71 research outputs found
FaciÚs et conditions de dépÎt des calcaires à archéocyathes du Cambrien inférieur de la Montagne Noire méridionale (Massif central, France)
Les calcaires de la formation de Pardailhan (Cambrien inférieur du sud de la Montagne Noire) ne contiennent
des faunes dâarchĂ©ocyathes que dans quelques minces couches de la sĂ©quence carbonatĂ©e-dĂ©tritique, dans chaque horizon
(HI, H2, H3) exposée dans plusieurs unités tectoniques superposées qui sont affectées par de sévÚres déformations.
Lâexamen comparatif des assemblages dâarchĂ©ocyathes associĂ© Ă une investigation sĂ©dimentologique dĂ©taillĂ©e
conduit à la compréhension des modes de dépÎt et du style de construction des associations archéocyathes-calcimicrobes.
Il permet Ă©galement dâobtenir une meilleure dĂ©finition des relations palĂ©ogĂ©ographiques entre les diffĂ©rentes unitĂ©s
tectoniques.
H1 : archĂ©ocyathes â calcimicrobes sont concentrĂ©s dans de petits rĂ©cifs âpionniersâ, dĂ©tritiques, avec de petits
calices dâarchĂ©ocyathes cylindriques (en bĂątonnets), brisĂ©s et dĂ©placĂ©s dans les dĂ©pĂŽts interrĂ©cifaux; localement ils sont
associés avec des boundstones en croûtes à Epiphyton et Girvanella. Les archéocyathes sont fréquents dans le Sud Minervois,
plus irréguliÚrement répartis dans le Nord Minervois, le Pardailhan nord et sud.
H2 : les archéocyathes sont en bùtonnets, isolés et fréquemment déplacés comme dans H1, mais on trouve aussi
des calices en place, en forme de soucoupes; des grainstones, contenant du quartz diffus Ă grains fins Ă la base des bioconstructions
en croĂ»tes Ă Girvanella, tĂ©moignant dâune haute Ă©nergie, sont plus developpĂ©s dans le Sud Minervois, que
dans le Nord Pardailhan; un boundstone à Epiphyton et Renalcis de basse énergie est trouvé dans le Minervois et le
Nord Pardailhan.
H3 : les calices dâarchĂ©ocyathes sont de grandes soucoupes, observĂ©es la plupart du temps sous forme de longs
rubans ondulés, fragments de leur intervallum, dans un boundstone à Epiphyton et Renalcis. Dans le Nord Pardailhan,
on trouve localement des faciĂšs de tempĂȘte Ă la base des bioconstructions, tandis que dans le Sud Pardailhan,nodulaires, des mudstones, contenant des dĂ©bris bioclastiques et quelques boundstones cryptalgaires et calcimicrobiens,
sont le signe dâun environnement de basse Ă©nergie Ă la transition avec le bassin peu profond
«La relation de limitation et dâexception dans le français dâaujourdâhui : exceptĂ©, sauf et hormis comme pivots dâune relation algĂ©brique »
Lâanalyse des emplois prĂ©positionnels et des emplois conjonctifs dâ âexceptĂ©â, de âsaufâ et dâ âhormisâ permet dâenvisager les trois prĂ©positions/conjonctions comme le pivot dâun binĂŽme, comme la plaque tournante dâune structure bipolaire. PlacĂ©es au milieu du binĂŽme, ces prĂ©positions sont forcĂ©es par leur sĂ©mantisme originaire dĂ»ment mĂ©taphorisĂ© de jouer le rĂŽle de marqueurs dâinconsĂ©quence systĂ©matique entre lâĂ©lĂ©ment se trouvant Ă leur gauche et celui qui se trouve Ă leur droite. Lâopposition qui surgit entre les deux Ă©lĂ©ments nâest donc pas une incompatibilitĂ© naturelle, intrinsĂšque, mais extrinsĂšque, induite. Dans la plupart des cas (emplois limitatifs), cette opposition prend la forme dâun rapport entre une « classe » et le « membre (soustrait) de la classe », ou bien entre un « tout » et une « partie » ; dans dâautres (emplois exceptifs), cette opposition se manifeste au contraire comme une attaque de front portĂ©e par un « tout » Ă un autre « tout ». De plus, lâinconsĂ©quence induite mise en place par la prĂ©position/conjonction paraĂźt, en principe, tout Ă fait insurmontable. Dans lâassertion « les Ă©cureuils vivent partout, sauf en Australie » (que lâon peut expliciter par « Les Ă©cureuils vivent partout, sauf [quâils ne vivent pas] en Australie »), la prĂ©position semble en effet capable dâimpliquer le prĂ©dicat principal avec signe inverti, et de bĂątir sur une telle implication une sorte de sous Ă©noncĂ© qui, Ă la rigueur, est totalement inconsĂ©quent avec celui qui le prĂ©cĂšde (si « les Ă©cureuils ne vivent pas en Australie », le fait quâils « vivent partout » est faux). NĂ©anmoins, lâanalyse montre quâalors que certaines de ces oppositions peuvent enfin ĂȘtre dĂ©passĂ©es, dâautres ne le peuvent pas. Câest, respectivement, le cas des relations limitatives et des relations exceptives. La relation limitative, impliquant le rapport « tout » - « partie », permet de rĂ©soudre le conflit dans les termes dâune somme algĂ©brique entre deux sous Ă©noncĂ©s pourvus de diffĂ©rent poids informatif et de signe contraire. Les valeurs numĂ©riques des termes de la somme Ă©tant dĂ©sĂ©quilibrĂ©es, le rĂ©sultat est toujours autre que zĂ©ro. La relation exceptive, au contraire, qui nâimplique pas le rapport « tout » - « partie », nâest pas capable de rĂ©soudre le conflit entre deux sous Ă©noncĂ©s pourvus du mĂȘme poids informatif et en mĂȘme temps de signe contraire : les valeurs numĂ©riques des termes de la somme Ă©tant symĂ©triques et Ă©gales, le rĂ©sultat sera toujours Ă©quivalent Ă zĂ©ro
Cryptic Disc Structures Resembling Ediacaran Discoidal Fossils from the Lower Silurian Hellefjord Schist, Arctic Norway
The Hellefjord Schist, a volcaniclastic psammite-pelite formation in the Caledonides of Arctic Norway contains discoidal impressions and apparent tube casts that share morphological and taphonomic similarities to Neoproterozoic stem-holdfast forms. U-Pb zircon geochronology on the host metasediment indicates it was deposited between 437 ± 2 and 439 ± 3 Ma, but also indicates that an inferred basal conglomerate to this formation must be part of an older stratigraphic element, as it is cross-cut by a 546 ± 4 Ma pegmatite. These results confirm that the Hellefjord Schist is separated from underlying older Proterozoic rocks by a thrust. It has previously been argued that the Cambrian Substrate Revolution destroyed the ecological niches that the Neoproterozoic frond-holdfasts organisms occupied. However, the discovery of these fossils in Silurian rocks demonstrates that the environment and substrate must have been similar enough to Neoproterozoic settings that frond-holdfast bodyplans were still ecologically viable some hundred million years later
A REVISION OF AUSTRALIAN GENERA OF ARCHAECYATHA
Volume: 94Start Page: 21End Page: 4
Coscinocyathus Bornemann, 1844 (Archaeocyatha): proposed designation of a type-species under the plenary powers. Z.N. (S.) 1924
Volume: 27Start Page: 207End Page: 20
- âŠ