Research and Education Activities in Electric Power Systems at the University of Liège

peer reviewedThis paper presents research and education activities of the power systems group of the Department of Electrical Engineering and Computer Science of the University of Liège. These activities cover power systems stability, security, reliability, and markets, within the contexts of expansion planning, operation planning and real-time operation and automatic control. The paper also reviews the international collaborations of the team

Cognitive processing in non-communicative patients:what can event-related potentials tell us?

Event-related potentials (ERP) have been proposed to improve the differential diagnosis of non-responsive patients. We investigated the potential of the P300 as a reliable marker of conscious processing in patients with locked-in syndrome (LIS). Eleven chronic LIS patients and 10 healthy subjects (HS) listened to a complex-tone auditory oddball paradigm, first in a passive condition (listen to the sounds) and then in an active condition (counting the deviant tones). Seven out of nine HS displayed a P300 waveform in the passive condition and all in the active condition. HS showed statistically significant changes in peak and area amplitude between conditions. Three out of seven LIS patients showed the P3 waveform in the passive condition and five of seven in the active condition. No changes in peak amplitude and only a significant difference at one electrode in area amplitude were observed in this group between conditions. We conclude that, in spite of keeping full consciousness and intact or nearly intact cortical functions, compared to HS, LIS patients present less reliable results when testing with ERP, specifically in the passive condition. We thus strongly recommend applying ERP paradigms in an active condition when evaluating consciousness in non-responsive patients

Effects of finite water depth and lateral confinement on ships wakes and resistance

International audienc

Calibrating and measuring wakes and drag forces of inland vessels in confined water in a towing tank

International audienceThis paper gives a review of the experimental methods developed in the towing tank of the Pprime Institute of the University of Poitiers, France, for the characterization of ship wakes and drag forces in confined waters. Different waterway configurations in calm water and in the presence of a current are reproduced in the experimental facility and small scale ship models of different block coefficients are considered. Stereoscopic optical methods have been developed in the laboratory for the measurement of the free surface deformation around the ship. The full wake generated by the ship is fully characterized and its hydraulic and undulatory properties are analyzed in both real space and spectral domain. In addition, a system for the measurement of the ship drag force has been set up and visualizations of the wakes have been performed in parallel with a high-speed camera, to relate the ship resistance crisis with its visual footprint in the wake

Yeast-yeast interactions revealed by aromatic profile analysis of Sauvignon Blanc wine fermented by single or co-culture of non-Saccharomyces and Saccharomyces yeasts.

International audienceThere has been increasing interest in the use of selected non-Saccharomyces yeasts in co-culture with Saccharomyces cerevisiae. The main reason is that the multistarter fermentation process is thought to simulate indigenous fermentation, thus increasing wine aroma complexity while avoiding the risks linked to natural fermentation. However, multistarter fermentation is characterised by complex and largely unknown interactions between yeasts. Consequently the resulting wine quality is rather unpredictable. In order to better understand the interactions that take place between non-Saccharomyces and Saccharomyces yeasts during alcoholic fermentation, we analysed the volatile profiles of several mono-culture and co-cultures. Candida zemplinina, Torulaspora delbrueckii and Metschnikowia pulcherrima were used to conduct fermentations either in mono-culture or in co-culture with S. cerevisiae. Up to 48 volatile compounds belonging to different chemical families were quantified. For the first time, we show that C. zemplinina is a strong producer of terpenes and lactones. We demonstrate by means of multivariate analysis that different interactions exist between the co-cultures studied. We observed a synergistic effect on aromatic compound production when M. pulcherrima was in co-culture with S. cerevisiae. However a negative interaction was observed between C. zemplinina and S. cerevisiae, which resulted in a decrease in terpene and lactone content. These interactions are independent of biomass production. The aromatic profiles of T. delbrueckii and S. cerevisiae in mono-culture and in co-culture are very close, and are biomass-dependent, reflecting a neutral interaction. This study reveals that a whole family of compounds could be altered by such interactions. These results suggest that the entire metabolic pathway is affected by these interactions

Pour une histoire du risque

L’histoire du risque que propose ce livre déborde largement les notions de statistique, de calcul probabilitaire et de traitement assurantiel des dangers. Si, en effet, le risque a une histoire, le risque est aussi histoire, car il concerne le rapport des sociétés au temps. Tout rapport au risque tente, à partir de l’expérience passée, de saisir un avenir probable pour agir dans le présent. Chaque contexte, chaque époque, chaque territoire, chaque communauté appréhende les dangers selon ses ressources culturelles d’une part, et selon les enjeux politiques, sociaux et économiques qui la traversent d’autre part. Le risque est un fait de culture, reflétant la façon dont la société se représente elle-même, envisage les phénomènes qui la menacent et définit l’altérité qui la borne. Des historiens de tous horizons ont recours, dans ces pages, au concept de risque pour comprendre le passé, pour examiner leur objet de recherche sous un angle différent, qu’il s’agisse d’histoire des sciences et techniques ou du droit, ou d’histoire environnementale, sociale ou politique. Cette démarche commune dévoile des convergences insoupçonnées et permet aux auteurs de renouer avec un problème d’une intelligibilité historique globale, problème crucial qui a pourtant été abandonné par la très grande majorité des historiens au cours des dernières décennies

Note d’appui scientifique et technique de l’Anses relative au projet de décret relatif à l’information sur les produits de protection intime

Citation suggérée : Anses. (2022). Note d’appui scientifique et technique de l'Anses relative au projet de décret relatif à l’information sur les produits de protection intime. (saisine 2022-SA-0106). Maisons-Alfort : Anses, 22 p.En 2019, l’Anses a publié un avis et un rapport sur la sécurité des protections intimes (Anses, 2019). Cette expertise n’a pas mis en évidence de préoccupation sanitaire liée aux substances chimiques présentes dans ces produits. Cependant, le principal risque documenté lié au portde protections intimes internes (tampon, coupe menstruelle) est le syndrome de choc toxique menstruel (SCT) qui, bien que rare, peut entrainer de graves conséquences sur la santé des femmes qui en sont victimes. Les protections intimes externes (serviettes, protège-slips) n’ontjamais été impliquées dans le SCT menstruel. Depuis cette expertise, des actions ont été mises en œuvre par le Gouvernement afin d’inciterles industriels à mettre en place des autocontrôles périodiques des produits et à améliorer leur processus d’approvisionnement et de fabrication de façon à supprimer ou limiter autant que possible la présence de substances chimiques préoccupantes (HAP, dioxines, furanes, phtalates, pesticides notamment). D’autre part, des contrôles périodiques ont été diligentés sur ces produits par la DGS et la DGCCRF dont les derniers résultats d’enquête sur les nouveaux produits de protection intime (serviettes réutilisables ou culottes menstruelles, tampons à usage unique dits « biologiques » ou réutilisables) ont été publiés en mars 2022. La DGCCRF et la DGS ont rédigé conjointement un projet de décret qui vise à renforcer laprotection et l’information des consommatrices et en particulier l’information spécifique sur les produits de protection intime sur les trois points essentiels suivants : la composition de ces produits, les modalités et précautions d’utilisation et les risques sanitaires associés à la composition ou l’utilisation de ces produits. Dans ce contexte, la DGCCRF et la DGS souhaitent disposer d’un avis de l’Anses sur le projet de décret relatif à l’information sur les produits de protection intime , en particulier sur les modalités et précautions d’utilisation mentionnées en annexe de ce projet, telles quenotamment le temps de port maximal recommandé des produits de protection intime à usage interne et la recommandation d’utilisation des produits de protection intime à usage externe la nuit

Note d’appui scientifique et technique de l’Anses relative au projet de décret relatif à l’information sur les produits de protection intime

Citation suggérée : Anses. (2022). Note d’appui scientifique et technique de l'Anses relative au projet de décret relatif à l’information sur les produits de protection intime. (saisine 2022-SA-0106). Maisons-Alfort : Anses, 22 p.En 2019, l’Anses a publié un avis et un rapport sur la sécurité des protections intimes (Anses, 2019). Cette expertise n’a pas mis en évidence de préoccupation sanitaire liée aux substances chimiques présentes dans ces produits. Cependant, le principal risque documenté lié au portde protections intimes internes (tampon, coupe menstruelle) est le syndrome de choc toxique menstruel (SCT) qui, bien que rare, peut entrainer de graves conséquences sur la santé des femmes qui en sont victimes. Les protections intimes externes (serviettes, protège-slips) n’ontjamais été impliquées dans le SCT menstruel. Depuis cette expertise, des actions ont été mises en œuvre par le Gouvernement afin d’inciterles industriels à mettre en place des autocontrôles périodiques des produits et à améliorer leur processus d’approvisionnement et de fabrication de façon à supprimer ou limiter autant que possible la présence de substances chimiques préoccupantes (HAP, dioxines, furanes, phtalates, pesticides notamment). D’autre part, des contrôles périodiques ont été diligentés sur ces produits par la DGS et la DGCCRF dont les derniers résultats d’enquête sur les nouveaux produits de protection intime (serviettes réutilisables ou culottes menstruelles, tampons à usage unique dits « biologiques » ou réutilisables) ont été publiés en mars 2022. La DGCCRF et la DGS ont rédigé conjointement un projet de décret qui vise à renforcer laprotection et l’information des consommatrices et en particulier l’information spécifique sur les produits de protection intime sur les trois points essentiels suivants : la composition de ces produits, les modalités et précautions d’utilisation et les risques sanitaires associés à la composition ou l’utilisation de ces produits. Dans ce contexte, la DGCCRF et la DGS souhaitent disposer d’un avis de l’Anses sur le projet de décret relatif à l’information sur les produits de protection intime , en particulier sur les modalités et précautions d’utilisation mentionnées en annexe de ce projet, telles quenotamment le temps de port maximal recommandé des produits de protection intime à usage interne et la recommandation d’utilisation des produits de protection intime à usage externe la nuit

Note d’appui scientifique et technique de l’Anses relative au projet de décret relatif à l’information sur les produits de protection intime

Citation suggérée : Anses. (2022). Note d’appui scientifique et technique de l'Anses relative au projet de décret relatif à l’information sur les produits de protection intime. (saisine 2022-SA-0106). Maisons-Alfort : Anses, 22 p.En 2019, l’Anses a publié un avis et un rapport sur la sécurité des protections intimes (Anses, 2019). Cette expertise n’a pas mis en évidence de préoccupation sanitaire liée aux substances chimiques présentes dans ces produits. Cependant, le principal risque documenté lié au portde protections intimes internes (tampon, coupe menstruelle) est le syndrome de choc toxique menstruel (SCT) qui, bien que rare, peut entrainer de graves conséquences sur la santé des femmes qui en sont victimes. Les protections intimes externes (serviettes, protège-slips) n’ontjamais été impliquées dans le SCT menstruel. Depuis cette expertise, des actions ont été mises en œuvre par le Gouvernement afin d’inciterles industriels à mettre en place des autocontrôles périodiques des produits et à améliorer leur processus d’approvisionnement et de fabrication de façon à supprimer ou limiter autant que possible la présence de substances chimiques préoccupantes (HAP, dioxines, furanes, phtalates, pesticides notamment). D’autre part, des contrôles périodiques ont été diligentés sur ces produits par la DGS et la DGCCRF dont les derniers résultats d’enquête sur les nouveaux produits de protection intime (serviettes réutilisables ou culottes menstruelles, tampons à usage unique dits « biologiques » ou réutilisables) ont été publiés en mars 2022. La DGCCRF et la DGS ont rédigé conjointement un projet de décret qui vise à renforcer laprotection et l’information des consommatrices et en particulier l’information spécifique sur les produits de protection intime sur les trois points essentiels suivants : la composition de ces produits, les modalités et précautions d’utilisation et les risques sanitaires associés à la composition ou l’utilisation de ces produits. Dans ce contexte, la DGCCRF et la DGS souhaitent disposer d’un avis de l’Anses sur le projet de décret relatif à l’information sur les produits de protection intime , en particulier sur les modalités et précautions d’utilisation mentionnées en annexe de ce projet, telles quenotamment le temps de port maximal recommandé des produits de protection intime à usage interne et la recommandation d’utilisation des produits de protection intime à usage externe la nuit