9 research outputs found

    Bondoufle (91), impasse rené-Lacoste, ZAE de la Marinière. Évolution d'un habitat groupé du VIIIe s. au XIIe s.

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    La fouille archéologique de Bondoufle, Impasse René Lacoste est située à l’ouest de la ville, dans une zone d’activité économique. Elle a permis de mettre au jour 913 structures sur 6 967 m².Quelques tessons de céramique et d’anciens fossés témoignent d’une occupation datée de la Protohistoire. Quelques terres cuites architecturales témoignent de la présence à proximité du site d’une occupation antique, sans toutefois pouvoir la dater plus précisément.L’occupation du haut Moyen Âge est centrée sur la période carolingienne.Quelques structures témoignent d’une occupation plus récente sur l’emprise de fouille pouvant être associée à un habitat mérovingien qui se développe à une centaine de mètres à l’ouest. L’extension maximale de l’habitat est datée du Xe siècle.De nombreux bâtiments sont érigés, suivant un axe nord-ouest – sud-est.Grands bâtiments et petites annexes avoisinant fonds de cabane et structures de stockages des céréales s’organisent à l’intérieur de parcelles délimitées par des fossés et des palissades. Le traitement et la conservation des denrées agricoles ainsi que la pratique de l’élevage sont les activités principales. À la fin du Xe siècle, une réorganisation de l’habitat est perceptible. L’occupation devient moins dense mais reste axée sur les activités agropastorales. Une activité de métallurgie est installée au nord de l’emprise, au-delà des limites de fouille.Trois autres parcelles proches de notre emprise de fouille sont également investiguées. La parcelle au nord doit également faire l’objet d’une prescription de fouille. La mise en commun des résultats de ces différentes opérations nous permettra de mieux suivre l’évolution d’un habitat installé à l’époque laténienne jusqu’à son abandon au début du XIIe siècle.Volume 1 (560p.), volume 2 (222p.), volume 3 (605p.

    Bondoufle (91), impasse rené-Lacoste, ZAE de la Marinière. Évolution d'un habitat groupé du VIIIe s. au XIIe s.

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    La fouille archéologique de Bondoufle, Impasse René Lacoste est située à l’ouest de la ville, dans une zone d’activité économique. Elle a permis de mettre au jour 913 structures sur 6 967 m².Quelques tessons de céramique et d’anciens fossés témoignent d’une occupation datée de la Protohistoire. Quelques terres cuites architecturales témoignent de la présence à proximité du site d’une occupation antique, sans toutefois pouvoir la dater plus précisément.L’occupation du haut Moyen Âge est centrée sur la période carolingienne.Quelques structures témoignent d’une occupation plus récente sur l’emprise de fouille pouvant être associée à un habitat mérovingien qui se développe à une centaine de mètres à l’ouest. L’extension maximale de l’habitat est datée du Xe siècle.De nombreux bâtiments sont érigés, suivant un axe nord-ouest – sud-est.Grands bâtiments et petites annexes avoisinant fonds de cabane et structures de stockages des céréales s’organisent à l’intérieur de parcelles délimitées par des fossés et des palissades. Le traitement et la conservation des denrées agricoles ainsi que la pratique de l’élevage sont les activités principales. À la fin du Xe siècle, une réorganisation de l’habitat est perceptible. L’occupation devient moins dense mais reste axée sur les activités agropastorales. Une activité de métallurgie est installée au nord de l’emprise, au-delà des limites de fouille.Trois autres parcelles proches de notre emprise de fouille sont également investiguées. La parcelle au nord doit également faire l’objet d’une prescription de fouille. La mise en commun des résultats de ces différentes opérations nous permettra de mieux suivre l’évolution d’un habitat installé à l’époque laténienne jusqu’à son abandon au début du XIIe siècle.Volume 1 (560p.), volume 2 (222p.), volume 3 (605p.

    Bondoufle (91), impasse rené-Lacoste, ZAE de la Marinière. Évolution d'un habitat groupé du VIIIe s. au XIIe s.

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    La fouille archéologique de Bondoufle, Impasse René Lacoste est située à l’ouest de la ville, dans une zone d’activité économique. Elle a permis de mettre au jour 913 structures sur 6 967 m².Quelques tessons de céramique et d’anciens fossés témoignent d’une occupation datée de la Protohistoire. Quelques terres cuites architecturales témoignent de la présence à proximité du site d’une occupation antique, sans toutefois pouvoir la dater plus précisément.L’occupation du haut Moyen Âge est centrée sur la période carolingienne.Quelques structures témoignent d’une occupation plus récente sur l’emprise de fouille pouvant être associée à un habitat mérovingien qui se développe à une centaine de mètres à l’ouest. L’extension maximale de l’habitat est datée du Xe siècle.De nombreux bâtiments sont érigés, suivant un axe nord-ouest – sud-est.Grands bâtiments et petites annexes avoisinant fonds de cabane et structures de stockages des céréales s’organisent à l’intérieur de parcelles délimitées par des fossés et des palissades. Le traitement et la conservation des denrées agricoles ainsi que la pratique de l’élevage sont les activités principales. À la fin du Xe siècle, une réorganisation de l’habitat est perceptible. L’occupation devient moins dense mais reste axée sur les activités agropastorales. Une activité de métallurgie est installée au nord de l’emprise, au-delà des limites de fouille.Trois autres parcelles proches de notre emprise de fouille sont également investiguées. La parcelle au nord doit également faire l’objet d’une prescription de fouille. La mise en commun des résultats de ces différentes opérations nous permettra de mieux suivre l’évolution d’un habitat installé à l’époque laténienne jusqu’à son abandon au début du XIIe siècle.Volume 1 (560p.), volume 2 (222p.), volume 3 (605p.

    Bondoufle (91), impasse rené-Lacoste, ZAE de la Marinière. Évolution d'un habitat groupé du VIIIe s. au XIIe s.

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    La fouille archéologique de Bondoufle, Impasse René Lacoste est située à l’ouest de la ville, dans une zone d’activité économique. Elle a permis de mettre au jour 913 structures sur 6 967 m².Quelques tessons de céramique et d’anciens fossés témoignent d’une occupation datée de la Protohistoire. Quelques terres cuites architecturales témoignent de la présence à proximité du site d’une occupation antique, sans toutefois pouvoir la dater plus précisément.L’occupation du haut Moyen Âge est centrée sur la période carolingienne.Quelques structures témoignent d’une occupation plus récente sur l’emprise de fouille pouvant être associée à un habitat mérovingien qui se développe à une centaine de mètres à l’ouest. L’extension maximale de l’habitat est datée du Xe siècle.De nombreux bâtiments sont érigés, suivant un axe nord-ouest – sud-est.Grands bâtiments et petites annexes avoisinant fonds de cabane et structures de stockages des céréales s’organisent à l’intérieur de parcelles délimitées par des fossés et des palissades. Le traitement et la conservation des denrées agricoles ainsi que la pratique de l’élevage sont les activités principales. À la fin du Xe siècle, une réorganisation de l’habitat est perceptible. L’occupation devient moins dense mais reste axée sur les activités agropastorales. Une activité de métallurgie est installée au nord de l’emprise, au-delà des limites de fouille.Trois autres parcelles proches de notre emprise de fouille sont également investiguées. La parcelle au nord doit également faire l’objet d’une prescription de fouille. La mise en commun des résultats de ces différentes opérations nous permettra de mieux suivre l’évolution d’un habitat installé à l’époque laténienne jusqu’à son abandon au début du XIIe siècle.Volume 1 (560p.), volume 2 (222p.), volume 3 (605p.

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    La fouille archéologique de Bondoufle, Impasse René Lacoste est située à l’ouest de la ville, dans une zone d’activité économique. Elle a permis de mettre au jour 913 structures sur 6 967 m².Quelques tessons de céramique et d’anciens fossés témoignent d’une occupation datée de la Protohistoire. Quelques terres cuites architecturales témoignent de la présence à proximité du site d’une occupation antique, sans toutefois pouvoir la dater plus précisément.L’occupation du haut Moyen Âge est centrée sur la période carolingienne.Quelques structures témoignent d’une occupation plus récente sur l’emprise de fouille pouvant être associée à un habitat mérovingien qui se développe à une centaine de mètres à l’ouest. L’extension maximale de l’habitat est datée du Xe siècle.De nombreux bâtiments sont érigés, suivant un axe nord-ouest – sud-est.Grands bâtiments et petites annexes avoisinant fonds de cabane et structures de stockages des céréales s’organisent à l’intérieur de parcelles délimitées par des fossés et des palissades. Le traitement et la conservation des denrées agricoles ainsi que la pratique de l’élevage sont les activités principales. À la fin du Xe siècle, une réorganisation de l’habitat est perceptible. L’occupation devient moins dense mais reste axée sur les activités agropastorales. Une activité de métallurgie est installée au nord de l’emprise, au-delà des limites de fouille.Trois autres parcelles proches de notre emprise de fouille sont également investiguées. La parcelle au nord doit également faire l’objet d’une prescription de fouille. La mise en commun des résultats de ces différentes opérations nous permettra de mieux suivre l’évolution d’un habitat installé à l’époque laténienne jusqu’à son abandon au début du XIIe siècle.Volume 1 (560p.), volume 2 (222p.), volume 3 (605p.

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    La fouille archéologique de Bondoufle, Impasse René Lacoste est située à l’ouest de la ville, dans une zone d’activité économique. Elle a permis de mettre au jour 913 structures sur 6 967 m².Quelques tessons de céramique et d’anciens fossés témoignent d’une occupation datée de la Protohistoire. Quelques terres cuites architecturales témoignent de la présence à proximité du site d’une occupation antique, sans toutefois pouvoir la dater plus précisément.L’occupation du haut Moyen Âge est centrée sur la période carolingienne.Quelques structures témoignent d’une occupation plus récente sur l’emprise de fouille pouvant être associée à un habitat mérovingien qui se développe à une centaine de mètres à l’ouest. L’extension maximale de l’habitat est datée du Xe siècle.De nombreux bâtiments sont érigés, suivant un axe nord-ouest – sud-est.Grands bâtiments et petites annexes avoisinant fonds de cabane et structures de stockages des céréales s’organisent à l’intérieur de parcelles délimitées par des fossés et des palissades. Le traitement et la conservation des denrées agricoles ainsi que la pratique de l’élevage sont les activités principales. À la fin du Xe siècle, une réorganisation de l’habitat est perceptible. L’occupation devient moins dense mais reste axée sur les activités agropastorales. Une activité de métallurgie est installée au nord de l’emprise, au-delà des limites de fouille.Trois autres parcelles proches de notre emprise de fouille sont également investiguées. La parcelle au nord doit également faire l’objet d’une prescription de fouille. La mise en commun des résultats de ces différentes opérations nous permettra de mieux suivre l’évolution d’un habitat installé à l’époque laténienne jusqu’à son abandon au début du XIIe siècle.Volume 1 (560p.), volume 2 (222p.), volume 3 (605p.

    Blendecques (62), rue du Vieux Moulin. Évolution d'un site meunier du XIIIe siècle au XXe siècle

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    Les fouilles menées sur le site de Blendecques (62) Rue du Vieux Moulin interviennent dans le cadre du programme de lutte contre les inondations dues aux crues de l’Aa. Les investigations archéologiques ont permis de mettre au jour trois moulins, assis sur deux îlots, situés entre les deux bras du fleuve Aa, construits au XIIIe siècle et abandonnés à la fin du XIXe siècle. Détruits en 1476 puis en 1638, suite au siège de Saint-Omer, peu de vestiges des moulins de ces périodes nous sont parvenus. De part et d’autre d’un bief entièrement aménagé, deux bâtiments de 90 m², solidement fondés, sont reconstruits à la fin du XVIIe siècle. Dans le moulin de la Brouwette, on fabrique du papier et de l’huile, activités saisonnières. Dans les moulins Alleghier, on fabrique de la farine et on foule les draps, activité qui disparaît au profit de la mouture des brais entre 1715 et 1729. L’activité meunière est à son apogée au XVIIIe siècle à Blendecques, qui compte jusqu’à quinze moulins répartis sur la commune. La période contemporaine marque une révolution dans les systèmes de fabrication. L’ère industrielle fait son entrée en France. De nouveaux systèmes de fabrication sont utilisés. On produit plus en moins de temps. Le moulin à papier sera converti à la farine en 1830. L’activité des moulins déclinera progressivement jusqu’en 1873, avec la concurrence des grosses minoteries industrielles.La fouille de moulins reste rare en France. Il n’y en a pas eu depuis une vingtaine d’années dans le Nord-Pas-de-Calais. Cette étude vient enrichir l’histoire de Blendecques et apporte de nombreuses données sur la construction et l’évolution des moulins à travers les siècles

    Blendecques (62), rue du Vieux Moulin. Évolution d'un site meunier du XIIIe siècle au XXe siècle

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    Les fouilles menées sur le site de Blendecques (62) Rue du Vieux Moulin interviennent dans le cadre du programme de lutte contre les inondations dues aux crues de l’Aa. Les investigations archéologiques ont permis de mettre au jour trois moulins, assis sur deux îlots, situés entre les deux bras du fleuve Aa, construits au XIIIe siècle et abandonnés à la fin du XIXe siècle. Détruits en 1476 puis en 1638, suite au siège de Saint-Omer, peu de vestiges des moulins de ces périodes nous sont parvenus. De part et d’autre d’un bief entièrement aménagé, deux bâtiments de 90 m², solidement fondés, sont reconstruits à la fin du XVIIe siècle. Dans le moulin de la Brouwette, on fabrique du papier et de l’huile, activités saisonnières. Dans les moulins Alleghier, on fabrique de la farine et on foule les draps, activité qui disparaît au profit de la mouture des brais entre 1715 et 1729. L’activité meunière est à son apogée au XVIIIe siècle à Blendecques, qui compte jusqu’à quinze moulins répartis sur la commune. La période contemporaine marque une révolution dans les systèmes de fabrication. L’ère industrielle fait son entrée en France. De nouveaux systèmes de fabrication sont utilisés. On produit plus en moins de temps. Le moulin à papier sera converti à la farine en 1830. L’activité des moulins déclinera progressivement jusqu’en 1873, avec la concurrence des grosses minoteries industrielles.La fouille de moulins reste rare en France. Il n’y en a pas eu depuis une vingtaine d’années dans le Nord-Pas-de-Calais. Cette étude vient enrichir l’histoire de Blendecques et apporte de nombreuses données sur la construction et l’évolution des moulins à travers les siècles

    Blendecques (62), rue du Vieux Moulin. Évolution d'un site meunier du XIIIe siècle au XXe siècle

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    Les fouilles menées sur le site de Blendecques (62) Rue du Vieux Moulin interviennent dans le cadre du programme de lutte contre les inondations dues aux crues de l’Aa. Les investigations archéologiques ont permis de mettre au jour trois moulins, assis sur deux îlots, situés entre les deux bras du fleuve Aa, construits au XIIIe siècle et abandonnés à la fin du XIXe siècle. Détruits en 1476 puis en 1638, suite au siège de Saint-Omer, peu de vestiges des moulins de ces périodes nous sont parvenus. De part et d’autre d’un bief entièrement aménagé, deux bâtiments de 90 m², solidement fondés, sont reconstruits à la fin du XVIIe siècle. Dans le moulin de la Brouwette, on fabrique du papier et de l’huile, activités saisonnières. Dans les moulins Alleghier, on fabrique de la farine et on foule les draps, activité qui disparaît au profit de la mouture des brais entre 1715 et 1729. L’activité meunière est à son apogée au XVIIIe siècle à Blendecques, qui compte jusqu’à quinze moulins répartis sur la commune. La période contemporaine marque une révolution dans les systèmes de fabrication. L’ère industrielle fait son entrée en France. De nouveaux systèmes de fabrication sont utilisés. On produit plus en moins de temps. Le moulin à papier sera converti à la farine en 1830. L’activité des moulins déclinera progressivement jusqu’en 1873, avec la concurrence des grosses minoteries industrielles.La fouille de moulins reste rare en France. Il n’y en a pas eu depuis une vingtaine d’années dans le Nord-Pas-de-Calais. Cette étude vient enrichir l’histoire de Blendecques et apporte de nombreuses données sur la construction et l’évolution des moulins à travers les siècles
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