13 research outputs found

    Lestre (Manche). Chapelle Saint-Michel

    No full text
    L’étude du bâti de la chapelle Saint-Michel à Lestre s’inscrit dans le cadre d’une recherche universitaire dont la première partie consiste à dresser un inventaire documentaire. La chapelle Saint-Michel est située sur un promontoire où la tradition situe l’implantation d’un site druidique (lieu de rassemblement et d’offrande), puis d’un poste de vigie de l’armée romaine en relation avec le camp retranché de Montaigu-la-Brisette. Bien que la première mention de la chapelle se trouve dans un ac..

    Les cimetières modernes « hors les murs » dans le nord-est de la France : topographie, modes / pratiques funéraires et populations des cimetières antérieurs au décret impérial de 1804 (XVIe-XVIIIe siècles): Rapport d'activité, 4e année

    No full text
    Le PCR sur les cimetières modernes dans le quart nord-est de la France commence en 2022 sa deuxième triennale. Ses cinq premières années de fonctionnement, dont l’année probatoire, ont vu ce projet se modifier et prendre de l’ampleur au niveau de ses emprises géographique et chronologique. Né à la suite de deux opérations archéologiques menées à Nancy et Dijon en 2010 et 2012, ce PCR concernait au départ les cimetières de transition de la fin de l’époque moderne dans les deux régions de Grand Est et Bourgogne-Franche-Comté. Devant l’accroissement récent du nombre de fouilles de ce type sur l’ensemble du territoire français, il apparaissait en effet nécessaire de procéder à des synthèses sur ce sujet. Les premières recherches ont cependant entraîné une évolution des bornes chronologiques et une extension du territoire vers l’Ouest. Le PCR regroupe donc aujourd’hui cinq régions représentant un grand quart nord-est de la France et concerne désormais toute la période moderne depuis le début du XVIe siècle jusqu’aux premières années du XIXe siècle. Ce PCR compte 36 participants, archéologues, anthropologues, historiens, spécialistes du petit mobilier ou documentaliste ; membres de l’Inrap, d’Archéologie Alsace, d’Éveha, de Landarc, du Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme, de la DRAC, du CNRS EFS, de l’Institut National du Patrimoine et du Service Municipal d’Archéologie d’Arras. Les recherches effectuées au sein des différentes sources disponibles - rapports d’opérations archéologiques, bibliographies, cartes anciennes ou archives - ont confirmé le déplacement ou la création de nombreux cimetières hors des villes pendant la période moderne, et ce parfois bien avant le décret impérial de 1804. Lors des premières années du PCR, les informations principales concernant ces sites, ainsi que leur potentiel, ont été intégrés dans une base de données. Ce travail est quasiment terminé pour toutes les régions. En parallèle, des tableaux plus détaillés sur les problématiques principales que sont la biologie, la taphonomie, la topographie et le mobilier regroupent progressivement l’ensemble des données de fouille ou d’archives. Ces outils ainsi que le SIG du PCR serviront à terme à l’élaboration des synthèses régionales et/ou thématiques au large potentiel sur ce grand sujet des cimetières hors les murs de la période moderne

    Les cimetières modernes « hors les murs » dans le nord-est de la France : topographie, modes / pratiques funéraires et populations des cimetières antérieurs au décret impérial de 1804 (XVIe-XVIIIe siècles): Rapport d'activité, 4e année

    No full text
    Le PCR sur les cimetières modernes dans le quart nord-est de la France commence en 2022 sa deuxième triennale. Ses cinq premières années de fonctionnement, dont l’année probatoire, ont vu ce projet se modifier et prendre de l’ampleur au niveau de ses emprises géographique et chronologique. Né à la suite de deux opérations archéologiques menées à Nancy et Dijon en 2010 et 2012, ce PCR concernait au départ les cimetières de transition de la fin de l’époque moderne dans les deux régions de Grand Est et Bourgogne-Franche-Comté. Devant l’accroissement récent du nombre de fouilles de ce type sur l’ensemble du territoire français, il apparaissait en effet nécessaire de procéder à des synthèses sur ce sujet. Les premières recherches ont cependant entraîné une évolution des bornes chronologiques et une extension du territoire vers l’Ouest. Le PCR regroupe donc aujourd’hui cinq régions représentant un grand quart nord-est de la France et concerne désormais toute la période moderne depuis le début du XVIe siècle jusqu’aux premières années du XIXe siècle. Ce PCR compte 36 participants, archéologues, anthropologues, historiens, spécialistes du petit mobilier ou documentaliste ; membres de l’Inrap, d’Archéologie Alsace, d’Éveha, de Landarc, du Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme, de la DRAC, du CNRS EFS, de l’Institut National du Patrimoine et du Service Municipal d’Archéologie d’Arras. Les recherches effectuées au sein des différentes sources disponibles - rapports d’opérations archéologiques, bibliographies, cartes anciennes ou archives - ont confirmé le déplacement ou la création de nombreux cimetières hors des villes pendant la période moderne, et ce parfois bien avant le décret impérial de 1804. Lors des premières années du PCR, les informations principales concernant ces sites, ainsi que leur potentiel, ont été intégrés dans une base de données. Ce travail est quasiment terminé pour toutes les régions. En parallèle, des tableaux plus détaillés sur les problématiques principales que sont la biologie, la taphonomie, la topographie et le mobilier regroupent progressivement l’ensemble des données de fouille ou d’archives. Ces outils ainsi que le SIG du PCR serviront à terme à l’élaboration des synthèses régionales et/ou thématiques au large potentiel sur ce grand sujet des cimetières hors les murs de la période moderne

    Les cimetières modernes « hors les murs » dans le nord-est de la France : topographie, modes / pratiques funéraires et populations des cimetières antérieurs au décret impérial de 1804 (XVIe-XVIIIe siècles): Rapport d'activité, 4e année

    No full text
    Le PCR sur les cimetières modernes dans le quart nord-est de la France commence en 2022 sa deuxième triennale. Ses cinq premières années de fonctionnement, dont l’année probatoire, ont vu ce projet se modifier et prendre de l’ampleur au niveau de ses emprises géographique et chronologique. Né à la suite de deux opérations archéologiques menées à Nancy et Dijon en 2010 et 2012, ce PCR concernait au départ les cimetières de transition de la fin de l’époque moderne dans les deux régions de Grand Est et Bourgogne-Franche-Comté. Devant l’accroissement récent du nombre de fouilles de ce type sur l’ensemble du territoire français, il apparaissait en effet nécessaire de procéder à des synthèses sur ce sujet. Les premières recherches ont cependant entraîné une évolution des bornes chronologiques et une extension du territoire vers l’Ouest. Le PCR regroupe donc aujourd’hui cinq régions représentant un grand quart nord-est de la France et concerne désormais toute la période moderne depuis le début du XVIe siècle jusqu’aux premières années du XIXe siècle. Ce PCR compte 36 participants, archéologues, anthropologues, historiens, spécialistes du petit mobilier ou documentaliste ; membres de l’Inrap, d’Archéologie Alsace, d’Éveha, de Landarc, du Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme, de la DRAC, du CNRS EFS, de l’Institut National du Patrimoine et du Service Municipal d’Archéologie d’Arras. Les recherches effectuées au sein des différentes sources disponibles - rapports d’opérations archéologiques, bibliographies, cartes anciennes ou archives - ont confirmé le déplacement ou la création de nombreux cimetières hors des villes pendant la période moderne, et ce parfois bien avant le décret impérial de 1804. Lors des premières années du PCR, les informations principales concernant ces sites, ainsi que leur potentiel, ont été intégrés dans une base de données. Ce travail est quasiment terminé pour toutes les régions. En parallèle, des tableaux plus détaillés sur les problématiques principales que sont la biologie, la taphonomie, la topographie et le mobilier regroupent progressivement l’ensemble des données de fouille ou d’archives. Ces outils ainsi que le SIG du PCR serviront à terme à l’élaboration des synthèses régionales et/ou thématiques au large potentiel sur ce grand sujet des cimetières hors les murs de la période moderne

    Les cimetières modernes « hors les murs » dans le nord-est de la France : topographie, modes / pratiques funéraires et populations des cimetières antérieurs au décret impérial de 1804 (XVIe-XVIIIe siècles): Rapport d'activité, 4e année

    No full text
    Le PCR sur les cimetières modernes dans le quart nord-est de la France commence en 2022 sa deuxième triennale. Ses cinq premières années de fonctionnement, dont l’année probatoire, ont vu ce projet se modifier et prendre de l’ampleur au niveau de ses emprises géographique et chronologique. Né à la suite de deux opérations archéologiques menées à Nancy et Dijon en 2010 et 2012, ce PCR concernait au départ les cimetières de transition de la fin de l’époque moderne dans les deux régions de Grand Est et Bourgogne-Franche-Comté. Devant l’accroissement récent du nombre de fouilles de ce type sur l’ensemble du territoire français, il apparaissait en effet nécessaire de procéder à des synthèses sur ce sujet. Les premières recherches ont cependant entraîné une évolution des bornes chronologiques et une extension du territoire vers l’Ouest. Le PCR regroupe donc aujourd’hui cinq régions représentant un grand quart nord-est de la France et concerne désormais toute la période moderne depuis le début du XVIe siècle jusqu’aux premières années du XIXe siècle. Ce PCR compte 36 participants, archéologues, anthropologues, historiens, spécialistes du petit mobilier ou documentaliste ; membres de l’Inrap, d’Archéologie Alsace, d’Éveha, de Landarc, du Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme, de la DRAC, du CNRS EFS, de l’Institut National du Patrimoine et du Service Municipal d’Archéologie d’Arras. Les recherches effectuées au sein des différentes sources disponibles - rapports d’opérations archéologiques, bibliographies, cartes anciennes ou archives - ont confirmé le déplacement ou la création de nombreux cimetières hors des villes pendant la période moderne, et ce parfois bien avant le décret impérial de 1804. Lors des premières années du PCR, les informations principales concernant ces sites, ainsi que leur potentiel, ont été intégrés dans une base de données. Ce travail est quasiment terminé pour toutes les régions. En parallèle, des tableaux plus détaillés sur les problématiques principales que sont la biologie, la taphonomie, la topographie et le mobilier regroupent progressivement l’ensemble des données de fouille ou d’archives. Ces outils ainsi que le SIG du PCR serviront à terme à l’élaboration des synthèses régionales et/ou thématiques au large potentiel sur ce grand sujet des cimetières hors les murs de la période moderne

    Les cimetières modernes « hors les murs » dans le nord-est de la France : topographie, modes / pratiques funéraires et populations des cimetières antérieurs au décret impérial de 1804 (XVIe-XVIIIe siècles): Rapport d'activité, 4e année

    No full text
    Le PCR sur les cimetières modernes dans le quart nord-est de la France commence en 2022 sa deuxième triennale. Ses cinq premières années de fonctionnement, dont l’année probatoire, ont vu ce projet se modifier et prendre de l’ampleur au niveau de ses emprises géographique et chronologique. Né à la suite de deux opérations archéologiques menées à Nancy et Dijon en 2010 et 2012, ce PCR concernait au départ les cimetières de transition de la fin de l’époque moderne dans les deux régions de Grand Est et Bourgogne-Franche-Comté. Devant l’accroissement récent du nombre de fouilles de ce type sur l’ensemble du territoire français, il apparaissait en effet nécessaire de procéder à des synthèses sur ce sujet. Les premières recherches ont cependant entraîné une évolution des bornes chronologiques et une extension du territoire vers l’Ouest. Le PCR regroupe donc aujourd’hui cinq régions représentant un grand quart nord-est de la France et concerne désormais toute la période moderne depuis le début du XVIe siècle jusqu’aux premières années du XIXe siècle. Ce PCR compte 36 participants, archéologues, anthropologues, historiens, spécialistes du petit mobilier ou documentaliste ; membres de l’Inrap, d’Archéologie Alsace, d’Éveha, de Landarc, du Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme, de la DRAC, du CNRS EFS, de l’Institut National du Patrimoine et du Service Municipal d’Archéologie d’Arras. Les recherches effectuées au sein des différentes sources disponibles - rapports d’opérations archéologiques, bibliographies, cartes anciennes ou archives - ont confirmé le déplacement ou la création de nombreux cimetières hors des villes pendant la période moderne, et ce parfois bien avant le décret impérial de 1804. Lors des premières années du PCR, les informations principales concernant ces sites, ainsi que leur potentiel, ont été intégrés dans une base de données. Ce travail est quasiment terminé pour toutes les régions. En parallèle, des tableaux plus détaillés sur les problématiques principales que sont la biologie, la taphonomie, la topographie et le mobilier regroupent progressivement l’ensemble des données de fouille ou d’archives. Ces outils ainsi que le SIG du PCR serviront à terme à l’élaboration des synthèses régionales et/ou thématiques au large potentiel sur ce grand sujet des cimetières hors les murs de la période moderne

    Les cimetières modernes « hors les murs » dans le nord-est de la France : topographie, modes / pratiques funéraires et populations des cimetières antérieurs au décret impérial de 1804 (XVIe-XVIIIe siècles): Rapport d'activité, 4e année

    No full text
    Le PCR sur les cimetières modernes dans le quart nord-est de la France commence en 2022 sa deuxième triennale. Ses cinq premières années de fonctionnement, dont l’année probatoire, ont vu ce projet se modifier et prendre de l’ampleur au niveau de ses emprises géographique et chronologique. Né à la suite de deux opérations archéologiques menées à Nancy et Dijon en 2010 et 2012, ce PCR concernait au départ les cimetières de transition de la fin de l’époque moderne dans les deux régions de Grand Est et Bourgogne-Franche-Comté. Devant l’accroissement récent du nombre de fouilles de ce type sur l’ensemble du territoire français, il apparaissait en effet nécessaire de procéder à des synthèses sur ce sujet. Les premières recherches ont cependant entraîné une évolution des bornes chronologiques et une extension du territoire vers l’Ouest. Le PCR regroupe donc aujourd’hui cinq régions représentant un grand quart nord-est de la France et concerne désormais toute la période moderne depuis le début du XVIe siècle jusqu’aux premières années du XIXe siècle. Ce PCR compte 36 participants, archéologues, anthropologues, historiens, spécialistes du petit mobilier ou documentaliste ; membres de l’Inrap, d’Archéologie Alsace, d’Éveha, de Landarc, du Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme, de la DRAC, du CNRS EFS, de l’Institut National du Patrimoine et du Service Municipal d’Archéologie d’Arras. Les recherches effectuées au sein des différentes sources disponibles - rapports d’opérations archéologiques, bibliographies, cartes anciennes ou archives - ont confirmé le déplacement ou la création de nombreux cimetières hors des villes pendant la période moderne, et ce parfois bien avant le décret impérial de 1804. Lors des premières années du PCR, les informations principales concernant ces sites, ainsi que leur potentiel, ont été intégrés dans une base de données. Ce travail est quasiment terminé pour toutes les régions. En parallèle, des tableaux plus détaillés sur les problématiques principales que sont la biologie, la taphonomie, la topographie et le mobilier regroupent progressivement l’ensemble des données de fouille ou d’archives. Ces outils ainsi que le SIG du PCR serviront à terme à l’élaboration des synthèses régionales et/ou thématiques au large potentiel sur ce grand sujet des cimetières hors les murs de la période moderne

    Les cimetières modernes « hors les murs » dans le nord est de la France : topographie, modes / pratiques funéraires et populations antérieurs au décret impérial de 1804 (XVIe-XVIIIe siècles): rapport d'activité, 3e année

    No full text
    Le PCR sur les cimetières modernes dans le quart nord-est de la France termine fin 2021 sa première triennale. Ses quatre premières années de fonctionnement, dont l’année probatoire, ont vu ce projet se modifier et prendre de l’ampleur au niveau de ses emprises géographique etchronologique.Né à la suite de deux opérations archéologiques menées à Nancy et Dijon en 2010 et 2012, ce PCR concernait au départ les cimetières de transition de la fin de l’époque moderne dans les deux régions de Grand Est et Bourgogne-Franche-Comté. Devant l’accroissement récent du nombre de fouilles de ce type sur l’ensemble du territoire français, il apparaissait en effet nécessaire de procéder à des synthèses sur ce sujet. Les premières recherches ont cependant entraîné une évolution des bornes chronologiques et une extension du territoire vers l’Ouest. Le PCR regroupe donc aujourd’hui cinq régions représentant un grand quart nord-est de la France et concerne désormais toute la période moderne depuis le début du XVIe siècle jusqu’aux premières années du XIXe siècle.Ce PCR compte 34 participants, archéologues, anthropologues, historiens, spécialistes du petit mobilier ou documentaliste ; membres de l’Inrap, d’Archéologie Alsace, d’Éveha, de Landarc, du Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme, de la DRAC, du CNRS EFS, de l’Institut National du Patrimoine et du Service Municipal d’Archéologie d’Arras.Les recherches effectuées au sein des différentes sources disponibles - rapports d’opérations archéologiques, bibliographies, cartes anciennes ou archives - ont confirmé le déplacement ou la création de nombreux cimetières hors des villes pendant la période moderne, et ce parfois bien avant le décret impérial de 1804.Lors des premières années du PCR, les informations principales concernant ces sites, ainsi que leur potentiel, ont été intégrés dans une base données.Ce travail est quasiment terminé pour les premières régions, bien entamé pour les trois suivantes. En parallèle, des tableaux plus détaillés sur les problématiques principales que sont la biologie, la taphonomie, la topographie et le mobilier regroupent progressivement l’ensemble des données de fouille ou d’archives. Ces outils ainsi que le SIG du PCR serviront à terme à l’élaboration des synthèses régionales et/ou thématiques sur ce large sujet des cimetières hors les murs de la période moderne

    Les cimetières modernes « hors les murs » dans le nord est de la France : topographie, modes / pratiques funéraires et populations antérieurs au décret impérial de 1804 (XVIe-XVIIIe siècles): rapport d'activité, 3e année

    No full text
    Le PCR sur les cimetières modernes dans le quart nord-est de la France termine fin 2021 sa première triennale. Ses quatre premières années de fonctionnement, dont l’année probatoire, ont vu ce projet se modifier et prendre de l’ampleur au niveau de ses emprises géographique etchronologique.Né à la suite de deux opérations archéologiques menées à Nancy et Dijon en 2010 et 2012, ce PCR concernait au départ les cimetières de transition de la fin de l’époque moderne dans les deux régions de Grand Est et Bourgogne-Franche-Comté. Devant l’accroissement récent du nombre de fouilles de ce type sur l’ensemble du territoire français, il apparaissait en effet nécessaire de procéder à des synthèses sur ce sujet. Les premières recherches ont cependant entraîné une évolution des bornes chronologiques et une extension du territoire vers l’Ouest. Le PCR regroupe donc aujourd’hui cinq régions représentant un grand quart nord-est de la France et concerne désormais toute la période moderne depuis le début du XVIe siècle jusqu’aux premières années du XIXe siècle.Ce PCR compte 34 participants, archéologues, anthropologues, historiens, spécialistes du petit mobilier ou documentaliste ; membres de l’Inrap, d’Archéologie Alsace, d’Éveha, de Landarc, du Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme, de la DRAC, du CNRS EFS, de l’Institut National du Patrimoine et du Service Municipal d’Archéologie d’Arras.Les recherches effectuées au sein des différentes sources disponibles - rapports d’opérations archéologiques, bibliographies, cartes anciennes ou archives - ont confirmé le déplacement ou la création de nombreux cimetières hors des villes pendant la période moderne, et ce parfois bien avant le décret impérial de 1804.Lors des premières années du PCR, les informations principales concernant ces sites, ainsi que leur potentiel, ont été intégrés dans une base données.Ce travail est quasiment terminé pour les premières régions, bien entamé pour les trois suivantes. En parallèle, des tableaux plus détaillés sur les problématiques principales que sont la biologie, la taphonomie, la topographie et le mobilier regroupent progressivement l’ensemble des données de fouille ou d’archives. Ces outils ainsi que le SIG du PCR serviront à terme à l’élaboration des synthèses régionales et/ou thématiques sur ce large sujet des cimetières hors les murs de la période moderne
    corecore