33 research outputs found

    MĂ©nil-Annelles (08), Nortillon

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    L’opération d’archéologie préventive du site de Ménil-Annelles « Nortillon » s’est déroulée du 2 septembre au 4 octobre 2019, menée par le bureau d’études Éveha.Des vestiges associés au Mésolithique et au second âge du Fer ont été mis au jour sur cette parcelle de 3 565 m².L’occupation la plus ancienne, datée au Mésolithique, est attestée par la présence d’une fosse cylindrique et de structures en creux plus petites. L’occupation principale du site est néanmoins plus tardive et est fixée au second âge du Fer (La Tène B/C). Deux enclos quadrangulaires associés à 18 sépultures à inhumation ont pu être mis au jour lors de la fouille. L’étude de la population, des dépôts (céramique, faune, parures) et la réalisation de datations radiocarbones permettent d’affiner la chronologie de cette partie de la nécropole et d’observer l’évolution des pratiques funéraires à l’échelle locale et régionale

    MĂ©nil-Annelles (08), Nortillon

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    L’opération d’archéologie préventive du site de Ménil-Annelles « Nortillon » s’est déroulée du 2 septembre au 4 octobre 2019, menée par le bureau d’études Éveha.Des vestiges associés au Mésolithique et au second âge du Fer ont été mis au jour sur cette parcelle de 3 565 m².L’occupation la plus ancienne, datée au Mésolithique, est attestée par la présence d’une fosse cylindrique et de structures en creux plus petites. L’occupation principale du site est néanmoins plus tardive et est fixée au second âge du Fer (La Tène B/C). Deux enclos quadrangulaires associés à 18 sépultures à inhumation ont pu être mis au jour lors de la fouille. L’étude de la population, des dépôts (céramique, faune, parures) et la réalisation de datations radiocarbones permettent d’affiner la chronologie de cette partie de la nécropole et d’observer l’évolution des pratiques funéraires à l’échelle locale et régionale

    MĂ©nil-Annelles (08), Nortillon

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    L’opération d’archéologie préventive du site de Ménil-Annelles « Nortillon » s’est déroulée du 2 septembre au 4 octobre 2019, menée par le bureau d’études Éveha.Des vestiges associés au Mésolithique et au second âge du Fer ont été mis au jour sur cette parcelle de 3 565 m².L’occupation la plus ancienne, datée au Mésolithique, est attestée par la présence d’une fosse cylindrique et de structures en creux plus petites. L’occupation principale du site est néanmoins plus tardive et est fixée au second âge du Fer (La Tène B/C). Deux enclos quadrangulaires associés à 18 sépultures à inhumation ont pu être mis au jour lors de la fouille. L’étude de la population, des dépôts (céramique, faune, parures) et la réalisation de datations radiocarbones permettent d’affiner la chronologie de cette partie de la nécropole et d’observer l’évolution des pratiques funéraires à l’échelle locale et régionale

    Osny (95) Secteur Sainte-Marie-Tranche 2, ZAC Multi-Sites de la Demi-Lieue. Un double enclos circulaire de l'âge du Bronze

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    La tranche 2 de l'aménagement de la ZAC Multi-Sites de la Demi-Lieue sur le secteur Sainte-Marie à Osny (95) a motivé la prescription, par le service régional de l'Archéologie d’Île-de-France, d'un diagnostic archéologique couvrant 5,7 ha (A. Alligri, SDAVO, 2018). Les découvertes ont donné lieu à une prescription de fouille portant sur une emprise de 3 000 m². Les fouilles menées par le bureau d'études Éveha ont été réalisées entre le 7 septembre et le 9 octobre 2020. Une possible fosse en fente témoigne de la présence de populations sur le site à l’étape 3 du Néolithique final. Cette structure de plan oblong avec des parois sub-verticales et un fond en cuvette étroit n’a pas livré de mobilier. Un double enclos circulaire est constitué d’un fossé externe de 37,50 m de diamètre externe et d’un fossé interne de 21,50 m de diamètre. Leurs dimensions sont régulières et leur profil est homogène avec des parois évasées et un fond en cuvette étroit. Un système de franchissement pour accéder à l’aire interne du monument a peut-être été aménagé à l’est. L’étude des variations du front de décarbonatation indique la probable existence d’une levée de terre entre les deux fossés et d’une, voire deux, fosses centrales est fortement pressentie (sépultures à inhumation ?). Le monument d’Osny appartient au groupe des Ring Barrow ou des Pond Barrow. L’étude micromorphologique des dynamiques de comblement des fossés démontre que les fossés sont restés ouverts et que quatre phases d’occupation se sont succédé, depuis la construction du monument jusqu’à son abandon. Les fossés ont livré très peu de mobilier (lithique, minéral et métallique), ce qui indique une présence humaine ponctuelle. Les six datations radiocarbone permettent de placer la construction du monument au Bronze ancien II et son abandon entre le Bronze moyen II et le Bronze final IIb. L’épingle en alliage cuivreux affiliée au type Quoit-headed pin du Bronze moyen du sud de l’Angleterre, permet de rattacher le site au complexe Manche-Mer du Nord. Ce double enclos concentrique, structure rarement étudiée, complète le corpus déjà connu en Île-de-France au Bronze ancien et plus globalement dans le Nord- Ouest de la France

    Osny (95) Secteur Sainte-Marie-Tranche 2, ZAC Multi-Sites de la Demi-Lieue. Un double enclos circulaire de l'âge du Bronze

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    La tranche 2 de l'aménagement de la ZAC Multi-Sites de la Demi-Lieue sur le secteur Sainte-Marie à Osny (95) a motivé la prescription, par le service régional de l'Archéologie d’Île-de-France, d'un diagnostic archéologique couvrant 5,7 ha (A. Alligri, SDAVO, 2018). Les découvertes ont donné lieu à une prescription de fouille portant sur une emprise de 3 000 m². Les fouilles menées par le bureau d'études Éveha ont été réalisées entre le 7 septembre et le 9 octobre 2020. Une possible fosse en fente témoigne de la présence de populations sur le site à l’étape 3 du Néolithique final. Cette structure de plan oblong avec des parois sub-verticales et un fond en cuvette étroit n’a pas livré de mobilier. Un double enclos circulaire est constitué d’un fossé externe de 37,50 m de diamètre externe et d’un fossé interne de 21,50 m de diamètre. Leurs dimensions sont régulières et leur profil est homogène avec des parois évasées et un fond en cuvette étroit. Un système de franchissement pour accéder à l’aire interne du monument a peut-être été aménagé à l’est. L’étude des variations du front de décarbonatation indique la probable existence d’une levée de terre entre les deux fossés et d’une, voire deux, fosses centrales est fortement pressentie (sépultures à inhumation ?). Le monument d’Osny appartient au groupe des Ring Barrow ou des Pond Barrow. L’étude micromorphologique des dynamiques de comblement des fossés démontre que les fossés sont restés ouverts et que quatre phases d’occupation se sont succédé, depuis la construction du monument jusqu’à son abandon. Les fossés ont livré très peu de mobilier (lithique, minéral et métallique), ce qui indique une présence humaine ponctuelle. Les six datations radiocarbone permettent de placer la construction du monument au Bronze ancien II et son abandon entre le Bronze moyen II et le Bronze final IIb. L’épingle en alliage cuivreux affiliée au type Quoit-headed pin du Bronze moyen du sud de l’Angleterre, permet de rattacher le site au complexe Manche-Mer du Nord. Ce double enclos concentrique, structure rarement étudiée, complète le corpus déjà connu en Île-de-France au Bronze ancien et plus globalement dans le Nord- Ouest de la France

    Osny (95) Secteur Sainte-Marie-Tranche 2, ZAC Multi-Sites de la Demi-Lieue. Un double enclos circulaire de l'âge du Bronze

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    La tranche 2 de l'aménagement de la ZAC Multi-Sites de la Demi-Lieue sur le secteur Sainte-Marie à Osny (95) a motivé la prescription, par le service régional de l'Archéologie d’Île-de-France, d'un diagnostic archéologique couvrant 5,7 ha (A. Alligri, SDAVO, 2018). Les découvertes ont donné lieu à une prescription de fouille portant sur une emprise de 3 000 m². Les fouilles menées par le bureau d'études Éveha ont été réalisées entre le 7 septembre et le 9 octobre 2020. Une possible fosse en fente témoigne de la présence de populations sur le site à l’étape 3 du Néolithique final. Cette structure de plan oblong avec des parois sub-verticales et un fond en cuvette étroit n’a pas livré de mobilier. Un double enclos circulaire est constitué d’un fossé externe de 37,50 m de diamètre externe et d’un fossé interne de 21,50 m de diamètre. Leurs dimensions sont régulières et leur profil est homogène avec des parois évasées et un fond en cuvette étroit. Un système de franchissement pour accéder à l’aire interne du monument a peut-être été aménagé à l’est. L’étude des variations du front de décarbonatation indique la probable existence d’une levée de terre entre les deux fossés et d’une, voire deux, fosses centrales est fortement pressentie (sépultures à inhumation ?). Le monument d’Osny appartient au groupe des Ring Barrow ou des Pond Barrow. L’étude micromorphologique des dynamiques de comblement des fossés démontre que les fossés sont restés ouverts et que quatre phases d’occupation se sont succédé, depuis la construction du monument jusqu’à son abandon. Les fossés ont livré très peu de mobilier (lithique, minéral et métallique), ce qui indique une présence humaine ponctuelle. Les six datations radiocarbone permettent de placer la construction du monument au Bronze ancien II et son abandon entre le Bronze moyen II et le Bronze final IIb. L’épingle en alliage cuivreux affiliée au type Quoit-headed pin du Bronze moyen du sud de l’Angleterre, permet de rattacher le site au complexe Manche-Mer du Nord. Ce double enclos concentrique, structure rarement étudiée, complète le corpus déjà connu en Île-de-France au Bronze ancien et plus globalement dans le Nord- Ouest de la France

    Courtois-sur-Yonne (89), route de Nailly. Du Néolithique final à la Tène finale dans la vallée de l'Yonne : occupations domestiques et dépôts en silo.

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    Le site de Courtois-sur-Yonne Route de Nailly témoigne d’une occupation diachronique s’échelonnant du Néolithique final à La Tène finale.La période du Néolithique final est mise en lumière par la présence d’une sépulture à inhumation et de rares indices matériels de fréquentation du site trouvés hors contexte. L’âge du Bronze final, beaucoup plus fourni en vestiges mobiliers, est caractérisé par la présence de fosses d’extraction réutilisées pour certaines en dépotoirs. Le mobilier détritique retrouvé en abondance dans deux de ces fosses témoigne de la présence d’un habitat à proximité. Après un hiatus chronologique au début du premier âge du Fer, l’occupation reprend durant le Hallstatt D-La Tène A. Celle-ci s’observe au travers de l’implantation de structures d’ensilage de formes et dimensions variées dont un alignement de dix silos cylindriques et tronconiques de très gros volume. Le mobilier, retrouvé en position de rejet dans les petits silos domestiques et dans une fosse d’extraction, atteste, tout comme pour la période précédente, de la présence d’un habitat proche voire sur le site. L’abandon de ces structures en tant que lieu de stockage marque le début d’une nouvelle phase de fréquentation tournée vers le funéraire. Certains silos de grandes dimensions sont réutilisés en lieu de dépôts humains et animaux.Une variété de pratiques rituelles est observée durant La Tène ancienne-moyenne au travers de dépôts primaires, secondaires, de manipulations et d’interventions sur les défunts. Enfin, la période de La Tène finale est entraperçue lors de rares recreusements dans les parties sommitales de ces structures

    Courtois-sur-Yonne (89), route de Nailly. Du Néolithique final à la Tène finale dans la vallée de l'Yonne : occupations domestiques et dépôts en silo.

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    Le site de Courtois-sur-Yonne Route de Nailly témoigne d’une occupation diachronique s’échelonnant du Néolithique final à La Tène finale.La période du Néolithique final est mise en lumière par la présence d’une sépulture à inhumation et de rares indices matériels de fréquentation du site trouvés hors contexte. L’âge du Bronze final, beaucoup plus fourni en vestiges mobiliers, est caractérisé par la présence de fosses d’extraction réutilisées pour certaines en dépotoirs. Le mobilier détritique retrouvé en abondance dans deux de ces fosses témoigne de la présence d’un habitat à proximité. Après un hiatus chronologique au début du premier âge du Fer, l’occupation reprend durant le Hallstatt D-La Tène A. Celle-ci s’observe au travers de l’implantation de structures d’ensilage de formes et dimensions variées dont un alignement de dix silos cylindriques et tronconiques de très gros volume. Le mobilier, retrouvé en position de rejet dans les petits silos domestiques et dans une fosse d’extraction, atteste, tout comme pour la période précédente, de la présence d’un habitat proche voire sur le site. L’abandon de ces structures en tant que lieu de stockage marque le début d’une nouvelle phase de fréquentation tournée vers le funéraire. Certains silos de grandes dimensions sont réutilisés en lieu de dépôts humains et animaux.Une variété de pratiques rituelles est observée durant La Tène ancienne-moyenne au travers de dépôts primaires, secondaires, de manipulations et d’interventions sur les défunts. Enfin, la période de La Tène finale est entraperçue lors de rares recreusements dans les parties sommitales de ces structures

    Courtois-sur-Yonne (89), route de Nailly. Du Néolithique final à la Tène finale dans la vallée de l'Yonne : occupations domestiques et dépôts en silo.

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    Le site de Courtois-sur-Yonne Route de Nailly témoigne d’une occupation diachronique s’échelonnant du Néolithique final à La Tène finale.La période du Néolithique final est mise en lumière par la présence d’une sépulture à inhumation et de rares indices matériels de fréquentation du site trouvés hors contexte. L’âge du Bronze final, beaucoup plus fourni en vestiges mobiliers, est caractérisé par la présence de fosses d’extraction réutilisées pour certaines en dépotoirs. Le mobilier détritique retrouvé en abondance dans deux de ces fosses témoigne de la présence d’un habitat à proximité. Après un hiatus chronologique au début du premier âge du Fer, l’occupation reprend durant le Hallstatt D-La Tène A. Celle-ci s’observe au travers de l’implantation de structures d’ensilage de formes et dimensions variées dont un alignement de dix silos cylindriques et tronconiques de très gros volume. Le mobilier, retrouvé en position de rejet dans les petits silos domestiques et dans une fosse d’extraction, atteste, tout comme pour la période précédente, de la présence d’un habitat proche voire sur le site. L’abandon de ces structures en tant que lieu de stockage marque le début d’une nouvelle phase de fréquentation tournée vers le funéraire. Certains silos de grandes dimensions sont réutilisés en lieu de dépôts humains et animaux.Une variété de pratiques rituelles est observée durant La Tène ancienne-moyenne au travers de dépôts primaires, secondaires, de manipulations et d’interventions sur les défunts. Enfin, la période de La Tène finale est entraperçue lors de rares recreusements dans les parties sommitales de ces structures

    Courtois-sur-Yonne (89), route de Nailly. Du Néolithique final à la Tène finale dans la vallée de l'Yonne : occupations domestiques et dépôts en silo.

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    Le site de Courtois-sur-Yonne Route de Nailly témoigne d’une occupation diachronique s’échelonnant du Néolithique final à La Tène finale.La période du Néolithique final est mise en lumière par la présence d’une sépulture à inhumation et de rares indices matériels de fréquentation du site trouvés hors contexte. L’âge du Bronze final, beaucoup plus fourni en vestiges mobiliers, est caractérisé par la présence de fosses d’extraction réutilisées pour certaines en dépotoirs. Le mobilier détritique retrouvé en abondance dans deux de ces fosses témoigne de la présence d’un habitat à proximité. Après un hiatus chronologique au début du premier âge du Fer, l’occupation reprend durant le Hallstatt D-La Tène A. Celle-ci s’observe au travers de l’implantation de structures d’ensilage de formes et dimensions variées dont un alignement de dix silos cylindriques et tronconiques de très gros volume. Le mobilier, retrouvé en position de rejet dans les petits silos domestiques et dans une fosse d’extraction, atteste, tout comme pour la période précédente, de la présence d’un habitat proche voire sur le site. L’abandon de ces structures en tant que lieu de stockage marque le début d’une nouvelle phase de fréquentation tournée vers le funéraire. Certains silos de grandes dimensions sont réutilisés en lieu de dépôts humains et animaux.Une variété de pratiques rituelles est observée durant La Tène ancienne-moyenne au travers de dépôts primaires, secondaires, de manipulations et d’interventions sur les défunts. Enfin, la période de La Tène finale est entraperçue lors de rares recreusements dans les parties sommitales de ces structures
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