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    Utilisation du carbure de tungstÚne-cobalt (WC-Co) comme témoin positif génotoxique nanoparticulaire et étude de la génotoxicité de candidats nanovecteurs de médicaments

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    Nanomaterials are used in many industrial sectors, and many nanomaterial-containing consumer products are already available. In this context of increasing human exposure to nanomaterials, the evaluation of their genotoxicity is of significant importance. However, the relevance of routinely used genotoxicity assays, developed for non-nanoparticular products, is often questioned for the evaluation of nanomaterials. A nanoparticulate reference positive control would therefore constitute an important step to a better testing of nanomaterials genotoxicity, ensuring that test systems are actually appropriate and/or allowing the validation of new ones.Firstly, we studied the possibility of using commercially-available tungsten carbide-cobalt (WC-Co) nanoparticles, previously characterized for physicochemical properties (size distribution and charge in used media), as positive control in three in vitro genotoxicity assays. The mouse lymphoma thymidine kinase gene mutation assay, the micronucleus assay studying chromosomal aberrations and the comet assay detecting primary DNA damage were performed. The last two assays were realized in two cell types, the mouse lymphoma cell line L5178Y and primary cultures of human lymphocytes. Our results show that WC-Co nanoparticles could be used as positive control in these in vitro genotoxicity assays, according to cell type and treatment schedule.Secondly, we investigated the mechanisms of action involved in WC-Co nanoparticles genotoxicity. Detection of centromeres in micronuclei using fluorescence in situ hybridization (FISH) show the involvement of both clastogenic and aneugenic activities. This was correlated with the results of a chromosome aberration assay on human lymphocytes blocked in metaphase, showing chromatid breaks and polyploid cells. Moreover, as oxidative mechanisms are the most described for nanomaterials, we studied oxidative DNA damage using the modified in vitro comet assay with the DNA repair enzyme formamidopyrimidine DNA glycosylase (FPG). We also detected a production of hydroxyl radicals using electron paramagnetic resonance in suspensions of WC-Co nanoparticles with and without cells. While performing high-throughput assays on WC-Co nanoparticles in three human cell lines corresponding to the main target organs for nanomaterials (A549 lung cell line, Hep3B liver cell line and Caki-1 kidney cell line) it was confirmed that oxidative stress play a significant role in the toxicity of WC-Co nanoparticles. Indeed, the production of reactive oxygen species in cells exposed to WC-Co nanoparticles was correlated to the observation of cytotoxicity and genotoxicity, studied using the detection of γH2AX foci.Finally, we carried out the most relevant genotoxicity assays to study nanodiamonds and lipid nanocapsules, which constitute promising nanovectors for drug delivery. The in vitro comet and micronucleus assays were performed on other cell types mimicking target organs: the T84 intestinal epithelial cell line and the 16-HBE bronchial epithelial cell line exposed to nanodiamonds of three different sizes, and human lymphocytes exposed to lipid nanocapsules of three different sizes and three different charges.Les nanomatĂ©riaux sont utilisĂ©s dans de nombreux secteurs industriels, et plusieurs produits de consommation contenant des nanomatĂ©riaux sont d’ores et dĂ©jĂ  commercialisĂ©s. Dans ce contexte d’exposition humaine croissante aux nanomatĂ©riaux, l’évaluation de leur potentiel gĂ©notoxique est d’une importance significative. Cependant, la pertinence des tests classiques de gĂ©notoxicitĂ©, dĂ©veloppĂ©s pour des produits non nanoparticulaires, est frĂ©quemment remise en question pour l’évaluation des nanomatĂ©riaux. Un tĂ©moin positif de rĂ©fĂ©rence sous forme nanoparticulaire pourrait donc constituer une avancĂ©e importante pour l’évaluation de la gĂ©notoxicitĂ© des nanomatĂ©riaux, permettant de s’assurer que les systĂšmes d’essais sont appropriĂ©s et/ou d’en valider de nouveaux.Dans un premier temps, nous avons Ă©tudiĂ© la possibilitĂ© d’utiliser des nanoparticules de carbure de tungstĂšne – cobalt (WC-Co) commerciales, prĂ©alablement caractĂ©risĂ©es sur le plan physico-chimique (distribution de taille et charge dans les milieux utilisĂ©s), comme tĂ©moin positif dans trois essais de gĂ©notoxicitĂ© in vitro. Le test de mutations gĂ©niques au locus thymidine kinase sur cellules de lymphome de souris, le test des micronoyaux Ă©tudiant les dommages chromosomiques et le test des comĂštes dĂ©tectant les dommages primaires Ă  l’ADN ont ainsi Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s, les deux derniers essais dans deux types cellulaires, la lignĂ©e de lymphome de souris L5178Y et des cultures primaires de lymphocytes humains. Nos rĂ©sultats montrent que les nanoparticules de WC-Co pourraient ĂȘtre utilisĂ©es comme tĂ©moin positif dans ces essais de gĂ©notoxicitĂ© in vitro, selon le type cellulaire et le schĂ©ma de traitement.Nous avons ensuite Ă©tudiĂ© les mĂ©canismes d’action impliquĂ©s dans la gĂ©notoxicitĂ© des nanoparticules de WC-Co. Le marquage des centromĂšres dans les micronoyaux grĂące Ă  la technique d’hybridation in situ en fluorescence (FISH) montre l’implication d’évĂšnements clastogĂšnes et aneugĂšnes. Ces rĂ©sultats ont Ă©tĂ© confirmĂ©s par un essai d’aberrations chromosomiques sur lymphocytes humains bloquĂ©s en mĂ©taphase, avec l’observation de cassures de chromatides et de cellules polyploĂŻdes. Par ailleurs, les mĂ©canismes oxydants Ă©tant les plus dĂ©crits pour les nanomatĂ©riaux, nous avons Ă©tudiĂ© les lĂ©sions oxydatives Ă  l’ADN en utilisant le test des comĂštes in vitro modifiĂ© avec l’enzyme de rĂ©paration de l’ADN formamidopyrimidine DNA glycosylase (FPG). Nous avons Ă©galement dĂ©tectĂ© par rĂ©sonance paramagnĂ©tique Ă©lectronique une production de radicaux hydroxyles aprĂšs mise en suspension des nanoparticules de WC-Co en prĂ©sence et en absence de cellules. Dans le cadre d’études haut-dĂ©bit des nanoparticules de WC-Co rĂ©alisĂ©es dans trois lignĂ©es cellulaires humaines correspondant aux principaux organes cibles pour les nanomatĂ©riaux (la lignĂ©e pulmonaire A549, la lignĂ©e hĂ©patique Hep3B et la lignĂ©e rĂ©nale Caki-1), il a Ă©tĂ© confirmĂ© que le stress oxydant joue un rĂŽle important dans la toxicitĂ© des nanoparticules de WC-Co. En effet, la production d’espĂšces rĂ©actives de l’oxygĂšne dans les cellules traitĂ©es avec les nanoparticules de WC-Co Ă©tait corrĂ©lĂ©e avec l’observation d’une cytotoxicitĂ© et de gĂ©notoxicitĂ©, Ă©tudiĂ©e Ă  l’aide du test de dĂ©tection des foyers γH2AX.Finalement, nous avons appliquĂ© les tests de gĂ©notoxicitĂ© les plus pertinents Ă  l’étude de nanodiamants et de nanocapsules lipidiques, qui constituent des candidats prometteurs pour la vectorisation de principes actifs. Les tests des comĂštes et des micronoyaux in vitro ont ainsi Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s sur d’autres types cellulaires mimant des organes cibles : la lignĂ©e intestinale T84 et la lignĂ©e bronchique 16-HBE exposĂ©es Ă  des nanodiamants de trois tailles diffĂ©rentes et des lymphocytes humains exposĂ©s Ă  des nanocapsules lipidiques de 3 tailles et 3 charges diffĂ©rentes

    Use of tungsten carbide-cobalt (WC-Co) as genotoxic positive reference nanoparticles and study of the genotoxicity of potential nanovectors for drug delivery

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    Les nanomatĂ©riaux sont utilisĂ©s dans de nombreux secteurs industriels, et plusieurs produits de consommation contenant des nanomatĂ©riaux sont d’ores et dĂ©jĂ  commercialisĂ©s. Dans ce contexte d’exposition humaine croissante aux nanomatĂ©riaux, l’évaluation de leur potentiel gĂ©notoxique est d’une importance significative. Cependant, la pertinence des tests classiques de gĂ©notoxicitĂ©, dĂ©veloppĂ©s pour des produits non nanoparticulaires, est frĂ©quemment remise en question pour l’évaluation des nanomatĂ©riaux. Un tĂ©moin positif de rĂ©fĂ©rence sous forme nanoparticulaire pourrait donc constituer une avancĂ©e importante pour l’évaluation de la gĂ©notoxicitĂ© des nanomatĂ©riaux, permettant de s’assurer que les systĂšmes d’essais sont appropriĂ©s et/ou d’en valider de nouveaux.Dans un premier temps, nous avons Ă©tudiĂ© la possibilitĂ© d’utiliser des nanoparticules de carbure de tungstĂšne – cobalt (WC-Co) commerciales, prĂ©alablement caractĂ©risĂ©es sur le plan physico-chimique (distribution de taille et charge dans les milieux utilisĂ©s), comme tĂ©moin positif dans trois essais de gĂ©notoxicitĂ© in vitro. Le test de mutations gĂ©niques au locus thymidine kinase sur cellules de lymphome de souris, le test des micronoyaux Ă©tudiant les dommages chromosomiques et le test des comĂštes dĂ©tectant les dommages primaires Ă  l’ADN ont ainsi Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s, les deux derniers essais dans deux types cellulaires, la lignĂ©e de lymphome de souris L5178Y et des cultures primaires de lymphocytes humains. Nos rĂ©sultats montrent que les nanoparticules de WC-Co pourraient ĂȘtre utilisĂ©es comme tĂ©moin positif dans ces essais de gĂ©notoxicitĂ© in vitro, selon le type cellulaire et le schĂ©ma de traitement.Nous avons ensuite Ă©tudiĂ© les mĂ©canismes d’action impliquĂ©s dans la gĂ©notoxicitĂ© des nanoparticules de WC-Co. Le marquage des centromĂšres dans les micronoyaux grĂące Ă  la technique d’hybridation in situ en fluorescence (FISH) montre l’implication d’évĂšnements clastogĂšnes et aneugĂšnes. Ces rĂ©sultats ont Ă©tĂ© confirmĂ©s par un essai d’aberrations chromosomiques sur lymphocytes humains bloquĂ©s en mĂ©taphase, avec l’observation de cassures de chromatides et de cellules polyploĂŻdes. Par ailleurs, les mĂ©canismes oxydants Ă©tant les plus dĂ©crits pour les nanomatĂ©riaux, nous avons Ă©tudiĂ© les lĂ©sions oxydatives Ă  l’ADN en utilisant le test des comĂštes in vitro modifiĂ© avec l’enzyme de rĂ©paration de l’ADN formamidopyrimidine DNA glycosylase (FPG). Nous avons Ă©galement dĂ©tectĂ© par rĂ©sonance paramagnĂ©tique Ă©lectronique une production de radicaux hydroxyles aprĂšs mise en suspension des nanoparticules de WC-Co en prĂ©sence et en absence de cellules. Dans le cadre d’études haut-dĂ©bit des nanoparticules de WC-Co rĂ©alisĂ©es dans trois lignĂ©es cellulaires humaines correspondant aux principaux organes cibles pour les nanomatĂ©riaux (la lignĂ©e pulmonaire A549, la lignĂ©e hĂ©patique Hep3B et la lignĂ©e rĂ©nale Caki-1), il a Ă©tĂ© confirmĂ© que le stress oxydant joue un rĂŽle important dans la toxicitĂ© des nanoparticules de WC-Co. En effet, la production d’espĂšces rĂ©actives de l’oxygĂšne dans les cellules traitĂ©es avec les nanoparticules de WC-Co Ă©tait corrĂ©lĂ©e avec l’observation d’une cytotoxicitĂ© et de gĂ©notoxicitĂ©, Ă©tudiĂ©e Ă  l’aide du test de dĂ©tection des foyers γH2AX.Finalement, nous avons appliquĂ© les tests de gĂ©notoxicitĂ© les plus pertinents Ă  l’étude de nanodiamants et de nanocapsules lipidiques, qui constituent des candidats prometteurs pour la vectorisation de principes actifs. Les tests des comĂštes et des micronoyaux in vitro ont ainsi Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s sur d’autres types cellulaires mimant des organes cibles : la lignĂ©e intestinale T84 et la lignĂ©e bronchique 16-HBE exposĂ©es Ă  des nanodiamants de trois tailles diffĂ©rentes et des lymphocytes humains exposĂ©s Ă  des nanocapsules lipidiques de 3 tailles et 3 charges diffĂ©rentes.Nanomaterials are used in many industrial sectors, and many nanomaterial-containing consumer products are already available. In this context of increasing human exposure to nanomaterials, the evaluation of their genotoxicity is of significant importance. However, the relevance of routinely used genotoxicity assays, developed for non-nanoparticular products, is often questioned for the evaluation of nanomaterials. A nanoparticulate reference positive control would therefore constitute an important step to a better testing of nanomaterials genotoxicity, ensuring that test systems are actually appropriate and/or allowing the validation of new ones.Firstly, we studied the possibility of using commercially-available tungsten carbide-cobalt (WC-Co) nanoparticles, previously characterized for physicochemical properties (size distribution and charge in used media), as positive control in three in vitro genotoxicity assays. The mouse lymphoma thymidine kinase gene mutation assay, the micronucleus assay studying chromosomal aberrations and the comet assay detecting primary DNA damage were performed. The last two assays were realized in two cell types, the mouse lymphoma cell line L5178Y and primary cultures of human lymphocytes. Our results show that WC-Co nanoparticles could be used as positive control in these in vitro genotoxicity assays, according to cell type and treatment schedule.Secondly, we investigated the mechanisms of action involved in WC-Co nanoparticles genotoxicity. Detection of centromeres in micronuclei using fluorescence in situ hybridization (FISH) show the involvement of both clastogenic and aneugenic activities. This was correlated with the results of a chromosome aberration assay on human lymphocytes blocked in metaphase, showing chromatid breaks and polyploid cells. Moreover, as oxidative mechanisms are the most described for nanomaterials, we studied oxidative DNA damage using the modified in vitro comet assay with the DNA repair enzyme formamidopyrimidine DNA glycosylase (FPG). We also detected a production of hydroxyl radicals using electron paramagnetic resonance in suspensions of WC-Co nanoparticles with and without cells. While performing high-throughput assays on WC-Co nanoparticles in three human cell lines corresponding to the main target organs for nanomaterials (A549 lung cell line, Hep3B liver cell line and Caki-1 kidney cell line) it was confirmed that oxidative stress play a significant role in the toxicity of WC-Co nanoparticles. Indeed, the production of reactive oxygen species in cells exposed to WC-Co nanoparticles was correlated to the observation of cytotoxicity and genotoxicity, studied using the detection of γH2AX foci.Finally, we carried out the most relevant genotoxicity assays to study nanodiamonds and lipid nanocapsules, which constitute promising nanovectors for drug delivery. The in vitro comet and micronucleus assays were performed on other cell types mimicking target organs: the T84 intestinal epithelial cell line and the 16-HBE bronchial epithelial cell line exposed to nanodiamonds of three different sizes, and human lymphocytes exposed to lipid nanocapsules of three different sizes and three different charges

    Comparison of In Vitro Endocrine Activity of Phthalates and Alternative Plasticizers

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    Because of the deleterious effects of phthalates, regulations have been taken to decrease their use, and the needs for alternatives are increasing. Due to the concerns about the endocrine-disrupting properties of phthalates, it was deemed necessary to particularly investigate these effects for potential substitutes. In this study, we compared the in vitro endocrine activity of several already used potential alternative plasticizers (DEHT, DINCH, and TOTM) or new substitutes (POLYSORBÂź isosorbide and POLYSORBÂź ID 46) to one of 2 phthalates, DEHP and DINP. Effects of these chemicals on 3 common mechanisms of endocrine disruption, i.e., interaction with estrogen receptors (ER), androgen receptors (AR), or steroidogenesis, were studied using extensively used in vitro methods. In the E-Screen assay, only DEHP moderately induced MCF-7 cell proliferation; none of the other tested substances were estrogenic or antiestrogenic. No androgenic or antiandrogenic activity in MDA-kb2 cells was shown for any of the tested phthalates or alternatives. On the other hand, both DEHP and DINP, as well as DEHT, DINCH, and TOTM, disrupted steroidogenesis in the H295R assay, mainly by inducing an increase in estradiol synthesis; no such effect was observed for POLYSORBÂź isosorbide and POLYSORBÂź ID 46

    Cocktails of endocrine disruptors in the different diets of French consumers

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    International audienceWith a view to identifying main endocrine disruptors (ED) mixtures to which French consumers are exposed through food, their main diets were modelled using an adapted dimension reduction method. Seven specific diets could be modelled for adults while only one overall diet was considered for children aged 3–17 years. The knowledge of the contamination levels of 78 known or suspected endocrine disrupting compounds in the foods constituting these diets, collected in the frame of the second French Total Diet Study, made it possible to explore the mixtures of EDs to which consumers are exposed. We have thus shown that the ED substances most present in mass concentration are comparable for the whole population, whatever the diet considered. However, a second approach made it possible to highlight, for a given diet, the substances whose exposure is statistically higher than in the diet of the general population. Thus, significantly different ED mixtures could be established for each diet. For example, diets with a high proportion of animal-based foods induce significantly higher exposures to some persistent organic pollutants (e.g., PCDD/F, brominated flame retardants), whereas these exposures are lower for Mediterranean-type diet. On the other hand, the latter, richer in fruits and vegetables, is the one for which pesticides represent a specific signature.These results now pave the way for studying the specific effects of these cocktails of endocrine disruptors, each of which is representative of a type of chronic exposure linked to specific diets

    Avis de l'Anses relatif Ă  l’évaluation du triphĂ©nylphosphate (TPP) (EC No 204-112-2 ; CAS No 115-86-6) dans le cadre de l’évaluation des substances sous REACH

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    Citation suggĂ©rĂ©e : Anses, 2022. Avis de l’Anses relatif Ă  l’évaluation du triphĂ©nylphosphate (TPP) (EC No 204-112-2 ; CAS No 115-86-6) dans le cadre de l’évaluation des substances sous REACH (saisine 2022-REACh-0027). Maisons-Alfort : Anses, 12 p.Dans le cadre de la procĂ©dure d’évaluation des substances prĂ©vue par le RĂšglement REACH n°1907/2006 (articles 44 Ă  48), les Etats Membres de l’Union europĂ©enne (UE) et des pays de l’Espace Ă©conomique europĂ©en (Ă  savoir la NorvĂšge, l'Islande et le Liechtenstein) Ă©valuent chaque annĂ©e des substances jugĂ©es prioritaires, dans le but de clarifier une ou des prĂ©occupation(s) Ă©manant de la fabrication et/ou de l’utilisation de ces substances et qui pourrai(en)t entraĂźner un risque pour la santĂ© humaine et/ou pour l’environnement. Ces substances sont inscrites sur le plan d’action continu communautaire (CoRAP), publiĂ© sur le site internet de l’Agence europĂ©enne des produits chimiques (ECHA) avec une courte description des prĂ©occupations initialement identifiĂ©es pour chacune des substances. Dans la majoritĂ© des cas, ces prĂ©occupations initiales sont liĂ©es aux propriĂ©tĂ©s de danger potentiel, en combinaison avec une utilisation susceptible de conduire Ă  une dispersion environnementale ou des usages gĂ©nĂ©rant une exposition pour les consommateurs. Les États membres peuvent cibler leur Ă©valuation sur la prĂ©occupation initiale, mais peuvent aussi l’élargir Ă  tout ou partie des propriĂ©tĂ©s de la substance. A l’issue des 12 mois d'Ă©valuation par l’État membre Ă©valuateur, deux situations peuvent se prĂ©senter :a) des informations supplĂ©mentaires peuvent ĂȘtre demandĂ©es aux dĂ©clarants des substances, si ces donnĂ©es additionnelles sont jugĂ©es nĂ©cessaires pour lever un doute sur un danger suspectĂ©. Dans ce cas, un projet de dĂ©cision est discutĂ© au sein du ComitĂ© des Etats-membres (CEM) de l’Agence europĂ©enne des produits chimiques (ECHA) ;b) il peut ĂȘtre conclu qu'aucune donnĂ©e supplĂ©mentaire n'est nĂ©cessaire. Dans ce cas, un document de conclusion est rĂ©digĂ©. Il peut alors ĂȘtre accompagnĂ© ou suivi d’une analyse des meilleures options de mesures de gestion rĂ©glementaires Ă  mettre en Ɠuvre si des dangers ou des risques nĂ©cessitant une action rĂ©glementaire ont Ă©tĂ© identifiĂ©s lors de l’évaluation. (Extrait

    Avis de l'Anses relatif Ă  l’évaluation du triphĂ©nylphosphate (TPP) (EC No 204-112-2 ; CAS No 115-86-6) dans le cadre de l’évaluation des substances sous REACH

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    Citation suggĂ©rĂ©e : Anses, 2022. Avis de l’Anses relatif Ă  l’évaluation du triphĂ©nylphosphate (TPP) (EC No 204-112-2 ; CAS No 115-86-6) dans le cadre de l’évaluation des substances sous REACH (saisine 2022-REACh-0027). Maisons-Alfort : Anses, 12 p.Dans le cadre de la procĂ©dure d’évaluation des substances prĂ©vue par le RĂšglement REACH n°1907/2006 (articles 44 Ă  48), les Etats Membres de l’Union europĂ©enne (UE) et des pays de l’Espace Ă©conomique europĂ©en (Ă  savoir la NorvĂšge, l'Islande et le Liechtenstein) Ă©valuent chaque annĂ©e des substances jugĂ©es prioritaires, dans le but de clarifier une ou des prĂ©occupation(s) Ă©manant de la fabrication et/ou de l’utilisation de ces substances et qui pourrai(en)t entraĂźner un risque pour la santĂ© humaine et/ou pour l’environnement. Ces substances sont inscrites sur le plan d’action continu communautaire (CoRAP), publiĂ© sur le site internet de l’Agence europĂ©enne des produits chimiques (ECHA) avec une courte description des prĂ©occupations initialement identifiĂ©es pour chacune des substances. Dans la majoritĂ© des cas, ces prĂ©occupations initiales sont liĂ©es aux propriĂ©tĂ©s de danger potentiel, en combinaison avec une utilisation susceptible de conduire Ă  une dispersion environnementale ou des usages gĂ©nĂ©rant une exposition pour les consommateurs. Les États membres peuvent cibler leur Ă©valuation sur la prĂ©occupation initiale, mais peuvent aussi l’élargir Ă  tout ou partie des propriĂ©tĂ©s de la substance. A l’issue des 12 mois d'Ă©valuation par l’État membre Ă©valuateur, deux situations peuvent se prĂ©senter :a) des informations supplĂ©mentaires peuvent ĂȘtre demandĂ©es aux dĂ©clarants des substances, si ces donnĂ©es additionnelles sont jugĂ©es nĂ©cessaires pour lever un doute sur un danger suspectĂ©. Dans ce cas, un projet de dĂ©cision est discutĂ© au sein du ComitĂ© des Etats-membres (CEM) de l’Agence europĂ©enne des produits chimiques (ECHA) ;b) il peut ĂȘtre conclu qu'aucune donnĂ©e supplĂ©mentaire n'est nĂ©cessaire. Dans ce cas, un document de conclusion est rĂ©digĂ©. Il peut alors ĂȘtre accompagnĂ© ou suivi d’une analyse des meilleures options de mesures de gestion rĂ©glementaires Ă  mettre en Ɠuvre si des dangers ou des risques nĂ©cessitant une action rĂ©glementaire ont Ă©tĂ© identifiĂ©s lors de l’évaluation. (Extrait

    Avis de l'Anses relatif Ă  l’évaluation du triphĂ©nylphosphate (TPP) (EC No 204-112-2 ; CAS No 115-86-6) dans le cadre de l’évaluation des substances sous REACH

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    Citation suggĂ©rĂ©e : Anses, 2022. Avis de l’Anses relatif Ă  l’évaluation du triphĂ©nylphosphate (TPP) (EC No 204-112-2 ; CAS No 115-86-6) dans le cadre de l’évaluation des substances sous REACH (saisine 2022-REACh-0027). Maisons-Alfort : Anses, 12 p.Dans le cadre de la procĂ©dure d’évaluation des substances prĂ©vue par le RĂšglement REACH n°1907/2006 (articles 44 Ă  48), les Etats Membres de l’Union europĂ©enne (UE) et des pays de l’Espace Ă©conomique europĂ©en (Ă  savoir la NorvĂšge, l'Islande et le Liechtenstein) Ă©valuent chaque annĂ©e des substances jugĂ©es prioritaires, dans le but de clarifier une ou des prĂ©occupation(s) Ă©manant de la fabrication et/ou de l’utilisation de ces substances et qui pourrai(en)t entraĂźner un risque pour la santĂ© humaine et/ou pour l’environnement. Ces substances sont inscrites sur le plan d’action continu communautaire (CoRAP), publiĂ© sur le site internet de l’Agence europĂ©enne des produits chimiques (ECHA) avec une courte description des prĂ©occupations initialement identifiĂ©es pour chacune des substances. Dans la majoritĂ© des cas, ces prĂ©occupations initiales sont liĂ©es aux propriĂ©tĂ©s de danger potentiel, en combinaison avec une utilisation susceptible de conduire Ă  une dispersion environnementale ou des usages gĂ©nĂ©rant une exposition pour les consommateurs. Les États membres peuvent cibler leur Ă©valuation sur la prĂ©occupation initiale, mais peuvent aussi l’élargir Ă  tout ou partie des propriĂ©tĂ©s de la substance. A l’issue des 12 mois d'Ă©valuation par l’État membre Ă©valuateur, deux situations peuvent se prĂ©senter :a) des informations supplĂ©mentaires peuvent ĂȘtre demandĂ©es aux dĂ©clarants des substances, si ces donnĂ©es additionnelles sont jugĂ©es nĂ©cessaires pour lever un doute sur un danger suspectĂ©. Dans ce cas, un projet de dĂ©cision est discutĂ© au sein du ComitĂ© des Etats-membres (CEM) de l’Agence europĂ©enne des produits chimiques (ECHA) ;b) il peut ĂȘtre conclu qu'aucune donnĂ©e supplĂ©mentaire n'est nĂ©cessaire. Dans ce cas, un document de conclusion est rĂ©digĂ©. Il peut alors ĂȘtre accompagnĂ© ou suivi d’une analyse des meilleures options de mesures de gestion rĂ©glementaires Ă  mettre en Ɠuvre si des dangers ou des risques nĂ©cessitant une action rĂ©glementaire ont Ă©tĂ© identifiĂ©s lors de l’évaluation. (Extrait

    Avis de l'Anses relatif Ă  l’évaluation des substances inscrites au programme de travail 2021 del’Agence dans le cadre de la deuxiĂšme stratĂ©gie nationale sur les perturbateurs endocriniens (SNPE2) : MĂ©lamine (n°CAS : 108-78-1)

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    La deuxiĂšme StratĂ©gie nationale sur les perturbateurs endocriniens (SNPE2) rĂ©pond Ă  la nĂ©cessitĂ© d’agir face aux questions que soulĂšvent les perturbateurs endocriniens. LancĂ©e en 2019, elle avait pour principal objectif de rĂ©duire l’exposition des populations et de l’environnement Ă  ces substances et comporte notamment un volet dĂ©die Ă  l’évaluation du caractĂšre perturbateur endocrinien des substances chimiques.Le 8 octobre 2019, l’Agence nationale de sĂ©curitĂ© sanitaire (Anses) a Ă©tĂ© saisie par les MinistĂšres de la Transition Ă©cologique et des SolidaritĂ©s et de la SantĂ© pour la mise en Ɠuvre des actions de la SNPE2 relatives Ă :1) L’expertise des substances chimiques en vue de proposer la reconnaissance des dangers de perturbateurs endocriniens au titre des rĂšglements europĂ©ens ;2) La coordination des travaux de l’ANSM et de l’Anses sur les perturbateurs endocriniens afin de renforcer l’évaluation des dangers et des risques des substances pour leur potentiel caractĂšre de perturbateurs endocriniens dans les cosmĂ©tiques et les produits de santĂ© ;3) La publication d’une liste priorisĂ©e de substances Ă  Ă©valuer pour leur potentiel caractĂšre de perturbateurs endocriniens et d’une liste de substances catĂ©gorisĂ©es (perturbateurs endocriniens avĂ©rĂ©s, prĂ©sumĂ©s, suspectĂ©s).Dans le cadre de l’action n°3 de cette stratĂ©gie, l’Anses a publiĂ© le 13 avril 2021 une liste desubstances d’intĂ©rĂȘt pour leur potentiel caractĂšre de perturbateurs endocriniens (PE) ainsi qu’une mĂ©thodologie visant Ă  prioriser l’évaluation de ces substances afin de confirmer ou d’infirmer leur caractĂšre de perturbateurs endocriniens. A l’issue de ce travail de priorisation, l’Anses a Ă©tabli une liste de 16 substances pour lesquelles les travaux d’évaluation mĂ©ritaient d’ĂȘtre complĂ©tĂ©s ou accĂ©lĂ©rĂ©s. Cette liste de 16 substances jugĂ©es prioritaires a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e Ă  une rĂ©union commune des comitĂ©s d’orientation thĂ©matique (COT) de l’Anses. Ces instances consultatives constituent des espaces de dialogue et d’échanges avec les parties prenantes de l’Agence incluant les diffĂ©rents collĂšges reprĂ©sentĂ©s au conseil d’administration et des membres d’organisations de la sociĂ©tĂ© civile impliquĂ©es sur les champs de compĂ©tence de l’Anses. Ils ont vocation Ă  Ă©pauler le conseil d’administration dans l’expression des besoins en termes d’évaluation des risques et de recherche et la dĂ©finition des orientations stratĂ©giques de l’Agence, en lui faisant remonter les prĂ©occupations dominantes de la sociĂ©tĂ© civile dans le domaine de compĂ©tence de l’Anses. Le 15 avril 2021, les membres du comitĂ© d’orientation thĂ©matique sur les perturbateurs endocriniens (InterCOT PE) ont Ă©tĂ© invitĂ©s Ă  nommer jusqu’à 3 substances leur apparaissant comme prioritaires Ă  Ă©valuer pour leur potentiel caractĂšre PE.Les rĂ©sultats de cette consultation ont permis la hiĂ©rarchisation de ces 16 substances tenant compte de leurs dangers, des expositions et du niveau de prĂ©occupation sociĂ©tale qu’elles suscitent. Suite Ă  cette hiĂ©rarchisation la mĂ©lamine a Ă©tĂ© classĂ©e comme une substance Ă  Ă©valuer de maniĂšre prioritaire.L’agence a souhaitĂ© rendre compte de son Ă©valuation et de ses conclusions Ă  travers la rĂ©daction d’une « analyse des options de gestion des risques rĂšglementaires » (Regulatory management option analysis ou RMOA), utilisĂ© dans le cadre de REACH. Ce format permet, simultanĂ©ment, d’apporter une aide Ă  la dĂ©cision aux ministĂšres français sur la /les mesure(s) de gestion des risques la/les plus appropriĂ©e(s) Ă  adopter et de partager au niveau europĂ©en les rĂ©sultats des travaux de l’agence menĂ©s dans le cadre de la SNPE2.Les RMOA sont rĂ©alisĂ©s selon un format standard europĂ©en et comportent les informationssuivantes :- les Ă©lĂ©ments de contexte relatifs aux informations disponibles et Ă  l’encadrement rĂšglementaire existant des substances ;- les informations disponibles sur les dangers et les usages des substances, les tonnages, les risques pour la santĂ© humaine ou l’environnement, les cas d’usages susceptibles d’entraĂźner des effets nĂ©fastes sur la santĂ© et/ou l’environnement, etc
, en fonction des problĂ©matiques couvertes dans le RMOA ;- une justification de la nĂ©cessitĂ© de la mise en Ɠuvre de mesures de gestion du risque au niveau europĂ©en ; l’identification des diffĂ©rentes options de gestion du risque disponibles dans le cadre du rĂšglement REACH, du rĂšglement CLP, ou s’appuyant sur d’autres outils lĂ©gislatifs et rĂ©glementations sectorielles existants en fonction des usages identifiĂ©s de ces substances

    Avis de l'Anses relatif Ă  l’évaluation des substances inscrites au programme de travail 2021 del’Agence dans le cadre de la deuxiĂšme stratĂ©gie nationale sur les perturbateurs endocriniens (SNPE2) : MĂ©lamine (n°CAS : 108-78-1)

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    La deuxiĂšme StratĂ©gie nationale sur les perturbateurs endocriniens (SNPE2) rĂ©pond Ă  la nĂ©cessitĂ© d’agir face aux questions que soulĂšvent les perturbateurs endocriniens. LancĂ©e en 2019, elle avait pour principal objectif de rĂ©duire l’exposition des populations et de l’environnement Ă  ces substances et comporte notamment un volet dĂ©die Ă  l’évaluation du caractĂšre perturbateur endocrinien des substances chimiques.Le 8 octobre 2019, l’Agence nationale de sĂ©curitĂ© sanitaire (Anses) a Ă©tĂ© saisie par les MinistĂšres de la Transition Ă©cologique et des SolidaritĂ©s et de la SantĂ© pour la mise en Ɠuvre des actions de la SNPE2 relatives Ă :1) L’expertise des substances chimiques en vue de proposer la reconnaissance des dangers de perturbateurs endocriniens au titre des rĂšglements europĂ©ens ;2) La coordination des travaux de l’ANSM et de l’Anses sur les perturbateurs endocriniens afin de renforcer l’évaluation des dangers et des risques des substances pour leur potentiel caractĂšre de perturbateurs endocriniens dans les cosmĂ©tiques et les produits de santĂ© ;3) La publication d’une liste priorisĂ©e de substances Ă  Ă©valuer pour leur potentiel caractĂšre de perturbateurs endocriniens et d’une liste de substances catĂ©gorisĂ©es (perturbateurs endocriniens avĂ©rĂ©s, prĂ©sumĂ©s, suspectĂ©s).Dans le cadre de l’action n°3 de cette stratĂ©gie, l’Anses a publiĂ© le 13 avril 2021 une liste desubstances d’intĂ©rĂȘt pour leur potentiel caractĂšre de perturbateurs endocriniens (PE) ainsi qu’une mĂ©thodologie visant Ă  prioriser l’évaluation de ces substances afin de confirmer ou d’infirmer leur caractĂšre de perturbateurs endocriniens. A l’issue de ce travail de priorisation, l’Anses a Ă©tabli une liste de 16 substances pour lesquelles les travaux d’évaluation mĂ©ritaient d’ĂȘtre complĂ©tĂ©s ou accĂ©lĂ©rĂ©s. Cette liste de 16 substances jugĂ©es prioritaires a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e Ă  une rĂ©union commune des comitĂ©s d’orientation thĂ©matique (COT) de l’Anses. Ces instances consultatives constituent des espaces de dialogue et d’échanges avec les parties prenantes de l’Agence incluant les diffĂ©rents collĂšges reprĂ©sentĂ©s au conseil d’administration et des membres d’organisations de la sociĂ©tĂ© civile impliquĂ©es sur les champs de compĂ©tence de l’Anses. Ils ont vocation Ă  Ă©pauler le conseil d’administration dans l’expression des besoins en termes d’évaluation des risques et de recherche et la dĂ©finition des orientations stratĂ©giques de l’Agence, en lui faisant remonter les prĂ©occupations dominantes de la sociĂ©tĂ© civile dans le domaine de compĂ©tence de l’Anses. Le 15 avril 2021, les membres du comitĂ© d’orientation thĂ©matique sur les perturbateurs endocriniens (InterCOT PE) ont Ă©tĂ© invitĂ©s Ă  nommer jusqu’à 3 substances leur apparaissant comme prioritaires Ă  Ă©valuer pour leur potentiel caractĂšre PE.Les rĂ©sultats de cette consultation ont permis la hiĂ©rarchisation de ces 16 substances tenant compte de leurs dangers, des expositions et du niveau de prĂ©occupation sociĂ©tale qu’elles suscitent. Suite Ă  cette hiĂ©rarchisation la mĂ©lamine a Ă©tĂ© classĂ©e comme une substance Ă  Ă©valuer de maniĂšre prioritaire.L’agence a souhaitĂ© rendre compte de son Ă©valuation et de ses conclusions Ă  travers la rĂ©daction d’une « analyse des options de gestion des risques rĂšglementaires » (Regulatory management option analysis ou RMOA), utilisĂ© dans le cadre de REACH. Ce format permet, simultanĂ©ment, d’apporter une aide Ă  la dĂ©cision aux ministĂšres français sur la /les mesure(s) de gestion des risques la/les plus appropriĂ©e(s) Ă  adopter et de partager au niveau europĂ©en les rĂ©sultats des travaux de l’agence menĂ©s dans le cadre de la SNPE2.Les RMOA sont rĂ©alisĂ©s selon un format standard europĂ©en et comportent les informationssuivantes :- les Ă©lĂ©ments de contexte relatifs aux informations disponibles et Ă  l’encadrement rĂšglementaire existant des substances ;- les informations disponibles sur les dangers et les usages des substances, les tonnages, les risques pour la santĂ© humaine ou l’environnement, les cas d’usages susceptibles d’entraĂźner des effets nĂ©fastes sur la santĂ© et/ou l’environnement, etc
, en fonction des problĂ©matiques couvertes dans le RMOA ;- une justification de la nĂ©cessitĂ© de la mise en Ɠuvre de mesures de gestion du risque au niveau europĂ©en ; l’identification des diffĂ©rentes options de gestion du risque disponibles dans le cadre du rĂšglement REACH, du rĂšglement CLP, ou s’appuyant sur d’autres outils lĂ©gislatifs et rĂ©glementations sectorielles existants en fonction des usages identifiĂ©s de ces substances

    Avis de l’Anses relatif Ă  l’évaluation des substances inscrites au programme de travail 2022-2023 de l’Agence dans le cadre de l’évaluation des substances sous REACH : 1,3,4,6,7,8-hexahydro-4,6,6,7,8,8-hexamethylindeno[5,6-c]pyran (n° CE 214-946-9 ; n° CAS 1222-05-5): Annule et remplace l’avis du 23 novembre 2023

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    Citation suggĂ©rĂ©e : Anses. (2023). Avis de l’Anses Ă  l’évaluation des substances inscrites au programme de travail 2022-2023 de l’Agence dans le cadre de l’évaluation des substances sous REACH : 1,3,4,6,7,8-hexahydro-4,6,6,7,8,8-hexamethylindeno[5,6-c]pyran (n° CE 214-946-9 ; n° CAS1222-05-5). (2023-REACH-0092). Maisons-Alfort : Anses, 13 p.Dans le cadre de la procĂ©dure d’évaluation des substances prĂ©vue par le RĂšglement REACHn°1907/2006 (articles 44 Ă  48), les Etats Membres de l’Union EuropĂ©enne et des pays del’Espace Ă©conomique europĂ©en (Ă  savoir la NorvĂšge, l’Islande et le Liechtenstein) Ă©valuentchaque annĂ©e des substances jugĂ©es prioritaires, dans le but de clarifier une (des)prĂ©occupation(s) Ă©manant de la fabrication et/ou de l’utilisation de ces substances et quipourrai(en)t entrainer un risque pour la santĂ© humaine et/ou pour l’environnement. Cessubstances sont inscrites sur le plan d’action continu communautaire (CoRAP2), publiĂ©3 sur lesite internet de l’Agence europĂ©enne des produits chimiques (ECHA) avec une courtedescription des prĂ©occupations initialement identifiĂ©es pour chacune des substances qui vaĂȘtre Ă©valuĂ©e. Dans la majoritĂ© des cas, ces prĂ©occupations initiales Ă©manent de donnĂ©es dĂ©montrant une toxicitĂ© de la substance, associĂ©es ou renforcĂ©es par des caractĂ©ristiquesd’exposition telles que : usages gĂ©nĂ©rant une dispersion des substances ou usages par destravailleurs et/ou les consommateurs
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