14 research outputs found

    Typologie des faciÚs d'écoulement ou unités morphodynamiques des cours d'eau à haute énergie

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    La méthode des microhabitats développée au CEMAGREF de LYON permet actuellement d'obtenir une bonne Image de la capacité d'accueil d'un cours d'eau salmonlcole à Salmo truffa fario. Elle consiste à coupler sur une station d'étude représentative d'une partie du linéaire de celui ci, d'une part un modÚle biologique traduisant les relations entre la présence et la densité relative d'un stade donné d'une espÚce de poisson (ici la truite) et les valeurs des trois variables physiques caractéristiques de son habitat (la profondeur, la vitesse du courant et la granulométrie du lit). d'autre part un modÚle hydraulique permettant à partir d'une campagne de mesure, de reconstituer pour différents débits, les valeurs des variables hydrodynamiques retenues. Pour sectoriser un cours d'eau, le typer et choisir les stations qui permettront d'en donner une image fiable à un moindre coût, il est nécessaire de bien connaßtre les différents types de faciÚs d'écoulement que l'on peut y rencontrer. L'identification de ces unités se fera sur le terrain au moyen de critÚres simples tels que la hauteur d'eau, la vitesse, la granulométrie. la forme des profils en travers et en long, la localisation et le tracé en plan. Elle sera si possible réalisée en période d'étiage moyen de façon à observer des conditions d'écoulement variées ce qui n'est plus le cas lorsque le débit augmente et "lisse" la surface libre

    Typologie des faciÚs d'écoulement ou unités morphodynamiques des cours d'eau à haute énergie

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    La méthode des microhabitats développée au CEMAGREF de LYON permet actuellement d'obtenir une bonne Image de la capacité d'accueil d'un cours d'eau salmonlcole à Salmo truffa fario. Elle consiste à coupler sur une station d'étude représentative d'une partie du linéaire de celui ci, d'une part un modÚle biologique traduisant les relations entre la présence et la densité relative d'un stade donné d'une espÚce de poisson (ici la truite) et les valeurs des trois variables physiques caractéristiques de son habitat (la profondeur, la vitesse du courant et la granulométrie du lit). d'autre part un modÚle hydraulique permettant à partir d'une campagne de mesure, de reconstituer pour différents débits, les valeurs des variables hydrodynamiques retenues. Pour sectoriser un cours d'eau, le typer et choisir les stations qui permettront d'en donner une image fiable à un moindre coût, il est nécessaire de bien connaßtre les différents types de faciÚs d'écoulement que l'on peut y rencontrer. L'identification de ces unités se fera sur le terrain au moyen de critÚres simples tels que la hauteur d'eau, la vitesse, la granulométrie. la forme des profils en travers et en long, la localisation et le tracé en plan. Elle sera si possible réalisée en période d'étiage moyen de façon à observer des conditions d'écoulement variées ce qui n'est plus le cas lorsque le débit augmente et "lisse" la surface libre

    DESCRIPTION STANDARDISÉE DES PRINCIPAUX FACIÈS D’ÉCOULEMENT OBSERVABLES EN RIVIÈRE : CLÉ DE DÉTERMINATION QUALITATIVE ET MESURES PHYSIQUES.

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    La dĂ©termination visuelle des faciĂšs des cours d’eau lors d’une visite de terrain est toujours dĂ©licate. Elle peut donner lieu Ă  des appellations et des interprĂ©tations diffĂ©rentes de la part de plusieurs observateurs. Afin de mieux standardiser ce type d’observation, nous proposons une clĂ© de dĂ©termination empirique basĂ©e sur une expĂ©rience d’expert. Cette clĂ© est applicable en l’état pour les cours d’eau de taille moyenne Ă  grande (jusqu’à plus de 100 m de large) mais peut demander des adaptations pour les trĂšs petits cours d’eau (largeur infĂ©rieure Ă  2 m). Les variables discriminantes de premier niveau conseillĂ©es sont la hauteur d’eau (supĂ©rieure ou infĂ©rieure Ă  60 cm) et la vitesse d’écoulement (supĂ©rieure ou infĂ©rieure Ă  30 cm/s). Elles sont facilement observables lors d’un Ă©tiage moyen. D’autres critĂšres complĂ©mentaires sont Ă©galement discutĂ©s comme la forme du profil en travers. Des conseils opĂ©ratoires sont prodiguĂ©s. Lorsque l’on veut Ă©tablir un lien entre la nature des faciĂšs et la biologie, il est prudent de tenir compte Ă©galement de l’hydrologie et donc de la dynamique temporelle des variables physiques d’habitat. Les mesures quantitatives simples proposĂ©es permettent de renseigner les Ă©quations de gĂ©omĂ©trie hydraulique qui Ă©tablissent les relations entre la largeur mouillĂ©e, la hauteur d’eau, la vitesse et le dĂ©bit, grandeurs plus pertinentes pour Ă©tablir un lien avec la biologie

    DESCRIPTION STANDARDISÉE DES PRINCIPAUX FACIÈS D’ÉCOULEMENT OBSERVABLES EN RIVIÈRE : CLÉ DE DÉTERMINATION QUALITATIVE ET MESURES PHYSIQUES.

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    La dĂ©termination visuelle des faciĂšs des cours d’eau lors d’une visite de terrain est toujours dĂ©licate. Elle peut donner lieu Ă  des appellations et des interprĂ©tations diffĂ©rentes de la part de plusieurs observateurs. Afin de mieux standardiser ce type d’observation, nous proposons une clĂ© de dĂ©termination empirique basĂ©e sur une expĂ©rience d’expert. Cette clĂ© est applicable en l’état pour les cours d’eau de taille moyenne Ă  grande (jusqu’à plus de 100 m de large) mais peut demander des adaptations pour les trĂšs petits cours d’eau (largeur infĂ©rieure Ă  2 m). Les variables discriminantes de premier niveau conseillĂ©es sont la hauteur d’eau (supĂ©rieure ou infĂ©rieure Ă  60 cm) et la vitesse d’écoulement (supĂ©rieure ou infĂ©rieure Ă  30 cm/s). Elles sont facilement observables lors d’un Ă©tiage moyen. D’autres critĂšres complĂ©mentaires sont Ă©galement discutĂ©s comme la forme du profil en travers. Des conseils opĂ©ratoires sont prodiguĂ©s. Lorsque l’on veut Ă©tablir un lien entre la nature des faciĂšs et la biologie, il est prudent de tenir compte Ă©galement de l’hydrologie et donc de la dynamique temporelle des variables physiques d’habitat. Les mesures quantitatives simples proposĂ©es permettent de renseigner les Ă©quations de gĂ©omĂ©trie hydraulique qui Ă©tablissent les relations entre la largeur mouillĂ©e, la hauteur d’eau, la vitesse et le dĂ©bit, grandeurs plus pertinentes pour Ă©tablir un lien avec la biologie

    La "renaturation" des riviÚres urbaines : le cas de la riviÚre Saint-Charles au Québec

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    International audienceUrban rivers are central to city planning policies. The aim is to clean up rivers and encourage the return of citizens to their banks. The challenge is to align the interests of developers, water users, and politicians. In the case of the St Charles River, the City of Quebec has combined a large urban renewal program with a project to restore the aquatic ecosystem. This project provides an example of how cities in Quebec are now playing a larger role in water management than they did previously. This paper suggests that the restoration of urban rivers should be associated with a project for economic and social development. Furthermore, restoration (called in this paper “renaturation”) is not enough: cities must also fight against urban sprawl and more effectively protect their freshwater supplies and wetlands
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