85 research outputs found

    Reconstitution of the myeloid and lymphoid compartments after the transplantation of autologous and genetically modified CD34+ bone marrow cells, following gamma irradiation in cynomolgus macaques.

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    International audienceBackground: Prolonged, altered hematopoietic reconstitution is commonly observed in patients undergoing myeloablative conditioning and bone marrow and/or mobilized peripheral blood-derived stem cell transplantation. We studied the reconstitution of myeloid and lymphoid compartments after the transplantation of autologous CD34(+) bone marrow cells following gamma irradiation in cynomolgus macaques. Results: The bone marrow cells were first transduced ex vivo with a lentiviral vector encoding eGFP, with a mean efficiency of 72% +/- 4%. The vector used was derived from the simian immunodeficiency lentivirus SIVmac251, VSV-g pseudotyped and encoded eGFP under the control of the phosphoglycerate kinase promoter. After myeloid differentiation, GFP was detected in colony-forming cells ( 37% +/- 10%). A previous study showed that transduction rates did not differ significantly between colony-forming cells and immature cells capable of initiating long-term cultures, indicating that progenitor cells and highly immature hematopoietic cells were transduced with similar efficiency. Blood cells producingeGFP were detected as early as three days after transplantation, and eGFP-producing granulocyte and mononuclear cells persisted for more than one year in the periphery. Conclusion: The transplantation of CD34(+) bone marrow cells had beneficial effects for the ex vivo proliferation and differentiation of hematopoietic progenitors, favoring reconstitution of the T-and B-lymphocyte, thrombocyte and red blood cell compartments

    Generation of transgenic mice expressing EGFP protein fused to NP68 MHC class I epitope using lentivirus vectors

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    International audienceImmune tolerance to self-antigens is a complex process that utilizes multiple mechanisms working in concert to maintain homeostasis and prevent autoimmunity. Considerable progress in deciphering the mechanisms controlling the activation or deletion of T cells has been made by using T cell receptor (TCR) transgenic mice. One such model is the F5 model in which CD8 T cells express a TCR specific for an epitope derived from the influenza NP68 protein. Our aim was to create transgenic mouse models expressing constitutively the NP68 epitope fused to enhanced green fluorescent protein (EGFP) in order to assess unambiguously the relative levels of NP68 epitope expressed by single cells. We used a lentiviral-based approach to generate two independent transgenic mouse strains expressing the fusion protein EGFP-NP68 under the control of CAG (CMV immediate early enhancer and the chicken ÎČ-actin promoter) or spleen focus-forming virus (SFFV) promoters. Analysis of the pattern of EGFP expression in the hematopoietic compartment showed that CAG and SFFV promoters are differentially regulated during T cell development. However, both promoters drove high EGFP-NP68 expression in dendritic cells (pDCs, CD8α+ cDCs, and CD8α− cDCs) from spleen or generated in vitro following differentiation from bone-marrow progenitors. NP68 epitope was properly processed and successfully presented by dendritic cells (DCs) by direct presentation and cross-presentation to F5 CD8 T cells. The models presented here arevaluable tools to investigate the priming of F5 CD8 T cells by different subsets of DCs

    Avis en rĂ©ponse Ă  la saisine de l’ANSM. Paris le 20 dĂ©cembre 2019

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    L'ANSM a récemment initié une réflexion en vue de la modification des modalités de qualification et de suivi des organismes et produits entrant dans la catégorie des micro-organismes et toxines, appelés MOT, devant nécessiter une déclaration d'utilisation. Au-delà de cette déclaration obligatoire, qui astreint à des mesures spécifiques de sécurité de manipulation et de stockage entre autres, l'ANSM déploie des mesures de contrÎle des organismes déclarants. Outre les organismes et toxines mentionnés dans les listes officielles, des fragments de génomes de ces MOT peuvent faire l'objet d'études, en particulier par clonage et expression. Ces manipulations seraient alors à l'origine d'une catégorie particuliÚre d'OGM (y compris des MGM) dont certains pourraient avoir des caractéristiques biologiques qui relÚveraient d'une classification MOT. Aussi l'ANSM sollicite-t-elle le HCB afin qu'il produise une expertise permettant d'identifier et de caractériser ces OGM-MOT (Le HCB a été saisi 1 le 27 septembre 2019 par l'ANSM). La saisine est reproduite en annexe 1

    SynthÚse sur la détection des produits issus des nouvelles technologies génomiques (NGT) appliquées aux plantes. Paris, Paris, le 26 novembre 2021

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    SynthĂšse sur la dĂ©tection des produits issus des nouvelles technologies gĂ©nomiques (NGT) appliquĂ©es aux plantesLa question du statut rĂ©glementaire des NGT (New Genomic Techniques), qui ont Ă©tĂ© dĂ©finies comme techniques de modification du gĂ©nome « apparues » depuis 2001 , est actuellement dĂ©battue en Europe. Ces techniques n’existaient pas, ou Ă©taient peu dĂ©veloppĂ©es lors de l’adoption des directives et rĂšglements europĂ©ens qui encadrent actuellement les organismes gĂ©nĂ©tiquement modifiĂ©s (OGM). A l’époque le lĂ©gislateur europĂ©en avait choisi de rĂ©glementer les techniques de transgĂ©nĂšse et d’exempter les mĂ©thodes de mutagĂ©nĂšse notamment sur la base d’une expĂ©rience d’usage n’ayant rĂ©vĂ©lĂ© aucun problĂšme particulier. Certaines NGT pouvant ĂȘtre utilisĂ©es pour induire une mutagenĂšse, ciblĂ©e ou non , la questionde leur soumission Ă  la rĂ©glementation europĂ©enne en vigueur fait l’objet de discussions juridiques et politiques depuis quelques annĂ©es. Les donnĂ©es scientifiques relatives Ă  ces technologies (dĂ©finitions, mĂ©thodes et rĂ©sultats) doivent permettre de guider ces discussions

    SynthÚse sur la détection des produits issus des nouvelles technologies génomiques (NGT) appliquées aux plantes. Paris, Paris, le 26 novembre 2021

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    SynthĂšse sur la dĂ©tection des produits issus des nouvelles technologies gĂ©nomiques (NGT) appliquĂ©es aux plantesLa question du statut rĂ©glementaire des NGT (New Genomic Techniques), qui ont Ă©tĂ© dĂ©finies comme techniques de modification du gĂ©nome « apparues » depuis 2001 , est actuellement dĂ©battue en Europe. Ces techniques n’existaient pas, ou Ă©taient peu dĂ©veloppĂ©es lors de l’adoption des directives et rĂšglements europĂ©ens qui encadrent actuellement les organismes gĂ©nĂ©tiquement modifiĂ©s (OGM). A l’époque le lĂ©gislateur europĂ©en avait choisi de rĂ©glementer les techniques de transgĂ©nĂšse et d’exempter les mĂ©thodes de mutagĂ©nĂšse notamment sur la base d’une expĂ©rience d’usage n’ayant rĂ©vĂ©lĂ© aucun problĂšme particulier. Certaines NGT pouvant ĂȘtre utilisĂ©es pour induire une mutagenĂšse, ciblĂ©e ou non , la questionde leur soumission Ă  la rĂ©glementation europĂ©enne en vigueur fait l’objet de discussions juridiques et politiques depuis quelques annĂ©es. Les donnĂ©es scientifiques relatives Ă  ces technologies (dĂ©finitions, mĂ©thodes et rĂ©sultats) doivent permettre de guider ces discussions
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