191 research outputs found
Un fermier Agro Ecologique en Casamance, Sénégal
The presentation reflects how Mr Diedhiou Bacari manages his family through agro-ecological practice.
Bacari decided to stay in the village to show young people that agriculture can feed the good man without dependence on external inputs. The experience is from Takem, a village in Casamance, southern Senegal, in West Africa
Projets de développement et représentations sociales en Basse Casamance : le DERBAC et le PROGES
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal
Aptitudes des Principaux Porte-Greffages de Mangifera indica à Supporter les Variétés Primeurs comme Kent, Papaye et Ateudj en Casamance
La valeur de la production de mangue au Sénégal est estimée à près de 4 milliards de FCA. Toutefois, comme les autres filières fruits et légumes, la performance de celle de la mangue reste toujours en deçà des ententes. Afin de relever ce défi, cette étude porte sur le greffage des variétés locales pour améliorer leur productivité. Ce travail réalisé dans le centre d’application du département d’agroforesterie concerne le test de greffage de trois variétés de Mangifera indica précoces (Papaye, Ateudj et Kent) avec quatre porte-greffes (Papaye, Sierre Léone, Diourou et Kouloubadaséky). Ce travail a contribué à l’identification des meilleurs porte-greffes pour les variétés Papaye, Kent et Ateudj. Il est ressorti de cette expérience que la variété Kouloubadaséky donne un meilleur taux de réussite (93,33% ±11,55) avec la variété Ateudj. La variété Diourou donne le plus grand taux de réussite (90% ±10). La variété Papaye a donné le meilleur taux de réussite (100%) avec elle-même. Les performances des variétés Kouloubadaséky, Diourou et Papaye sont révélées pour les greffons des variétés Ateudj, Kent et de Papaye. En effet les greffons ont donné des taux de survie élevés 80,88% pour Ateudj et 79,10% pour Kent 76,19% pour Papaye. En termes de croissance le porte greffe Sierra Léone donne les meilleurs taux de croissance (greffon Ateudj (67,26% ±4,77) et greffon Kent (52,95% ±11,44)). Par contre le greffon Papaye croit plus s’il est supporté le porte-greffe Diourou avec un taux de croissance (71,71% ±8,25).
The value of mango production in Senegal is estimated at nearly 4 billion CFA francs. However, like the other fruit and vegetable sectors, the performance of the mango sector still falls short of the agreements. In order to meet this challenge, this study focuses on the grafting of local varieties to improve their productivity. This work carried out in the application center of the agroforestry department concerns the grafting test of two early varieties of Mangifera indica (Papaya and Ateudj) with four rootstocks (Papaya, Sierre Léone, Diourou and Kouloubadaséky). This work contributed to the identification of the best rootstocks for the early varieties Papaya, Kent and Ateudj. It emerged from this experiment that the Kouloubadaséky variety gives a better success rate (93.33% ±11.55) with the Ateudj variety. The Diourou variety gives the highest success rate (90% ±10). The Papaya variety gave the best success rate (100%) with itself. The performance of the Kouloubadaséky, Diourou and Papaya varieties is revealed for the grafts of the Ateudj, Kent and Papaya varieties. Indeed, the grafts gave high survival rates: 80.88% for Ateudj and 79.10% for Kent, 76.19% for Papaye. In terms of growth, the Sierra Leone rootstock gives the best growth rates (Ateudj graft (67.26% ±4.77) and Kent graft (52.95% ±11.44)). On the other hand, the Papaya scion grows more if it is supported by the Diourou rootstock with a growth rate (71.71% ±8.25)
Aptitudes des Principaux Porte-Greffages de Mangifera indica à Supporter les Variétés Primeurs comme Kent, Papaye et Ateudj en Casamance
La valeur de la production de mangue au Sénégal est estimée à près de 4 milliards de FCA. Toutefois, comme les autres filières fruits et légumes, la performance de celle de la mangue reste toujours en deçà des ententes. Afin de relever ce défi, cette étude porte sur le greffage des variétés locales pour améliorer leur productivité. Ce travail réalisé dans le centre d’application du département d’agroforesterie concerne le test de greffage de trois variétés de Mangifera indica précoces (Papaye, Ateudj et Kent) avec quatre porte-greffes (Papaye, Sierre Léone, Diourou et Kouloubadaséky). Ce travail a contribué à l’identification des meilleurs porte-greffes pour les variétés Papaye, Kent et Ateudj. Il est ressorti de cette expérience que la variété Kouloubadaséky donne un meilleur taux de réussite (93,33% ±11,55) avec la variété Ateudj. La variété Diourou donne le plus grand taux de réussite (90% ±10). La variété Papaye a donné le meilleur taux de réussite (100%) avec elle-même. Les performances des variétés Kouloubadaséky, Diourou et Papaye sont révélées pour les greffons des variétés Ateudj, Kent et de Papaye. En effet les greffons ont donné des taux de survie élevés 80,88% pour Ateudj et 79,10% pour Kent 76,19% pour Papaye. En termes de croissance le porte greffe Sierra Léone donne les meilleurs taux de croissance (greffon Ateudj (67,26% ±4,77) et greffon Kent (52,95% ±11,44)). Par contre le greffon Papaye croit plus s’il est supporté le porte-greffe Diourou avec un taux de croissance (71,71% ±8,25).
The value of mango production in Senegal is estimated at nearly 4 billion CFA francs. However, like the other fruit and vegetable sectors, the performance of the mango sector still falls short of the agreements. In order to meet this challenge, this study focuses on the grafting of local varieties to improve their productivity. This work carried out in the application center of the agroforestry department concerns the grafting test of two early varieties of Mangifera indica (Papaya and Ateudj) with four rootstocks (Papaya, Sierre Léone, Diourou and Kouloubadaséky). This work contributed to the identification of the best rootstocks for the early varieties Papaya, Kent and Ateudj. It emerged from this experiment that the Kouloubadaséky variety gives a better success rate (93.33% ±11.55) with the Ateudj variety. The Diourou variety gives the highest success rate (90% ±10). The Papaya variety gave the best success rate (100%) with itself. The performance of the Kouloubadaséky, Diourou and Papaya varieties is revealed for the grafts of the Ateudj, Kent and Papaya varieties. Indeed, the grafts gave high survival rates: 80.88% for Ateudj and 79.10% for Kent, 76.19% for Papaye. In terms of growth, the Sierra Leone rootstock gives the best growth rates (Ateudj graft (67.26% ±4.77) and Kent graft (52.95% ±11.44)). On the other hand, the Papaya scion grows more if it is supported by the Diourou rootstock with a growth rate (71.71% ±8.25)
LA COMMUNICATION DE L’ÉVALUATION AUX PARENTS: UNE ANALYSE DE L’AJUSTEMENT DES ENSEIGNANTS FORMÉS À L’ÉTRANGER AU RENVERSEMENT DE LA CHARGE DE LA PRESSION DE L’ÉVALUATION DANS LES ÉCOLES MONTRÉALAISES
Comme processus de transmission d’informations sur les apprentissages des élèves, la communication de l’évaluation est un moment crucial dans l’exercice du métier d’enseignant. Elle constituerait un objet de tensions avec des jeux de pouvoir importants. Selon les contextes, la pression de l’évaluation peut être orientée sur l’un ou l’autre des différents acteurs concernés (c’est-à -dire: l’enseignant, l’élève, le parent, etc.). Dans le cadre de la relation des enseignants formés à l’étranger (EFE) avec les parents d’élèves au Québec, la communication de l’évaluation révèlerait un moment d’insécurité en raison des problèmes d’intercompréhension et des questionnements qu’elle soulève. La présente contribution prend appui sur trois entretiens de coanalyse réalisés dans le cadre d’une recherche collaborative conduite avec cinq EFE pour comprendre l’ajustement de leurs savoir-évaluer aux conventions de la communication de l’évaluation valorisées dans les écoles montréalaises; la rencontre de l’EFE avec les parents étant conceptualisée comme un renversement de la charge de la pression de l’évaluation
The SNF1-type serine-threonine protein kinase SAPK4 regulates stress-responsive gene expression in rice
Diedhiou CJ, Popova OV, Dietz K-J, Golldack D. The SNF1-type serine-threonine protein kinase SAPK4 regulates stress-responsive gene expression in rice. BMC PLANT BIOLOGY. 2008;8(1):49.BACKGROUND: Plants respond to extracellularly perceived abiotic stresses such as low temperature, drought, and salinity by activation of complex intracellular signaling cascades that regulate acclimatory biochemical and physiological changes. Protein kinases are major signal transduction factors that have a central role in mediating acclimation to environmental changes in eukaryotic organisms. In this study, we characterized the function of the sucrose nonfermenting 1-related protein kinase2 (SnRK2) SAPK4 in the salt stress response of rice. RESULTS: Translational fusion of SAPK4 with the green fluorescent protein (GFP) showed subcellular localization in cytoplasm and nucleus. To examine the role of SAPK4 in salt tolerance we generated transgenic rice plants with over-expression of rice SAPK4 under control of the CaMV-35S promoter. Induced expression of SAPK4 resulted in improved germination, growth and development under salt stress both in seedlings and mature plants. In response to salt stress, the SAPK4-overexpressing rice accumulated less Na+ and Cl- and showed improved photosynthesis. SAPK4-regulated genes with functions in ion homeostasis and oxidative stress response were identified: the vacuolar H+-ATPase, the Na+/H+ antiporter NHX1, the Cl- channel OsCLC1 and a catalase. CONCLUSION: Our results show that SAPK4 regulates ion homeostasis and growth and development under salinity and suggest function of SAPK4 as a regulatory factor in plant salt stress acclimation. Identification of signaling elements involved in stress adaptation in plants presents a powerful approach to identify transcriptional activators of adaptive mechanisms to environmental changes that have the potential to improve tolerance in crop plants
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