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    Une <i>culina</i> de type « pompéien » en territoire lyonnais : l’espace culinaire de la <i>villa</i> de Goiffieux à Saint-Laurent-d’Agny (Rhône)

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    International audienceThe excavations conducted on the site of Goiffieux at Saint-Laurent-d’Agny, between 2008 and 2011, brought to light a vast villa belonging to the colony of Lugdunum and occupied as soon as its foundation in the years 30-40 BC. Mainly devoted to viticulture, this establishment is equipped at the beginning of our era with private baths, associated to a small well-preserved kitchen. In this article functional equipment (hob, bench) are analysed, as well as food waste found in this area (fauna, plant remains and pottery assemblages). The kitchen is linked to water devices that we can identify to a water mill and latrines. Its masonry hob equipped with vault reserves of fuel, and fed by the adjacent praefurnium, is a characteristic of urban culinae known in Campania and there is no equivalent in the Tres Galliae rural space. It attests to a strong influence of Italic architectural patterns, which goes together with the adoption of new culinary practices.Les fouilles menées de 2008 à 2011 sur le site de Goiffieux, à Saint-Laurent-d’Agny, y ont mis au jour une vaste villa rattachée à la colonie de Lugdunum et occupée dès sa phase de fondation, dans les années 30-40 av. J.-C. Principalement dédié à la viticulture, ce domaine de rendement se dote au début de notre ère de bains privés, associés à une petite cuisine aux vestiges bien conservés. Cet article s’intéresse à ses aménagements fonctionnels (table à feu, paillasse) aussi bien qu’aux reliefs alimentaires retrouvés dans cet espace (faune, carporestes et assemblages céramiques). La cuisine est associée à des équipements hydrauliques, que l’on propose d’identifier à un petit moulin hydraulique et à un espace de latrine. Sa table à feu maçonnée, dotée de réserves à combustible voûtées et alimentée par le praefurnium adjacent, est caractéristique des culinae urbaines reconnues en Campanie et ne possède aucun équivalent dans les campagnes des Trois Gaules. Elle témoigne d’une forte influence des modèles architecturaux italiques, qui va de pair avec l’adoption de nouveaux modes de préparation alimentaire

    The Emergence of Arboriculture in the 1st Millennium BC along the Mediterranean’s “Far West”

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    This paper presents the history of the introduction and expansion of arboriculture during the 1st millennium BC from the South of the Iberian Peninsula to the South of France. The earliest evidence of arboriculture at the beginning of the 1st millennium hails from the south of the Iberia from where it spread northward along the peninsula’s eastern edge. The different fruits (grape, olive, fig, almond, pomegranate and apple/pear) arrived together in certain areas in spite of uneven distribution and acceptance by local communities. Grape was the crop with the greatest diffusion. The greater diversity of crops in the southern half of the peninsula is also noteworthy. Their development paved the way for a commercial agricultural model in some territories where fruits and their derivatives, such as wine and oil, played vital roles.This paper is an output of the project FRUITCOM “Un nuevo modelo agrícola: frutales, hierro y comercio durante el I milenio A.E.” (CIDEGENT/2019/003), funded by Generalitat Valenciana. This research also received support from the Ministerio de Ciencia, Innovación y Universidades (Movilidad, circulación e intercambio en el llano occidental catalán entre el III y el I milenio ANE, PID2019-110022GB-I00) and from the French National Agency of Research (VINICULTURE project—ANR-16-CE27-0013)

    The Demeter project. Eight millennia of agrobiodiversity changes in the northwest Mediterranean basin

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    The development of agricultural societies is closely entangled with that of domestic animals and plants. Local and traditional domestic breeds and varieties are the result of millennia of selection by farmers. DEMETER (2020-2025) is an international project which is aiming to characterize the changes in animal and plant agrobiodiversity (pigs, sheep, goats, and barley) in relation with environmental and socioeconomic factors in the northwestern Mediterranean basin since the beginnings of agriculture. The project is based on a combination of approaches including phenomics (through geometric morphometrics), databasing, zooarchaeology, archaeobotany, climate modeling, paleoproteins (ZooMs) and statistical analyses. Several hundreds of archaeological sites from the South of France and Catalonia will be studied, covering the maximum environmental, societal and cultural diversity of context over the course of the last eight millennia

    Lattara (Lattes, Hérault). La zone 1 : Rapport de fouille programmée 2015

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    Dans la partie nord-est du site, la fouille de la zone 1 (délimitée par un caisson de palplanches destiné à pouvoir travailler sous le niveau de la nappe phréatique) a débuté en 1983 avec pour objectif d’atteindre les niveaux de fondation de Lat¬tara, dont la chronologie est à ce jour fixée au tout début du Ve s. av. J.-C. Les travaux ont été menés à terme en 2015, et le substrat atteint sur l’ensemble de la zone, permettant de disposer d’une nouvelle fenêtre sur les niveaux de la première moitié du Ve s. av. J.-C., période qui se décompose ici en trois phases distinctes, couvrant respectivement les environs de -500 (phase 1T), le premier quart du Ve s. av. n. ère (phase 1S) et le deuxième quart de ce même siècle (phase 1R). La phase 1S, partiellement entrevue en 2014 où elle apparaissait comme l’état le plus ancien, s’est en fait avérée faire suite à une phase antérieure (1T) qui renouvelle sensiblement la problématique liée aux premiers temps de Lattara. En effet, les résultats inédits obtenus à l’issue de ce programme complètent ceux obtenus jusque là par les travaux menés dans la zone 27, dans la partie méri¬dionale du site et publiés dans le tome 22 de la série Lattara (Lebeaupin 2014). La problématique relative aux origines du comptoir protohistorique de Lattara et du rôle joué par les Étrusques s’avère en effet centrale pour pouvoir comprendre les mécanismes ayant conduit à la création de ce point d’interface avec la Méditer-ranée, ses liens avec l’établissement voisin de La Cougourlude et son évolution dans un contexte d’intégration rapide à la sphère d’influence massaliète. La phase la plus ancienne (v. 500-480 av. J.-C.) témoigne d’une implantation sur ce qui se présentait alors comme une étroite langue de sable limoneux issue d’une progradation du delta du Lez, émergeant d’à peine quelques dizaines de centimètres au-dessus du niveau marin. Sur ce paléosol, une division de l’espace est opérée, via la délimitation de parcelles, matérialisées dans un premier par des structures légères de type palissade ou enclos. Rapidement, des apports de matériaux sont réalisés afin d’aménager des axes de circulation parfaitement orthonormés (N/S-E/O) qui reprennent les tracés antérieurs. Dans l’un de ces lots ainsi constitués, une maison en torchis de plan monoabsidial précédée d’un auvent a été mise au jour. Strictement orientée E-O, son état de conservation exceptionnel, dû notamment à la préservation des bases poteaux en bois imbibés d’eau, a permis de restituer un plan original dans le contexte du Midi de la Gaule. Avec une mise en oeuvre et une division de l’espace très régulières, cet édifice appelle la comparaison avec des modèles connus à la même époque en Étrurie, dans des contextes d’habitat rural. Le mobilier céramique associé à cette phase affiche une consonance étrusque très forte. La céramique non tournée indigène, bien que présente, est néanmoins largement minoritaire face aux productions tournées. Parmi celles-ci, on note à la fois la part importante des céramiques communes étrusques (vases à cuire et mortiers) et celle du bucchero nero. Les amphores, qui représentent de loin la plus grande partie du mobilier, sont presque exclusivement étrusques. Cette division régulière de l’espace, qui témoigne d’un schéma d’organisation préétabli qui renvoie à des mécanismes connus dans le contexte d’une entreprise coloniale, synonyme de fondation ex nihilo, est reprise et modifiée durant la phase suivante (v. 480-470 av. J.-C). Il est possible que le rempart archaïque, daté de manière lâche dans le premier quart du Ve s. av. J.-C. et considéré jusque-là comme ayant été construit dès l’origine, n’ait en fait été édifié que durant cette deuxième phase. À ce moment, un chantier de construction est mis en oeuvre, avec un quartier d’habitation dont le schéma, partiellement restitué à partir des mesures observées dans notre fenêtre d’étude, semble montrer qu’il était alors bien adossé au rempart, côté Est, ou séparé de ce dernier par une venelle. Des maisons à plusieurs pièces sont édifiées sur des soubassements en pierre avec des élévations en terre massive ou en adobe. Le fait singulier est que ce chantier de construction soit resté inachevé, un abandon soudain assorti d’un incendie partiel marquant en effet la fin de cette séquence. Chronologiquement, cette rupture est contemporaine de celle observée dans la zone 27 (incendie du quartier étrusque situé de ce côté), autrement dit aux environs de -475. Le tracé incomplet des murs, la présence d’amas de matériaux de construction, la présence de banquettes en bauge inachevées ou encore l’ab¬sence de niveaux de sols bien définis et associés à des structures domestiques, témoignent de l’état d’inachèvement de ce chantier, de fait initié peu de temps auparavant. Dans la partie orientale de la zone de fouille, un appentis en matériaux légers interprété comme un « campement » au milieu de la zone en construction a été incendié, piégeant ainsi un ensemble mobilier où, à côté d’amphores vinaires, l’on retrouve une batterie de vaisselle étrusque particulièrement abondante (bucchero nero et céramique commune) parmi laquelle plusieurs vases servent de support à des graffites en langue étrusque interprétés comme des marques de propriété. L’ensemble de ces observations ne laisse a priori guère de doute quant à l’identité des bâtisseurs. Plus généralement, la place éventuelle accordée à une composante indigène reste difficile à évaluer. Le seul critère de la présence de céramique non tournée est, en effet, à lui seul insuffisant pour autoriser l’hypothèse d’une population mixte. Le mobilier de cette phase montre cependant des évolutions sensibles au regard de celui de la phase précédente. Les céramiques non tournées sont ainsi bien plus nombreuses, représentant près de la moitié d’un répertoire de vaisselle qui tend par ailleurs à se diversifier, avec notamment une proportion désormais significative de céramiques à pâte claire. Autant l’abondance d’une vaisselle de table et de cuisine importées (bucchero nero et céramique commune) semble donc caractéristique des premiers temps de l’installation, autant rapide¬ment une partie des besoins (notamment en termes de préparation et de cuisson des aliments) se voit assurée par des productions locales, sans que cela ne pré¬juge a priori d’une réelle évolution de la population établie sur place. La relative abondance des pâtes claires, principalement représentées par des vases liés à la boisson, conjuguée à une présence significative de vases attiques, est également caractéristique de cette phase. Si un plan d’urbanisme a été conçu dès le départ, les différents quartiers de Lattara n’ont été que progressivement bâtis. Ce chantier a pu s’étaler sur plu¬sieurs mois ou années, expliquant l’apparent décalage observé entre la zone 1 et la zone 27. Ceci étant, dans cette dernière, les fouilleurs avaient déjà émis l’hypothèse d’une occupation de courte durée, soulignant le fait que « il y a bien eu une vie dans ces bâtiments, mais elle a pu ne durer que quelques années, voire quelques mois ; la prolonger sur un quart de siècle paraît excessif » (Lebeaupin, p. 326). On note à ce propos que le faciès mobilier défini de ce côté (phase 27 I1-12) s’apparente bien plus à celui de la phase 1S (de fait calée sur l’intervalle 480-470 av. J.-C.) qu’à celui de la phase 1T. Plus encore, dans cette même zone 27, un paléosol anthropisé (phase 27I3) a été entrevu sous les bâtiments étrusques bâtis à cet endroit. La rareté du mobilier recueilli, conjuguée à l’absence de structures, n’avait toutefois pas alors permis d’individualiser une phase d’occupation réellement antérieure. Il apparaît désormais que, non seulement ce premier état est bel et bien dé¬fini, mais également qu’il semble recouvrir une plage de temps significative, de l’ordre de plusieurs années. La maison absidiale mise au jour dans la zone 1 a ainsi livré une succession de sols associée à plusieurs réfections du foyer central qui, a minima, témoignent d’une certaine durée d’occupation. Les données fournies par la zone 1 nous donnent ainsi l’image d’un site pleinement investi durant les premières années du Ve s. av. J.-C., période durant laquelle est donc opérée une division de l’espace habitable et l’installation d’édifices conçus comme étant à la fois temporaires et non soumis à la contrainte d’un bâti mitoyen. Ce n’est que dans un second temps qu’un vaste programme de construction de tradition méditerranéenne est initié, avec des îlots implantés selon une trame orthonormée. En l’état, laissant de côté la question indigène, l’hypothèse envisagée un temps d’un site mixte caractéristique d’un emporion, où différents quartiers auraient pu abriter des populations différentes, et notamment des marchands méditerranéens autres que des Étrusques (en l’occurrence des Grecs), tend à s’estomper devant celle d’une installation fondamentalement tyrrhénienne (Gailledrat 2015). Plusieurs questions demeurent néanmoins en suspens. Il s’agit en premier lieu des variations de faciès céramique observées entre les deux zones, car en dépit du faciès très «étrusque» de l’ensemble lié à l’un des ensembles fouillés, le mobilier de cette zone pris dans sa globalité accuse un certain nombre d’originalités, liées notamment à une représentation significative de la vaisselle grecque (céramiques à pâte claire et attique). Par ailleurs, les différences architecturales observées entre les zones 1 et 27 s’expliquent peut-être par un simple décalage chronologique ou des fonctionnalités différentes, mais elles invitent également à envisager l’existence de modèles urbanistiques et culturels distincts. Aucun argument ne permet toutefois d’exclure le bâti de la zone 1 des référents tyrrhéniens en la matière. L’autre question non résolue concerne l’éventualité d’une installation encore plus ancienne, déjà envisagée depuis longtemps au vu des mobiliers - encore une fois étrusques - plus anciens (VIe s. av. J.-C.) trouvés de manière erratique en différents points du site (Py 2009, p. 49). L’endroit consistait-il alors en un simple débarcadère précédant géographiquement l’important site indigène sis à La Cougourlude, ou bien abritait-il déjà un habitat permanent ? À l’image de la zone 27, la zone 1 n’a pas livré de niveaux archéologiques antérieurs à -500, mais dans un cas comme dans l’autre, force est de reconnaître que l’on se trouve en périphérie du site, pour ainsi dire au contact de la lagune. L’hypothèse d’une occupation antérieure, dans ce cas plutôt localisée vers le centre de ce qui se présentait alors comme une presqu’île, demeure d’autant plus à vérifier que plusieurs indices, révélés en particulier par le schéma d’implantation mis en place durant la phase 1T, semblent aller dans ce sens

    Plant economy and trade in the Mediterranean Sea during the Roman period (1st century BC – 5th century AD) : analysis of macro remains from harbour contexts

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    La période romaine voit s’opérer des changements d’ordre culturel et économique, déjà amorcés par l’établissement des contacts en Méditerranée nord-occidentale durant l’âge du Fer. Les ports, zones d’interface entre la Méditerranée et l’intérieur des terres, constituent un objet d’étude intéressant pour aborder les dynamiques de circulation des denrées végétales et d’acclimatation des nouvelles plantes. L’objectif de ce travail est de caractériser l’économie végétale des zones portuaires méditerranéennes, et pour cela, nous utilisons comme outil la carpologie, c’est-à-dire l’étude des graines et des fruits archéologiques. Ce travail est basé sur l’analyse carpologique d’échantillons inédits provenant de 14 sites archéologiques localisés le long du golfe du Lion et de l’Adriatique. Ces sites correspondent à des ports urbains et des sites de production littoraux. Ils livrent un matériel abondant, dont la majorité est conservée par imbibition. Nous proposons une synthèse multiscalaire des données carpologiques disponibles sur les plantes économiques et ornementales. La première échelle est locale et comprend ports et villae littorales avec l’arrière-pays, la seconde est macro-régionale et correspond au bassin nord-occidental et central de la Méditerranée. Une réflexion plus large est ensuite menée à l’échelle de la Méditerranée, en s’appuyant sur les données disponibles sur les zones portuaires du pourtour méditerranéen. La confrontation des sources archéobotaniques révèle l’usage d’un cortège diversifié de ressources végétales, les céréales, la vigne, le figuier et l’olivier figurant parmi les taxons les plus récurrents. Le changement d’ère se caractérise par la généralisation en Méditerranée nord-occidentale de l’usage de nombreuses denrées et l’adoption de nouveaux produits tels que les pêches, les noix, les pignons de pin et les mûres. La consommation en contexte domestique de certains fruits – dattes, sébestes, jujubes – semble réservée à une population urbaine privilégiée. L’étude de contenus de récipients céramiques a permis d’identifier diverses préparations alimentaires et notamment des conserves de fruits, qui font écho à des recettes transmises par les auteurs antiques. C’est aussi dans l’aménagement paysager que s’illustre la diffusion des valeurs romaines, avec l’introduction, dès le changement d’ère, de nouvelles plantes ornementales. Les analyses de morphométrie géométrique appliquées à des pépins de raisins et des noyaux d’olives archéologiques, issus de dépotoirs et de contenus en céramique, apportent un nouvel éclairage sur la diversité variétale passée de la vigne et de l’olivier. Formes cultivées et formes peu sélectionnées, proches morphologiquement de la vigne et de l’olivier sauvages, sont cultivées et utilisées conjointement durant l’Antiquité pour la production du vin et de l’huile et pour les fruits (raisins et olives) destinés à la table.Cultural and economic changes occurred during the Roman period, already started during the Iron Age due to Mediterranean contacts. This archaeobotanical research (archaeological seeds and fruits) aims to characterize plant economy of Roman populations. Harbours, as an interface between the Mediterranean Sea and the hinterland, are an interesting research subject to approach the dynamics of the circulation of food products and introduction of new plants. This work is based on the carpological study of new samples from 14 archaeological sites - harbours and coastal productive villae - located along the Lion Gulf and Adriatic Sea. They deliver an abundant macro remains material, mostly waterlogged. It allows registering a wider spectrum of economic plants (both cultivated and wild) providing new insights into diet, plant processing activities, local cultivation and trade. We establish a first carpological synthesis of published and new data, on economic plants from Mediterranean area. The most frequently recorded taxa are cereals, grapevine, fig tree, olive tree, stone pine and walnut tree. In north-western and central Mediterranean, some plants are just consumed and others locally introduced and grown during Roman times, such as peach tree, melon/cucumber, coriander, bottle gourd and rye. We observe no clear differences in the food access between harbours and their hinterland, and between urban areas and productive villae. Homogeneity of dietary practices and crop production seems to be link to the united power and the global economy of the Roman Empire, with a large and efficient sea trade. Exotic goods - date, jujube and sebesten fruits - seem to be reserve to privileged social classes of urban or suburban areas. Paleocontent analysis of jars gives new insights on food preparations, such as conserves of olives, which matches sometimes the ancient sources. Ornemental plants also contribute symbolically to the diffusion of Roman values. The morphometric analyses carried out on pips of Vitis vinifera and stones of Olea europaea show wide spectra of forms for both species. These morphotypes, cultivated and others close to the wild forms, were both cultivated and used for wine making, for oil making and for table grapes and olives

    Archéobotanique en Istrie et en Liburnie : économie et environnement

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    Manifestation inscrite au programme du Festival de la France en Croatie, avec catalogueExposition : Aquileia - Salona - Apollonia. Un itinéraire adriatique du IIe s. av. J.C. au début du Moyen AgeMusée de Mali Lošinj (8 mai-5 juillet 2015)Musée archéologique de Zagreb (8 septembre-31 octobre 2015

    Archéobotanique en Istrie et en Liburnie : économie et environnement

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    Manifestation inscrite au programme du Festival de la France en Croatie, avec catalogueExposition : Aquileia - Salona - Apollonia. Un itinéraire adriatique du IIe s. av. J.C. au début du Moyen AgeMusée de Mali Lošinj (8 mai-5 juillet 2015)Musée archéologique de Zagreb (8 septembre-31 octobre 2015

    Tout est bon dans le maquereau !

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