26 research outputs found

    Extracorporeal Membrane Oxygenation for Severe Acute Respiratory Distress Syndrome associated with COVID-19: An Emulated Target Trial Analysis.

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    RATIONALE: Whether COVID patients may benefit from extracorporeal membrane oxygenation (ECMO) compared with conventional invasive mechanical ventilation (IMV) remains unknown. OBJECTIVES: To estimate the effect of ECMO on 90-Day mortality vs IMV only Methods: Among 4,244 critically ill adult patients with COVID-19 included in a multicenter cohort study, we emulated a target trial comparing the treatment strategies of initiating ECMO vs. no ECMO within 7 days of IMV in patients with severe acute respiratory distress syndrome (PaO2/FiO2 <80 or PaCO2 ≥60 mmHg). We controlled for confounding using a multivariable Cox model based on predefined variables. MAIN RESULTS: 1,235 patients met the full eligibility criteria for the emulated trial, among whom 164 patients initiated ECMO. The ECMO strategy had a higher survival probability at Day-7 from the onset of eligibility criteria (87% vs 83%, risk difference: 4%, 95% CI 0;9%) which decreased during follow-up (survival at Day-90: 63% vs 65%, risk difference: -2%, 95% CI -10;5%). However, ECMO was associated with higher survival when performed in high-volume ECMO centers or in regions where a specific ECMO network organization was set up to handle high demand, and when initiated within the first 4 days of MV and in profoundly hypoxemic patients. CONCLUSIONS: In an emulated trial based on a nationwide COVID-19 cohort, we found differential survival over time of an ECMO compared with a no-ECMO strategy. However, ECMO was consistently associated with better outcomes when performed in high-volume centers and in regions with ECMO capacities specifically organized to handle high demand. This article is open access and distributed under the terms of the Creative Commons Attribution Non-Commercial No Derivatives License 4.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/)

    Paimpont (Ille-et-Vilaine). Ferrier de Trécélien

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    Les sondages réalisés en 1999 et 2000, visant à interpréter sur le plan chronologique et typologique les sites à scories mis en évidence dans le nord de la Haute-Bretagne par le CeRAA (Centre Régional d’Archéologie d’Alet, Saint-Malo), ont conduit à attribuer à l’âge du fer et à l’époque gallo-romaine ces très nombreuses occurrences. Une dizaine de volumineux ferriers inventés par l’équipe de Guy Larcher sur le massif de Paimpont présentaient, par contre, des caractères suffisamment distincts..

    La production du fer protohistorique en haute Bretagne d’après les résultats des prospections, des fouilles d’ateliers et des analyses archéométriques

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    International audienceOver the last six years, archaeological research on iron palaeometallurgy in Brittany has enhanced the first results obtained, so that a preliminary synthesis is now possible. The corpus of sites shows major concentrations in the upland area of Paimpont and in the Rance basin. Radiocarbon analyses reveal two principal phases of single-operation furnaces, covering all of the Iron Age. Mineralogical study reveals the exploitation of a very localised but rich ore. Excavation of workshops allows the comparison of the process linked to different furnaces (internal diameter, draft, slag flow).Les opérations menées ces six dernières années sur la paléométallurgie du fer en Bretagne sont venues enrichir les premiers acquis, rendant possible un premier essai de synthèse. Le corpus des sites sidérurgiques montre de fortes concentrations dans le massif de Paimpont et le bassin de la Rance. Les analyses 14C renvoient, en réalité, à une diachronie des sites à scorie piégée couvrant tout l’âge du Fer. L’étude minéralogique révèle l’exploitation d’un minerai d’altération très localisé et riche. La fouille des ateliers permet de comparer les modes de fonctionnement des différents bas fourneaux (diamètre interne, ventilation, écoulement)

    La forge de Paule (Côtes-d’Armor)

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    International audienceRemarkably placed nearby the entrance of the aristocratic campement of Saint-Symphorien (Paule) excavated since 1988, built against his fortification, a forge building from the 2nd century BC, including three successive soils, provides the majors interpretation elements of the smithing work among the Osismes: original and unique smithing hearths, stone anvil on the ground, slags and metallic residues. The layout of the workshop, structures and metallurgical artefacts are more specifically presented.Remarquablement situé près de l’accès à l’habitat aristocratique du Camp de Saint- Symphorien (Paule) fouillé depuis 1988, et adossé au rempart de ce dernier, un bâtiment de forge du IIe siècle a.C., comportant trois niveaux de sols successifs, fournit des éléments majeurs d’interprétation du travail de forge chez les Osismes : foyers de forge originaux, exceptionnellement préservés, enclume de pierre au sol, scories et résidus métalliques. L’implantation de l’atelier, les structures et mobilier métallurgiques sont plus spécifiquement présentés

    Quévert (22), ZAC DE Bel Air. Un atelier de réduction du Fer gaulois dans la zone de production sidérurgique de Quévert.

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    La fouille préventive liée au projet d’extension de la ZAC de Bel Air à Quévert a été réalisée par le bureau d’études Éveha entre septembre et octobre 2020.Elle a concerné une emprise d’environ 2 200 m² et a permis de mettre au jour 29 structures archéologiques.La principale occupation, objet de la prescription de fouille, correspond à l’implantation d’un petit atelier de réduction du minerai de fer daté par des analyses radiocarbone entre le milieu du IVe et le IIe siècle av. J.-C.Celui-ci comprend un bas fourneau à scories piégées et trois fosses charbonnières quadrangulaires. Seules les activités de réduction du minerai et de production du combustible étaient pratiquées au sein de l’atelier. Les étapes antérieures (extraction et préparation du minerai) et postérieures (épuration, forgeage) de la chaîne opératoire sidérurgique ne sont pas attestées dans l’emprise de l’opération.Après un long hiatus, un système fossoyé est mis en place aux Époques moderne ou contemporaine qui se rapporte au réseau parcellaire du cadastre ancien.Enfin, une occupation récente, datable du siècle dernier, est matérialisée par une clôture sur poteaux plantés et un drain

    Quévert (22), ZAC DE Bel Air. Un atelier de réduction du Fer gaulois dans la zone de production sidérurgique de Quévert.

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    La fouille préventive liée au projet d’extension de la ZAC de Bel Air à Quévert a été réalisée par le bureau d’études Éveha entre septembre et octobre 2020.Elle a concerné une emprise d’environ 2 200 m² et a permis de mettre au jour 29 structures archéologiques.La principale occupation, objet de la prescription de fouille, correspond à l’implantation d’un petit atelier de réduction du minerai de fer daté par des analyses radiocarbone entre le milieu du IVe et le IIe siècle av. J.-C.Celui-ci comprend un bas fourneau à scories piégées et trois fosses charbonnières quadrangulaires. Seules les activités de réduction du minerai et de production du combustible étaient pratiquées au sein de l’atelier. Les étapes antérieures (extraction et préparation du minerai) et postérieures (épuration, forgeage) de la chaîne opératoire sidérurgique ne sont pas attestées dans l’emprise de l’opération.Après un long hiatus, un système fossoyé est mis en place aux Époques moderne ou contemporaine qui se rapporte au réseau parcellaire du cadastre ancien.Enfin, une occupation récente, datable du siècle dernier, est matérialisée par une clôture sur poteaux plantés et un drain

    Quévert (22), ZAC DE Bel Air. Un atelier de réduction du Fer gaulois dans la zone de production sidérurgique de Quévert.

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    La fouille préventive liée au projet d’extension de la ZAC de Bel Air à Quévert a été réalisée par le bureau d’études Éveha entre septembre et octobre 2020.Elle a concerné une emprise d’environ 2 200 m² et a permis de mettre au jour 29 structures archéologiques.La principale occupation, objet de la prescription de fouille, correspond à l’implantation d’un petit atelier de réduction du minerai de fer daté par des analyses radiocarbone entre le milieu du IVe et le IIe siècle av. J.-C.Celui-ci comprend un bas fourneau à scories piégées et trois fosses charbonnières quadrangulaires. Seules les activités de réduction du minerai et de production du combustible étaient pratiquées au sein de l’atelier. Les étapes antérieures (extraction et préparation du minerai) et postérieures (épuration, forgeage) de la chaîne opératoire sidérurgique ne sont pas attestées dans l’emprise de l’opération.Après un long hiatus, un système fossoyé est mis en place aux Époques moderne ou contemporaine qui se rapporte au réseau parcellaire du cadastre ancien.Enfin, une occupation récente, datable du siècle dernier, est matérialisée par une clôture sur poteaux plantés et un drain
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