30 research outputs found

    Tracking leatherback turtles from the world's largest rookery: assessing threats across the South Atlantic

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    addresses: Centre for Ecology and Conservation, School of Biosciences, University of Exeter, Exeter, UK.notes: PMCID: PMC3119016types: Journal Article; Research Support, Non-U.S. Gov't; Research Support, U.S. Gov't, Non-P.H.S.Despite extensive work carried out on leatherback turtles (Dermochelys coriacea) in the North Atlantic and Indo-Pacific, very little is known of the at-sea distribution of this species in the South Atlantic, where the world's largest population nests in Gabon (central Africa). This paucity of data is of marked concern given the pace of industrialization in fisheries with demonstrable marine turtle bycatch in African/Latin American waters. We tracked the movements of 25 adult female leatherback turtles obtaining a range of fundamental and applied insights, including indications for methodological advancement. Individuals could be assigned to one of three dispersal strategies, moving to (i) habitats of the equatorial Atlantic, (ii) temperate habitats off South America or (iii) temperate habitats off southern Africa. While occupying regions with high surface chlorophyll concentrations, these strategies exposed turtles to some of the world's highest levels of longline fishing effort, in addition to areas with coastal gillnet fisheries. Satellite tracking highlighted that at least 11 nations should be involved in the conservation of this species in addition to those with distant fishing fleets. The majority of tracking days were, however, spent in the high seas, where effective implementation of conservation efforts is complex to achieve

    Communautés micro-algales : effets de la matière organique dissoute et des pesticides sur l’activité photosynthétique et la composition taxonomique

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    National audienceLe contexte de changement global pose des questions spécifiques aux milieux aquatiques du littoral Aquitain, liées aux répercussions des modifications climatiques sur les sources et le devenir des substances dissoutes d'origine naturelle (Matière Organique Dissoute, MOD) et anthropique (pesticides), ainsi que leurs impacts sur l'écosystème aquatique. Le projet COMPACT a pour objectif principal d'étudier l'impact écologique des pesticides sur les communautés micro-algales du Bassin d’Arcachon et de son principal tributaire (La Leyre) en fonction des assemblages d’espèces, des saisons et de la composition du milieu en MOD. Malgré la continuité entre écosystèmes aquatiques continentaux et littoraux, très peu d'études se sont attachées jusqu'ici à comparer les réponses des micro-algues dans ces deux écosystèmes. Les travaux relatifs à la réponse des micro-algues aux variations de conditions environnementales pouvant résulter du changement climatique, et notamment à des variations de qualité/quantité de MOD ou pesticides, traitent généralement de conditions d’exposition à des facteurs seuls, souvent dans le cadre de tests standardisés, monospécifiques. Il découle de ces approches mono-facteur et mono-espèce un manque flagrant de réalisme écologique, principalement dû à la difficulté de prendre en compte la multiplicité des facteurs abiotiques et biotiques impliqués, de manière directe et indirecte. Les approches d’écotoxicologie des communautés visent à répondre en partie à ce besoin croissant. Les interactions complexes entre organismes vivants, MOD et contaminants, dans des écosystèmes aquatiques très différents (dulçaquicole versus marin), compliquent la prévision des effets toxiques combinés sur le biote. Selon leur nature, et/ou leur intensité, ces déterminants environnementaux peuvent, d'une part, modifier le comportement et la biodisponibilité des substances chimiques organiques et, d'autre part, produire des effets divergents sur les organismes aquatiques. Dans un contexte de multi-stress, la combinaison de ces facteurs est susceptible de provoquer des effets écotoxicologiques imprévus sur les communautés micro-algales, que le projet COMPACT se propose d'explorer. Ce projet propose une approche pluridisciplinaire originale, couplant chimie, écotoxicologie et biologie, dans le but d’améliorer la compréhension des mécanismes d’interactions MOD/pesticides. Cette approche permettra de faire le lien entre la présence de MOD et de contaminants, et l’impact toxique sur les communautés de micro-algues qui forment la base des réseaux trophiques en milieu aquatique. En plus de la description des réponses structurelles (taxonomie, proportion des différents groupes algaux, quantité de chlorophylle) et fonctionnelles (activité photosynthétique) dans ces communautés aquatiques profondément différentes (mais rarement comparées), ce projet vise à produire des connaissances sur les réponses des micro-algues à des conditions d’exposition chimique complexes, en intégrant les phénomènes d’interaction MOD/pesticides. Cette étude permettra donc de mieux comprendre les effets des pesticides sur les communautés naturelles de micro-algues au sein d’un continuum eau douce / eau marine, tout en tenant compte des interactions chimiques entre contaminants et matière organique. Les expérimentations mises en oeuvre permettront de déterminer si les pesticides ont un effet sur les communautés, et si cet effet est influencé par la présence et le type de matière organique. Les réponses des communautés seront comparées selon les saisons et leur site d’origine, afin de déterminer si la sensibilité des espèces considérées diffère selon l’environnement d’origine des communautés

    Devastating Decline of Forest Elephants in Central Africa.

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    African forest elephants– taxonomically and functionally unique–are being poached at accelerating rates, but we lack range-wide information on the repercussions. Analysis of the largest survey dataset ever assembled for forest elephants (80 foot-surveys; covering 13,000 km; 91,600 person-days of fieldwork) revealed that population size declined by ca. 62% between 2002–2011, and the taxon lost 30% of its geographical range. The population is now less than 10% of its potential size, occupying less than 25% of its potential range. High human population density, hunting intensity, absence of law enforcement, poor governance, and proximity to expanding infrastructure are the strongest predictors of decline. To save the remaining African forest elephants, illegal poaching for ivory and encroachment into core elephant habitat must be stopped. In addition, the international demand for ivory, which fuels illegal trade, must be dramatically reduced
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