17 research outputs found

    Health effects of low frequency noise and infrasound from wind farms: results from an independent collective expertise in France

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    12th ICBEN Congress on Noise as a Public Health Problem, ZURICH, SUISSE, 18-/06/2017 - 22/06/2017Several complaints were expressed by some residents of French wind farms, putting forward infrasound and low frequency noise (ILFN) as a potential source of annoyance. Since available information on this subject are multiple and often contradictory, the French Agency for Food, Environmental and Occupational Health & Safety (ANSES) was mandated by the French Ministry of Environment to conduct an independent collective expertise on the evaluation of the health effects related to ILFN from wind farms. The objective was first to produce a complete review on auditory and non auditory health effects due to WTN, focusing on ILFN ; then, to collect experimental ILFN data from some wind farms in order to compare with data from the literature ; and finally to propose some improvements in the process of wind farm assessment or of impact studies, concerning ILFN. This paper presents the main results and conclusions of this expertise

    Evaluation des effets sanitaires des basses fréquences sonores et infrasons dus aux parcs éoliens

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    L'Anses a réalisé plusieurs travaux d'expertise scientifique sur la thématique des impacts sanitaires potentiels du bruit éolien. L'Agence avait été saisie une première fois en 2006 par les Ministères en charge de la santé et de l'environnement afin de réaliser une analyse critique du rapport publié par l'Académie nationale de médecine recommandant l'implantation des éoliennes à une distance minimale de 1 500 mètres des habitations, pour les machines les plus puissantes (supérieures à 2,5 Mégawatts) en raison des nuisances sonores liées à ces infrastructures. Au terme de cette première expertise publiée en 2008, l'Anses rappelait dans ses conclusions la nécessité d'étudier au cas par cas les distances d'implantation des éoliennes, par le biais notamment de modélisations acoustiques considérant les spécificités des configurations locales. À la suite notamment de différentes plaintes de riverains de parcs éoliens, les Ministères de la santé et de l'environnement ont à nouveau saisi l'Agence en 2013, afin d'évaluer les effets sanitaires potentiels des infrasons et bruits basses fréquences émis par les parcs éoliens. À ce jour, si des hypothèses de mécanismes d'effets sanitaires demeurent à explorer, l'examen des données expérimentales et épidémiologiques disponibles ne met pas en évidence d'arguments scientifiques suffisants en faveur de l'existence d'effets sanitaires pour les riverains spécifiquement liés à leur exposition à la part non audible des émissions sonores des éoliennes (infrasons notamment). L'état des connaissances disponibles ne justifie donc pas d'étendre le périmètre des études d'impact sanitaire du bruit éolien à d'autres problématiques que celles liées à l'audibilité du bruit, pour lesquelles les effets sont aÎrés, complexes et documentés par ailleurs

    Additional file 2: of Mid-regional pro-adrenomedullin (MR-proADM), a marker of positive fluid balance in critically ill patients: results of the ENVOL study

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    Random forests perform regression using decision trees. It is a non parametric machine learning method using a series of random decisions at each tree. We used random forests to perform an initial choice between the large number of variables to enter in the second phase of regression. A SOFA (top), ∆H2O (middle) and ∆Na+ (bottom) variable importance measured by random forests. This figure displays the dot chart used to choose the variables entered into the linear mixed-effect regression model. On the left is the normalized mean square error (MSE), on the right, the node impurity is the residual sum of squares. B Results of the mixed effect modeling for ∆Na+, ∆H2O and SOFA using the lme procedure from R. (DOCX 322 kb

    Synthèse des connaissances scientifiques concernant les effets sur la santé liés à l’exposition au bruit issu du trafic aérien

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    Des enquêtes réalisées régulièrement auprès de la population montrent que les impacts du bruit sur la santé constituent toujours une préoccupation importante pour les Français. Parmi les bruits qui génèrent le plus d’inquiétudes quant à leurs effets sur la santé figure celui lié au trafic aérien, pour les riverains des plateformes aéroportuaires. Lors des récentes réunions publiques concernant le projet de construction d'un quatrième terminal (T4) sur l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle (Paris-CDG) et le projet d’aménagement et d’extension de l’aéroport Nantes-Atlantique, les riverains de ces plateformes aéroportuaires et les associations de protection de riverains ont fait part de leurs fortes attentes en matière d’informations sur les impacts pour leur santé liés au bruit du trafic aérien actuel et sur les éventuels impacts supplémentaires attendus avec ces projets. De telles attentes sont également exprimées par les riverains d’autres plateformes aéroportuaires françaises, notamment lors des commissions consultatives de l’environnement (CCE).En 2013, l’Anses a publié, suite à une saisine de la Direction générale de la santé (DGS) et de la Direction générale de la prévention des risques (DGPR), un avis et un rapport d’expertise relatifs à l’évaluation des impacts sanitaires extra-auditifs du bruit environnemental. Les principales sources de bruit considérées dans cette expertise étaient les transports terrestres et aériens, ainsi que les activités industrielles et de loisir. Compte tenu notamment de la faible robustesse des relations dose-effet documentées pour les différentes situations d’exposition au bruit, et de la complexité des interactions entre divers paramètres : physiques, physiologiques, cognitifs et socio-économiques impliqués dans les relations bruit-santé, il n’avait pas été possible de déterminer des indicateurs reliant l’exposition aux bruits des transports, des activités et événementiels et ses effets sur la santé. L’agence avait alors proposé, dans le cadre de cette expertise, une méthode d’évaluation des risques sanitaires extra auditifs basée sur une grille-support.Depuis l’expertise de l’Anses publiée en 2013, de nouvelles connaissances ont été produites et plusieurs publications scientifiques sur ce sujet sont parues et notamment :- en France, une partie des résultats du programme de recherche scientifique DEBATS (Discussion sur les Effets du Bruit des Aéronefs Touchant la Santé), cofinancé par la DGS, la DGPR, la Direction générale de l’aviation civile (DGAC) et l’Autorité de contrôle des nuisances sonores aéroportuaires (ACNUSA). Lancé en 2012 et coordonné par l’Institut français des sciences et technologies des transports, de l'aménagement et des réseaux (Ifsttar1), DEBATS étudie les effets sur la santé du bruit des aéronefs sur les riverains des aéroports de Paris-CDG, Lyon-Saint-Exupéry et Toulouse-Blagnac.- au niveau international, certaines études plus récentes ont alimenté les travaux menés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans le cadre de sa mise à jour, en 2018, des valeurs guides relatives au bruit environnemental

    Synthèse des connaissances scientifiques concernant les effets sur la santé liés à l’exposition au bruit issu du trafic aérien

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    Des enquêtes réalisées régulièrement auprès de la population montrent que les impacts du bruit sur la santé constituent toujours une préoccupation importante pour les Français. Parmi les bruits qui génèrent le plus d’inquiétudes quant à leurs effets sur la santé figure celui lié au trafic aérien, pour les riverains des plateformes aéroportuaires. Lors des récentes réunions publiques concernant le projet de construction d'un quatrième terminal (T4) sur l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle (Paris-CDG) et le projet d’aménagement et d’extension de l’aéroport Nantes-Atlantique, les riverains de ces plateformes aéroportuaires et les associations de protection de riverains ont fait part de leurs fortes attentes en matière d’informations sur les impacts pour leur santé liés au bruit du trafic aérien actuel et sur les éventuels impacts supplémentaires attendus avec ces projets. De telles attentes sont également exprimées par les riverains d’autres plateformes aéroportuaires françaises, notamment lors des commissions consultatives de l’environnement (CCE).En 2013, l’Anses a publié, suite à une saisine de la Direction générale de la santé (DGS) et de la Direction générale de la prévention des risques (DGPR), un avis et un rapport d’expertise relatifs à l’évaluation des impacts sanitaires extra-auditifs du bruit environnemental. Les principales sources de bruit considérées dans cette expertise étaient les transports terrestres et aériens, ainsi que les activités industrielles et de loisir. Compte tenu notamment de la faible robustesse des relations dose-effet documentées pour les différentes situations d’exposition au bruit, et de la complexité des interactions entre divers paramètres : physiques, physiologiques, cognitifs et socio-économiques impliqués dans les relations bruit-santé, il n’avait pas été possible de déterminer des indicateurs reliant l’exposition aux bruits des transports, des activités et événementiels et ses effets sur la santé. L’agence avait alors proposé, dans le cadre de cette expertise, une méthode d’évaluation des risques sanitaires extra auditifs basée sur une grille-support.Depuis l’expertise de l’Anses publiée en 2013, de nouvelles connaissances ont été produites et plusieurs publications scientifiques sur ce sujet sont parues et notamment :- en France, une partie des résultats du programme de recherche scientifique DEBATS (Discussion sur les Effets du Bruit des Aéronefs Touchant la Santé), cofinancé par la DGS, la DGPR, la Direction générale de l’aviation civile (DGAC) et l’Autorité de contrôle des nuisances sonores aéroportuaires (ACNUSA). Lancé en 2012 et coordonné par l’Institut français des sciences et technologies des transports, de l'aménagement et des réseaux (Ifsttar1), DEBATS étudie les effets sur la santé du bruit des aéronefs sur les riverains des aéroports de Paris-CDG, Lyon-Saint-Exupéry et Toulouse-Blagnac.- au niveau international, certaines études plus récentes ont alimenté les travaux menés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans le cadre de sa mise à jour, en 2018, des valeurs guides relatives au bruit environnemental

    Avis de l'Anses relatif aux lignes directrices visant à limiter l’exposition des personnes aux champs électromagnétiques (100 kHz – 300 GHz)

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    Citation suggérée : Anses. (2023). Avis de l'Anses relatif aux lignes directrices visant à limiter l’exposition des personnes aux champs électromagnétiques. (saisine 2021-SA-0192). Maisons-Alfort : Anses, 50 p.En France, comme dans la majorité des pays européens, des valeurs limites pour l’exposition de la population générale aux champs électromagnétiques ont été définies dans la réglementation, en s’appuyant sur la Recommandation 1999/519/CE de l’Union européenne publiée en 1999. Pour limiter l’exposition des travailleurs aux champs électromagnétiques, le Parlement européen et le Conseil de l’Union européenne ont établi la Directive 2013/35/UE, transposée en droit français par le décret n° 2016-1074 du 3 août 2016. Les valeurs limites d’exposition figurant dans les textes européens ont été reprises des propositions de la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (Icnirp), organisation non gouvernementale dont l’objectif est de protéger les personnes et l’environnement contre les effets néfastes des rayonnements non ionisants. Les « lignes directrices » publiées à cette fin par l’Icnirp en 1998 concernaient l’ensemble du spectre électromagnétique jusqu’à 300 GHz. Les termes « lignes directrices » désignent, dans le cadre des travaux de l’Icnirp, l’ensemble des recommandations et arguments qui les sous-tendent afin de limiter l’exposition des personnes aux champs électromagnétiques, dans l’objectif d’éviter les effets sur la santé associés, considérés par l’Icnirp comme scientifiquement avérés. Ces dernières années, l’organisation a entrepris une mise à jour de ses lignes directrices concernant les champs électromagnétiques radiofréquences, dont une version provisoire a été soumise à une consultation publique pendant l’été 2018 (Icnirp, 2018), à laquelle l’Anses a contribué, à la demande de la Direction générale de la santé.De nouvelles recommandations ont ainsi été publiées par l’Icnirp en 2020 concernant la protection des personnes exposées à des champs électromagnétiques radiofréquences dans la gamme de 100 kHz à 300 GHz. Elles remplacent la section 100 kHz à 300 GHz des lignes directrices de l’Icnirp publiées en 1998, mais également la section 100 kHz à 10 MHz des lignes directrices publiées en 2010 concernant les basses fréquences

    Avis de l'Anses relatif aux lignes directrices visant à limiter l’exposition des personnes aux champs électromagnétiques (100 kHz – 300 GHz)

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    Citation suggérée : Anses. (2023). Avis de l'Anses relatif aux lignes directrices visant à limiter l’exposition des personnes aux champs électromagnétiques. (saisine 2021-SA-0192). Maisons-Alfort : Anses, 50 p.En France, comme dans la majorité des pays européens, des valeurs limites pour l’exposition de la population générale aux champs électromagnétiques ont été définies dans la réglementation, en s’appuyant sur la Recommandation 1999/519/CE de l’Union européenne publiée en 1999. Pour limiter l’exposition des travailleurs aux champs électromagnétiques, le Parlement européen et le Conseil de l’Union européenne ont établi la Directive 2013/35/UE, transposée en droit français par le décret n° 2016-1074 du 3 août 2016. Les valeurs limites d’exposition figurant dans les textes européens ont été reprises des propositions de la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (Icnirp), organisation non gouvernementale dont l’objectif est de protéger les personnes et l’environnement contre les effets néfastes des rayonnements non ionisants. Les « lignes directrices » publiées à cette fin par l’Icnirp en 1998 concernaient l’ensemble du spectre électromagnétique jusqu’à 300 GHz. Les termes « lignes directrices » désignent, dans le cadre des travaux de l’Icnirp, l’ensemble des recommandations et arguments qui les sous-tendent afin de limiter l’exposition des personnes aux champs électromagnétiques, dans l’objectif d’éviter les effets sur la santé associés, considérés par l’Icnirp comme scientifiquement avérés. Ces dernières années, l’organisation a entrepris une mise à jour de ses lignes directrices concernant les champs électromagnétiques radiofréquences, dont une version provisoire a été soumise à une consultation publique pendant l’été 2018 (Icnirp, 2018), à laquelle l’Anses a contribué, à la demande de la Direction générale de la santé.De nouvelles recommandations ont ainsi été publiées par l’Icnirp en 2020 concernant la protection des personnes exposées à des champs électromagnétiques radiofréquences dans la gamme de 100 kHz à 300 GHz. Elles remplacent la section 100 kHz à 300 GHz des lignes directrices de l’Icnirp publiées en 1998, mais également la section 100 kHz à 10 MHz des lignes directrices publiées en 2010 concernant les basses fréquences

    Avis de l'Anses relatif aux lignes directrices visant à limiter l’exposition des personnes aux champs électromagnétiques (100 kHz – 300 GHz)

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    Citation suggérée : Anses. (2023). Avis de l'Anses relatif aux lignes directrices visant à limiter l’exposition des personnes aux champs électromagnétiques. (saisine 2021-SA-0192). Maisons-Alfort : Anses, 50 p.En France, comme dans la majorité des pays européens, des valeurs limites pour l’exposition de la population générale aux champs électromagnétiques ont été définies dans la réglementation, en s’appuyant sur la Recommandation 1999/519/CE de l’Union européenne publiée en 1999. Pour limiter l’exposition des travailleurs aux champs électromagnétiques, le Parlement européen et le Conseil de l’Union européenne ont établi la Directive 2013/35/UE, transposée en droit français par le décret n° 2016-1074 du 3 août 2016. Les valeurs limites d’exposition figurant dans les textes européens ont été reprises des propositions de la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (Icnirp), organisation non gouvernementale dont l’objectif est de protéger les personnes et l’environnement contre les effets néfastes des rayonnements non ionisants. Les « lignes directrices » publiées à cette fin par l’Icnirp en 1998 concernaient l’ensemble du spectre électromagnétique jusqu’à 300 GHz. Les termes « lignes directrices » désignent, dans le cadre des travaux de l’Icnirp, l’ensemble des recommandations et arguments qui les sous-tendent afin de limiter l’exposition des personnes aux champs électromagnétiques, dans l’objectif d’éviter les effets sur la santé associés, considérés par l’Icnirp comme scientifiquement avérés. Ces dernières années, l’organisation a entrepris une mise à jour de ses lignes directrices concernant les champs électromagnétiques radiofréquences, dont une version provisoire a été soumise à une consultation publique pendant l’été 2018 (Icnirp, 2018), à laquelle l’Anses a contribué, à la demande de la Direction générale de la santé.De nouvelles recommandations ont ainsi été publiées par l’Icnirp en 2020 concernant la protection des personnes exposées à des champs électromagnétiques radiofréquences dans la gamme de 100 kHz à 300 GHz. Elles remplacent la section 100 kHz à 300 GHz des lignes directrices de l’Icnirp publiées en 1998, mais également la section 100 kHz à 10 MHz des lignes directrices publiées en 2010 concernant les basses fréquences
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