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    The anterolateral complex of the knee: results from the International ALC Consensus Group Meeting

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    The structure and function of the anterolateral complex (ALC) of the knee has created much controversy since the 're-discovery' of the anterolateral ligament (ALL) and its proposed role in aiding control of anterolateral rotatory laxity in the anterior cruciate ligament (ACL) injured knee. A group of surgeons and researchers prominent in the field gathered to produce consensus as to the anatomy and biomechanical properties of the ALC. The evidence for and against utilisation of ALC reconstruction was also discussed, generating a number of consensus statements by following a modified Delphi process. Key points include that the ALC consists of the superficial and deep aspects of the iliotibial tract with its Kaplan fibre attachments on the distal femur, along with the ALL, a capsular structure within the anterolateral capsule. A number of structures attach to the area of the Segond fracture including the capsule-osseous layer of the iliotibial band, the ALL and the anterior arm of the short head of biceps, and hence it is not clear which is responsible for this lesion. The ALC functions to provide anterolateral rotatory stability as a secondary stabiliser to the ACL. Whilst biomechanical studies have shown that these structures play an important role in controlling stability at the time of ACL reconstruction, the optimal surgical procedure has not yet been defined clinically. Concern remains that these procedures may cause constraint of motion, yet no clinical studies have demonstrated an increased risk of osteoarthritis development. Furthermore, clinical evidence is currently lacking to support clear indications for lateral extra-articular procedures as an augmentation to ACL reconstruction. The resulting statements and scientific rationale aim to inform readers on the most current thinking and identify areas of needed basic science and clinical research to help improve patient outcomes following ACL injury and subsequent reconstruction. Level of evidence V

    Des chercheurs INRAE traquent les mutations de rĂ©sistance aux herbicides Ă  l’aide du sĂ©quençage Ă  trĂšs haut dĂ©bit. Newsletter SPE (DĂ©partement INRAE SantĂ© des Plantes et Environnement) n°19, 31 aout 2021

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    article internet DĂ©partement INRAE SantĂ© des Plantes et Environnement) n°19, 31 aout 2021Les inhibiteurs de l’ALS en Ă©chec face Ă  l’ambroisie Ă  feuilles d’armoiseEn France, la rĂ©sistance aux herbicides inhibiteurs de l’acĂ©tolactate-synthase (ALS) Ă©merge chez l’ambroisie. TrĂšs utilisĂ©s car applicables sur la majoritĂ© des grandes cultures, ces produits phytosanitaires gĂ©nĂ©ralistes inhibent l’ALS, une enzyme clĂ© des vĂ©gĂ©taux dans la synthĂšse d’acides aminĂ©s essentiels. Ils constituent la deuxiĂšme famille de dĂ©sherbants la plus employĂ©e, et en paient le tribut : la rĂ©sistance Ă  cette classe d’herbicides a Ă©tĂ© identifiĂ©e dans plus de 160 espĂšces d’adventices, ou « mauvaises herbes ». RĂ©cemment rajoutĂ©e Ă  cette liste, l’ambroisie Ă  feuilles d’armoise (Ambrosia artemisiifolia) est une plante envahissante et allergĂšne originaire d’AmĂ©rique du Nord introduite en Europe au XIXĂšme siĂšcle.Solidement implantĂ©e en France mĂ©tropolitaine, elle s’est lentement Ă©tendue depuis son foyer dans la vallĂ©e du RhĂŽne dans les annĂ©es 1880, jusqu’à atteindre aujourd’hui la quasi-totalitĂ© des dĂ©partements de l’hexagone. Plante pionniĂšre tout-terrain, l’ambroisie peut aussi bien coloniser les cultures que les chantiers, les abords des routes ou les friches. Menaçante pour l’équilibre des Ă©cosystĂšmes locaux et les agriculteurs, elle l’est aussi pour nombre de personnes allergiques, puisque le pollen qu’elle relĂąche massivement entre aoĂ»t et octobre peut provoquer des rĂ©actions particuliĂšrement violentes chez les individus sensibles.Trouver l’aiguille dans la botte de foin.Pour limiter la propagation de la rĂ©sistance aux inhibiteurs de l’ALS, des chercheurs INRAE ont dĂ©veloppĂ©, avec l’ambroisie comme modĂšle, une procĂ©dure permettant la dĂ©tection massive des mutations causant une rĂ©sistance et la quantification de leurs frĂ©quences. Pour ce faire, les chercheurs ont gĂ©notypĂ© par sĂ©quençage Ă  trĂšs haut dĂ©bit des portions codantes du gĂšne de l’ALS de 10950 plantes, collectĂ©es dans 219 parcelles sĂ©lectionnĂ©es au hasard sur la base de la prĂ©sence de fortes infestations d’ambroisie. C’est dans les 40 millions de sĂ©quences obtenues que les scientifiques ont cherchĂ© des mutations du gĂšne de l’ALS connues pour confĂ©rer une rĂ©sistance aux herbicides, grĂące Ă  un programme informatique de leur conception capable de reconnaĂźtre ces infimes altĂ©rations gĂ©nĂ©tiques dans un ocĂ©an de donnĂ©es.RĂ©sultat : cinq mutations diffĂ©rentes ont Ă©tĂ© dĂ©tectĂ©es dans 15 parcelles groupĂ©es en quatre foyers de rĂ©sistance, dont le plus important dans le Tarn-et-Garonne, le dĂ©partement oĂč a eu lieu le premier signalement de rĂ©sistance de l’ambroisie aux inhibiteurs de l’ALS. Ce travail valide le concept de diagnostic massif des rĂ©sistances aux produits phytosanitaires par sĂ©quençage Ă  trĂšs haut dĂ©bit, et permet d’établir une premiĂšre cartographie des foyers de rĂ©sistance de l’ambroisie, pouvant mener Ă  l’avenir Ă  des campagnes d’arrachage ciblĂ©. L’équipe travaille dĂ©sormais Ă  Ă©tendre et systĂ©matiser ce type d’analyses Ă  d’autres adventices

    Des chercheurs INRAE traquent les mutations de rĂ©sistance aux herbicides Ă  l’aide du sĂ©quençage Ă  trĂšs haut dĂ©bit. Newsletter SPE (DĂ©partement INRAE SantĂ© des Plantes et Environnement) n°19, 31 aout 2021

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    article internet DĂ©partement INRAE SantĂ© des Plantes et Environnement) n°19, 31 aout 2021Les inhibiteurs de l’ALS en Ă©chec face Ă  l’ambroisie Ă  feuilles d’armoiseEn France, la rĂ©sistance aux herbicides inhibiteurs de l’acĂ©tolactate-synthase (ALS) Ă©merge chez l’ambroisie. TrĂšs utilisĂ©s car applicables sur la majoritĂ© des grandes cultures, ces produits phytosanitaires gĂ©nĂ©ralistes inhibent l’ALS, une enzyme clĂ© des vĂ©gĂ©taux dans la synthĂšse d’acides aminĂ©s essentiels. Ils constituent la deuxiĂšme famille de dĂ©sherbants la plus employĂ©e, et en paient le tribut : la rĂ©sistance Ă  cette classe d’herbicides a Ă©tĂ© identifiĂ©e dans plus de 160 espĂšces d’adventices, ou « mauvaises herbes ». RĂ©cemment rajoutĂ©e Ă  cette liste, l’ambroisie Ă  feuilles d’armoise (Ambrosia artemisiifolia) est une plante envahissante et allergĂšne originaire d’AmĂ©rique du Nord introduite en Europe au XIXĂšme siĂšcle.Solidement implantĂ©e en France mĂ©tropolitaine, elle s’est lentement Ă©tendue depuis son foyer dans la vallĂ©e du RhĂŽne dans les annĂ©es 1880, jusqu’à atteindre aujourd’hui la quasi-totalitĂ© des dĂ©partements de l’hexagone. Plante pionniĂšre tout-terrain, l’ambroisie peut aussi bien coloniser les cultures que les chantiers, les abords des routes ou les friches. Menaçante pour l’équilibre des Ă©cosystĂšmes locaux et les agriculteurs, elle l’est aussi pour nombre de personnes allergiques, puisque le pollen qu’elle relĂąche massivement entre aoĂ»t et octobre peut provoquer des rĂ©actions particuliĂšrement violentes chez les individus sensibles.Trouver l’aiguille dans la botte de foin.Pour limiter la propagation de la rĂ©sistance aux inhibiteurs de l’ALS, des chercheurs INRAE ont dĂ©veloppĂ©, avec l’ambroisie comme modĂšle, une procĂ©dure permettant la dĂ©tection massive des mutations causant une rĂ©sistance et la quantification de leurs frĂ©quences. Pour ce faire, les chercheurs ont gĂ©notypĂ© par sĂ©quençage Ă  trĂšs haut dĂ©bit des portions codantes du gĂšne de l’ALS de 10950 plantes, collectĂ©es dans 219 parcelles sĂ©lectionnĂ©es au hasard sur la base de la prĂ©sence de fortes infestations d’ambroisie. C’est dans les 40 millions de sĂ©quences obtenues que les scientifiques ont cherchĂ© des mutations du gĂšne de l’ALS connues pour confĂ©rer une rĂ©sistance aux herbicides, grĂące Ă  un programme informatique de leur conception capable de reconnaĂźtre ces infimes altĂ©rations gĂ©nĂ©tiques dans un ocĂ©an de donnĂ©es.RĂ©sultat : cinq mutations diffĂ©rentes ont Ă©tĂ© dĂ©tectĂ©es dans 15 parcelles groupĂ©es en quatre foyers de rĂ©sistance, dont le plus important dans le Tarn-et-Garonne, le dĂ©partement oĂč a eu lieu le premier signalement de rĂ©sistance de l’ambroisie aux inhibiteurs de l’ALS. Ce travail valide le concept de diagnostic massif des rĂ©sistances aux produits phytosanitaires par sĂ©quençage Ă  trĂšs haut dĂ©bit, et permet d’établir une premiĂšre cartographie des foyers de rĂ©sistance de l’ambroisie, pouvant mener Ă  l’avenir Ă  des campagnes d’arrachage ciblĂ©. L’équipe travaille dĂ©sormais Ă  Ă©tendre et systĂ©matiser ce type d’analyses Ă  d’autres adventices

    Regulatory effects of interleukin (IL)-1, interferon-beta, and IL-4 on the production of IL-1 receptor antagonist by human adipose tissue

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    Adipose tissue is the source of production and site of action of several pro- and antiinflammatory cytokines. We have recently shown that white adipose tissue (WAT) is a major producer of the antiinflammatory IL-1 receptor antagonist (IL-1Ra). Because IL-1Ra serum levels are elevated 7-fold in human obesity and an excess of this protein has been implicated in the acquired resistance to leptin and insulin, we investigated the regulation of IL-1Ra in human WAT. We demonstrate that IL-1Ra is mainly produced by adipocytes, rather than the stromal fraction of WAT, and that IL-1alpha and beta, as well as interferon-beta (IFN-beta), strongly up-regulate the expression and secretion of IL-1Ra in WAT. Moreover, human WAT expresses the receptors and proteins known to be required for the action of IL-1 (IL-1 receptor type I, IL-1 receptor accessory protein) and IFN-beta (IFN-alpha/beta receptor subunits 1 and 2). Finally, human WAT actively secretes these regulatory cytokines, suggesting that they up-regulate IL-1Ra through a local autocrine/paracrine action, which is hypothesized to play a regulatory role in adipogenesis and metabolism
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