14 research outputs found

    SPICES: Spectro-Polarimetric Imaging and Characterization of Exoplanetary Systems

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    SPICES (Spectro-Polarimetric Imaging and Characterization of Exoplanetary Systems) is a five-year M-class mission proposed to ESA Cosmic Vision. Its purpose is to image and characterize long-period extrasolar planets and circumstellar disks in the visible (450 - 900 nm) at a spectral resolution of about 40 using both spectroscopy and polarimetry. By 2020/22, present and near-term instruments will have found several tens of planets that SPICES will be able to observe and study in detail. Equipped with a 1.5 m telescope, SPICES can preferentially access exoplanets located at several AUs (0.5-10 AU) from nearby stars (<<25 pc) with masses ranging from a few Jupiter masses to Super Earths (∼\sim2 Earth radii, ∼\sim10 M⊕_{\oplus}) as well as circumstellar disks as faint as a few times the zodiacal light in the Solar System

    Effects of eight neuropsychiatric copy number variants on human brain structure

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    Many copy number variants (CNVs) confer risk for the same range of neurodevelopmental symptoms and psychiatric conditions including autism and schizophrenia. Yet, to date neuroimaging studies have typically been carried out one mutation at a time, showing that CNVs have large effects on brain anatomy. Here, we aimed to characterize and quantify the distinct brain morphometry effects and latent dimensions across 8 neuropsychiatric CNVs. We analyzed T1-weighted MRI data from clinically and non-clinically ascertained CNV carriers (deletion/duplication) at the 1q21.1 (n = 39/28), 16p11.2 (n = 87/78), 22q11.2 (n = 75/30), and 15q11.2 (n = 72/76) loci as well as 1296 non-carriers (controls). Case-control contrasts of all examined genomic loci demonstrated effects on brain anatomy, with deletions and duplications showing mirror effects at the global and regional levels. Although CNVs mainly showed distinct brain patterns, principal component analysis (PCA) loaded subsets of CNVs on two latent brain dimensions, which explained 32 and 29% of the variance of the 8 Cohen’s d maps. The cingulate gyrus, insula, supplementary motor cortex, and cerebellum were identified by PCA and multi-view pattern learning as top regions contributing to latent dimension shared across subsets of CNVs. The large proportion of distinct CNV effects on brain morphology may explain the small neuroimaging effect sizes reported in polygenic psychiatric conditions. Nevertheless, latent gene brain morphology dimensions will help subgroup the rapidly expanding landscape of neuropsychiatric variants and dissect the heterogeneity of idiopathic conditions

    Modélisation du champ MAGnétique principal par Inversion de données d'OBServatoires (MAGIOBS): étude de résolution spatiale

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    Les composantes vectorielles du champ magnétique terrestre sont mesurées en continu aux observatoires magnétiques terrestre. Certains de ces observatoires délivrent des mesures qui obéissent à des formats et des standards internationaux tels que définis par l’Association Internationale de Géomagnétisme et d’Aéronomie (IAGA/AIGA). La continuité de service et la stabilité de la ligne de base des séries temporelles sont deux critères majeurs de la labellisation INTERMAGNET. Cependant, ces standards se révèlent en pratique très contraignants, à la fois pour leurs raisons techniques (maintenance et opération des observatoires en territoires extrêmes et/ou isolés) que pour des raisons sociétales (expansion des zones urbaines et contaminations anthropiques). Les ouvertures/fermetures, déplacements, et changements de la ligne de base suite à des migrations techniques entrainent des discontinuités de mesures et des distributions spatiales et temporelles inhomogènes. Ce rapport présente des résultats de simulation synthétiques à partir de la distribution réelle des observatoires magnétiques terrestres enregistrés dans le réseau INTERMAGNET. Pour ce faire, nous avons pris les positions des observatoires compilés par le British Geological Survey (BGS, UK). Nous avons calculé un champ magnétique connu à ces positions et récupéré par des méthodes numériques le modèle correspondant que nous comparons avec le modèle initial. Nous estimons ainsi la résolution spatiale qui peut être atteinte dans la description du champ magnétique interne en harmoniques sphériques à partir des données d’observatoires seules et identifions des sources d’instabilités. En l’absence d’information a priori sur le comportement du champ global, la résolution spatiale amaximum de la partie statique du champ global est estimée être entre n = 6 − 8 et n = 8 des harmoniques sphériques (pour une cible à n = 13). Cela correspond à une longueur d’onde de résolution entre 5000 km et 6700km (contre environ 3200 km pour les modèles comme l’IGRF MAGIOBS-DOC-02 3 ou le WMM obtenus à partir des mesures spatiales). Ce travail préliminaire nous permet de poser des pistes pour améliorer la représentation spatiale du champ magnétique terrestre. Cette notice synthétique accompagne la restitution orale et illustrée qui a eu lieu le 20 novembre 2023 dans les locaux du SHOM et complétée du compte rendude réunion rédigé par Lydie-Sarah GAILLE

    Modélisation du champ MAGnétique principal par Inversion de données d'OBServatoires (MAGIOBS): Etat de l'art

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    Le champ magnétique terrestre résulte de la superposition de sources générées à l’intérieur et à l’extérieur de la surface terrestre. La source principale du champ se situe à 2900 km de profondeur et est générée par des courants convectifs dans le noyau liquide par un effet dynamo. Ce champ représente plus de 98 pourcent de l’intensité moyenne mesurée proche de la surface terrestre et est animé d’une dérive temporelle généralement lente (de quelques mois à plusieurs années) avec des sursauts d’accélération qualifiés de « secousses magnétiques » (ou "geomagnetic jerks"). La représentation de ce champ en harmoniques sphériques permet d'estimer ses valeurs en tout point de l'espace. En revanche, il reste à l’heure actuelle impossible de prédire les variations temporelles du champ principal avec suffisamment de précision au-delà d’un horizon d’environ 5 ans. Cette limite de prédictibilité est confirmée par des simulations numériques de la dynamo qui tentent de reproduire les caractéristiques principales du champ magnétique terrestre (Hulot et al., 2010). Ce document synthétise l'état de l'art de la mesure magnétique, de la modélisation du champ principal dans le système mathématique des harmoniques sphériques, et des techniques d'intercomparaisons entre modèles

    Modélisation du champ MAGnétique principal par Inversion de données d'OBServatoires (MAGIOBS): étude de résolution spatiale

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    Les composantes vectorielles du champ magnétique terrestre sont mesurées en continu aux observatoires magnétiques terrestre. Certains de ces observatoires délivrent des mesures qui obéissent à des formats et des standards internationaux tels que définis par l’Association Internationale de Géomagnétisme et d’Aéronomie (IAGA/AIGA). La continuité de service et la stabilité de la ligne de base des séries temporelles sont deux critères majeurs de la labellisation INTERMAGNET. Cependant, ces standards se révèlent en pratique très contraignants, à la fois pour leurs raisons techniques (maintenance et opération des observatoires en territoires extrêmes et/ou isolés) que pour des raisons sociétales (expansion des zones urbaines et contaminations anthropiques). Les ouvertures/fermetures, déplacements, et changements de la ligne de base suite à des migrations techniques entrainent des discontinuités de mesures et des distributions spatiales et temporelles inhomogènes. Ce rapport présente des résultats de simulation synthétiques à partir de la distribution réelle des observatoires magnétiques terrestres enregistrés dans le réseau INTERMAGNET. Pour ce faire, nous avons pris les positions des observatoires compilés par le British Geological Survey (BGS, UK). Nous avons calculé un champ magnétique connu à ces positions et récupéré par des méthodes numériques le modèle correspondant que nous comparons avec le modèle initial. Nous estimons ainsi la résolution spatiale qui peut être atteinte dans la description du champ magnétique interne en harmoniques sphériques à partir des données d’observatoires seules et identifions des sources d’instabilités. En l’absence d’information a priori sur le comportement du champ global, la résolution spatiale amaximum de la partie statique du champ global est estimée être entre n = 6 − 8 et n = 8 des harmoniques sphériques (pour une cible à n = 13). Cela correspond à une longueur d’onde de résolution entre 5000 km et 6700km (contre environ 3200 km pour les modèles comme l’IGRF MAGIOBS-DOC-02 3 ou le WMM obtenus à partir des mesures spatiales). Ce travail préliminaire nous permet de poser des pistes pour améliorer la représentation spatiale du champ magnétique terrestre. Cette notice synthétique accompagne la restitution orale et illustrée qui a eu lieu le 20 novembre 2023 dans les locaux du SHOM et complétée du compte rendude réunion rédigé par Lydie-Sarah GAILLE

    Modélisation du champ MAGnétique principal par Inversion de données d'OBServatoires (MAGIOBS): étude de résolution spatiale

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    Les composantes vectorielles du champ magnétique terrestre sont mesurées en continu aux observatoires magnétiques terrestre. Certains de ces observatoires délivrent des mesures qui obéissent à des formats et des standards internationaux tels que définis par l’Association Internationale de Géomagnétisme et d’Aéronomie (IAGA/AIGA). La continuité de service et la stabilité de la ligne de base des séries temporelles sont deux critères majeurs de la labellisation INTERMAGNET. Cependant, ces standards se révèlent en pratique très contraignants, à la fois pour leurs raisons techniques (maintenance et opération des observatoires en territoires extrêmes et/ou isolés) que pour des raisons sociétales (expansion des zones urbaines et contaminations anthropiques). Les ouvertures/fermetures, déplacements, et changements de la ligne de base suite à des migrations techniques entrainent des discontinuités de mesures et des distributions spatiales et temporelles inhomogènes. Ce rapport présente des résultats de simulation synthétiques à partir de la distribution réelle des observatoires magnétiques terrestres enregistrés dans le réseau INTERMAGNET. Pour ce faire, nous avons pris les positions des observatoires compilés par le British Geological Survey (BGS, UK). Nous avons calculé un champ magnétique connu à ces positions et récupéré par des méthodes numériques le modèle correspondant que nous comparons avec le modèle initial. Nous estimons ainsi la résolution spatiale qui peut être atteinte dans la description du champ magnétique interne en harmoniques sphériques à partir des données d’observatoires seules et identifions des sources d’instabilités. En l’absence d’information a priori sur le comportement du champ global, la résolution spatiale amaximum de la partie statique du champ global est estimée être entre n = 6 − 8 et n = 8 des harmoniques sphériques (pour une cible à n = 13). Cela correspond à une longueur d’onde de résolution entre 5000 km et 6700km (contre environ 3200 km pour les modèles comme l’IGRF MAGIOBS-DOC-02 3 ou le WMM obtenus à partir des mesures spatiales). Ce travail préliminaire nous permet de poser des pistes pour améliorer la représentation spatiale du champ magnétique terrestre. Cette notice synthétique accompagne la restitution orale et illustrée qui a eu lieu le 20 novembre 2023 dans les locaux du SHOM et complétée du compte rendude réunion rédigé par Lydie-Sarah GAILLE

    Modélisation du champ MAGnétique principal par Inversion de données d'OBServatoires (MAGIOBS): Etat de l'art

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    Le champ magnétique terrestre résulte de la superposition de sources générées à l’intérieur et à l’extérieur de la surface terrestre. La source principale du champ se situe à 2900 km de profondeur et est générée par des courants convectifs dans le noyau liquide par un effet dynamo. Ce champ représente plus de 98 pourcent de l’intensité moyenne mesurée proche de la surface terrestre et est animé d’une dérive temporelle généralement lente (de quelques mois à plusieurs années) avec des sursauts d’accélération qualifiés de « secousses magnétiques » (ou "geomagnetic jerks"). La représentation de ce champ en harmoniques sphériques permet d'estimer ses valeurs en tout point de l'espace. En revanche, il reste à l’heure actuelle impossible de prédire les variations temporelles du champ principal avec suffisamment de précision au-delà d’un horizon d’environ 5 ans. Cette limite de prédictibilité est confirmée par des simulations numériques de la dynamo qui tentent de reproduire les caractéristiques principales du champ magnétique terrestre (Hulot et al., 2010). Ce document synthétise l'état de l'art de la mesure magnétique, de la modélisation du champ principal dans le système mathématique des harmoniques sphériques, et des techniques d'intercomparaisons entre modèles

    Modélisation du champ MAGnétique principal par Inversion de données d'OBServatoires (MAGIOBS): Etat de l'art

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    Le champ magnétique terrestre résulte de la superposition de sources générées à l’intérieur et à l’extérieur de la surface terrestre. La source principale du champ se situe à 2900 km de profondeur et est générée par des courants convectifs dans le noyau liquide par un effet dynamo. Ce champ représente plus de 98 pourcent de l’intensité moyenne mesurée proche de la surface terrestre et est animé d’une dérive temporelle généralement lente (de quelques mois à plusieurs années) avec des sursauts d’accélération qualifiés de « secousses magnétiques » (ou "geomagnetic jerks"). La représentation de ce champ en harmoniques sphériques permet d'estimer ses valeurs en tout point de l'espace. En revanche, il reste à l’heure actuelle impossible de prédire les variations temporelles du champ principal avec suffisamment de précision au-delà d’un horizon d’environ 5 ans. Cette limite de prédictibilité est confirmée par des simulations numériques de la dynamo qui tentent de reproduire les caractéristiques principales du champ magnétique terrestre (Hulot et al., 2010). Ce document synthétise l'état de l'art de la mesure magnétique, de la modélisation du champ principal dans le système mathématique des harmoniques sphériques, et des techniques d'intercomparaisons entre modèles
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