14 research outputs found

    Introgression reshapes recombination distribution in grapevine interspecific hybrids

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    In grapevine interspecific hybrids, meiotic recombination is suppressed in homeologous regions and enhanced in homologous regions of recombined chromosomes, whereas crossover rate remains unchanged when chromosome pairs are entirely homeologous

    Economies of scale and optimal farm size in the Estonian dairy sector

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    A Ă©galement Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© aux 23. JournĂ©es de MicroĂ©conomie appliquĂ©e, Nantes, Juin 2006.Il existe un vieux dĂ©bat en Ă©conomie agricole sur l'existence d'Ă©conomie d'Ă©chelle et la taille optimale des exploitations. Ce dĂ©bat a Ă©tĂ© rĂ©cemment renouvelĂ©, dans la littĂ©rature, pour les pays en transition oĂč coexistent de trĂšs grandes et petites exploitations. Cette Ă©tude s'appuie sur les donnĂ©es du RICA estonien d'oĂč a Ă©tĂ© extrait un Ă©chantillon en panel de 170 exploitations laitiĂšres entre 2000 et 2003. Les performances des firmes sont apprĂ©ciĂ©es par quatre approches : l'observation du coĂ»t de production du lait en fonction de la taille des exploitations, l'estimation de fonction de coĂ»t, l'estimation de fonction de Cobb-Douglas et l'emploi de la mĂ©thode DEA. Les rĂ©sultats sur les Ă©conomies d'Ă©chelles varient selon les mĂ©thodes employĂ©es. L'hypothĂšse de rendement d'Ă©chelle constant n'est pas rejetĂ©e au vue de certains rĂ©sultats. D'autres rĂ©sultats conduisent Ă  considĂ©rer que les meilleures performances sont atteintes par les exploitations de taille moyenne. L'avenir des exploitations familiales et des sociĂ©tĂ©s dĂ©pend, en Estonie, de nombreux facteurs. Avec l'application de la PAC, le dĂ©couplage des aides peut notamment encourager le dĂ©veloppement de l'agriculture familial au dĂ©triment des sociĂ©tĂ©s

    Economies of scale and optimal farm size in the Estonian dairy sector

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    A Ă©galement Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© aux 23. JournĂ©es de MicroĂ©conomie appliquĂ©e, Nantes, Juin 2006.Il existe un vieux dĂ©bat en Ă©conomie agricole sur l'existence d'Ă©conomie d'Ă©chelle et la taille optimale des exploitations. Ce dĂ©bat a Ă©tĂ© rĂ©cemment renouvelĂ©, dans la littĂ©rature, pour les pays en transition oĂč coexistent de trĂšs grandes et petites exploitations. Cette Ă©tude s'appuie sur les donnĂ©es du RICA estonien d'oĂč a Ă©tĂ© extrait un Ă©chantillon en panel de 170 exploitations laitiĂšres entre 2000 et 2003. Les performances des firmes sont apprĂ©ciĂ©es par quatre approches : l'observation du coĂ»t de production du lait en fonction de la taille des exploitations, l'estimation de fonction de coĂ»t, l'estimation de fonction de Cobb-Douglas et l'emploi de la mĂ©thode DEA. Les rĂ©sultats sur les Ă©conomies d'Ă©chelles varient selon les mĂ©thodes employĂ©es. L'hypothĂšse de rendement d'Ă©chelle constant n'est pas rejetĂ©e au vue de certains rĂ©sultats. D'autres rĂ©sultats conduisent Ă  considĂ©rer que les meilleures performances sont atteintes par les exploitations de taille moyenne. L'avenir des exploitations familiales et des sociĂ©tĂ©s dĂ©pend, en Estonie, de nombreux facteurs. Avec l'application de la PAC, le dĂ©couplage des aides peut notamment encourager le dĂ©veloppement de l'agriculture familial au dĂ©triment des sociĂ©tĂ©s

    The impact of training on productivity and wages : evidence from British panel data

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    It is standard in the literature on training to use wages as a sufficient statistic for productivity. But there are many reasons why wages and productivity may diverge. This paper is part of a smaller literature on the effects of work-related training on direct measures of productivity. We construct a panel of British industries between 1983 and 1996 containing training, productivity and wages. Using a variety of econometric estimation techniques (including system GMM) we find that training is associated with significantly higher productivity. Raising the proportion of workers trained in an industry by one percentage point (say from the average of 10% to 11%) is associated with an increase in value added per worker of about 0.6% and an increase in wages of about 0.3%. Furthermore, we find that the magnitude of the impact of training on wages is only half as large as the impact of training on productivity, implying that the existing literature has underestimated the importance of training. We also show evidence using complementary datasets (e.g. from individuals) that is suggestive of externalities of training and imperfect competition

    Hétérogénéité, déterminants et trajectoires du revenu des agriculteurs français

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    Ce rapport, coordonnĂ© par Laurent Piet (INRAE, UMR SMART-LERECO), a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© dans le cadre de l'appel Ă  projets de recherche « Revenu des agriculteurs : mesures, dĂ©terminants et instruments d'accompagnement » du Centre d'Ă©tudes et de prospective du MinistĂšre de l'Agriculture et de l'Alimentation.The analysis of farmers' income must take into account its composition (agricultural sources, non-agricultural sources, and public support), its level (per farm, per labour unit, per household), its dispersion (between farmers, between production systems) and its evolution (in the short and long term). The objectives of the Agr'Income project are, first, to review the different definitions of the concept of "farm income" and the indicators and sources usually used to characterize and quantify it, and then to describe as precisely as possible the diversity of French farmers' income. Secondly, it is a question of analyzing the technical and economic determinants that govern the construction of the income generated by farms, and the trade-offs between immediate remuneration of work and deferred remuneration in the form of asset accumulation. Thirdly, the project aims to study the extent to which certain income support instruments defined within the framework of the CAP make it possible to achieve the political objectives set in terms of convergence and redistribution of aid, and whether this type of income support proves to be coherent with the simultaneous pursuit of objectives in terms of environmental issues.L’analyse du revenu des agriculteurs doit tenir compte Ă  la fois de sa composition (sources agricoles, sources non agricoles, soutien public), de son niveau (par exploitation, par unitĂ© de main d’Ɠuvre, par mĂ©nage), de sa dispersion (entre agriculteurs, entre systĂšmes de production) et de son Ă©volution (Ă  court terme et Ă  long terme). Les objectifs du projet Agr’Income sont ainsi, en premier lieu, de faire le point sur les diffĂ©rentes dĂ©finitions du concept de "revenu agricole" et sur les indicateurs et sources habituellement utilisĂ©s pour le caractĂ©riser et le quantifier, puis de dĂ©crire le plus prĂ©cisĂ©ment possible la diversitĂ© des revenus des agriculteurs français. En second lieu, il s’agit d’analyser les dĂ©terminants technico-Ă©conomiques qui prĂ©sident Ă  la construction du revenu dĂ©gagĂ© par les exploitations, et les arbitrages entre rĂ©munĂ©ration immĂ©diate du travail et rĂ©munĂ©ration diffĂ©rĂ©e sous forme de constitution d’un patrimoine. TroisiĂšmement, le projet vise Ă  Ă©tudier dans quelle mesure certains instruments de soutien du revenu dĂ©finis dans le cadre de la PAC permettent d’atteindre les objectifs politiques fixĂ©s en matiĂšre de convergence et de redistribution des aides, et si ce type de soutien au revenu s’avĂšre cohĂ©rent avec la poursuite simultanĂ©e d’objectifs en matiĂšre de rĂ©ponse aux enjeux environnementaux

    Réduction des émissions de gaz à effet de serre permise par le stockage additionnel de carbone sur les terres agricoles Françaises : Courbe de coût marginal d'abattement.

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    International audienceFollowing the Paris agreement in 2015, the European Union (EU) set a carbon neutrality objective by 2050, and so did France. The French agricultural sector can contribute as a carbon sink through carbon storage in biomass and soil, in addition to reducing GHG emissions. The objective of this study is to quantitatively assess the additional storage potential and cost of a set of eight carbon-storing practices. The impacts of these agricultural practices on soil organic carbon storage and crop production are assessed at a very fine spatial scale, using crop and grassland models. The associated area base, GHG budget, and implementation costs are assessed and aggregated at the region level. The economic model BANCO uses this information to derive the marginal abatement cost curve for France and identify the combination of carbon storing practices that minimizes the total cost of achieving a given national net GHG mitigation target. We find that a substantial amount of carbon, 36.2 to 52.9 MtCO2e yr-1, can be stored in soil and biomass for reasonable carbon prices of 55 and 250 € tCO2e-1, respectively (corresponding to current and 2030 French carbon value for climate action), mainly by developing agroforestry and hedges, generalising cover crops, and introducing or extending temporary grasslands in crop sequences. This finding questions the 3-5 times lower target of 10 MtCO2e.yr-1 retained for the agricultural carbon sink by the French climate neutrality strategy. Overall, this would decrease total French GHG emissions by 9.2 to 13.8%, respectively (reference year 2019).Suite aux accords de Paris en 2015, l'Union europĂ©enne (UE) s'est fixĂ© un objectif de neutralitĂ© carbone d'ici Ă  2050, tout comme la France. En plus de rĂ©duire les Ă©missions de GES, le secteur agricole français peut contribuer Ă  la neutralitĂ© carbone en tant que puits de carbone, par le stockage de carbone dans le sol et la biomasse. L'objectif de cette Ă©tude est de quantifier le potentiel de stockage additionnel et le coĂ»t d'un ensemble de huit pratiques stockantes. Les impacts de ces pratiques agricoles sur le stockage du carbone organique du sol et les rendements des cultures sont Ă©valuĂ©s Ă  une Ă©chelle spatiale trĂšs fine, Ă  l'aide de modĂšles de cultures et de prairies. L'assiette, le bilan GES net et le coĂ»t de mise en Ɠuvre associĂ©s Ă  chaque pratique sont Ă©galement Ă©valuĂ©s et agrĂ©gĂ©s au niveau rĂ©gional. Le modĂšle Ă©conomique BANCO utilise ces informations pour gĂ©nĂ©rer la courbe de coĂ»t marginal d'abattement pour la France, et identifier la combinaison de pratiques stockantes qui minimise le coĂ»t total pour atteindre un objectif national donnĂ© d'attĂ©nuation des Ă©missions de GES nettes. Nous montrons qu'une quantitĂ© non nĂ©gligeable de carbone, de 36,2 Ă  52,9 MtCO2e an-1, peut ĂȘtre stockĂ©e dans le sol et la biomasse pour des prix du carbone raisonnables de 55 et 250 € tCO2e-1, respectivement (correspondant Ă  la "valeur de l'action pour le climat" actuelle et 2030, fixĂ©e par le gouvernement français), et cela principalement par le dĂ©veloppement de l'agroforesterie et des haies, la gĂ©nĂ©ralisation des cultures intermĂ©diaires, l'introduction ou l'extension des prairies temporaires dans les sĂ©quences de culture. Ce rĂ©sultat remet en cause l'objectif 3 Ă  5 fois infĂ©rieur retenu pour le puits de carbone agricole (10 MtCO2e.an-1) par la stratĂ©gie nationale bas carbone. Globalement, ce stockage additionnel de carbone permettrait de rĂ©duire les Ă©missions totales de GES de la France de 9,2 Ă  13,8 %, respectivement (annĂ©e de rĂ©fĂ©rence 2019)
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