2,461 research outputs found

    Geology and drilling history of the Ashida #1 geothermal test, Opihikao prospect, Hawaii

    Get PDF
    Discussion of the drilling program and interpretation of downhole geology based on cuttings samples from the Barnwell Ashida #1 well.For Barnwell Industries, Inc., Honolulu, Hawaii

    Geology and drilling history of Lanipuna #1/sidetrack, Tokyo lands prospect, Hawaii

    Get PDF
    Discussion of the drilling program and interpretation of downhole geology based on cuttings samples from the Barnwell Lanipuna #1 sidetrack well.For Barnwell Industries, Inc., New York, New York

    The Labor Market Experience of Engineers in North America

    Get PDF
    Bien des motifs, qui vont des valeurs qu'ils incarnent au rôle qui leur est dévolu dans la croissance économique, ont incité les spécialistes des relations professionnelles à s'intéresser aux catégories de salariés de haute qualification, ingénieurs et hommes de science principalement. Aussi les études sur cette question se sont-elles multipliées au cours des derniers dix ans. Mais, toutefois, on les a presque toujours présentées dans une optique étroite qui ne faisait guère de place à la perspective historique et à l'évolution d'ensemble. Les travaux destinés à éclairer les changements survenus dans le temps et les variations d'un pays à l'autre sont peu nombreux. De plus, l'analyse s'avère parfois contradictoire. Les uns parlent de pénurie de main-d'oeuvre ; d'autres, d'excédent.À la lumière de ce qui précède, nous avons fait une étude comparative des expériences vécues par les ingénieurs du Canada et des États-Unis sur les divers marchés du travail. Nous espérons pouvoir en faire bientôt autant pour les scientifiques. Nous avons considéré les sujets suivants : ( 1 ) l'arrière-plan de la scolarité ; (2) l'état de l'offre et de la demande; (3) la répartition et l'étalement; (4) les traitements ; (5) la mobilité et les migrations ; et (6) l'utilisation. Les résultats se fondent à la fois sur la recherche de première et de seconde main, y compris les thèses de doctorat des auteurs.Trois caractéristiques communes fondamentales se retrouvent chez les ingénieurs diplômés tant canadiens qu'américains. Celles-ci donnent des indices très nets en ce qui concerne le choix de cette discipline. D'abord, plus que pour les autres diplômés d'université, il y a de bonnes chances que ces hommes — il y a peu de femmes parmi les diplômés en génie — soient fils d'ouvriers qualifiés ou d'apparentés. De plus, les diplômés en génie donnent l'impression d'être ambitieux et intelligents, d'avoir des centres d'intérêt variés. Enfin, ils voient dans leur formation d'ingénieur une préparation appropriée et rigoureuse menant à une grande diversité d'emplois. L'interaction des facteurs précédents débouche sur une insuffisance de forte motivation dans le choix d'une carrière ou d'une vocation vraiment marquée. Si la satisfaction laisse à désirer au plan technique, le diplômé en génie n'hésitera pas à chercher ailleurs, souvent du côté des carrières administratives.Depuis 1900, tant au Canada qu'aux États-Unis, le nombre des ingénieurs s'est accru plus rapidement que la population, que la main-d'oeuvre et que les autres travailleurs professionnels en général. Pendant cette période, l'immigration a joué un rôle plus marqué au Canada qu'aux États-Unis quand il s'est agi de répondre à la demande. De même, il y a beaucoup plus d'ingénieurs canadiens que d'ingénieurs américains qui détiennent un diplôme collégial. Ces divergences peuvent s'expliquer par des politiques d'immigration et des concepts statistiques différents, la rapidité des changements techniques et l'accession des sans-diplôme à la profession.Les éléments déterminants de la demande d'ingénieurs se ressemblent d'un pays à l'autre. Les changements dans la structure économique ont joué un rôle prédominant ici comme là-bas. Les industries qui avaient et ont toujours le plus recours au savoir de l'ingénieur se trouvent être celles qui se développent le plus vite, du moins jusqu'à maintenant. En réalité, la demande ne provient que d'un nombre de sources relativement restreintes : les industries chimiques et électriques, certaines entreprises d'utilité publique, le gouvernement fédéral et quelques institutions appartenant au secteur tertiaire.Une analyse sommaire de la demande d'ingénieurs entre 1930 et 1960 indique que l'offre l'emportait dans les deux économies durant les années '30 et '40. Au cours des années '50 et au début des années '60, grâce à l'expansion de l'une et de l'autre dans le domaine technique, la situation s'est inversée. L'écart paraît assez tranché pour parler d'excédent dans les deux premières décennies et de pénurie par après. Les rapports provisoires des recensements laissent voir que l'équilibre s'établit à peu près entre l'offre et la demande dans les deux pays vers la fin des années '60.D'une façon générale, il y a beaucoup plus de ressemblance que de différence dans la répartition des ingénieurs dans l'un et l'autre pays, qu'il s'agisse de la concentration territoriale ou industrielle ou de la spécialité (génie civil, génie électrique, etc). À cause des besoins de l'industrie et des sociétés, les divergences sont beaucoup plus accusées quand il s'agit du premier emploi. Il ne fait pas de doute que la spécialisation des ingénieurs américains et le rôle relativement important qu'ils jouent dans les travaux de recherches et de développement constituent un double avantage. Par ailleurs, pour les ingénieurs canadiens diplômés, la recherche et le développement reste une activité de départ attrayante, mais elle est insaisissable.Comparés à l'ensemble, les traitements des ingénieurs ont baissé aux États-Unis et au Canada entre 1930 et 1950, mais, depuis la demie du siècle, ils ont pris une courbe ascendante et même dépassé le taux de croissance de rémunération de toutes les autres catégories de salariés. Depuis 1950, le pourcentage annuel du taux d'accroissement des salaires parmi les ingénieurs s'établit entre 4 et 9 pour cent par année tant au Canada qu'aux États-Unis, ceux des débutants dans la carrière s'élevant beaucoup plus rapidement que ceux des ingénieurs d'expérience. Reflet dela demande et d'un éventail plus grand de choix, c'est chez les débutants que la disparité dans les salaires est la plus prononcée entre les deux pays. Résultat jusqu'ici : un nombre important de jeunes ingénieurs canadiens émigrent aux États-Unis pour revenir plus tard quand ils ont pris de l'âge.Dans l'un et dans l'autre pays, les ingénieurs diplômés ont tendance à s'orienter vers les carrières administratives. Cette tendance est plus forte au Canada où la spécialisation offre moins de choix et où les ingénieurs subissent moins la concurrence des diplômés en sciences de l'administration. Les ingénieurs diplômés canadiens sont tout aussi mobiles que leurs collègues américains. Les jeunes ingénieurs changent en moyenne deux fois d'emploi tous les dix ans sur le marché du travail. Le taux de mobilité décroît avec l'âge, mais plus lentement que parmi les cols bleus. Les occasions de changer de travail ou de fonction à l'intérieur même des sociétés deviennent plus nombreuses et, souvent, elles freinent les déplacements d'un employeur à l'autre. Le chômage ne fait pas problème et, en dépit des coupures dans les contrats de la Défense aux États-Unis, vues en longue période, les perspectives d'emploi pour les ingénieurs sont bonnes. La tendance à l'immigration d'un côté à l'autre de la frontière se continuera. Jusqu'ici, des considérations d'ordre économique sont principalement à la source des mutations d'emploi et de l'immigration, mais on décèle également d'autres facteurs.L'éventail des postes occupés par les ingénieurs reflète les caractères de leur personnalité, leur formation scolaire et leurs expériences professionnelles. Si l'on considère l'élasticité du marché du travail comme critère d'une saine utilisation, il y a plusieurs indices encourageants : liberté de déplacement, grande amplitude de déplacement, présence d'une grande diversité d'emploi, adaptation aux conditions économiques et fréquemment, augmentation de salaire dès la mutation. D'une façon générale, les exigences de la fonction et les qualifications individuelles s'équilibrent bien. Mais que les employeurs réclament la possession d'un diplôme dans une spécialité, c'est quelque peu manquer de réalisme et se montrer faussement exigeant, surtout si l'on considère la proportion des ingénieurs diplômés qui déclarent n'utiliser que leurs connaissances de base dans leur travail.Les États-Unis, dont l'industrie est diverisfiée et avancée, peuvent offrir un meilleur choix aux ingénieurs qui recherchent un milieu de travail spécialisé et une activité professionnelle déterminée. Mais cette situation comporte comme conséquences le danger d'une spécialisation trop poussée et la possibilité de chômage. Les ingénieurs diplômés canadiens ont moins d'occasions de travailler toujours dans la branche de leur spécialité, mais ils trouvent à utiliser fort bien leur formation universitaire de base. On remarque que, dans les deux pays, à mesure que le temps passe, il y a progrès en ce qui concerne l'utilisation des connaissances en génie. Aussi, la majorité des ingénieurs diplômés estiment leur profession et ne se font pas faute de la recommander à qui veut poursuivre une carrière intéressante.The authors have undertaken a major project which they envision ultimately as an on-going analysis of the labor market behavior of technical and scientific manpower in highly developed economies. Their paper represents a first step in this direction

    Evaluation of sanguineous and crystalloid cardioplegic solutions during total heart-lung bypass in dogs

    Get PDF
    Twenty-four mongrel dogs were subjected to sanguineous and crystalloid cardioplegia for a period of thirty minutes at 20°C and 25°C systemic hypothermia during cardiopulmonary bypass. Cardioplegic solutions were administered at 4°C to induce cardioplegia. Physiological functions of the myocardium revealed that the cardiac function returned to normal sinus rhythm without any loss when blood cardioplegic solution was used at both hypothermic temperatures. The time taken for cardioplegia and cardiac electrical quiescence was achieved earlier at 20°C. Animals in sanguineous cardioplegic group revealed better functional return and revival of cardiac musculature in terms of lesser applications of defibrillator, lesser requirement of inotropic support and early cardiac contraction. This study revealed that sanguineous cardioplegic solution at a systemic temperature of 20°C was found to afford better myocardial protection during an arrest period of 30 minutes

    On the X-ray variability of magnetar 1RXS J170849.0-400910

    Get PDF
    We present a long-term X-ray flux and spectral analysis for 1RXS J170849.0-400910 using Swift/XRT spanning over 8 years from 2005-2013. We also analyze two observations from Chandra and XMM in the period from 2003-2004. In this 10-yr period, 1RXS J170849.0-400910 displayed several rotational glitches. Previous studies have claimed variations in the X-ray emission associated with some of the glitches. From our analysis we find no evidence for significant X-ray flux variations and evidence for only low-level spectral variations. We also present an updated timing solution for 1RXS J170849.0-400910, from RXTE and Swift observations, which includes a previously unreported glitch at MJD 56019. We discuss the frequency and implications of radiatively quiet glitches in magnetars.Comment: 9 pages, 2 figures, accepted for publication in Ap

    Plans for a Neutron EDM Experiment at SNS

    Get PDF
    The electric dipole moment of the neutron, leptons, and atoms provide a unique window to Physics Beyond the Standard Model. We are currently developing a new neutron EDM experiment (the nEDM Experiment). This experiment, which will be run at the 8.9 A Neutron Line at the Fundamental Neutron Physics Beamline (FNPB) at the Spallation Neutron Source (SNS) at the Oak Ridge National Laboratory, will search for the neutron EDM with a sensitivity two orders of magnitude better than the present limit. In this paper, the motivation for the experiment, the experimental method, and the present status of the experiment are discussed.Comment: 9 Pages, 4 Figures, submitted to the proceedings of the Second Meeting of the APS Topical Group on Hadronic Physics, Nashville, TN, October 22-24, 200

    Note and Comment

    Get PDF
    When the Descendants of a Predeceased Legatee Will Not Take Under a Statute of Substitution - There are in most states statutes declaring that if a person named as legatee dies before the testator, his descendants shall take his share. Downing v. Nicholson, 115 Ia. 493; Strong v. Smith, 84 Mich. 567; x8 A. & E. ENCYC. Ol LAw, 2d Ed. 755. A common type is such as is found in the Civil Code of California, sec. 1310, viz.: When any estate is devised or bequeathed to any child or other relation of the testator and the devisee or legatee dies before the testator, leaving lineal descendants, such descendants take the estate so given by the will in the same manner as the devisee or legatee would have done had he survived the testator. Under this statute the Supreme Court of California has just held (two judges dissenting) that descendants of a legatee dying after the will was made, but before a codicil confirming it do not take because (I) the statute is one of distribution having reference only to conditions existing at the time of death of the maker of the will and not to the time of the decease of the original legatee, (2) because the republication subsequent to the death of the legatee made the lapsed legacy a void legacy, and (3) because the statute applied only to lapsed and not to void legacies. In re Matthews\u27 Estate, (Calif. z918), x69 Pac. 233

    Evidence of strong stabilizing effects on the evolution of boreoeutherian (Mammalia) dental proportions.

    Get PDF
    The dentition is an extremely important organ in mammals with variation in timing and sequence of eruption, crown morphology, and tooth size enabling a range of behavioral, dietary, and functional adaptations across the class. Within this suite of variable mammalian dental phenotypes, relative sizes of teeth reflect variation in the underlying genetic and developmental mechanisms. Two ratios of postcanine tooth lengths capture the relative size of premolars to molars (premolar-molar module, PMM), and among the three molars (molar module component, MMC), and are known to be heritable, independent of body size, and to vary significantly across primates. Here, we explore how these dental traits vary across mammals more broadly, focusing on terrestrial taxa in the clade of Boreoeutheria (Euarchontoglires and Laurasiatheria). We measured the postcanine teeth of N = 1,523 boreoeutherian mammals spanning six orders, 14 families, 36 genera, and 49 species to test hypotheses about associations between dental proportions and phylogenetic relatedness, diet, and life history in mammals. Boreoeutherian postcanine dental proportions sampled in this study carry conserved phylogenetic signal and are not associated with variation in diet. The incorporation of paleontological data provides further evidence that dental proportions may be slower to change than is dietary specialization. These results have implications for our understanding of dental variation and dietary adaptation in mammals

    Crowdfunding biodiversity conservation

    Get PDF
    Raising funds is critical for conserving biodiversity and hence so too is scrutinizing emerging financial mechanisms that might help achieve this goal. In this context, anecdotal evidence indicates crowdfunding is being used to support a variety of activities needed for biodiversity conservation, yet its magnitude and allocation remain largely unknown. We conducted a global analysis to help address this knowledge gap, based on empirical data from conservation‐focused projects extracted from crowdfunding platforms. For each project, we determined the funds raised, date, country of implementation, proponent characteristics, activity type, biodiversity realm, and target taxa. We identified 72 relevant platforms and 577 conservation‐focused projects that have raised US$4 790 634 since 2009. Whilst proponents were based in 38 countries, projects were delivered across 80 countries, indicating a potential mechanism of resource mobilization. Proponents were from non‐governmental organizations (35%), universities (30%), or were freelancers (26%). Most projects were for research (40%), persuasion (31%), and on‐ground actions (21%). Projects have focused primarily on species (57.7%) and terrestrial ecosystems (20.3%), and less on marine (8.8%) and freshwater ecosystems (3.6%). Projects have focused on 208 species, including a disproportionate number of threatened bird and mammal species. Crowdfunding for biodiversity conservation has now become a global phenomenon and presents signals for potential expansion, despite possible pitfalls. Opportunities arise from its spatial amplifying effect, steady increase over time, inclusion of Cinderella species, adoption by multiple actors, and funding of a range of activities beyond research. Our study paves the way for further research on key questions, such as campaign success rates, effectiveness, and drivers of adoption. Even though the capital input of crowdfunding so far has been modest compared to other conservation finance mechanisms, its contribution goes beyond funding research and providing capital. Embraced with due care, crowdfunding could potentially become an increasingly important financial mechanism for biodiversity conservation
    corecore