28 research outputs found

    Domestication of different varieties in the cheese-making fungus Geotrichum candidum

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    Domestication is an excellent model for studying adaptation processes, involving recent adaptation and diversification, convergence following adaptation to similar conditions, as well as degeneration of unused functions. Geotrichum candidum is a fungus used for cheese making and is also found in other environments such as soil and plants. By analyzing whole-genome data from 98 strains, we found that all strains isolated from cheese formed a monophyletic clade. Within the cheese clade, we identified three genetically differentiated populations and we detected footprints of recombination and admixture. The genetic diversity in the cheese clade was similar as that in the wild clade, suggesting the lack of strong bottlenecks. Commercial starter strains were scattered across the cheese clade, thus not constituting a single clonal lineage. The cheese populations were phenotypically differentiated from other populations, with a slower growth on all media, even cheese, a prominent production of typical cheese volatiles and a lower proteolytic activity. One of the cheese clusters encompassed all soft goat cheese strains, suggesting an effect of cheese-making practices on differentiation. Another of the cheese populations seemed to represent a more advanced stage of domestication, with stronger phenotypic differentiation from the wild clade, harboring much lower genetic diversity, and phenotypes more typical of cheese fungi, with denser and fluffier colonies and a greater ability of excluding cheese spoiler fungi. Cheese populations lacked two beta lactamase-like genes present in the wild clade, involved in xenobiotic clearance, and displayed higher contents of transposable elements, likely due to relaxed selection. Our findings suggest the existence of genuine domestication in G. candidum, which led to diversification into different varieties with contrasted phenotypes. Some of the traits acquired by cheese strains indicate convergence with other, distantly related fungi used for cheese maturation

    Vinorelbine Potently Induces Placental Cell Death, Does Not Harm Fertility and is a Potential Treatment for Ectopic Pregnancy

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    Ectopic pregnancies complicate 1-2 pregnancies and are a leading cause of maternal death. An effective oral drug therapy that replaces surgery might make its treatment safer, cheaper, simpler and therefore more widely accessible. The only current medical treatment offered to women is intramuscular methotrexate, but this only reliably resolves smaller ectopic pregnancies. As such, many ectopic pregnancies require surgical excision. We show that vinorelbine, an orally available chemotherapeutic agent, potently induced placental cell death but did not harm fertility in mice. Vinorelbine was 100-1000 times more potent than methotrexate in inducing placental cell death in vitro, and more potent than combination methotrexate and gefitinib (another proposed treatment for ectopic pregnancy being evaluated in phase III trials). Mechanistically, it caused microtubule condensation, blocked mitosis and activated the apoptosis cascade in placental cells. Vinorelbine was more efficacious than methotrexate±gefitinib in reducing the volume of placental cell tumors xenografted subcutaneously in SCID mice. Mice exposed to vinorelbine and allowed to breed, following a four week washout period, displayed normal fertility, however long-term fertility was not assessed. Human Fallopian tubes treated with vinorelbine did not exhibit up-regulation of apoptosis molecules. Our findings show that placental cells appear sensitive to vinorelbine and it has potential as a tablet-only approach to treat ectopic pregnancy

    Problèmes de l'industrialisation de la région de Brest

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    de Bennetot Michelle. Problèmes de l'industrialisation de la région de Brest. In: L'information géographique, volume 29, n°3, 1965. pp. 104-110

    Chromopertubation of an Ectopic Pregnancy

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    Étude de la maturation cérébrale en IRM tridimensionnelle en pondération T2 après l'âge de deux ans

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    Contexte : La maturation de l’encéphale de l’enfant suit un schéma bien connu. La myélinisation progressive de la substance blanche débutant dès la vie in-utéro jusqu’à l’âge de deux ans a été largement décrite dès l’avènement de l’IRM encéphalique. Les progrès des imageurs IRM autorisant la réalisation en pratique courante de séquences tridimensionnelles pondérées en T2 permettent souvent de visualiser un aspect immature de la substance blanche sous-corticale bien après l’âge de deux ans.Objectif : Notre objectif était de décrire la distribution de ces hypersignaux persistants de la substance blanche sous-corticale en fonction de l’âge et des pathologies cliniques associées aux retards de myélinisation.Matériels et Méthodes : Nous avons inclus rétrospectivement 487 patients âgés de 2 à 16 ans ayant bénéficié d’une IRM cérébrale dans notre centre au cours de l’année 2015. Après relecture des séquences T2, nous avons rapporté le pourcentage d’anomalies de signal de la substance blanche sous-corticale frontale, temporale et insulaire en fonction de l’âge des patients, du type de séquence T2 réalisée et du contexte clinique.Résultats : Sur les 438 examens finalement retenus pour notre étude, 367 patients avaient bénéficié d’une séquence 3D T2. Des retards de maturation sous-corticale étaient observés chez 52,6% des patients (frontal 22,9%, temporal 28,6%, insulaire 49,0%). La fréquence de ces anomalies était décroissante avec l’âge : 72,7% entre 2 et 4 ans, 39% après 12 ans (p=0,007).La proportion de retard de maturation était significativement plus élevée chez les enfants présentant un retard de développement psychomoteur (63,7%, p=0,024) et une surdité de perception (100%, p=0,008), et moins élevée chez les patients migraineux (42,1%, p= 0,031).En analyse multivariée après ajustement à l’âge, ces tendances n’apparaissaient plus significatives.Conclusion : La réalisation de séquences T2 en 3D permet de retrouver fréquemment des hyper signaux de la substance blanche sous-corticale chez l’enfant de plus de deux ans. Selon notre expérience, la fréquence des ces anomalies décroit avec l’âge et semble s’inscrire dans la maturation normale de l’encéphale

    Fertilité après grossesse extra-utérine (étude en population générale à partir du registre d'Auvergne)

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    Les objectifs sont l'évaluation du devenir reproductif des patientes après la survenue d'une grossesse extra-utérine (GEU) et l'étude des facteurs prédictifs de leur fertilité future et de leur risque de récidive, en particulier selon le type de traitement reçu. Méthode : suivi prospectif de 1064 patientes âgées de 18 à 44 ans, incluses dans le registre d'Auvergne des GEU de 1992 à 2008 et ayant bénéficié d'une salpingectomie ou d'une salpingotomie par cœlioscopie ou d'un traitement médical par méthotrexate. La survenue d'une grossesse intra-utérine (GIU) ou d'une récidive de GEU a été observée chez ces patientes, désireuses d'une nouvelle grossesse. 774 patientes ont obtenu une GIU, soit un taux cumulé à 24 mois de 74%, dont 67% après une salpingectomie et 76% après salpingotomie ou méthotrexate. En analyse univariée, on observe un taux de GIU significativement plus faible après un traitement radical (p=0,0079). Après ajustement des facteurs confondants, on constate seulement une tendance non statistiquement significative en faveur de la stratégie conservatrice. Par ailleurs, le taux de GIU était significativement plus faible pour les patientes âgées de plus de 35 ans, ou avec un antécédent d'infertilité ou de pathologie tubaire. Concernant les patientes présentant un ou plusieurs de ces trois facteurs de risque (sous-groupe 1), le taux de GIU était significativement plus élevé après traitement conservateur qu'après salpingectomie (HR 0,67; IC 95% 0,50-0,91). Aucune différence de fertilité n'a été constatée selon le type de traitement conservateur, médical ou chirurgical. En terme de récidives, le taux cumulé à 2 ans était de 19% avec respectivement 18,5% de récidives après salpingotomie ou après salpingectomie, et 25,5% après un traitement médical (p=0,86). Les patientes ayant un antécédent d'infertilité (HR 0,5; IC 95% 0,3-0,8) ou de naissances vivantes (HR 0,6; IC 95% 0,4-0,9) ont eu des taux de récidives plus faibles, tandis que les patientes ayant un antécédent d'interruption volontaire de grossesse ont eu significativement plus de récidives (HR 1,8; IC 95% 1,1-3,0). Pour le choix du traitement des GEU la stratégie conservatrice doit être privilégiée chaque fois que possible, et en particulier pour les patientes ayant des facteurs de risque d'infertilité, afin de préserver une meilleure fertilité sans augmenter le risque de récidive.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocSudocFranceF

    Les Martin et le colonel / René Tholy et Arlette de Bennetot ; illustrations de René Péron

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    Collection : Jeunesse-pocket ; 10Collection : Jeunesse-pocket ; 10Contient une table des matièresAvec mode text
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