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Energy-Driven Analysis of Electronically-Interfaced Resources for Improving Power System Dynamic Performance
This dissertation investigates the strengthening of power system dynamics with regard to electromechanical oscillations by using electronically-interfaced resources (EIR). The dissertation addresses (1) the modeling and control design of a flywheel energy storage system and a large-scale solar PV plant. The latest is enabled to participate in oscillation damping control without the need for power curtailment. (2) A new dynamic performance evaluation and coordination of damping controller is also developed to analyze systems with several critically low damping ratios. This is studied by using the system oscillation energy to define the total action and total action sensitivity, which allow the identification of control action that benefit exited modes, rather than fixed targeted modes. Finally, (3) this dissertation proposes a solution for the site selection of EIR-based damping controllers in a planning stage. The effect of wind power variability and correlation between geographically closed wind farms is modeled to analyze the system performance and determine the site selection that maximizes the probability of dynamic performance improvement. Mathematical description as well as simulations in different multi-machine power systems show the advantages of the methods described in this work. The findings of this thesis are expected to advance the state-of-the-art of power system control by effectively and efficiently utilizing the fast power capabilities of EIR in systems with high penetration of renewable energy
Oscillation energy based sensitivity analysis and control for multi-mode oscillation systems
This paper describes a novel approach to analyze and control systems with
multi-mode oscillation problems. Traditional single dominant mode analysis
fails to provide effective control actions when several modes have similar low
damping ratios. This work addresses this problem by considering all modes in
the formulation of the system kinetic oscillation energy. The integral of
energy over time defines the total action as a measure of dynamic performance,
and its sensitivity allows comparing the performance of different
actuators/locations in the system to select the most effective one to damp the
oscillation energy. Time domain simulations in the IEEE 9-bus system and IEEE
39-bus system verify the findings obtained by the oscillation energy based
analysis. Applications of the proposed method in control and system planning
are discussed.Comment: Conference paper, IEEE PESGM 201
Los nudos logísticos y la ciruclación agroindustrial
Anais do III Encontro de Iniciação Científica da Unila - Sessão de Geografia - 07/11/14 – 13h30 às 17h40 - Unila-PTI - Bloco 09 – Espaço 03 – Sala 03El presente trabajo tiene por objetivo destacar la importancia del puerto seco de Cascavel para la
exportación Brasilera de soja, así como para el acceso de la soja Paraguaya a los mercados
mundiales.
En el período actual, donde se re-configura una nueva división internacional y territorial del trabajo,
América Latina se posiciona una vez más como productor de productos primarios destinados a
atender la demanda de los mercados internacionales. La soja, como principal commoditie agrícola
exportado por nuestros países (Brasil, Argentina, Paraguay, Uruguay), genera un fuerte impacto
sobre los territorios nacionales, ya que trae consigo el monocultivo a grande escala y por lo tanto
una gran concentración de la tierra en manos de actores hegemónicos, que actúan en función de una
lógica corporativa de acumulación de capital. Brasil superó en los últimos años a Estados Unidos
como el mayor exportador mundial de soja. Los Estados del centro-oeste y sur son los responsables
por la mayor cantidad de soja producida y exportada, destacándose Mato Grosso, Mato Grosso del
Sur y Paraná. Aquí es que el Puerto seco de Cascavel se torna de gran relevancia. Ubicado en el
municipio de Cascavel-PR, sobre la BR-277, el Puerto seco actúa como un ''nudo logistico'' dentro
del circuito productivo de soja y otras mercancías, conectando el oeste del Estado y también a
Paraguay con el Puerto de Paranaguá en el litoral paranaense, desde donde parten las mercaderías
hacia los mercados internacionales. De esta manera el Puerto seco de Cascavel hace parte de un
sistema infraestructural que tiene por objetivo aumentar la circulación de mercaderías y racionalizar
los procesos de producción. La velocidad y la fluidez son requisitos fundamentales en la búsqueda
por una mayor competitividad a nivel global. En ese sentido el Estado y las empresas actúan de
forma conjunta y ''solidaria'' de manera de atender las exigencias de la lógica de acumulación
dominante, utilizando el territorio de manera corporativa y en consonancia con una racionalidad
hegemónica que se impone verticalmente sobre los lugares. Procurando captar en toda su amplitud
el circuito productivo de la soja y sus círculos de cooperación en el espacio, nos centramos en el
estudio del Puerto Seco de Cacavel, un operador logístico multimodal que actúa en determinadas
etapas del circuito productivo, buscando entender las lógicas de circulación del capital, en un
contexto en que los lugares de especializan en determinadas funciones en búsqueda de la
maximización de los lucros. Por otra parte identificamos a los demás agentes que hacen parte de
esta ''solidaridad organizacional'' en torno a la producción y exportación de soja a través del puerto
de Paranaguá: Las empresas productoras y los agentes logísticos, que junto con el Estado viabilizan
el uso selectivo y corporativo del territorio.Universidade Federal da Integração Latino-Americana (UNILA
Du rêve à la réalité: espoir dans le Sahel
Le Sommet mondial de l’alimentation à Rome, en novembre 1996, a rappelé que l’accès à la nourriture et la disponibilité d’aliments demeuraient un défi majeur. Les réalisations du Sommet seront bientôt examinées, plus de cinq ans après l’événement et avec un peu de retard par rapport au plan initial. Aujourd’hui, comme en 1996, il y a quelques lueurs d’espoir dans la masse énorme de défis.
Le Sommet mondial de l’alimentation à Rome, en novembre 1996, a rappelé que l’accès à la nourriture et la disponibilité d’aliments demeuraient un défi majeur. Les réalisations du Sommet seront bientôt examinées, plus de cinq ans après l’événement et avec un peu de retard par rapport au plan initial. Aujourd’hui, comme en 1996, il y a quelques lueurs d’espoir dans la masse énorme de défis.
Le nombre des personnes considérées comme véritablement sous-alimentées est passé de 920 millions au début des années 70 à 840 millions au milieu des années 90. Mais dans le monde en développement, notamment dans les pays ACP, une personne sur cinq est toujours dans le besoin.
Les neuf pays sahéliens membres du Comité permanent inter-États de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS) sont un exemple représentatif de cette situation. Ils comptent au total 54 millions d’habitants pour une surface globale d’environ 5 millions de km2, avec un taux de croissance approchant 2, 8 %. Un tiers de la population vit dans les zones urbaines. Près des trois quarts de la surface totale de ces pays reçoivent moins de 300 mm d’eau de pluie par an. C’est là que vivent 10 % de la population, principalement des communautés pastorales. La majorité de la population — 80 % en tout — vit dans des zones où la pluviométrie annuelle varie entre 300 et 1200 mm, permettant des culture pluviales. Toutefois, les pays sahéliens souffrent depuis près de trente ans d’une sécheresse prolongée à peine entrecoupée de quelques répits. Ils comptent parmi les pays les plus pauvres du monde.
Les sols sont généralement peu profonds et pauvres en éléments nutritifs ; la végétation est une savane arbustive et herbacée. Les ressources hydriques sont réduites, quoique quelques fleuves permanents permettent des cultures irriguées. Certains de ces cours d’eau traversent le territoire de plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest. L’élevage des bovins joue un rôle important dans l’économie de pays comme le Niger, le Mali et le Burkina Faso où il représente près de 15 % du produit intérieur brut.
La sécheresse et la désertification sont les principaux obstacles au développement, toujours accompagnés de leurs ombres menaçantes, la faim et la pauvreté..
Ces pays ont compris très tôt que pour sortir de la crise, et vu leur taille relativement réduite, il leur faudrait développer une volonté politique commune. Cette volonté s’est traduite par la création du CILSS en 1974. Depuis, cet organisme s’est attaché à établir des politiques et des stratégies de développement communes.
Des mesures politiques solides
Dans leur ensemble, ces objectifs communs constituent un puissant attelage, porteur de nombreux espoirs, mais aussi de gigantesques préoccupations auxquelles il faudra bien faire face, même si ce n’est pas simple. De quoi s’agit-il ?
D’abord, il faut bien admettre que les politiques de prix pour les produits d’exportation, déterminées par les pays industrialisés, mettent en péril les échanges commerciaux entre les pays du CILSS. Comme ceux-ci n’ont pas accès aux technologies les plus modernes, ils ne peuvent pas atteindre les niveaux de productivité des pays industrialisés et ne peuvent donc rivaliser à des prix compétitifs. Comment peuvent-ils réagir devant une telle compétition sur le marché mondial ? Cela demande tout de même des mécanismes de protection qui permettent à la production locale d’exprimer pleinement son potentiel et qui stimulent une croissance régulière sur les marchés locaux et régionaux.
En second lieu, une décentralisation efficace du pouvoir est indispensable à la stabilité politique. Les communautés locales seront plus fortes et mieux à même de
façonner leur destin si elle sont habilitées à prendre des décisions. Dans ce processus, les organes centraux doivent jouer un rôle de planification, de régulation et de coordination dans la répartition des ressources disponibles.
La consolidation de la production locale passe par l’intégration des systèmes productifs et culturels. L’expérience a montré qu’imposer des solutions extérieures débouche généralement sur des déceptions, voire des désastres. Le nœud du problème, c’est l’influence négative que ces solutions extérieures exercent souvent sur les structures familiales et sur le rôle essentiel des femmes. Non seulement les fonctions de la famille et des femmes dans le système de production sont mises en danger ou risquent de disparaître, mais leur marginalisation constitue aussi une menace pour leur tâche irremplaçable de transmission des valeurs culturelles aux générations suivantes.
Un autre facteur essentiel est la stabilité politique entre pays voisins et au sein de chacun d’eux. Il faut prendre comme point de départ le respect des structures traditionnelles, sans imposer les modèles occidentaux de démocratie, et aider les systèmes traditionnels à évoluer et à s’adapter aux conditions nouvelles.
Enfin, l’exode rural doit être endigué grâce à des programmes de développement intégrés où l’éducation, la formation, la santé, l’appui aux structures sociales des communautés locales sont mis au service d’une stratégie commune.
Le monde a accumulé suffisamment d’expérience et de sagesse au fil de tant d’années pour savoir que si ces conditions ne sont pas réunies, nous serons tous les spectateurs, voire les acteurs de l’effondrement de cet espoir et d’un désastre à grande échelle.
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Horácio Silva Soares est agronome et a enseigné à l’Université de Lourenço Marques, aujourd’hui connue sous le nom d’Université Eduardo Mondlane à Maputo, Mozambique. Dans son Cap-Vert natal, il était Directeur général des ressources naturelles et Président fondateur de l’Institut national de la recherche agricole. Il a également été Directeur général du centre régional AGRHYMET du CILSS et ambassadeur en Italie, en Grèce et en Égypte.
Les opinions exprimées dans ce Point de vue sont celles de l’auteur, et ne reflètent pas nécessairement les idées du CTA.Le Sommet mondial de l’alimentation à Rome, en novembre 1996, a rappelé que l’accès à la nourriture et la disponibilité d’aliments demeuraient un défi majeur. Les réalisations du Sommet seront bientôt examinées, plus de cinq ans après..
A New Multicommodity Flow Model for the Job Sequencing and Tool Switching Problem
Artigo científico.In this paper a new multicommodity flow mathematical model for the Job Sequencing and Tool Switching Problem (SSP) is presented. The proposed model has a LP relaxation lower bound equal to the number of tools minus the tool machine’s capacity. Computational tests were performed comparing the new model with the models of the literature. The proposed model performed better, both in execution time and in the number of instances solved to optimality.Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES
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