gene flow between them. There is tentative evidence for structure within western chimpanzees, but we do not detect distinct additional populations. The data also provide historical insights, demonstrating that the western chimpanzee population diverged first, and that the eastern and central populations are more closely related in time

Self-awareness and memory : study of stress-related memory impairment

La conscience de soi permet à un individu de se connaître et de réaliser son action sur le monde. Ces travaux concernent la compréhension des liens entre la conscience de soi et les formes de mémoire associées au self (mémoire épisodique et autobiographique) des patients et des patientes présentant des troubles de la mémoire associés au stress. Trois populations ont été étudiées : des patient∙e∙s présentant un ictus amnésique idiopathique, des patients∙e∙s avec une amnésie dissociative et des personnes exposées à un trauma (les attaques du 13/11/2015 à Paris) présentant ou non un trouble de stress post-traumatique (TSPT). Ces trois perturbations de la mémoire ont en commun leur origine fonctionnelle (atteinte de la fonction cognitive sans lésion « mécanique » des structures cérébrales qui sous-tendent cette fonction) et la présence récurrente d’un événement stressant, voire traumatique pour le TSPT, dans le déclenchement du trouble. Ce travail adopte une double perspective, à la fois fondamentale (contribuer aux modèles décrivant les relations entre mémoire et conscience de soi) et clinique (contribuer à la compréhension des symptômes mnésiques associés au stress dans une perspective neuropsychologique). Cette thèse commence par une introduction théorique visant à définir les différents concepts dissimulés sous les dénominations génériques de « conscience », de « self » et de « conscience de soi ». Ensuite, trois études originales sont présentées étudiant différentes dimensions de la conscience de soi en situation de perturbation mnésique liée au stress. La première étudie la focalisation de l’attention sur soi chez des patient∙e∙s présentant ou ayant présenté un ictus amnésique idiopathique. La seconde étude compare l’utilisation des pronoms personnels dans les récits autobiographiques de patient∙e∙s en phase aiguë d’ictus amnésique et dans ceux de personnes avec une amnésie dissociative. Enfin, la troisième étude explore les contenus de récits personnels associés ou non à un traumatisme selon les participant∙e∙s, chez des personnes ayant été exposées aux attaques du 13/11 à Paris. La discussion propose une ouverture sur les origines cérébrales des mécanismes observés dans le cadre de ces études et s’inscrit dans un large champ de recherche qui cherche à expliquer les conséquences neurocognitives du stress sur la mémoire des individus.Self-awareness allow individuals to know themselves and be aware of their action toward the world. The present work is focused on relationships between self-awareness and self related form of memory (episodic and autobiographical memory

Conscience de soi et mémoire : étude des perturbations mnésiques associées au stress

Self-awareness allow individuals to know themselves and be aware of their action toward the world. The present work is focused on relationships between self-awareness and self related form of memory (episodic and autobiographical memory)La conscience de soi permet à un individu de se connaître et de réaliser son action sur le monde. Ces travaux concernent la compréhension des liens entre la conscience de soi et les formes de mémoire associées au self (mémoire épisodique et autobiographique) des patients et des patientes présentant des troubles de la mémoire associés au stress. Trois populations ont été étudiées : des patient∙e∙s présentant un ictus amnésique idiopathique, des patients∙e∙s avec une amnésie dissociative et des personnes exposées à un trauma (les attaques du 13/11/2015 à Paris) présentant ou non un trouble de stress post-traumatique (TSPT). Ces trois perturbations de la mémoire ont en commun leur origine fonctionnelle (atteinte de la fonction cognitive sans lésion « mécanique » des structures cérébrales qui sous-tendent cette fonction) et la présence récurrente d’un événement stressant, voire traumatique pour le TSPT, dans le déclenchement du trouble. Ce travail adopte une double perspective, à la fois fondamentale (contribuer aux modèles décrivant les relations entre mémoire et conscience de soi) et clinique (contribuer à la compréhension des symptômes mnésiques associés au stress dans une perspective neuropsychologique). Cette thèse commence par une introduction théorique visant à définir les différents concepts dissimulés sous les dénominations génériques de « conscience », de « self » et de « conscience de soi ». Ensuite, trois études originales sont présentées étudiant différentes dimensions de la conscience de soi en situation de perturbation mnésique liée au stress. La première étudie la focalisation de l’attention sur soi chez des patient∙e∙s présentant ou ayant présenté un ictus amnésique idiopathique. La seconde étude compare l’utilisation des pronoms personnels dans les récits autobiographiques de patient∙e∙s en phase aiguë d’ictus amnésique et dans ceux de personnes avec une amnésie dissociative. Enfin, la troisième étude explore les contenus de récits personnels associés ou non à un traumatisme selon les participant∙e∙s, chez des personnes ayant été exposées aux attaques du 13/11 à Paris. La discussion propose une ouverture sur les origines cérébrales des mécanismes observés dans le cadre de ces études et s’inscrit dans un large champ de recherche qui cherche à expliquer les conséquences neurocognitives du stress sur la mémoire des individus

Effect of uranium on multipotency of neural stem cells in a primary neurosphere culture model

International audienceUranium exposure situations are diverse and originate from its natural presence in the environment, and from its use in specific professional activities in relation with the nuclear industry (extraction, nuclear fuel cycles, and dismantling operations). Uranium internal contamination can occur via ingestion of contaminated food and drinking water or via inhalation of particulate aerosols containing uranium dust. This latest situation is the main cause of contamination in nuclear occupational activities. These contaminations raise concern in terms of potential consequences on human health. They appear to have negative impact on the brain as experimental studies have shown that uranium exposure via ingestion or inhalation can lead to cognitive impairments in rats. Neurogenesis disruption has been proposed to underlie these effects. To address this question, we used in vitro neurosphere primary cultures from rat embryo’s telencephalon at embryonic day 13. We studied uranium impact on multipotency of neural stem cell within a range of concentrations (10, 50, 100 μM) versus control over 7 days of contamination. Our results show a significant effect on cell survival via a decrease of the absolute number of all cell types: neurons, astrocytes and mature oligodendrocytes at 50 and 100 μM. Among cells surviving after 7 days of contamination, analysis of apoptotic gene expression tend to suggest an adaptive response via Bax/Bcl2 balance in favour of cell survival at 100 μM condition, that will need further investigations. In this condition (100 μM), neurons exhibit an aborted morphology with a reduction of the axon and dendrite length correlated with a significant decrease of gene expression GAP43 known to be involved in dendritic arborization development. Regarding gliogenesis, uranium seems to have a direct action on the maintenance of a population of glial progenitors Olig2 positive, linked with a significant increase of NeuroG3 gene expression at 100 μM. All together, these results suggest that uranium exerts a specific action on late cell maturation phases rather than on early determination stages.Keywords: neurotoxicity, stem cell, multipotency, metals, uraniu

Effect of uranium on multipotency of neural stem cells in a primary neurosphere culture model

International audienceUranium exposure situations are diverse and originate from its natural presence in the environment, and from its use in specific professional activities in relation with the nuclear industry (extraction, nuclear fuel cycles, and dismantling operations). Uranium internal contamination can occur via ingestion of contaminated food and drinking water or via inhalation of particulate aerosols containing uranium dust. This latest situation is the main cause of contamination in nuclear occupational activities. These contaminations raise concern in terms of potential consequences on human health. They appear to have negative impact on the brain as experimental studies have shown that uranium exposure via ingestion or inhalation can lead to cognitive impairments in rats. Neurogenesis disruption has been proposed to underlie these effects. To address this question, we used in vitro neurosphere primary cultures from rat embryo’s telencephalon at embryonic day 13. We studied uranium impact on multipotency of neural stem cell within a range of concentrations (10, 50, 100 μM) versus control over 7 days of contamination. Our results show a significant effect on cell survival via a decrease of the absolute number of all cell types: neurons, astrocytes and mature oligodendrocytes at 50 and 100 μM. Among cells surviving after 7 days of contamination, analysis of apoptotic gene expression tend to suggest an adaptive response via Bax/Bcl2 balance in favour of cell survival at 100 μM condition, that will need further investigations. In this condition (100 μM), neurons exhibit an aborted morphology with a reduction of the axon and dendrite length correlated with a significant decrease of gene expression GAP43 known to be involved in dendritic arborization development. Regarding gliogenesis, uranium seems to have a direct action on the maintenance of a population of glial progenitors Olig2 positive, linked with a significant increase of NeuroG3 gene expression at 100 μM. All together, these results suggest that uranium exerts a specific action on late cell maturation phases rather than on early determination stages.Keywords: neurotoxicity, stem cell, multipotency, metals, uraniu

Genetic structure of chimpanzee populations.

Little is known about the history and population structure of our closest living relatives, the chimpanzees, in part because of an extremely poor fossil record. To address this, we report the largest genetic study of the chimpanzees to date, examining 310 microsatellites in 84 common chimpanzees and bonobos. We infer three common chimpanzee populations, which correspond to the previously defined labels of "western," "central," and "eastern," and find little evidence of gene flow between them. There is tentative evidence for structure within western chimpanzees, but we do not detect distinct additional populations. The data also provide historical insights, demonstrating that the western chimpanzee population diverged first, and that the eastern and central populations are more closely related in time