332 research outputs found

    An Analysis of the Benefit of Using HEV Genotype 3 Antigens in Detecting Anti-HEV IgG in a European Population

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    Introduction Quatre génotypes pathogènes de l'hépatite E (HEV) sont actuellement connus. Ils présentent des caractéristiques épidémiologiques différentes. Les génotypes 1 et 2 infectent uniquement l'homme et sont à l'origine d'épidémies dans des pays en voie de développement. Les génotypes 3 et 4 se présentent sous forme de zoonose, endémiques chez des cochons et autres mammifères dans des pays industrialisés. Ces derniers génotypes sont à l'origine de cas sporadiques d'hépatite E autochtones. La majorité des tests de sérologie actuellement commercialisés se basent sur des virus de génotype 1 et 2. Le bénéfice de l'utilisation d'un test sérologique basé sur le génotype 3 dans des pays industrialisés n'a pas été étudié jusqu'à présent. Dans cette étude, les performances de tests sérologiques basés sur des antigènes de plusieurs génotypes de l'HEV ont été comparées. Méthode Les tests ont été appliqués à deux populations distinctes: une population de 20 patients, chez qui une infection aiguë d'hépatite E, génotype 3, a été documentée par PCR sanguine, et une population de 550 donneurs de sang de la région de Lausanne. Le dépistage des IgGs anti-HEV a été effectué dans le sérum des deux populations par trois «Enzyme Immuno Assays» (EIA) à savoir MP Diagnostics, Dia.Pro et Fortress. Les échantillons positifs avec au moins un des EIA ont été testés par un «Immunodot Assay», le recomLine HEV IgG/IgM. Tous les EIA sont basés sur des antigènes des génotypes 1 et 2, alors que l'immunodot se base sur des antigènes des génotypes 1 et 3. Résultats Tous les échantillons des cas d'hépatite E documentés et 124 sur 550 échantillons des donneurs de sang étaient positifs avec au moins un des tests sérologique. Parmi les cas confirmés par PCR, 45 %, 65 %, 95 % et 55 % étaient respectivement positifs avec le test de MP Diagnostics, Dia.Pro, Fortress et recomLine. Parmi les échantillons positifs des donneurs de sang avec au moins un des tests, 120/124 (97 %) étaient positifs avec le test Fortress, 19/124 (15 %) étaient positifs avec tous les EIA et 51/124 (41 %) étaient positifs avec le recomLine. Parmi les cas d'hépatite E confirmés, 11/20 (55 %) étaient positifs avec le recomLine et parmi ceux-ci, une réactivité plus forte pour le génotype 3 était observée dans 1/11 (9 %) et une réactivité identique dans 5/11 (45.5 %) cas. Conclusions Même si le recomLine contient des protéines dérivées de l'HEV génotype 3, sa sensibilité est inférieure à l'EIA de Fortress dans les cas d'hépatite E aiguë de génotype 3. De plus, chez environ 45 % des patients, le recomLine ne parvient pas à identifier une infection comme étant causé par un virus du génotype 3. Dans la population de donneurs de sang, nous avons observe de grandes variations dans les séroprévalences mesurées, allant de 4.2 % à 21.8 % selon les tests sérologiques employés

    An Analysis of the Benefit of Using HEV Genotype 3 Antigens in Detecting Anti-HEV IgG in a European Population

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    Introduction Quatre génotypes pathogènes de l'hépatite E (HEV) sont actuellement connus. Ils présentent des caractéristiques épidémiologiques différentes. Les génotypes 1 et 2 infectent uniquement l'homme et sont à l'origine d'épidémies dans des pays en voie de développement. Les génotypes 3 et 4 se présentent sous forme de zoonose, endémiques chez des cochons et autres mammifères dans des pays industrialisés. Ces derniers génotypes sont à l'origine de cas sporadiques d'hépatite E autochtones. La majorité des tests de sérologie actuellement commercialisés se basent sur des virus de génotype 1 et 2. Le bénéfice de l'utilisation d'un test sérologique basé sur le génotype 3 dans des pays industrialisés n'a pas été étudié jusqu'à présent. Dans cette étude, les performances de tests sérologiques basés sur des antigènes de plusieurs génotypes de l'HEV ont été comparées. Méthode Les tests ont été appliqués à deux populations distinctes: une population de 20 patients, chez qui une infection aiguë d'hépatite E, génotype 3, a été documentée par PCR sanguine, et une population de 550 donneurs de sang de la région de Lausanne. Le dépistage des IgGs anti-HEV a été effectué dans le sérum des deux populations par trois «Enzyme Immuno Assays» (EIA) à savoir MP Diagnostics, Dia.Pro et Fortress. Les échantillons positifs avec au moins un des EIA ont été testés par un «Immunodot Assay», le recomLine HEV IgG/IgM. Tous les EIA sont basés sur des antigènes des génotypes 1 et 2, alors que l'immunodot se base sur des antigènes des génotypes 1 et 3. Résultats Tous les échantillons des cas d'hépatite E documentés et 124 sur 550 échantillons des donneurs de sang étaient positifs avec au moins un des tests sérologique. Parmi les cas confirmés par PCR, 45 %, 65 %, 95 % et 55 % étaient respectivement positifs avec le test de MP Diagnostics, Dia.Pro, Fortress et recomLine. Parmi les échantillons positifs des donneurs de sang avec au moins un des tests, 120/124 (97 %) étaient positifs avec le test Fortress, 19/124 (15 %) étaient positifs avec tous les EIA et 51/124 (41 %) étaient positifs avec le recomLine. Parmi les cas d'hépatite E confirmés, 11/20 (55 %) étaient positifs avec le recomLine et parmi ceux-ci, une réactivité plus forte pour le génotype 3 était observée dans 1/11 (9 %) et une réactivité identique dans 5/11 (45.5 %) cas. Conclusions Même si le recomLine contient des protéines dérivées de l'HEV génotype 3, sa sensibilité est inférieure à l'EIA de Fortress dans les cas d'hépatite E aiguë de génotype 3. De plus, chez environ 45 % des patients, le recomLine ne parvient pas à identifier une infection comme étant causé par un virus du génotype 3. Dans la population de donneurs de sang, nous avons observe de grandes variations dans les séroprévalences mesurées, allant de 4.2 % à 21.8 % selon les tests sérologiques employés

    CW and pulsed electrically detected magnetic resonance spectroscopy at 263 GHz/12 T on operating amorphous silicon solar cells

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    Here we describe a new high frequency/high field continuous wave and pulsed electrically detected magnetic resonance (CW EDMR and pEDMR) setup, operating at 263 GHz and resonance fields between 0 and 12 T. Spin dependent transport in illuminated hydrogenated amorphous silicon p-i-n solar cells at 5 K and 90 K was studied by in operando 263 GHz CW and pEDMR alongside with complementary X-band CW EDMR. Benefiting from the superior resolution at 263 GHz, we were able to better resolve EDMR signals originating from spin dependent hopping and recombination processes. 5 K EDMR spectra were found to be dominated by conduction and valence band tale states involved in spin dependent hopping, with additional contributions from triplet exciton states. 90 K EDMR spectra could be assigned to spin pair recombination involving conduction band tail states and dangling bonds as dominating spin dependent transport process, with additional contributions from valence band tail and triplet exciton states.Comment: 8 pages, 4 figure

    EPR optical detection of F centre pairs in alkali halides. - I : Pumping cycle kinetics and characteristics of the resonances

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    The EPR of F centres in the ground and excited states was optically detected in the following alkali halide crystals: NaCl, KF, KCl, KBr, KI, RbBr, and RbI. A decrease of the radiative quantum efficiency of the F centre luminescence was observed when microwave transitions were induced between the spin levels. The mechanism responsible for this effect was an electronic tunnelling through the crystal field potential; the electron in the relaxed excited state of an F centre (F~*) is transferred nonradiatively to another nearby F centre in its ground state (F0), and leads to the momentary formation of an ƒ¿ and an F\u27 centre. Such a process is a function of the total spin of the F~*-F0 pair. The role played by the paired centres was confirmed by measurements at different F centre concentration. Moreover, at high optical excitation pumping rates, the population of the intermediate complexes (F\u27-ƒ¿) is large enough to allow an estimation of the rate of the reverse process F\u27 + ƒ¿ \u27¨ F0 + F0

    Using rapid scan EPR to improve the detection limit of quantitative EPR by more than one order of magnitude

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    X band rapid scan EPR was implemented on a commercially available Bruker ELEXSYS E580 spectrometer. Room temperature rapid scan and continuous wave EPR spectra were recorded for amorphous silicon powder samples. By comparing the resulting signal intensities the feasibility of performing quantitative rapid scan EPR is demonstrated. For different hydrogenated amorphous silicon samples, rapid scan EPR results in signal to noise improvements by factors between 10 and 50. Rapid scan EPR is thus capable of improving the detection limit of quantitative EPR by at least one order of magnitude. In addition, we provide a recipe for setting up and calibrating a conventional pulsed and continuous wave EPR spectrometer for rapid scan EP

    Lock-in detection for pulsed electrically detected magnetic resonance

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    We show that in pulsed electrically detected magnetic resonance (pEDMR) signal modulation in combination with a lock-in detection scheme can reduce the low-frequency noise level by one order of magnitude and in addition removes the microwave-induced non-resonant background. This is exemplarily demonstrated for spin-echo measurements in phosphorus-doped Silicon. The modulation of the signal is achieved by cycling the phase of the projection pulse used in pEDMR for the read-out of the spin state.Comment: 4 pages, 2 figure

    Radical Activation of N–H and O–H Bonds at Bismuth(II)

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    The development of unconventional strategies for the activation of ammonia (NH3) and water (H2O) is of capital importance for the advancement of sustainable chemical strategies. Herein we provide the synthesis and characterization of a radical equilibrium complex based on bismuth featuring an extremely weak Bi–O bond, which permits the in situ generation of reactive Bi(II) species. The ensuing organobismuth(II) engages with various amines and alcohols and exerts an unprecedented effect onto the X–H bond, leading to low BDFEX–H. As a result, radical activation of various N–H and O–H bonds─including ammonia and water─occurs in seconds at room temperature, delivering well-defined Bi(III)-amido and -alkoxy complexes. Moreover, we demonstrate that the resulting Bi(III)–N complexes engage in a unique reactivity pattern with the triad of H+, H–, and H• sources, thus providing alternative pathways for main group chemistry

    Impact of dislocations and dangling bond defects on the electrical performance of crystalline silicon thin films

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    A wide variety of liquid and solid phase crystallized silicon films are investigated in order to determine the performance limiting defect types in crystalline silicon thin-film solar cells. Complementary characterization methods, such as electron spin resonance, photoluminescence, and electron microscopy, yield the densities of dangling bond defects and dislocations which are correlated with the electronic material quality in terms of solar cell open circuit voltage. The results indicate that the strongly differing performance of small-grained solid and large-grain liquid phase crystallized silicon can be explained by intra-grain defects like dislocations rather than grain boundary dangling bonds. A numerical model is developed containing both defect types, dislocations and dangling bonds, describing the experimental results
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