37 research outputs found

    Metabolic and demographic feedbacks shape the emergent spatial structure and function of microbial communities

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    Microbes are predominantly found in surface-attached and spatially structured polymicrobial communities. Within these communities, microbial cells excrete a wide range of metabolites, setting the stage for interspecific metabolic interactions. The links, however, between metabolic and ecological interactions (functional relationships), and species spatial organization (structural relationships) are still poorly understood. Here, we use an individual-based modelling framework to simulate the growth of a two-species surface-attached community where food (resource) is traded for detoxification (service) and investigate how metabolic constraints of individual species shape the emergent structural and functional relationships of the community. We show that strong metabolic interdependence drives the emergence of mutualism, robust interspecific mixing, and increased community productivity. Specifically, we observed a striking and highly stable emergent lineage branching pattern, generating a persistent lineage mixing that was absent when the metabolic exchange was removed. These emergent community properties are driven by demographic feedbacks, such that aid from neighbouring cells directly enhances focal cell growth, which in turn feeds back to neighbour fecundity. In contrast, weak metabolic interdependence drives conflict (exploitation or competition), and in turn greater interspecific segregation. Together, these results support the idea that species structural and functional relationships represent the net balance of metabolic interdependencies

    COVID-19 symptoms at hospital admission vary with age and sex: results from the ISARIC prospective multinational observational study

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    Background: The ISARIC prospective multinational observational study is the largest cohort of hospitalized patients with COVID-19. We present relationships of age, sex, and nationality to presenting symptoms. Methods: International, prospective observational study of 60 109 hospitalized symptomatic patients with laboratory-confirmed COVID-19 recruited from 43 countries between 30 January and 3 August 2020. Logistic regression was performed to evaluate relationships of age and sex to published COVID-19 case definitions and the most commonly reported symptoms. Results: ‘Typical’ symptoms of fever (69%), cough (68%) and shortness of breath (66%) were the most commonly reported. 92% of patients experienced at least one of these. Prevalence of typical symptoms was greatest in 30- to 60-year-olds (respectively 80, 79, 69%; at least one 95%). They were reported less frequently in children (≀ 18 years: 69, 48, 23; 85%), older adults (≄ 70 years: 61, 62, 65; 90%), and women (66, 66, 64; 90%; vs. men 71, 70, 67; 93%, each P < 0.001). The most common atypical presentations under 60 years of age were nausea and vomiting and abdominal pain, and over 60 years was confusion. Regression models showed significant differences in symptoms with sex, age and country. Interpretation: This international collaboration has allowed us to report reliable symptom data from the largest cohort of patients admitted to hospital with COVID-19. Adults over 60 and children admitted to hospital with COVID-19 are less likely to present with typical symptoms. Nausea and vomiting are common atypical presentations under 30 years. Confusion is a frequent atypical presentation of COVID-19 in adults over 60 years. Women are less likely to experience typical symptoms than men

    Histoire de la prise en charge des intoxications aiguës intentionnelles

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    AMIENS-BU Santé (800212102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Analyse des réclamations formulées par les patients reçus au service d'accueil des urgences du CHU d'Amiens (étude rétrospective sur 18 mois)

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    L'habit ne fait plus le mĂ©decin. De l'homme en blanc, notable hors d'atteinte, le mĂ©decin est devenu un professionnel ordinaire et le patient un consommateur de soins. De plus en plus, les mĂ©dias dĂ©crient le mauvais fonctionnement de nos hĂŽpitaux. Le service des urgences semble ĂȘtre souvent critiquĂ©. Il reprĂ©sente la vitrine de l'hĂŽpital car c'est le principal lieu d'accueil de l'Ă©tablissement. Depuis les diffĂ©rents plans prĂ©sentĂ©s par le gouvernement pour l'amĂ©lioration de ces urgences, nous avons voulu faire le point sur l'avis des usagers des urgences et plus particuliĂšrement sur l'insatisfaction des patients. Nous avons eu l'opportunitĂ© de rĂ©aliser une Ă©tude rĂ©trospective sur une pĂ©riode de 18 mois dans le service d'accueil des urgences du centre hospitalier d'Amiens (pĂ©riode allant du 1 janvier 2003 au 30 juin 2004). L'analyse de ces objections nous a permis d'Ă©tablir un registre des contestations, de dĂ©duire certains traits de caractĂšres du patient " mĂ©content ", de connaĂźtre les motifs de contestations, de connaĂźtre le devenir de ses rĂ©clamations et d'envisager des amĂ©liorations de cette unitĂ©. Le mĂ©contentement des usagers se fonde sur trois problĂšmes : les soins, l'organisation du service et l'information.AMIENS-BU SantĂ© (800212102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Place de l'alcoolisation aiguë du sujet ùgé dans un service d'accueil des urgences

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    L alcool et le tabac sont les premiĂšres causes de dĂ©cĂšs en France. L alcoologie est un domaine qui a pris une grande importance ces derniĂšres annĂ©es. Cette formation permet aux soignants de prendre en charge des patients ayant un rapport pathologique avec l alcool. Mais ce problĂšme est-il le mĂȘme avec le grand Ăąge ? L alcoolisme du sujet ĂągĂ© est peu Ă©tudiĂ© et de ce fait mal connu. L alcoolisation de la personne ĂągĂ©e existe-elle dans les services d urgences ? Est-elle rĂ©vĂ©lĂ©e par les mĂȘmes tableaux cliniques que chez le patient plus jeune ? Ces patients ont-ils dĂ©veloppĂ© les complications liĂ©es Ă  l alcoolisme ? Leur pathologie doit-elle ĂȘtre prise en charge ? L objectif de ce travail est de : Faire le point sur les donnĂ©es actuelles concernant l alcoologie. Rappeler les particularitĂ©s de la personne ĂągĂ©e. RĂ©aliser une Ă©tude rĂ©trospective dans le service d accueil des urgences du C.H.U. d Amiens sur l alcoolisation aigue du sujet ĂągĂ©. Cette Ă©tude confirme l existence de l intoxication Ă©thylique aigue chez le patient de 75 ans et plus dans les services d urgences. Ils boivent des quantitĂ©s moins importantes que les patients de moins de 75 ans mais sont plus sensibles aux effets de l alcool. Il faut Ă©voquer l intoxication Ă©thylique aigue de la personne ĂągĂ©e devant des symptĂŽmes peu spĂ©cifiques et trompeurs. Cette alcoolisation aigue est riche en complications prĂ©coces et peut dissimuler une pathologie coexistante. Ces patients reviennent frĂ©quemment aux urgences, ce qui souligne l intĂ©rĂȘt de leur suivi et de la prise en charge de leur alcoolisme. A cet Ăąge, la demande d une alcoolĂ©mie devrait ĂȘtre plus systĂ©matique devant un tableau aspĂ©cifique, car cela Ă©viterait parfois une hospitalisation prolongĂ©e et des examens inutiles.AMIENS-BU SantĂ© (800212102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Place de l'alcoolisation aiguë du sujet ùgé dans un service d'accueil des urgences

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    L alcool et le tabac sont les premiĂšres causes de dĂ©cĂšs en France. L alcoologie est un domaine qui a pris une grande importance ces derniĂšres annĂ©es. Cette formation permet aux soignants de prendre en charge des patients ayant un rapport pathologique avec l alcool. Mais ce problĂšme est-il le mĂȘme avec le grand Ăąge ? L alcoolisme du sujet ĂągĂ© est peu Ă©tudiĂ© et de ce fait mal connu. L alcoolisation de la personne ĂągĂ©e existe-elle dans les services d urgences ? Est-elle rĂ©vĂ©lĂ©e par les mĂȘmes tableaux cliniques que chez le patient plus jeune ? Ces patients ont-ils dĂ©veloppĂ© les complications liĂ©es Ă  l alcoolisme ? Leur pathologie doit-elle ĂȘtre prise en charge ? L objectif de ce travail est de : Faire le point sur les donnĂ©es actuelles concernant l alcoologie. Rappeler les particularitĂ©s de la personne ĂągĂ©e. RĂ©aliser une Ă©tude rĂ©trospective dans le service d accueil des urgences du C.H.U. d Amiens sur l alcoolisation aigue du sujet ĂągĂ©. Cette Ă©tude confirme l existence de l intoxication Ă©thylique aigue chez le patient de 75 ans et plus dans les services d urgences. Ils boivent des quantitĂ©s moins importantes que les patients de moins de 75 ans mais sont plus sensibles aux effets de l alcool. Il faut Ă©voquer l intoxication Ă©thylique aigue de la personne ĂągĂ©e devant des symptĂŽmes peu spĂ©cifiques et trompeurs. Cette alcoolisation aigue est riche en complications prĂ©coces et peut dissimuler une pathologie coexistante. Ces patients reviennent frĂ©quemment aux urgences, ce qui souligne l intĂ©rĂȘt de leur suivi et de la prise en charge de leur alcoolisme. A cet Ăąge, la demande d une alcoolĂ©mie devrait ĂȘtre plus systĂ©matique devant un tableau aspĂ©cifique, car cela Ă©viterait parfois une hospitalisation prolongĂ©e et des examens inutiles.AMIENS-BU SantĂ© (800212102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Histoire de l'école de santé d'Amiens (de l'école pratique aux facultés de médecine et de pharmacie)

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    AMIENS-BU Santé (800212102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Prise en charge dans un service d'urgence d'une rupture spontanée de la rate dans un contexte infectieux (à propos d'un cas de mononucléose infectieuse)

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    Les ruptures spontanées de rate (RSR) sont des entités rares et mal connues. Les maladies infectieuses représentent 30% des causes de RSR avec au premier plan la mononucléose infectieuse dans nos pays tempérés. Les mécanismes de rupture sont mal élucidés et hypothétiques. Cependant ils semblent différents selon l'agent infectieux pathogÚne en cause. Les autres causes de RSR sont les hémopathies (27%), les tumeurs solides ou kystiques de la rate (11%), certaines pathologies digestives (10%) et rhumatologiques (4%) et autres (15%) tels que l'amylose AL, les anticoagulants et la grossesse. L'absence de traumatisme, le caractÚre bénin des pathologies infectieuses sous jacentes et la rareté de cette pathologie mal connue contribuent au retard diagnostic, thérapeutique avec pour conséquence un taux de mortalité élevé à 30% dans le cadre des MNI. La splénectomie est le traitement de référence. Les autres possibilités thérapeutiques sont le traitement conservateur médical et chirurgical. Cette revue de la littérature permet un rappel des signes cliniques alarmants devant faire suspecter une RSR, et définie la conduite à tenir dans un service d'urgences devant une douleur de l'hypochondre gauche dans un contexte infectieuxAMIENS-BU Santé (800212102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Prise en charge de la douleur cancĂ©reuse par excĂšs de nociception (enquĂȘte des pratiques des mĂ©decins gĂ©nĂ©ralistes du Haut-Rhin)

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    Le cancer est la premiĂšre cause de mortalitĂ© en France. La composante hyper-nociceptive de cette douleur, symptĂŽmes les plus pĂ©nibles, a fait l objet de multiples recommandations de bonnes pratiques quant Ă  sa prise en charge. Devenue prioritĂ© de santĂ© publique, et malgrĂ© de nombreux plans et mise en place de structures pluridisciplinaires, il semble que les pratiques ne rĂ©pondent pas aux mesures proposĂ©es. Notre enquĂȘte, rĂ©alisĂ©e auprĂšs des mĂ©decins gĂ©nĂ©ralistes du Haut Rhin, a pour objectif d observer leurs habitudes de prescription des opioĂŻdes, dans le cadre de ces douleurs cancĂ©reuses hyper-nociceptives. En tant que premier maillon de la prise en charge de la douleur, comment apprĂ©hendent-ils cette prescription ? Les rĂ©sultats de notre Ă©tude corroborent les donnĂ©es d Ă©tudes rĂ©centes sur la gestion de la douleur cancĂ©reuse. C est Ă  dire la prescription d antalgique de palier III, qui reste trĂšs prudente. Nous proposerons des Ă©lĂ©ments de rĂ©ponses Ă  cette problĂ©matique d amĂ©lioration de la prise en charge de la douleur, symptĂŽme dĂ©terminant de la qualitĂ© de vie du patient cancĂ©reux.Cancer is the first cause of death in France. The hyper-nociceptive pain component, one of the most unbearable symptoms, was the object of multiple guidelines regarding best management practices. Pain became a public health priority, and in spite of the development of multidisciplinary structures, it seems that current practices still do not meet the proposed guidelines. Our survey was done among general practitioners from Haut Rhin in Alsace, in order to assess their opioids prescriptions habits, in cancer pain situations and ultimately understand their practice pattern as first line physicians. The results of this work confirm the data of recent studies on cancer pain management: Third level analgesic prescription remains very careful. We will propose some suggestions to further improve pain management practices, as pain is a determining factor of the quality of life of cancer patients.AMIENS-BU SantĂ© (800212102) / SudocSudocFranceF

    Comment arpenter sans mÚtre : les scores de résolution de chaßnes de coréférences sont-ils des métriques ?

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    National audienceThis paper presents an experimental research that investigates whether the most commonly used scores for evaluating the resolution of co-references constitute normalized similarity metrics. Considering systematic test suites, we verified whether the MUC, B3, CEAF, BLANC, LEA and CoNLL scorescomply with the formal properties that define such a metric. Our study shows that only the CEAFm score is potentially a normalized similarity metric.Cet article prĂ©sente un travail qui consiste Ă  Ă©tudier si les scores les plus utilisĂ©s pour l’évaluation de la rĂ©solution des corĂ©fĂ©rences constituent des mĂ©triques de similaritĂ© normalisĂ©es. En adoptant une dĂ©marche purement expĂ©rimentale, nous avons vĂ©rifiĂ© si les scores MUC, B3 , CEAF, BLANC, LEA et le meta-score CoNLL respectent les bonnes propriĂ©tĂ©s qui dĂ©finissent une telle mĂ©trique. Notre Ă©tude montre que seul le score CEAFm est potentiellement une mĂ©trique de similaritĂ© normalisĂ©e
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