17 research outputs found

    Survival advantage of hemodialysis relative to peritoneal dialysis in patients with end-stage renal disease and congestive heart failure

    Get PDF
    Peritoneal dialysis (PD) has been proposed as a therapeutic option for patients with end-stage renal disease and associated congestive heart failure (CHF). Here, we compare mortality risks in these patients by dialysis modality by including all patients who started planned chronic dialysis with associated congestive heart failure and were prospectively enrolled in the French REIN Registry. Survival was compared between 933 PD and 3468 hemodialysis (HD) patients using a Kaplan–Meier model, Cox regression, and propensity score analysis. The patients were followed from their first dialysis session and stratified by modality at day 90 or last modality if death occurred prior. There was a significant difference in the median survival time of 20.4 months in the PD group and 36.7 months in the HD group (hazard ratio, 1.55). After correction for confounders, the adjusted hazard ratio for death in PD compared to the HD patients remained significant at 1.48. Subgroup analyses showed that the results were not changed with regard to the New York Heart Association stage, age strata, or estimated glomerular filtration rate strata at first renal replacement therapy. The use of propensity score did not change results (adjusted hazard ratio, 1.55). Thus, mortality risk was higher with PD than with HD among incident patients with end-stage renal disease and congestive heart failure. These results may help guide clinical decisions and also highlight the need for randomized clinical trials

    Stroke care in Brazil and France : national policies and healthcare indicators comparison

    Get PDF
    Objective: To identify the commonalities and discrepancies between national health policies to combat stroke in France and Brazil. Justification: Both healthcare systems were structured as universal access and comprehensive care attention, hierarchized by the level of care, politically and administratively decentralized. France is an industrialized, high-income country, with health care involving copayment and reimbursement of expenses, and spontaneous demand for services. Brazil is a member of the BRICs, of upper middle income with totally free health care, with an active search for hypertension and diabetes in the general population. Methods: Data regarding policies, risk factors, and health indicators about stroke care, from 2010 to 2017, were obtained from both countries (publicly accessible information or on request) from the respective Ministries of Health or international agencies. Results: About acute stroke hospitalizations, on average, Brazil has 0.75 per 1000 annual population hospitalizations versus 1.54 per 1000 in France. Brazil has 0.21 per 1000 population deaths per year versus 0.40 per 1000 in France. The in-hospital mortality rate in Brazil has 139 per 1000 hospitalized people versus 263 in France. The average length of stay of acute hospitalizations was 7.6 days in Brazil versus 12.6 in France. The prevalence of strokes by age group shows from 0 to 39 years old (this rate is stable); 40–59 years (it is increasing in both countries); and 60–79 and 80+ years (this rate has been increasing in France and decreasing in Brazil). Conclusion: No major differences were found about the health policies and the National Health Plans related to stroke. However, the data directly linked to the period of hospitalization differed substantially between countries. Subsequent studies can be implemented to identify the explanatory factors, notably among the risk factors and actions in primary care, and the moments after hospital care, such as secondary prevention and palliative care

    Evolution des dosages de la 25-hydroxyvitamine D de 2008 à 2012 dans une population française adulte (étude de cohorte descriptive à partir d'une base de données de l'assurance maladie)

    No full text
    La carence en vitamine D est responsable du rachitisme chez l'enfant et de l'ostéomalacie chez l'adulte. De basses concentrations en 25 hydroxyvitaminc D (2501-ID) sont également connues pour être un facteur de risque de l'ostéoporose. C'est dans ce contexte que sont réalisés la plupart des dosages sanguins de 2501-lD, métabolite de choix permettant d'évaluer le statut vitaminique D d'un patient. Ces demi ères années, de nombreuses études ont observé des associations entre le statut vitaminique D et un grand nombre de pathologies ou anomalies (cancer, maladies cardio-vasculaires, troubles du métabolisme glucidique, maladies neurodégénératives, etc.). Parallèlement, le nombre de prescriptions des dosages de 2501-lD a augmenté de façon massive en France, mais également au niveau mondial. Cependant, peu de données épidémiologiques décrivent ces évolutions. Le but de cette étude est de mesurer l'augmentation du nombre de prescriptions des dosages réalisées en France, sur une période de 5 ans, de 2008 à 2012, et de décrire les modalités de prescriptions concernant les patients et les prescripteurs ainsi que le contexte et Je nombre de prescriptions pour chaque patient. Pour cela, les données d'une base de l'assurance maladie, l'échantillon généraliste de bénéficiaires (EGB), sont utilisées. Les remboursements par l'assurance maladie, liés à la réalisation des dosages de vitamine D, codés selon la nomenclature des actes de biologie médicale et la table nationale des actes de biologie sont extraits de cette base. Tous les patients ayant eu au moins un dosage du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2012 sont inclus. L'analyse porte sur 90454 patients et met en évidence une prédominance-féminine (76,1%) avec un âge moyen de 60 ans. Les dosages de 25OHD sont 7,5 fois plus élevés, passant de 8975 en 2008 à 66870 en 2012 et 56,8% ont en un seul dosage. Les médecins généralistes sont les principaux prescripteurs et cette prescription est associée à d'autres dosages non spécifiques de l'exploration des troubles du métabolisme phospho-calcique. Cette étude montre une augmentation très importante des dosages de 2501-lD, caractérisée par une systématisation des prescriptions à un nombre croissant de patients dans le cadre d'un bilan de routineLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Élaboration et comparaison de modèles de prédiction de la fracture ostéoporotique de la hanche, chez la femme agée, à partir des ultrasons et des facteurs de risques cliniques

    No full text
    Notre but était de développer et de tester des modèles de prédiction de a fracture ostéoporotique de la hanche, chez la femme, en utilisant les ultrasons (US) du calcaneum et des facteurs de risque cliniques (FDR. Nous avons développé deux types sd'approches, un score de risque, basé sur un modèle de Cox, et un modèle de probabilité à 10 ans, basé sur un modèle de Poisson. Chacune a été construite en utlisant les US et les FDR, combinés d'une part, et séparément, d'autre part. CDeux seuils, de haut et de bas risqe, ont été définis, classant les femmes en 3 niveaux de risque. /es stratégies ont été comparées, en termes de sensibilité, spécificité, valeurs prédictives positive et négative, et de gradient de risque. Combiner els US et ldes FDR préente une valeur ajoutée, pour les deux méthodlogies. Le modèle de probabilité, de perfomances similaires à celles du score de risque, sera préféré car une probabilité de fractuer est plus facilement interprétable qu'une valeur de scoreLYON1-BU.Sciences (692662101) / SudocSudocFranceF

    Trajectoire et profil gériatrique des patients âgés de 75 ans et plus appelant le SAMU-centre 15 (étude rétrospective de 692 appels à la régulation médicale du SAMU 69 et analyse des patients envoyés aux urgences)

    No full text
    Le Service d'Aide Médicale d'Urgence se doit d'apporter une réponse rapide et adaptée aux besoins de soins urgents des patients. Avec l'augmentation de l'espérance de vie et des maladies à risques de décompensation, le recours des personnes âgées au SAMU s'accroît. Face à la complexité de la régulation de cette population, l'envoi dans des Services d'Accueil des Urgences est parfois la seule alternative. Pourtant il est inapproprié à la prise en charge de soins non urgents. L'objectif principal de cette étude est de décrire le profil gériatrique et la trajectoire des patients de 75 ans et plus depuis l'appel au centre 15 jusqu'à leur orientation au décours des urgences à travers l'écoute d'appels les concernant à la régulation du SAMU. Une étude descriptive réalisée au SAMU-Centre 15 du Rhône a été réalisée, reposant sur l'écoute rétrospective d'appels sur 7 jours randomisés entre le 01/04/2012 et le 31/03/2013. Tous les patients de 75 ans et plus étaient inclus. Les données gériatriques nécessaires à la régulation, définies par un consensus d'expert, ont été recueillies. Concernant les patients adressés aux urgences, la durée de leur passage, la CCMU et leur orientation à l'issue du séjour étaient recherchés. Sur les 4168 appels, 17.1% concernaient des sujets de 75 ans et plus. L'âge moyen des 692 patients inclus était de 85 +- 6 ans. Ils étaient régulés par un médecin hospitalier (30,5%), un médecin libéral ( 48,5%) ou l'infirmier coordonnant les opérations-pompiers (21%). Les items permettant une évaluation gériatrique à minima étaient renseignés dans 10% des appels. Les patients vivaient en établissement surveillé dans 14,9% des cas. A la fin de la régulation, 426 patients (61,6%) étaient adressés aux urgences et 242 patients restaient à domicile. Les facteurs indépendants prédisposant l'envoi aux urgences étaient: le motif traumatologique, la résidence en établissement surveillé et l'appel entre 8h et 18h. La durée de leur passage au SAU variait de 13 minutes à 23h06 pour une médiane de 4h34 [2h37; 6h58]. L'état clinique de 73,1% des patients était considéré stable (CCMU 1 ou 2). Le pronostic vital de 4,5% des sujets était engagé (CCMU 4 ou 5). Près de 30% des patients adressés par le SAMU consultaient le SAU suite à une chute. A l'issue des urgences, 226 patients étaient hospitalisés dont 94 à l'UHCD. Les patients régulés pour un motif médical et ceux prenant plus de 3 médicaments avaient un risque accru et indépendant, dès la régulation, d'être hospitalisé au décours des urgences. Sur l'ensemble des patients âgés appelant le centre-15, 8,3% étaient admis dans des structures de soins intensifs, 18,3% dans un service de médecine, 5,0% dans un service de chirurgie et 7,6% dans un service de gériatrie. Le SAMU-centre 15 peut s'inscrire en tant qu'élément de la filière gériatrique en limitant les envois inappropriés au SAU. Une ligne téléphonique directe entre les interlocuteurs, un outil d'aide à la régulation gériatrique ou la présence d'un gériatre au centre 15 sont des pistes envisageables. En améliorant la coordination ville-hôpital, ces mesures permettront d'optimiser la trajectoire de soin des personnes âgées et de réduire les dépenses de santéLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Stroke care in Brazil and France : national policies and healthcare indicators comparison

    Get PDF
    Objective: To identify the commonalities and discrepancies between national health policies to combat stroke in France and Brazil. Justification: Both healthcare systems were structured as universal access and comprehensive care attention, hierarchized by the level of care, politically and administratively decentralized. France is an industrialized, high-income country, with health care involving copayment and reimbursement of expenses, and spontaneous demand for services. Brazil is a member of the BRICs, of upper middle income with totally free health care, with an active search for hypertension and diabetes in the general population. Methods: Data regarding policies, risk factors, and health indicators about stroke care, from 2010 to 2017, were obtained from both countries (publicly accessible information or on request) from the respective Ministries of Health or international agencies. Results: About acute stroke hospitalizations, on average, Brazil has 0.75 per 1000 annual population hospitalizations versus 1.54 per 1000 in France. Brazil has 0.21 per 1000 population deaths per year versus 0.40 per 1000 in France. The in-hospital mortality rate in Brazil has 139 per 1000 hospitalized people versus 263 in France. The average length of stay of acute hospitalizations was 7.6 days in Brazil versus 12.6 in France. The prevalence of strokes by age group shows from 0 to 39 years old (this rate is stable); 40–59 years (it is increasing in both countries); and 60–79 and 80+ years (this rate has been increasing in France and decreasing in Brazil). Conclusion: No major differences were found about the health policies and the National Health Plans related to stroke. However, the data directly linked to the period of hospitalization differed substantially between countries. Subsequent studies can be implemented to identify the explanatory factors, notably among the risk factors and actions in primary care, and the moments after hospital care, such as secondary prevention and palliative care

    Examining transcranial random noise stimulation as an add-on treatment for persistent symptoms in schizophrenia (STIM’Zo): a study protocol for a multicentre, double-blind, randomized sham-controlled clinical trial

    No full text
    International audienceBackground: One out of three patients with schizophrenia failed to respond adequately to antipsychotics and continue to experience debilitating symptoms such as auditory hallucinations and negative symptoms. The development of additional therapeutic approaches for these persistent symptoms constitutes a major goal for patients. Here, we develop a randomized-controlled trial testing the efficacy of high-frequency transcranial random noise stimulation (hf-tRNS) for the treatment of resistant/persistent symptoms of schizophrenia in patients with various profiles of symptoms, cognitive deficits and illness duration. We also aim to investigate the biological and cognitive effects of hf-tRNS and to identify the predictors of clinical response. Methods: In a randomized, double-blind, 2-arm parallel-group, controlled, multicentre study, 144 patients with schizophrenia and persistent symptoms despite the prescription of at least one antipsychotic treatment will be randomly allocated to receive either active (n = 72) or sham (n = 72) hf-tRNS. hf-tRNS (100-500 Hz) will be delivered for 20 min with a current intensity of 2 mA and a 1-mA offset twice a day on 5 consecutive weekdays. The anode will be placed over the left dorsolateral prefrontal cortex and the cathode over the left temporoparietal junction. Patients' symptoms will be assessed prior to hf-tRNS (baseline), after the 10 sessions, and at 1-, 3-and 6-month follow-up. The primary outcome will be the number of responders defined as a reduction of at least 25% from the baseline scores on the Positive and Negative Syndrome Scale (PANSS) after the 10 sessions. Secondary outcome
    corecore