19 research outputs found

    Talange – Zac Les Usènes (tranche 1), port du Canal

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    La fouille archéologique préventive de Talange, Zac les Usènes, fait suite à un diagnostic réalisé en 2013 et motivé par la création d’une Zac sur la commune de Talange par la Société d’Équipement du Bassin Lorrain (SEBL). L’opération de fouille préventive s’échelonne en deux tranches dont la première (39 000 m2) a été réalisée dans le courant de l’été 2017. Au total, cinq occupations principales, disjointes dans le temps et comprises entre le début du Bronze final et la période de la Seconde..

    Richemont – Devant le Pont, sites 1 et 3 (tranche 2016)

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    La fouille archéologique préventive de Richemont, devant le Pont, fait suite à un diagnostic sur plus de 15 ha, motivé par l’exploitation d’une carrière d’extraction de matériaux par la société Matériaux SAS. Lors de la fouille des deux premières tranches du site 1, en 2013 et en 2014, des vestiges de plusieurs périodes avaient été mis à jour (Néolithique, âges du Bronze et surtout premier âge du Fer, ainsi que la période moderne). La fouille de la troisième tranche du site 1 a été réalisée e..

    Une nécropole à enclos circulaires et Langgraben à Niederhergheim (Haut-Rhin)

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    La fouille du site de Niederhergheim Innere Allmende en 2012 a mis au jour plusieurs indices d’occupations humaines comprises entre le Bronze ancien et la période romaine. L’une d’elles correspond à une nécropole à enclos circulaires de la fin de l’âge du Bronze qui présente la particularité d’être associée à un Langgraben (enclos allongé), dont les exemples fouillés sont relativement rares en Alsace. L’article ci-dessous propose en premier lieu de présenter ces vestiges ainsi que les mobiliers qui leur sont associés. Dans un second temps seront détaillées les quelques structures de type Langgraben connues dans la région et, enfin, seront évoqués les liens qui peuvent être établis entre ces enclos allongés alsaciens et les exemplaires bien connus dans des secteurs plus à l’ouest, notamment en Picardie et dans le Bassin parisien.The excavation of the site of Niederhergheim Innere Allmende in 2012 uncovered several remains of human occupations dating from the Early Bronze Age to the Roman period. One of them is a necropolis with circular enclosures from the end of the Bronze Age, which is unusual in that it is associated with a Langgraben (elongated enclosure), examples of which are relatively rare in Alsace. This article first presents these remains and their associated artifacts. A few of the Langgraben type structures known in the region are then presented, followed by a discussion of the links that may exist between these elongated enclosures in Alsace and well known examples in sectors farther to the west, such as Picardie and the Paris Basin.Bei den Ausgrabungen in Niederhergheim Innere Allmende stießen die Archäologen 2012 auf mehrere Befunde, die von Siedlungsaktivitäten zwischen der Frühbronzezeit und der römischen Periode zeugen. Einer der Befunde entspricht einer spätbronzezeitlichen Nekropole mit Kreisgräben. Ungewöhnlich ist, dass neben den Kreisgräben auch ein Langraben entdeckt wurde. Für diesen Bestattungstyp sind die Beispiele im Elsass relativ selten. Im vorliegenden Artikel werden zunächst die Befunde und die dazugehörigen Funde vorgestellt. Anschließend wird näher auf die Langgrabenstrukturen dieser Region eingegangen und schließlich werden die Beziehungen angesprochen, die zwischen den elsässischen Langgräben und den Langgräben bestehen, die weiter westlich, namentlich in der Picardie und dem Pariser Becken entdeckt wurden

    Le mobilier de Goxwiller ZAC PAEI (Bas-Rhin) : illustration du problème du Hallstatt D2 en Alsace

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    La fouille du site de Goxwiller ZAC PAEI en 2011 a mis au jour plusieurs indices d’occupations comprises entre le Bronze ancien et la période du Hallstatt. La phase principale, le milieu du premier Âge du Fer, a fourni un important lot de mobiliers qui constitue un ensemble de référence pour le milieu du Hallstatt D en Alsace. Cependant, l’étude des objets céramiques et métalliques confirme la difficulté d’intégrer ces données au sein du cadre chronologique en vigueur. L’article ci-dessous se propose en premier lieu de présenter le mobilier, puis d’illustrer les problèmes rencontrés en proposant quelques pistes de réflexion.The excavation of the site of Goxwiller ZAC PAEI in 2011 uncovered occupation remains dating from the Early Bronze Age to the Hallstatt period. The main phase, the middle of the Early Iron Age, yielded numerous artifacts that constitute a reference assemblage for the middle of the Hallstatt D in Alsace. Meanwhile, an analysis of the ceramic and metallic artifacts confirms the difficulty of integrating these data within the currently accepted chronological framework. This article first presents the artifacts, followed by an illustration of the problems encountered and a few suggestions of avenues to be explored.Bei den Ausgrabungen in Goxwiller ZAC PAEI stießen die Archäologen 2011 auf mehrere Befunde, die auf die Existenz von Siedlungen zwischen der Frühbronzezeit und der Hallstattzeit weisen. Das umfangreiche Fundmaterial aus der Hauptsiedlungsphase in der älteren Eisenzeit stellt eine Referenz für Hallstatt D2 im Elsass dar. Die Studie der Keramik- und Metallfunde bestätigt jedoch die Schwierigkeit, diese Funde in den gültigen chronologischen Rahmen einzuordnen. Ziel des vorliegenden Artikels ist es vor allem das Fundmaterial zu präsentieren und die Problematik anhand einiger Denkansätze zu illustrieren

    Origin and mobility of Iron Age Gaulish groups in present-day France revealed through archaeogenomics

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    The Iron Age period occupies an important place in French history, as the Gauls are regularly presented as the direct ancestors of the extant French population. We documented here the genomic diversity of Iron Age communities originating from six French regions. The 49 acquired genomes permitted us to highlight an absence of discontinuity between Bronze Age and Iron Age groups in France, lending support to a cultural transition linked to progressive local economic changes rather than to a massive influx of allochthone groups. Genomic analyses revealed strong genetic homogeneity among the regional groups associated with distinct archaeological cultures. This genomic homogenisation appears to be linked to individuals’ mobility between regions as well as gene flow with neighbouring groups from England and Spain. Thus, the results globally support a common genomic legacy for the Iron Age population of modern-day France that could be linked to recurrent gene flow between culturally differentiated communities

    Les puits à eau protohistoriques en Alsace entre 2300 et 25 av. J.-C. : une synthèse régionale

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    International audienceToday, one hundred and seventy protohistoric water wells are listed in Alsace. Although certain phases (Ha D1 or early La Tène) are rarely or poorly represented, the period is entirely documented. Dendrochronological dates are available for 25 of these structures. Analyses show that they may have been in use over several generations. Throughout most of the protohistoric period the wells were built in geographically low points, fed by runoff water or at the edge of paleochannels, particularly in the Alsatian Ried. Wells were shallow, installed at a maximum depth of 5m, until the late La Tène when some wells deeper than 6m, make an appearance. Due to good conservation conditions, assembly of the well linings (plank framed, monoxyle casing, wattle, etc) is increasingly understood. The location of the wells shows several criteria: some zones favourable to water collection exist while elsewhere wells are transposed with associated dwelling relocation.Cent-soixante-dix puits protohistoriques sont aujourd’hui répertoriés en Alsace. Bien que certaines phases (Ha D1 ou La Tène ancienne) soient peu ou mal représentées, toute la période est documentée. Des datations dendrochronologiques sont disponibles pour 25 de ces structures. Ces analyses montrent qu’elles ont pu être utilisées sur plusieurs générations. Durant la plus grande partie de la Protohistoire, les puits sont installés dans des points bas, alimentés par les eaux de ruissellement ou en bordure de paléochenaux, en particulier dans les rieds. Les installations restent peu profondes (5 m max.) jusqu’à La Tène finale, pendant laquelle on voit l’apparition de puits plus profonds, qui dépassent les 6 m. En raison des bonnes conditions de conservation, les aménagements des parois (cadres en madriers, cuvelage monoxyle, clayonnage…) sont de mieux en mieux connus. L’installation des puits répond à plusieurs schémas : des zones de captages privilégiées existent par endroits, ailleurs ils sont relocalisés en fonction des déplacements de l’habitat
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