18 research outputs found

    Leucine supplementation improves adiponectin and total cholesterol concentrations despite the lack of changes in adiposity or glucose homeostasis in rats previously exposed to a high-fat diet

    Get PDF
    <p>Abstract</p> <p>Background</p> <p>Studies suggest that leucine supplementation (LS) has a therapeutic potential to prevent obesity and to promote glucose homeostasis. Furthermore, regular physical exercise is a widely accepted strategy for body weight maintenance and also for the prevention of obesity. The aim of this study was to determine the effect of chronic LS alone or combined with endurance training (ET) as potential approaches for reversing the insulin resistance and obesity induced by a high-fat diet (HFD) in rats.</p> <p>Methods</p> <p>Forty-seven rats were randomly divided into two groups. Animals were fed a control diet-low fat (<it>n = </it>10) or HFD (<it>n = </it>37). After 15 weeks on HFD, all rats received the control diet-low fat and were randomly divided according to treatment: reference (REF), LS, ET, and LS+ET (<it>n = </it>7-8 rats per group). After 6 weeks of treatment, the animals were sacrificed and body composition, fat cell volume, and serum concentrations of total cholesterol, HDL-cholesterol, triacylglycerol, glucose, adiponectin, leptin and tumor necrosis factor-alpha (TNF-α) were analyzed.</p> <p>Results</p> <p>At the end of the sixth week of treatment, there was no significant difference in body weight between the REF, LS, ET and LS+ET groups. However, ET increased lean body mass in rats (<it>P </it>= 0.019). In addition, ET was more effective than LS in reducing adiposity (<it>P </it>= 0.019), serum insulin (<it>P </it>= 0.022) and TNF-α (<it>P </it>= 0.044). Conversely, LS increased serum adiponectin (<it>P </it>= 0.021) levels and reduced serum total cholesterol concentration (<it>P </it>= 0.042).</p> <p>Conclusions</p> <p>The results showed that LS had no beneficial effects on insulin sensitivity or adiposity in previously obese rats. On the other hand, LS was effective in increasing adiponectin levels and in reducing total cholesterol concentration.</p

    Prise en charge initiale d'une anorexie mentale restrictive sévère

    No full text
    L’anorexie mentale restrictive de l’adulte est un trouble du comportement alimentaire que l’on rencontre quotidiennement dans les consultations de nutrition et régulièrement dans les consultations de médecine générale. Souvent dans le déni, les patients sont amenés à consulter tardivement avec des conséquences nutritionnelles et métaboliques qui peuvent engager le pronostic vital. Bien que de nosographie psychiatrique, la prise en charge multidisciplinaire est fortement recommandée. Le cas clinique suivant présente une patiente âgée de 20 ans, adressée en consultation de nutrition par son médecin traitant pour « anorexie mentale depuis six mois suite à une rupture sentimentale » avec perte de poids de 12 kg en huit mois

    Prise en charge nutritionnelle d'un patient cirrhotique. [Nutritional management in liver cirrhosis.]

    No full text
    La maladie hépatique au stade cirrhotique s'associe dans 20 à 60 % des cas à une dénutrition protéino-énergétique qui altère significativement le pronostic global du patient, indépendamment de la nature de l'hépatopathie. La perte de la masse musculaire (sarcopénie) est le facteur le plus déterminant de cette évolution défavorable. Les mécanismes de la dénutrition sont multiples : insuffisance d'apports, hypermétabolisme, malabsorption, désordres métaboliques. Les outils de dépistage classiques comme l'indice de masse corporelle ou les marqueurs biologiques sont mis en défaut par l'existence d'une insuffisance hépatocellulaire et/ou d'une ascite ou d'oedèmes. La circonférence musculaire brachiale est le seul outil clinique fiable pour repérer les cirrhotiques dénutris. Une prise en charge nutritionnelle précoce limite les complications infectieuses et améliore la qualité de vie. Dans les cas de cirrhose, l'ESPEN recommande un apport calorique de 35 à 40 kcal/kg par jour et protéique de 1,2 à 1,5 g/kg par jour (0,6–0,8 g/kg par jour en cas d'encéphalopathie hépatique aiguë). Le renforcement des conseils diététiques est l'étape préliminaire pour atteindre ces objectifs. En cas d'échec, le recours a une nutrition artificielle doit être discuté sans tarder avec une préférence pour la nutrition entérale

    Information du patient (et de ses proches) avant la réalisation d'une gastrostomie percutanée endoscopique selon la technique "introducer" pour l'administration d'une nutrition entérale. [Information for patients (and relatives) before percutaneous endoscopic gastrostomy using "introducer" method for enteral nutrition.]

    No full text
    PréfaceUne dénutrition est présente chez 30 à 50 % des malades hos-pitalisés [1]. De nombreuses études ont montré que la dénutritionétait un facteur prédictif indépendant de morbidité, notam-ment infectieuse, de mortalité, d’altération de la qualité de vie,d’allongement de la durée d’hospitalisation et en conséquenced’une augmentation des coûts hospitaliers [1]. La dénutrition etle risque de dénutrition doivent être dépistés systématiquementà l’entrée en hospitalisation de fac¸on à pouvoir mettre en placeune prise en charge nutritionnelle précoce et adaptée conformé-ment aux exigences de la Haute Autorité de santé (HAS) pourla certification des établissements (critères IPAQSS). Dans lamesure du possible, la prise en charge nutritionnelle orale doitêtre privilégiée, tout particulièrement chez le sujet âgé [2]. Lescompléments nutritionnels oraux (CNO) et les conseils diété-tiques représentent les deux volets de cette prise en charge orale.L’efficacité des CNO est démontrée dans différentes situationsde dénutrition ou à risque [3] et leur prescription est recomman-dée chez le sujet âgé [2], chez le patient atteint de cancer [4],chez le patient en situation périopératoire [5] et chez le patientavec fracture du col du fémur [3
    corecore