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    Genetic contributors to risk of schizophrenia in the presence of a 22q11.2 deletion

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    Schizophrenia occurs in about one in four individuals with 22q11.2 deletion syndrome (22q11.2DS). The aim of this International Brain and Behavior 22q11.2DS Consortium (IBBC) study was to identify genetic factors that contribute to schizophrenia, in addition to the ~20-fold increased risk conveyed by the 22q11.2 deletion. Using whole-genome sequencing data from 519 unrelated individuals with 22q11.2DS, we conducted genome-wide comparisons of common and rare variants between those with schizophrenia and those with no psychotic disorder at age ≥25 years. Available microarray data enabled direct comparison of polygenic risk for schizophrenia between 22q11.2DS and independent population samples with no 22q11.2 deletion, with and without schizophrenia (total n = 35,182). Polygenic risk for schizophrenia within 22q11.2DS was significantly greater for those with schizophrenia (padj = 6.73 × 10−6). Novel reciprocal case–control comparisons between the 22q11.2DS and population-based cohorts showed that polygenic risk score was significantly greater in individuals with psychotic illness, regardless of the presence of the 22q11.2 deletion. Within the 22q11.2DS cohort, results of gene-set analyses showed some support for rare variants affecting synaptic genes. No common or rare variants within the 22q11.2 deletion region were significantly associated with schizophrenia. These findings suggest that in addition to the deletion conferring a greatly increased risk to schizophrenia, the risk is higher when the 22q11.2 deletion and common polygenic risk factors that contribute to schizophrenia in the general population are both present

    Etudes de l'expression des ARN périphériques dans la dépression. : La régulation de l'expression génétique en question

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    La dépression est fréquente, sa prise en charge difficile et les connaissances de sa physiopathologie très incomplètes. Il est établi qu’il existe une composante familiale et héréditaire au trouble dépressif mais le substrat biologique de cette vulnérabilité est inconnu et souvent les études souffrent d’un manque de reproductibilité. Par ailleurs, il n’existe pas de bio-marqueur validé utilisable en pratique courante.Nous proposons dans ce travail de thèse d’explorer les ARN périphériques chez les patients souffrant de dépression de façon à explorer s’ils peuvent définir des bio-marqueurs et si leur étude peut nous permettre de mieux comprendre le processus physiopathologique.Nous avons recruté des patients souffrant de dépression sévère dans plusieurs études pour répondre à nos objectifs. Nous avons été attentif dans ces études à des problèmes méthodologiques importants, en particulier à propos du choix des gènes de contrôle pour les PCR en temps réel, du choix de critères statistiques dans l’étude pan-génomique et de la prise en compte de prélèvements répétés chez les sujets sains pour contrôler toute variation due à des facteurs non contrôlés. En accord avec une abondante littérature sur le sujet, nous avons pu mettre en évidence des gènes déjà décrits dont l’expression transcriptionnelle est dérégulée chez les patients par rapport aux sujets contrôles ou au cours de l’évolution de la dépression, dans des études centrées sur des gènes candidats et une étude pan-génomique.Nous avons pu également mettre en évidence de façon nouvelle l’expression dérégulée chez les patients déprimés de gènes impliqués dans la régulation chromatinienne ou l’expression des gènes.Nous avons également pu nous rendre compte que les approches pan-génomiques complétaient l’approche gène candidat avec une meilleure convergence que ne le laissait supposer la littérature.Nous avons également étudié les micro-ARN et mis en évidence qu’un certain nombre d’entre eux étaient des marqueurs traits ou des marqueurs liés à l’état au cours de la dépression.L’ensemble des données issues de notre étude pan-génomique et de notre étude sur les micro-ARN montre qu’il existe des interactions probables entre les micro-ARN et les ARNm dérégulés et ces données confirment le rôle possible des gènes régulant la chromatine ou l’expression des gènes dans la dépression.Enfin, l’étude des variabilités inter- et intra-individuelles de l’expression génétique confirme l’absence d’altération globale de la transcription au cours de la dépression et souligne l’importance d’un ensemble de molécules régulant la transcription dont l’expression est contrainte c’est à dire très peu variable d’un individu à l’autre et d’un moment à l’autre chez un même sujet.Si nous n’avons pas pu mener une étude validant des marqueurs biologiques, nos résultats ouvrent la voie à l’exploration à plus grande échelle de ces marqueurs potentiels comme à l’étude d’hypothèses originales sur la physiopathologie de la dépression.Major depression is a frequent and severe disease whose treatment is often inconsistent and patients care remains insufficient. Despite some hypothesis which implicate mono-amine and genetic factors, the pathophysiology of major depression remains unclear. Moreover, no biological marker is available in current clinical practice.Our work aims to propose methodological tools and offers preliminary results to develop such biological markers by studying gene expression in peripheral blood mononuclear cells from severe depressive patients and sex and age-matched controls in different comparative prospective studies. Candidate gene and pangenomic approaches were combined. Moreover, we explored for the first time human microRNA transcription variation in major depression by multiplex RT-qPCR.Among our main findings, we demonstrate that some well-known candidate gene such as serotonin transporter mRNA could be interesting biomarkers of major depression evolution or prognosis. In addition, pangenomic study highlights the implication of genes related to chromatin structure and gene expression regulation like histone family. We also identified variations in the expression of a set of microRNAs during a major depressive episode and, with in silico approaches, we propose putative functional interactions between candidate miRNAs and mRNAs.Overall, our work underlines the feasibility and the relevance of studying the level of expression of RNAs in a psychiatric disorder using peripheral tissues. We obtained both convergent and novel results in regard to previous investigations opening the way to better knowledge of major depression pathophysiology as well as biomarkers development

    La rencontre clinique comme acte de soins? (L'exemple de la psychothérapie)

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    AIX-MARSEILLE2-BU Méd/Odontol. (130552103) / SudocSudocFranceF

    Dépression et ARN messagers (de l'approche pangénomique à l'identification de biomarqueurs de la maladie)

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    AIX-MARSEILLE2-BU Méd/Odontol. (130552103) / SudocSudocFranceF

    Patients récurrents aux urgences psychiatriques (qui sont-ils?)

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    AIX-MARSEILLE2-BU Méd/Odontol. (130552103) / SudocSudocFranceF

    Hallucinations Toward a Dialogue between Phenomenology and Brain Imaging Research?

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    International audienceno abstrac

    Evaluation des co-morbidités psychiatriques chez les patients candidats à la chirurgie bariatrique

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    INTRODUCTION: Nos objectifs étaient chez les candidats à la chirurgie bariatrique de dépister les comorbidités psychiatriques. Nous avons également comparé chez ces patients, la prévalence du trouble de l'humeur, la qualité de vie, l'intensité du tempérament affectif instable, la perception de la corpulence, la motivation à faire une chirurgie et les objectifs de poids, en fonction de la présence ou non d'une hyperphagie boulimique (HB). METHODE: Nous avons recruté 92 patients dans un service de chirurgie bariatrique. Nous avons recueilli des données sociodémographiques et rempli des questionnaires standardisés. RESULTATS: à propos du dépistage, nous avons retrouvé que 33% des candidats souffraient d'un trouble digestif majeur (TDM) et 34% souffraient d'un trouble bipolaire de l'humeur (TBH). Nous avons constaté que parmi ceux qui souffraient d'un TBH, a moitié était soignée pour TDM. Nous avons mesuré une différence significative entre le groupe qui souffrait d'HB et celui qui n'en souffrait pas, sur la prévalence d'un TDM (p=0,01) et d'un TBH (p=0,002). Nous avons retrouvé que la diminution de la qualité de vie était corrélée à l'intensité du tempérament affectif instable. Nous n'avons pas retrouvé de différence significative sur la perception de la corpulence, les motivations à la chirurgie et les objectifs de poids entre les deux groupes. DISCUSSION: Notre étude renforce l'utilité d'un dépistage des troubles de l'humeur chez les patients candidats à la chirurgie bariatrique, en particulier s'ils souffrent d hyperphagie boulimiqueAIX-MARSEILLE2-BU Méd/Odontol. (130552103) / SudocSudocFranceF
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