16 research outputs found

    Evaluating the extent and impact of the extreme Storm Gloria on Posidonia oceanica seagrass meadows

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    Extreme storms can trigger abrupt and often lasting changes in ecosystems by affecting foundational (habitat-forming) species. While the frequency and intensity of extreme events are projected to increase under climate change, its impacts on seagrass ecosystems remain poorly documented. In January 2020, the Spanish Mediterranean coast was hit by Storm Gloria, one of the most devastating recent climate events in terms of intensity and duration. We conducted rapid surveys of 42 Posidonia oceanica meadows across the region to evaluate the extent and type of impact (burial, unburial and uprooting). We investigated the significance of oceanographic (wave impact model), geomorphological (latitude, depth, exposure), and structural (patchiness) factors in predicting impact extent and intensity. The predominant impact of Storm Gloria was shoot unburial. More than half of the surveyed sites revealed recent unburial, with up to 40 cm of sediment removed, affecting over 50 % of the meadow. Burial, although less extensive, was still significant, with 10–80 % of meadow cover being buried under 7 cm of sediment, which is considered a survival threshold for P. oceanica. In addition, we observed evident signs of recently dead matte in some meadows and large amounts of detached drifting shoots on the sea bottom or accumulated as debris on the beaches. Crucially, exposed and patchy meadows were much more vulnerable to the overall impact than sheltered or continuous meadows. Given how slow P. oceanica is able to recover after disturbances, we state that it could take from decades to centuries for it to recoup its losses. Seagrass ecosystems play a vital role as coastal ecological infrastructure. Protecting vulnerable meadows from anthropogenic fragmentation is crucial for ensuring the resilience of these ecosystems in the face of the climate crisis.This study was funded by the CSIC project “Effects of storm Gloria on the western Mediterranean meadows (202030E052) and “Storms of change: as phenomena extreme weather alters Mediterranean coastal ecosystems, their services and their perception by society" (PID2020-113745RB-I00), state program of I+D+I Oriented to the Challenges of the Society and within the framework of the activities of the Spanish Government through the "Maria de Maeztu Centre of Excellence” accreditation to IMEDEA (CSIC-UIB) (CEX2021-001198). We want to thank the SPAS (Society of Fishing and Underwater Activities of Mataró) and the Mataró City Council, which has financed 25 years of the Alguer de Mataró project

    Cergy (95) ZAC de la plaine des Linandes II. Des structures de stockage de la fin du Premier âge du Fer. Rapport final d'opération archéologique

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    L’opération de fouille de la « ZAC de la Plaine des Linandes II », troisième tranche, a permis de mettre au jour une occupation humaine datant de la fin du Premier et du début du Second âge du Fer. Elle se présente sous la forme de deux zones d’ensilage. L’occupation des deux secteurs est caractérisée par de nombreuses structures de stockage, comprenant 24 silos et deux fosses, ainsi qu’une structure de combustion Autour de ces structures qui se regroupent sur des zones géographiques assez restreintes, les espaces sont vides de structures. Cela pourrait s’expliquer par la présence d’aires dédiées à des activités laissant peu ou pas de traces dans le sol. Au sein de deux silos voisins, deux individus inhumés en sépulture primaire ont été retrouvés lors de la fouille. L’occupation qui ne paraît pas être enclose et se poursuit très probablement hors emprise est nécessairement rattachée à une unité d’habitation agro-pastorale qui n’a pu, à ce jour, être localisée. Le mobilier associé à ces structures de stockage renvoie l’image d’un ensemble connaissant une certaine aisance matérielle, tout en reprenant un mode d’occupation du sol bien connu pour la période de transition entre le Premier et le Second âge du Fer en France septentrionale

    Cergy (95) ZAC de la plaine des Linandes II. Des structures de stockage de la fin du Premier âge du Fer. Rapport final d'opération archéologique

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    L’opération de fouille de la « ZAC de la Plaine des Linandes II », troisième tranche, a permis de mettre au jour une occupation humaine datant de la fin du Premier et du début du Second âge du Fer. Elle se présente sous la forme de deux zones d’ensilage. L’occupation des deux secteurs est caractérisée par de nombreuses structures de stockage, comprenant 24 silos et deux fosses, ainsi qu’une structure de combustion Autour de ces structures qui se regroupent sur des zones géographiques assez restreintes, les espaces sont vides de structures. Cela pourrait s’expliquer par la présence d’aires dédiées à des activités laissant peu ou pas de traces dans le sol. Au sein de deux silos voisins, deux individus inhumés en sépulture primaire ont été retrouvés lors de la fouille. L’occupation qui ne paraît pas être enclose et se poursuit très probablement hors emprise est nécessairement rattachée à une unité d’habitation agro-pastorale qui n’a pu, à ce jour, être localisée. Le mobilier associé à ces structures de stockage renvoie l’image d’un ensemble connaissant une certaine aisance matérielle, tout en reprenant un mode d’occupation du sol bien connu pour la période de transition entre le Premier et le Second âge du Fer en France septentrionale

    Ecquevilly (78), rue Saint-Antoine-Lieu-dit "Le Parc"

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    Les fouilles, qui se sont déroulées rue Saint-Antoine, interviennent dans le cadre du projet d'aménagement de l'entreprise Loticis. Elles font suite au diagnostic fait par l'Inrap en juillet 2018. Les investigations archéologiques ont permis de mettre au jour un volume de 365 structures. Ces vestiges archéologiques semblent dater essentiellement de la période du premier Moyen Âge et Moyen Âge central. Historiquement, la ville d'Ecquevilly apparaît dans les textes à partir de 1058, où une première mention rapporte la présence d'un castrum. Quant à la fondation de l'église Saint-Martin, elle est érigée entre le XIe et le XIIe siècle. Les éléments textuels laissent ainsi penser que la cité apparaît au cours du XIe siècle. Le cœur de l’occupation humaine se développe durant les périodes allant du VIIIe au XIIe siècle. Durant cette phase transitionnelle, le site va connaître une mutation en lien avec l’évolution de l’habitat. Celui-ci semble se déplacer vers le sud-ouest, où sont localisés les centres de pouvoir et de sécurité que sont l’église et le castrum, pour faire émerger la cité.Le site peut être caractérisé comme un espace à vocations artisanales et agricoles en périphérie d’un habitat

    Ecquevilly (78), rue Saint-Antoine-Lieu-dit "Le Parc"

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    Les fouilles, qui se sont déroulées rue Saint-Antoine, interviennent dans le cadre du projet d'aménagement de l'entreprise Loticis. Elles font suite au diagnostic fait par l'Inrap en juillet 2018. Les investigations archéologiques ont permis de mettre au jour un volume de 365 structures. Ces vestiges archéologiques semblent dater essentiellement de la période du premier Moyen Âge et Moyen Âge central. Historiquement, la ville d'Ecquevilly apparaît dans les textes à partir de 1058, où une première mention rapporte la présence d'un castrum. Quant à la fondation de l'église Saint-Martin, elle est érigée entre le XIe et le XIIe siècle. Les éléments textuels laissent ainsi penser que la cité apparaît au cours du XIe siècle. Le cœur de l’occupation humaine se développe durant les périodes allant du VIIIe au XIIe siècle. Durant cette phase transitionnelle, le site va connaître une mutation en lien avec l’évolution de l’habitat. Celui-ci semble se déplacer vers le sud-ouest, où sont localisés les centres de pouvoir et de sécurité que sont l’église et le castrum, pour faire émerger la cité.Le site peut être caractérisé comme un espace à vocations artisanales et agricoles en périphérie d’un habitat

    Les sites fortifiés de hauteur de La Tène finale en Basse-Normandie

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    International audienceOf the fifty nine hillforts presently identified in Lower-Normandy, nine are known to belong to the Late La Tene period. These include only six which are considered as oppida, their sizes ranging between 20 and 167 hectares. The remaining three sites are smaller agglomerations, covering no more than 7 hectares. The scant information available on these sites mainly concerns their fortification systems. Recent archaeological work, particularly that undertaken for a Collective Research Programme, has allowed gaps in our knowledge of these early urban sites to be filled.Nous pouvons retenir neuf sites attribuables à La Tène finale parmi les cinquante-neuf sites fortifiés de hauteur répertoriés en Basse-Normandie. Parmi eux, six sont considérés comme des oppida avec des dimensions comprises entre 20 et 167 hectares. Les trois derniers semblent correspondre à de petites agglomérations dont la superficie ne dépasse pas 7 hectares. Les informations, souvent modestes, concernant ces sites, restent généralement cantonnées à l’étude du système défensif. Les travaux archéologiques entrepris récemment, notamment dans le cadre d’un PCR, comble progressivement les lacunes de nos connaissances sur ces premiers sites urbains

    Les sites fortifiés de hauteur de La Tène finale en Basse-Normandie

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    International audienceOf the fifty nine hillforts presently identified in Lower-Normandy, nine are known to belong to the Late La Tene period. These include only six which are considered as oppida, their sizes ranging between 20 and 167 hectares. The remaining three sites are smaller agglomerations, covering no more than 7 hectares. The scant information available on these sites mainly concerns their fortification systems. Recent archaeological work, particularly that undertaken for a Collective Research Programme, has allowed gaps in our knowledge of these early urban sites to be filled.Nous pouvons retenir neuf sites attribuables à La Tène finale parmi les cinquante-neuf sites fortifiés de hauteur répertoriés en Basse-Normandie. Parmi eux, six sont considérés comme des oppida avec des dimensions comprises entre 20 et 167 hectares. Les trois derniers semblent correspondre à de petites agglomérations dont la superficie ne dépasse pas 7 hectares. Les informations, souvent modestes, concernant ces sites, restent généralement cantonnées à l’étude du système défensif. Les travaux archéologiques entrepris récemment, notamment dans le cadre d’un PCR, comble progressivement les lacunes de nos connaissances sur ces premiers sites urbains

    Les sites fortifiés de hauteur de La Tène finale en Basse-Normandie

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    International audienceOf the fifty nine hillforts presently identified in Lower-Normandy, nine are known to belong to the Late La Tene period. These include only six which are considered as oppida, their sizes ranging between 20 and 167 hectares. The remaining three sites are smaller agglomerations, covering no more than 7 hectares. The scant information available on these sites mainly concerns their fortification systems. Recent archaeological work, particularly that undertaken for a Collective Research Programme, has allowed gaps in our knowledge of these early urban sites to be filled.Nous pouvons retenir neuf sites attribuables à La Tène finale parmi les cinquante-neuf sites fortifiés de hauteur répertoriés en Basse-Normandie. Parmi eux, six sont considérés comme des oppida avec des dimensions comprises entre 20 et 167 hectares. Les trois derniers semblent correspondre à de petites agglomérations dont la superficie ne dépasse pas 7 hectares. Les informations, souvent modestes, concernant ces sites, restent généralement cantonnées à l’étude du système défensif. Les travaux archéologiques entrepris récemment, notamment dans le cadre d’un PCR, comble progressivement les lacunes de nos connaissances sur ces premiers sites urbains
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