40 research outputs found

    Streptococcus agalactiae clones infecting humans were selected and fixed through the extensive use of tetracycline

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    Streptococcus agalactiae (Group B Streptococcus, GBS) is a commensal of the digestive and genitourinary tracts of humans that emerged as the leading cause of bacterial neonatal infections in Europe and North America during the 1960s. Due to the lack of epidemiological and genomic data, the reasons for this emergence are unknown. Here we show by comparative genome analysis and phylogenetic reconstruction of 229 isolates that the rise of human GBS infections corresponds to the selection and worldwide dissemination of only a few clones. The parallel expansion of the clones is preceded by the insertion of integrative and conjugative elements conferring tetracycline resistance (TcR). Thus, we propose that the use of tetracycline from 1948 onwards led in humans to the complete replacement of a diverse GBS population by only few TcR clones particularly well adapted to their host, causing the observed emergence of GBS diseases in neonates. \ua9 2014 Macmillan Publishers Limited. All rights reserved

    Beyond the ‘East-West’ dichotomy: global variation in cultural models of selfhood

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    Markus and Kitayama’s (1991) theory of independent and interdependent self-construals had a major influence on social, personality, and developmental psychology by highlighting the role of culture in psychological processes. However, research has relied excessively on contrasts between North American and East Asian samples, and commonly used self-report measures of independence and interdependence frequently fail to show predicted cultural differences. We revisited the conceptualization and measurement of independent and interdependent self-construals in 2 large-scale multinational surveys, using improved methods for cross-cultural research. We developed (Study 1: N = 2924 students in 16 nations) and validated across cultures (Study 2: N = 7279 adults from 55 cultural groups in 33 nations) a new 7-dimensional model of self-reported ways of being independent or interdependent. Patterns of global variation support some of Markus and Kitayama’s predictions, but a simple contrast between independence and interdependence does not adequately capture the diverse models of selfhood that prevail in different world regions. Cultural groups emphasize different ways of being both independent and interdependent, depending on individualism-collectivism, national socioeconomic development, and religious heritage. Our 7-dimensional model will allow future researchers to test more accurately the implications of cultural models of selfhood for psychological processes in diverse ecocultural contexts

    Measurement of the bbb\overline{b} dijet cross section in pp collisions at s=7\sqrt{s} = 7 TeV with the ATLAS detector

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    ATLAS Run 1 searches for direct pair production of third-generation squarks at the Large Hadron Collider

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    Search for dark matter in association with a Higgs boson decaying to bb-quarks in pppp collisions at s=13\sqrt s=13 TeV with the ATLAS detector

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    Charged-particle distributions at low transverse momentum in s=13\sqrt{s} = 13 TeV pppp interactions measured with the ATLAS detector at the LHC

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    Search for single production of vector-like quarks decaying into Wb in pp collisions at s=8\sqrt{s} = 8 TeV with the ATLAS detector

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    Measurement of the charge asymmetry in top-quark pair production in the lepton-plus-jets final state in pp collision data at s=8TeV\sqrt{s}=8\,\mathrm TeV{} with the ATLAS detector

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    Le Bréviaire du carabin, sacrée parole ou parole sacrée. <br>: Treizièmes rencontres d'Aubrac. Dire l'interdit dans les contes, nouvelles, poèmes, chansons, films.

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    Fonds audiovisuel du programme "ESCoM-AAR" (Equipe Sémiotique Cognitive et nouveaux Médias - Archives Audiovisuelles de la Recherche. Paris, France, 2000 - 2016).Autrefois, chaque corporation possédait ses emblèmes : blason, devise, coutumes et bien sûr, chansons. Portées par des gammes mélodiques souvent sommaires mais faciles à retenir et à entonner, les paroles se devaient d’exalter les valeurs propres au métier. Leur apprentissage réalisait, pour les jeunes recrues, un véritable rituel d’intronisation, une manière de signer son appartenance au groupe en reprenant en chœur les refrains connus de toute la confrérie. C’était aussi une façon de provocation, une manière de se montrer plus fort, plus talentueux, plus effronté, en tous cas « plus ». Les jeunes médecins ne sont pas les seuls à se prévaloir d’un répertoire de chansons particulièrement osées, voire grossières, en tous cas à thème presque exclusivement sexuel ou scatologique. Mais il convient de s’interroger sur la fonction toute particulière de ces chansons pour ces jeunes gens et jeunes filles, confrontés très tôt à la maladie et à la mort. Eros et Thanatos une fois encore réunies et sollicitées pour nous dire un fait de société. Scatologie et eschatologie, en un raccourci provoquant pour notre époque si bien aseptisée. Les chansons ne sont rien sans les images. Il était de tradition que les salles de garde soient ornées de fresques. Ces dessins, parfois réalisés par de véritables artistes, évoquent la mythologie du Bréviaire tout autant que la gloire de « l’Econome » dont la bonne gestion a permis cette réalisation de prestige. Leurs inaugurations donnent lieu à des agapes qui restent consignées dans les annales. Ces chansons ont été réunies en un recueil dont le titre, Le Bréviaire du Carabin, résume à lui seul ce que ce patrimoine porte en lui de tradition, un génie de l’exutoire et de la transgression.Intervenant(s) :. Isabelle SAUVAGE - Médecin, thérapeute et conteuse, FranceIsabelle Sauvage, médecin et thérapeute, se passionne pour toutes les nouvelles avancées dans le domaine de la médecine puis décide de partir à la recherche de leurs sources traditionnelles. Elle y rencontre l’art du conte. En 1992, elle travaille avec Pascal Quéré etHélène Vermeulin, première étape de sa formation avant d’aller sur les chemins de Saint-Jacques de Compostelle avec « Les contes en poche », puis en Inde, où elle étudie le chant carnatique. De retour à Paris, elle étudie le chant classique avec Anne Charvet-Dubost qui proposera une mise en espace de certains de ses spectacles. En 1993, Bruno de la Salle l’invite à rejoindre les ateliers Fahrenheit 451, dédiés à la formation des conteurs professionnels, où elle étudie le chant épique. Elle y restera 10 années dont quatre années comme assistante.Avec Jean- Paul Auboux elle s’initie au récit musical. Elle y développe un goût particulier pour les récits dits d’enchevêtrement : une grande histoire pour cadre, une fable ou un récit court dans chaque tiroir, à la façon des conteurs des Mille et une nuits. A partir de 1995, elle présente chaque année une nouvelle création : L’acquisition des amis avec Ralph Nataf ; Et pourtant, moi je l’ai vu et Si Perrault m’était conté, avecMichelle Chaumont ; Contes facétieux classés X ; Prêtemoi ta plume ; La complainte de Mistigri ; La Guerre des corbeaux et des hiboux ; Une Genèse contemporaine ; Les navigations d’Erik-le-Rouge, à partir des Sagas Islandaises ; L’autre est moi-même -conte fantastique et de science-fiction- ; Ce que raconte la Vieille Johanne, à partir des Contes d’Andersen. Elle propose aussi Charles Perrault, Grimm, Andersen, La Fontaine. Venues de plus loin, les fables du Pantchatantra, de Kalila et Dimna, d’Islande, d’Orient... sont aussi à son répertoire ainsi que Les Mille et une Nuits. Au cours du premier semestre 2005, elle propose le cycle « Conter la science » au théâtre de La Vieille Grille, à Paris. Une collection de spectacles qui vient de s’enrichir d’un nouvel opus : « Sec et sans glace », un spectacle à propos du réchauffement climatique.<br
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