57 research outputs found

    Kalideos OSR MiPy : un observatoire pour la recherche et la démonstration des applications de la télédétection à la gestion des territoires

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    International audienceCes derniĂšres annĂ©es, le CESBIO a mis en place un Observatoire Spatial RĂ©gional 'OSR' : un dispositif d'observation couplant mesures de terrain et tĂ©lĂ©dĂ©tection dans le sud-ouest de la France. L'OSR se base sur des acquisitions mensuelles de donnĂ©es satellitaires Ă  rĂ©solution dĂ©camĂ©trique depuis 2002 et sur des sites expĂ©rimentaux lourdement instrumentĂ©s (mesures en continu de flux d'eau et de carbone) Ă  partir de 2004. Ce dispositif a Ă©tĂ© reconnu service d'observation par l'INSU/CNRS en 2007 et site KALIDEOS par le CNES fin 2009 : 'KALIDEOS OSR MiPy'. Le site atelier correspond Ă  une emprise d'image SPOT, soit environ 50x50 km et couvre une grande diversitĂ© de milieux (pĂ©dologie, topographie), d'occupation et d'utilisation des sols, de pratiques et de modalitĂ©s de gestion (agricole, forestiĂšre...) et de conditions climatiques (fort gradient de dĂ©ficits hydriques estivaux). Pour la tĂ©lĂ©dĂ©tection, ce site a servi la prĂ©paration de SMOS, et il soutient maintenant en prioritĂ© Ă  la prĂ©paration des missions VENÎŒS et Sentinel-2. Les aspects radar, imagerie thermique et les approches multi-capteurs se dĂ©veloppent depuis peu. Le traitement du signal, la physique de la mesure et l'amĂ©lioration de la qualitĂ© des donnĂ©es constituent le premier axe de recherche. Au niveau thĂ©matique, le CESBIO a pour prioritĂ© les suivis et les modĂ©lisations des agrosystĂšmes de grandes cultures. L'implication rĂ©cente d'autres partenaires scientifiques ou gestionnaires a permis d'initier des travaux sur d'autres aspects, comme la biodiversitĂ©, l'amĂ©nagement du territoire, le suivi de l'extension urbaine, les risques environnementaux, la santĂ© des forĂȘts, l'enfrichement, la diversitĂ© et la productivitĂ© des prairies. La valorisation des 10 annĂ©es d'archives 2002-2011 dĂ©bute et semble trĂšs pertinente pour la caractĂ©risation en haute et en basse rĂ©solution des consĂ©quences d'annĂ©es climatiques atypiques (2003, 2011) sur les Ă©co-agro-systĂšmes. L'extrapolation des rĂ©sultats obtenus sur ce site atelier Ă  toute la rĂ©gion Midi-PyrĂ©nĂ©es ou Ă  la chaine des PyrĂ©nĂ©es est aussi initiĂ©e

    Fonctionnement hydrique des cultures Ă  l'Ă©chelle du territoire

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    Selon le 5Ăšme rapport d’évaluation du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'Ă©volution du climat) rĂ©uni Ă  Copenhague en octobre 2014, le dĂ©rĂšglement climatique est dĂ©sormais incontestable. En novembre 2015, la COP21 qui s’est tenue Ă  Paris, a rĂ©uni les pays des Nations Unies autour de discussions cruciales pour parvenir Ă  l’adoption d’un texte, l’Accord de Paris, promettant une nouvelle Ăšre dans la lutte contre le changement climatique. Les 195 pays membres de la Convention des Nations Unies sur le Changement Climatique, se sont entendus sur plusieurs points dont: la reconnaissance de la notion de justice climatique, l’objectif de contenir la hausse de la tempĂ©rature Ă  2°C et si possible 1,5°C et le financement de l’adaptation aux changements climatiques Ă  hauteur de 100 milliards de dollars annuels versĂ©s par les pays du Nord Ă  ceux du Sud Ă  partir de 2020. MalgrĂ© tout, cet Accord ne prĂ©voit pas de mĂ©canisme de sanction en cas de non-respect du texte par un État. Le respect du traitĂ© repose donc essentiellement sur les Ă©quilibres diplomatiques. Cet Accord est entrĂ© en vigueur le 4 novembre 2016 lors de l’ouverture de la COP22 (Marrakech), suite Ă  sa ratification par plus de 55 parties reprĂ©sentant 55 % des Ă©missions deGaz Ă  Effet de Serre (GES). MalgrĂ© la rĂ©ticence de certains États, et des moyens mis en Ɠuvre pour faire appliquer les objectifs Ă  atteindre, peu contraignants, cet Accord n’en reste pas moins le premier accord universel sur le climat. Il rĂ©vĂšle une avancĂ©e dans la prise de conscience des politiques qui ne peut qu’encourager les scientifiques Ă  poursuivre leurs travaux de recherche sur les solutions Ă  apporter pour rĂ©pondre Ă  ces nouveaux enjeux

    Fonctionnement hydrique des cultures Ă  l'Ă©chelle du territoire

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    Selon le 5Ăšme rapport d’évaluation du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'Ă©volution du climat) rĂ©uni Ă  Copenhague en octobre 2014, le dĂ©rĂšglement climatique est dĂ©sormais incontestable. En novembre 2015, la COP21 qui s’est tenue Ă  Paris, a rĂ©uni les pays des Nations Unies autour de discussions cruciales pour parvenir Ă  l’adoption d’un texte, l’Accord de Paris, promettant une nouvelle Ăšre dans la lutte contre le changement climatique. Les 195 pays membres de la Convention des Nations Unies sur le Changement Climatique, se sont entendus sur plusieurs points dont: la reconnaissance de la notion de justice climatique, l’objectif de contenir la hausse de la tempĂ©rature Ă  2°C et si possible 1,5°C et le financement de l’adaptation aux changements climatiques Ă  hauteur de 100 milliards de dollars annuels versĂ©s par les pays du Nord Ă  ceux du Sud Ă  partir de 2020. MalgrĂ© tout, cet Accord ne prĂ©voit pas de mĂ©canisme de sanction en cas de non-respect du texte par un État. Le respect du traitĂ© repose donc essentiellement sur les Ă©quilibres diplomatiques. Cet Accord est entrĂ© en vigueur le 4 novembre 2016 lors de l’ouverture de la COP22 (Marrakech), suite Ă  sa ratification par plus de 55 parties reprĂ©sentant 55 % des Ă©missions deGaz Ă  Effet de Serre (GES). MalgrĂ© la rĂ©ticence de certains États, et des moyens mis en Ɠuvre pour faire appliquer les objectifs Ă  atteindre, peu contraignants, cet Accord n’en reste pas moins le premier accord universel sur le climat. Il rĂ©vĂšle une avancĂ©e dans la prise de conscience des politiques qui ne peut qu’encourager les scientifiques Ă  poursuivre leurs travaux de recherche sur les solutions Ă  apporter pour rĂ©pondre Ă  ces nouveaux enjeux

    Fonctionnement hydrique des cultures Ă  l'Ă©chelle du territoire

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    Selon le 5Ăšme rapport d’évaluation du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'Ă©volution du climat) rĂ©uni Ă  Copenhague en octobre 2014, le dĂ©rĂšglement climatique est dĂ©sormais incontestable. En novembre 2015, la COP21 qui s’est tenue Ă  Paris, a rĂ©uni les pays des Nations Unies autour de discussions cruciales pour parvenir Ă  l’adoption d’un texte, l’Accord de Paris, promettant une nouvelle Ăšre dans la lutte contre le changement climatique. Les 195 pays membres de la Convention des Nations Unies sur le Changement Climatique, se sont entendus sur plusieurs points dont: la reconnaissance de la notion de justice climatique, l’objectif de contenir la hausse de la tempĂ©rature Ă  2°C et si possible 1,5°C et le financement de l’adaptation aux changements climatiques Ă  hauteur de 100 milliards de dollars annuels versĂ©s par les pays du Nord Ă  ceux du Sud Ă  partir de 2020. MalgrĂ© tout, cet Accord ne prĂ©voit pas de mĂ©canisme de sanction en cas de non-respect du texte par un État. Le respect du traitĂ© repose donc essentiellement sur les Ă©quilibres diplomatiques. Cet Accord est entrĂ© en vigueur le 4 novembre 2016 lors de l’ouverture de la COP22 (Marrakech), suite Ă  sa ratification par plus de 55 parties reprĂ©sentant 55 % des Ă©missions deGaz Ă  Effet de Serre (GES). MalgrĂ© la rĂ©ticence de certains États, et des moyens mis en Ɠuvre pour faire appliquer les objectifs Ă  atteindre, peu contraignants, cet Accord n’en reste pas moins le premier accord universel sur le climat. Il rĂ©vĂšle une avancĂ©e dans la prise de conscience des politiques qui ne peut qu’encourager les scientifiques Ă  poursuivre leurs travaux de recherche sur les solutions Ă  apporter pour rĂ©pondre Ă  ces nouveaux enjeux

    Prise en compte de l'agrégation des cultures dans la simulation du transfert radiatif (importance pour l'estimation de l'indice foliaire (LAI), de la parcelle au paysage)

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    TOULOUSE3-BU Sciences (315552104) / SudocTOULOUSE-Observ. Midi Pyréné (315552299) / SudocSudocFranceF

    Retrieving crops Green Area Index from high temporal and spatial resolution remote sensing data

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    This paper aims at firstly evaluating the correspondence between Normalized Difference Vegetation Index (NDVI) products from Formosat-2 (F2) and SPOT sensors and then to perform a comparative analysis of two methods for retrieving Green Area Index from high spatial and temporal resolution satellite data (F2 and SPOT). For this purpose, an empirical approach using NDVI plus field data and a Neural Network approach using the PROSAIL model are compared over four different crops: wheat, sunflower, maize and soybean. The performance of both methods were evaluated and compared with in-situ direct (destructive) and indirect (hemispherical photos) measurements. Results suggest better performances for the empirical approach (RÂČ, RMSE). Still the physically-based method leads to good results (RÂČ, RMSE). The latter seems to be more promising due to its portability and independence from field measurements.Pages: 6425-643

    CAN-EYE, logiciel de traitement d'images pour l'estimation de l'indice foliaire.

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    Nous prĂ©sentons le freeware CAN-EYE, logiciel de traitement d’images pourl’estimation des variables de structure des couverts vĂ©gĂ©taux comme la fraction de trou, le LAIou le FAPAR Ă  partir de la prise de photographies numĂ©riques dans la vĂ©gĂ©tation. Dans unpremier temps, nous dĂ©crivons le fonctionnement du logiciel et nous dĂ©finissons lesdiffĂ©rentes variables estimĂ©es Ă  partir de la fraction de trou, puis nous terminons par deuxexemples de rĂ©sultats qui montrent l’aptitude et l’intĂ©rĂȘt de la photographie numĂ©rique et deCAN-EYE pour la mesure de ces variables

    Distilling before reïŹne: Spatio-temporal transfer learning for mapping irrigated areas using Sentinel-1 time series

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    International audienceThis letter proposes a deep learning model to deal with the spatial transfer challenge for the mapping of irrigated areas through the analysis of Sentinel-1 data. First, a convolutional neural network (CNN) model called "Teacher Model" is trained on a source geographical area characterized by a huge volume of samples. Then, this model is transferred from the source area to a target area characterized by a limited number of samples. The transfer learning framework is based on a distill and reïŹne strategy in which the teacher model is ïŹrstly distilled into a student model and, successively, reïŹned by data samples coming from the target geographical area. The proposed strategy is compared to different approaches including a random forest (RF) classiïŹer trained on the target dataset, a CNN trained on the source dataset and directly applied on the target area as well as several CNN classiïŹers trained on the target dataset. The evaluation of the performed transfer strategy shows that the "distill and reïŹne" framework obtains the best performance compared to other competing approaches. The obtained ïŹndings represent a ïŹrst step towards the understanding of the spatial transferability of deep learning models in the Earth Observation domain

    In-Season Mapping of Irrigated Crops Using Landsat 8 and Sentinel-1 Time Series

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    Numerous studies have reported the use of multi-spectral and multi-temporal remote sensing images to map irrigated crops. Such maps are useful for water management. The recent availability of optical and radar image time series such as the Sentinel data offers new opportunities to map land cover with high spatial and temporal resolutions. Early identification of irrigated crops is of major importance for irrigation scheduling, but the cloud coverage might significantly reduce the number of available optical images, making crop identification difficult. SAR image time series such as those provided by Sentinel-1 offer the possibility of improving early crop mapping. This paper studies the impact of the Sentinel-1 images when used jointly with optical imagery (Landsat8) and a digital elevation model of the Shuttle Radar Topography Mission (SRTM). The study site is located in a temperate zone (southwest France) with irrigated maize crops. The classifier used is the Random Forest. The combined use of the different data (radar, optical, and SRTM) improves the early classifications of the irrigated crops (k = 0.89) compared to classifications obtained using each type of data separately (k = 0.84). The use of the DEM is significant for the early stages but becomes useless once crops have reached their full development. In conclusion, compared to a “full optical” approach, the “combined” method is more robust over time as radar images permit cloudy conditions to be overcome

    Estimation of leaf area and clumping indexes of crops with hemispherical photographs

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    Among many indirect approaches to retrieve effective leaf area index (LAI), hemispherical photography is now widely used by the scientific community in forestry applications. A recent software (CAN_EYE) is used to estimate effective and true LAI from unidirectional gap fractions measured in crops. The effective LAI is computed with the Poisson law whereas the true LAI is estimated introducing a clumping index in the Poisson law. The clumping index estimation is based on the Lang and Xiang averaging method. CAN_EYE includes an automatic image classification and allows the processing of series of photographs which is mandatory to sample the spatial variability of the canopy. The objective of this study is to determine if the use of the clumping index in the gap fraction formulation improves seasonal LAI estimates of crops. Hemispherical photographs were taken throughout two growing seasons over wheat, sunflower and maize canopies. CAN_EYE LAI estimates were then compared to destructive LAI. The conditions under which photographs were acquired and processed are discussed. For the three crops studied here, the minimum distance required between camera and canopy is 1 m. When feasible, there is a clear advantage in acquiring the images from above canopies and on overcast days to facilitate the image classification. For wheat and sunflower, the best LAI estimates are assessed with effective LAI (RMSE of 0.15, y = 0.9540x for wheat and RMSE of 0.38, y = 0.8427x for sunflower). For maize, the best LAI estimates are obtained using the clumping index (RMSE of 0.39 and y = 0.9010x). Despite good fits between CAN_EYE and destructive LAI estimates, compensation effects between leaf area index and leaf angle distribution may occur during the inversion procedure. Moreover, values of clumping index given by CAN_EYE are in certain cases correlated with the size of the cells used to divide photographs. The Lang and Xiang averaging method introduced into CAN-EYE should be improved
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