9 research outputs found

    Excess mortality in istanbul during extreme heat waves between 2013 and 2017

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    Heat waves are one of the most common direct impacts of anthropogenic climate change and excess mortality their most apparent impact. While Turkey has experienced an increase in heat wave episodes between 1971 and 2016, no epidemiological studies have examined their potential impacts on public health so far. In this study excess mortality in Istanbul attributable to extreme heat wave episodes between 2013 and 2017 is presented. Total excess deaths were calculated using mortality rates across different categories, including age, sex, and cause of death. The analysis shows that three extreme heat waves in the summer months of 2015, 2016, and 2017, which covered 14 days in total, significantly increased the mortality rate and caused 419 excess deaths in 23 days of exposure. As climate simulations show that Turkey is one of the most vulnerable countries in the Europe region to the increased intensity of heat waves until the end of the 21st century, further studies about increased mortality and morbidity risks due to heat waves in Istanbul and other cities, as well as intervention studies, are necessary.Scientific Research Projects Coordination Unit of Istanbul University-Cerrahpas

    Indoor swimming pool environments and self-reported irritative and respiratory symptoms among lifeguards

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    <p>A web survey was conducted among 870 lifeguards (current and former) to assess the relationship between exposure to indoor swimming pool environments and respiratory health. Associations between respiratory symptoms and asthma with varying lengths of occupational exposure were assessed by multiple logistic regression. Lifeguards exposed more than 500 hours in the previous 12 months experienced more cough (adjustedOR = 2.54, IC95 % = 1.51–4.25), throat (aOR = 2.47, IC95 % = 1.44–4.24) and eye irritation (aOR = 4.34, IC95 % = 2.52–7.50) during this period than non-exposed lifeguards. Upper and lower respiratory symptoms while on duty were related to duration of lifetime exposure (> 500 days vs. ≤ 50 days: Upper aOR = 5.84, IC95 % = 3.60–9.50; Lower aOR = 2.53, IC95 % = 1.58–4.06). Physician-diagnosed asthma was high among lifeguards (23 %). Highly exposed asthmatic lifeguards (> 500 hours) over the previous 12 months had a significantly higher risk (aOR = 3.74, IC95 % = 1.39–10.02) of suffering from asthma attack(s) than non-exposed asthmatic subjects. Exposure to indoor swimming pool environments is related to respiratory symptoms among lifeguards.</p

    Chapitre 18. Surveillance

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    International audienceL’épisode de choléra à Londres en 1849 lors duquel John Snow fut le premier à mettre en évidence un agrégat de cas autour d’un point d’eau contaminé est l’un des premiers jalons de la surveillance en hygiène environnementale (Astagneau et Ancelle, 2011). L’histoire de la surveillance s’inscrit d’abord dans la gestion des contacts des personnes ayant des maladies transmissibles graves (peste, typhus, variole, fièvre jaune, etc.) (Thacker et Birkhead, 2008). Ces maladies étaient associées à des éclosions rapides et à des taux de mortalité élevés. L’un des objectifs de la surveillance était alors de détecter précocement les cas pour les isoler et prévenir la propagation des maladies. À partir des années 1940, le docteur Langmuir et ses collègues ont développé une nouvelle vision de la surveillance en s’intéressant à l’incidence des maladies dans une population donnée plutôt qu’aux cas (le nombre absolu sans dénominateur), permettant ainsi la formalisation du concept de « surveillance sanitaire » (Langmuir, 1963).Depuis, l’adoption d’une vision holistique de la santé incluant les déterminants de santé que sont les facteurs personnels, sociaux, économiques et environnementaux a permis l’émergence de la surveillance dans d’autres sphères que celles des maladies transmissibles, comme les maladies chroniques d’origine environnementale ou encore différents événements de santé (accidents domestiques, tentatives de suicide…). Ce chapitre fait un tour d’horizon de la surveillance en santé environnementale, en présente les principaux concepts et l’illustre par des études de cas

    Les conséquences de la pandémie sur la santé globale des professeures et des professeurs universitaires

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    L’objectif de l’étude est de décrire la santé globale des professeur·es universitaires sur une période d’un an en contexte de pandémie de COVID-19. 734 professeur·es des 12 établissements du réseau de l’Université du Québec ont participé à l’étude. La recension effectuée tient compte des écrits scientifiques récents faisant état d’un rapport actuel en lien avec le contexte de pandémie. La recension met en évidence les stratégies de régulation efficaces, soit le soutien social, le sentiment de contrôle sur le travail, la régulation des émotions et la résolution de problèmes. Une synthèse des écrits portant sur les trois dimensions occupationnelles du bien-être (organisationnelle, professionnelle et sociale) est présentée. Les échelles de mesure utilisées dans le cadre de l’étude évaluent les manifestations de trois troubles (anxiété, dépression et stress post-traumatique), les relations et les conflits conjugaux, le soutien social, le sentiment de compétence parentale et la conciliation familiale, le sentiment de solitude et d’isolement social, la croissance post-traumatique, la qualité de la vie spirituelle, la santé mentale, la santé mentale ainsi que la détresse psychologique. Une exploration des retombées physiques, sociales et mentales des mesures sociosanitaires sur le bien-être des professeur·es universitaires du réseau de l’UQ est effectuée
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