16 research outputs found

    Effets de l’expĂ©rience sur la perception de mĂ©langes odorants chez l’Homme adulte et le lapereau nouveau-nĂ©

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     Prix du meilleur poster‱ L’organisme est exposĂ© Ă  un environnement chimique complexe (mĂ©langes d’odorants) duquel il doit extraire l’information.‱ Un signal vĂ©hiculĂ© par un mĂ©lange peut ĂȘtre perçu de façon analytique AB = A+B et/ou synthĂ©tique AB = M (mĂ©lange)‱ Homme ->perception d’un mĂ©lange AB de façon partiellement synthĂ©tique (Le Berre et al.,2008)‱ Lapereaux -> perception du mĂ©lange AB de façon synthĂ©tique et analytique (Coureaud et al., 2008, 2009)Objectifs : Comment l’expĂ©rience influence-t-elle la perception de ce mĂ©lange AB et de ses composants A et B?Qu’en est-il pour un mĂ©lange perçu initialement de façon analytique (AC ou CD)

    Exposition périnatale à un mélange d'Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques chez le rat : évaluation des effets neurotoxiques à court et à long terme

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    compounds in the environment to which human is exposed mainly through ingestion of contaminated food. PAHs are known since the 1990s as being neurotoxic both in humans and in animals. PAH transfer between mother and fetus through the placenta, and the presence of these compounds in breast milk have been shown, thus raising the question of risk exposure occurring during early stages of development of the individual. Because this risk was only partially studied, the thesis presented in this manuscript was designed to assess the short-term and long-term toxicity for the developing nervous system, of a mixture of 16 PAHs ingested by the pregnant and / or breastfeeding rat. PAHs were administered via a contaminated food at two doses, 2 and 200 ”g/kg /day dose. The lowest one corresponds to the levels of environmental contamination via the mother's diet during gestation and/or lactation. The results show that perinatal exposure to the mixture of PAHs did not induce short-term effects on neuromotor and sensory development on pups. In contrast, a long-term increase in activity and anxiety levels was observed in the exposed animals. In addition, changes in cerebral energy metabolism, as assessed by the enzymatic activity of cytochrome oxidase on brain sections taken at different ages were observed, particularly in the limbic system. Measures of the concentrations of PAHs in the pup brain compartment showed the presence of all the parent compounds, including control animals, suggesting the existence of an environmental noise significant. Finally, several factors modulate PAH toxicity, including the exposure period, and the administration of a mixture instead of a single molecule. In conclusion, this work has highlighted, in rats, delayed neurotoxicity due to early exposure to a mixture of 16 PAHs, which raises the question of risk to humans, and in particular for the individual developing exposure to such compoundsClassĂ©s parmi les Polluants Organiques Persistants, les Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques (HAP) sont des composĂ©s ubiquitaires dans l'environnement, auxquels l'Homme est exposĂ© principalement via l'ingestion d'aliments contaminĂ©s. Les HAP sont connus depuis les annĂ©es 1990 comme pouvant ĂȘtre neurotoxiques tant chez l'Homme que chez l'animal. Le transfert des HAP entre la mĂšre et le foetus via le placenta ainsi que la prĂ©sence de ces composĂ©s dans le lait maternel ont Ă©tĂ© montrĂ©s Ă  plusieurs reprises, posant ainsi la question du risque liĂ© Ă  une exposition survenant lors de phases prĂ©coces du dĂ©veloppement de l'individu. Parce que ce risque n'a Ă©tĂ© que partiellement Ă©tudiĂ©, le travail de thĂšse prĂ©sentĂ© dans ce manuscrit a eu pour objectif d'Ă©valuer la toxicitĂ© Ă  court et Ă  long terme pour le systĂšme nerveux en dĂ©veloppement, d'un mĂ©lange de 16 HAP ingĂ©rĂ© par la rate gestante et/ou allaitante. Les HAP ont Ă©tĂ© administrĂ©s via un aliment contaminĂ© Ă  deux doses, 2 et 200 ”g/kg/jour La dose la plus faible correspond aux niveaux de contamination environnementale via l'alimentation de la mĂšre pendant les pĂ©riodes de gestation et/ou d'allaitement. Les rĂ©sultats montrent que l'exposition pĂ©rinatale au mĂ©lange de HAP n'a pas induit d'effets Ă  court terme sur le dĂ©veloppement neuromoteur et sensoriel des jeunes rats. En revanche, une augmentation Ă  long terme des niveaux d'activitĂ© et d'anxiĂ©tĂ© a Ă©tĂ© relevĂ©e chez les animaux exposĂ©s. Par ailleurs, des modifications du mĂ©tabolisme Ă©nergĂ©tique cĂ©rĂ©bral, Ă©valuĂ© par l'activitĂ© enzymatique de la cytochrome oxydase sur des coupes de cerveaux prĂ©levĂ©s Ă  diffĂ©rents Ăąges ont Ă©tĂ© observĂ©es, notamment au niveau du systĂšme limbique. La mesure des concentrations de HAP dans le compartiment cĂ©rĂ©bral des ratons a montrĂ© la prĂ©sence de l'ensemble des molĂ©cules mĂšres, y compris chez les animaux tĂ©moins, ce qui laisse supposer l'existence d'un bruit de fond environnemental non nĂ©gligeable dans ce type d'Ă©tude. Finalement, plusieurs facteurs modulent la toxicitĂ© induite, parmi lesquelles la pĂ©riode d'exposition, et l'administration d'un mĂ©lange et non d'une molĂ©cule seule. En conclusion, ce travail a permis de mettre en Ă©vidence, chez le rat, une neurotoxicitĂ© retardĂ©e suite Ă  une exposition prĂ©coce Ă  un mĂ©lange de 16 HAP tant sur le plan comportemental que mĂ©tabolique, ce qui pose la question du risque pour l'Homme, et en particulier pour l'individu en dĂ©veloppement, d'une exposition Ă  ce type de composĂ©

    Perinatal exposure to a mixture of Polycyclic Aromatic Hydrocarbons in the rat : Evaluation of neurotoxic effects in the short and long term

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    ClassĂ©s parmi les Polluants Organiques Persistants, les Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques (HAP) sont des composĂ©s ubiquitaires dans l'environnement, auxquels l'Homme est exposĂ© principalement via l'ingestion d'aliments contaminĂ©s. Les HAP sont connus depuis les annĂ©es 1990 comme pouvant ĂȘtre neurotoxiques tant chez l'Homme que chez l'animal. Le transfert des HAP entre la mĂšre et le foetus via le placenta ainsi que la prĂ©sence de ces composĂ©s dans le lait maternel ont Ă©tĂ© montrĂ©s Ă  plusieurs reprises, posant ainsi la question du risque liĂ© Ă  une exposition survenant lors de phases prĂ©coces du dĂ©veloppement de l'individu. Parce que ce risque n'a Ă©tĂ© que partiellement Ă©tudiĂ©, le travail de thĂšse prĂ©sentĂ© dans ce manuscrit a eu pour objectif d'Ă©valuer la toxicitĂ© Ă  court et Ă  long terme pour le systĂšme nerveux en dĂ©veloppement, d'un mĂ©lange de 16 HAP ingĂ©rĂ© par la rate gestante et/ou allaitante. Les HAP ont Ă©tĂ© administrĂ©s via un aliment contaminĂ© Ă  deux doses, 2 et 200 ”g/kg/jour La dose la plus faible correspond aux niveaux de contamination environnementale via l'alimentation de la mĂšre pendant les pĂ©riodes de gestation et/ou d'allaitement. Les rĂ©sultats montrent que l'exposition pĂ©rinatale au mĂ©lange de HAP n'a pas induit d'effets Ă  court terme sur le dĂ©veloppement neuromoteur et sensoriel des jeunes rats. En revanche, une augmentation Ă  long terme des niveaux d'activitĂ© et d'anxiĂ©tĂ© a Ă©tĂ© relevĂ©e chez les animaux exposĂ©s. Par ailleurs, des modifications du mĂ©tabolisme Ă©nergĂ©tique cĂ©rĂ©bral, Ă©valuĂ© par l'activitĂ© enzymatique de la cytochrome oxydase sur des coupes de cerveaux prĂ©levĂ©s Ă  diffĂ©rents Ăąges ont Ă©tĂ© observĂ©es, notamment au niveau du systĂšme limbique. La mesure des concentrations de HAP dans le compartiment cĂ©rĂ©bral des ratons a montrĂ© la prĂ©sence de l'ensemble des molĂ©cules mĂšres, y compris chez les animaux tĂ©moins, ce qui laisse supposer l'existence d'un bruit de fond environnemental non nĂ©gligeable dans ce type d'Ă©tude. Finalement, plusieurs facteurs modulent la toxicitĂ© induite, parmi lesquelles la pĂ©riode d'exposition, et l'administration d'un mĂ©lange et non d'une molĂ©cule seule. En conclusion, ce travail a permis de mettre en Ă©vidence, chez le rat, une neurotoxicitĂ© retardĂ©e suite Ă  une exposition prĂ©coce Ă  un mĂ©lange de 16 HAP tant sur le plan comportemental que mĂ©tabolique, ce qui pose la question du risque pour l'Homme, et en particulier pour l'individu en dĂ©veloppement, d'une exposition Ă  ce type de composĂ©sCompounds in the environment to which human is exposed mainly through ingestion of contaminated food. PAHs are known since the 1990s as being neurotoxic both in humans and in animals. PAH transfer between mother and fetus through the placenta, and the presence of these compounds in breast milk have been shown, thus raising the question of risk exposure occurring during early stages of development of the individual. Because this risk was only partially studied, the thesis presented in this manuscript was designed to assess the short-term and long-term toxicity for the developing nervous system, of a mixture of 16 PAHs ingested by the pregnant and / or breastfeeding rat. PAHs were administered via a contaminated food at two doses, 2 and 200 ”g/kg /day dose. The lowest one corresponds to the levels of environmental contamination via the mother's diet during gestation and/or lactation. The results show that perinatal exposure to the mixture of PAHs did not induce short-term effects on neuromotor and sensory development on pups. In contrast, a long-term increase in activity and anxiety levels was observed in the exposed animals. In addition, changes in cerebral energy metabolism, as assessed by the enzymatic activity of cytochrome oxidase on brain sections taken at different ages were observed, particularly in the limbic system. Measures of the concentrations of PAHs in the pup brain compartment showed the presence of all the parent compounds, including control animals, suggesting the existence of an environmental noise significant. Finally, several factors modulate PAH toxicity, including the exposure period, and the administration of a mixture instead of a single molecule. In conclusion, this work has highlighted, in rats, delayed neurotoxicity due to early exposure to a mixture of 16 PAHs, which raises the question of risk to humans, and in particular for the individual developing exposure to such compound

    Perinatal exposure to a mixture of Polycyclic Aromatic Hydrocarbons in the rat : Evaluation of neurotoxic effects in the short and long term

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    ClassĂ©s parmi les Polluants Organiques Persistants, les Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques (HAP) sont des composĂ©s ubiquitaires dans l'environnement, auxquels l'Homme est exposĂ© principalement via l'ingestion d'aliments contaminĂ©s. Les HAP sont connus depuis les annĂ©es 1990 comme pouvant ĂȘtre neurotoxiques tant chez l'Homme que chez l'animal. Le transfert des HAP entre la mĂšre et le foetus via le placenta ainsi que la prĂ©sence de ces composĂ©s dans le lait maternel ont Ă©tĂ© montrĂ©s Ă  plusieurs reprises, posant ainsi la question du risque liĂ© Ă  une exposition survenant lors de phases prĂ©coces du dĂ©veloppement de l'individu. Parce que ce risque n'a Ă©tĂ© que partiellement Ă©tudiĂ©, le travail de thĂšse prĂ©sentĂ© dans ce manuscrit a eu pour objectif d'Ă©valuer la toxicitĂ© Ă  court et Ă  long terme pour le systĂšme nerveux en dĂ©veloppement, d'un mĂ©lange de 16 HAP ingĂ©rĂ© par la rate gestante et/ou allaitante. Les HAP ont Ă©tĂ© administrĂ©s via un aliment contaminĂ© Ă  deux doses, 2 et 200 ”g/kg/jour La dose la plus faible correspond aux niveaux de contamination environnementale via l'alimentation de la mĂšre pendant les pĂ©riodes de gestation et/ou d'allaitement. Les rĂ©sultats montrent que l'exposition pĂ©rinatale au mĂ©lange de HAP n'a pas induit d'effets Ă  court terme sur le dĂ©veloppement neuromoteur et sensoriel des jeunes rats. En revanche, une augmentation Ă  long terme des niveaux d'activitĂ© et d'anxiĂ©tĂ© a Ă©tĂ© relevĂ©e chez les animaux exposĂ©s. Par ailleurs, des modifications du mĂ©tabolisme Ă©nergĂ©tique cĂ©rĂ©bral, Ă©valuĂ© par l'activitĂ© enzymatique de la cytochrome oxydase sur des coupes de cerveaux prĂ©levĂ©s Ă  diffĂ©rents Ăąges ont Ă©tĂ© observĂ©es, notamment au niveau du systĂšme limbique. La mesure des concentrations de HAP dans le compartiment cĂ©rĂ©bral des ratons a montrĂ© la prĂ©sence de l'ensemble des molĂ©cules mĂšres, y compris chez les animaux tĂ©moins, ce qui laisse supposer l'existence d'un bruit de fond environnemental non nĂ©gligeable dans ce type d'Ă©tude. Finalement, plusieurs facteurs modulent la toxicitĂ© induite, parmi lesquelles la pĂ©riode d'exposition, et l'administration d'un mĂ©lange et non d'une molĂ©cule seule. En conclusion, ce travail a permis de mettre en Ă©vidence, chez le rat, une neurotoxicitĂ© retardĂ©e suite Ă  une exposition prĂ©coce Ă  un mĂ©lange de 16 HAP tant sur le plan comportemental que mĂ©tabolique, ce qui pose la question du risque pour l'Homme, et en particulier pour l'individu en dĂ©veloppement, d'une exposition Ă  ce type de composĂ©sCompounds in the environment to which human is exposed mainly through ingestion of contaminated food. PAHs are known since the 1990s as being neurotoxic both in humans and in animals. PAH transfer between mother and fetus through the placenta, and the presence of these compounds in breast milk have been shown, thus raising the question of risk exposure occurring during early stages of development of the individual. Because this risk was only partially studied, the thesis presented in this manuscript was designed to assess the short-term and long-term toxicity for the developing nervous system, of a mixture of 16 PAHs ingested by the pregnant and / or breastfeeding rat. PAHs were administered via a contaminated food at two doses, 2 and 200 ”g/kg /day dose. The lowest one corresponds to the levels of environmental contamination via the mother's diet during gestation and/or lactation. The results show that perinatal exposure to the mixture of PAHs did not induce short-term effects on neuromotor and sensory development on pups. In contrast, a long-term increase in activity and anxiety levels was observed in the exposed animals. In addition, changes in cerebral energy metabolism, as assessed by the enzymatic activity of cytochrome oxidase on brain sections taken at different ages were observed, particularly in the limbic system. Measures of the concentrations of PAHs in the pup brain compartment showed the presence of all the parent compounds, including control animals, suggesting the existence of an environmental noise significant. Finally, several factors modulate PAH toxicity, including the exposure period, and the administration of a mixture instead of a single molecule. In conclusion, this work has highlighted, in rats, delayed neurotoxicity due to early exposure to a mixture of 16 PAHs, which raises the question of risk to humans, and in particular for the individual developing exposure to such compound

    Calcium phosphate: a substitute for aluminum adjuvants?

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    Introduction: Calcium phosphate was used as an adjuvant in France in diphtheria, tetanus, pertussis and poliomyelitis vaccines. It was later completely substituted by alum salts in the late 80’s, but it still remains as an approved adjuvant for the World Health Organization for human vaccination. Area covered: Thus, calcium phosphate is now considered as one of the substances that could replace alum salts in vaccines. The aim of this paper is to draw a review of existing data on calcium phosphate as an adjuvant in order to bring out the strengths and weaknesses for its use on a large scale. Expert commentary: Calcium phosphate is a compound naturally present in the organism, safe and already used in human vaccination. Beyond comparisons with the other adjuvants, calcium phosphate represents a good candidate to replace or to complete alum salts as a vaccine adjuvant

    Adjuvants aluminiques des vaccins : analyse critique des études toxicocinétiques de référence

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    National audienceWe reviewed the three reference toxicokinetic studies commonly used to suggestinnocuity of aluminum (Al)-based adjuvants. A single experimental study was carried out usingisotopic26Al (Flarend et al., 1997). This study ignored adjuvant cell capture. It was conductedover a short period of time (28 days) and used only two rabbits per adjuvant. At the endpoint,Al retention was 78% for aluminum phosphate and 94% for aluminum hydroxide, both resultsbeing incompatible with quick elimination of vaccine-derived Al in urines. Tissue distributionanalysis omitted three important retention sites: the injected muscle, the draining lymph nodeand bone. Two theoretical studies have evaluated the potential risk of vaccine Al in infants, byreference to the oral Minimal Risk Level (MRL) extrapolated from animal studies. Keith et al.,2002 used a too high MRL (2 mg/kg/d), an erroneous model of 100% immediate absorptionof vaccine Al, and did not consider renal and blood-brain barrier immaturity. Mitkus et al.(2011) only considered absorbed Al, with erroneous calculations of absorption duration. Theyignored particulate Al captured by immune cells, which play a role in systemic diffusion andthe neuro-inflammatory potential of the adjuvant. MRL they used was both inappropriate (oralAl vs injected adjuvant) and far too high (1 mg/kg/d) with regard to experimental studiesof Al-induced memory and behavioral changes. Both paucity and serious weaknesses of thesestudies strongly suggest that novel experimental studies of Al adjuvants toxicokinetics shouldbe performed on the long-term, including post-natal and adult exposures, to ensure innocuityand restore population confidence in Al-containing vaccines.Dans le prolongement de la rĂ©flexion menĂ©e par l’AcadĂ©mie nationale de pharmacienous avons rĂ©Ă©valuĂ© les 3 Ă©tudes de rĂ©fĂ©rence suggĂ©rant l’innocuitĂ© des adjuvants alumi-niques. Une seule Ă©tude expĂ©rimentale a Ă©tĂ© menĂ©e grĂące Ă  l’26Al isotopique (Flarend et al.,1997). Cette Ă©tude, ignorant la capture cellulaire des adjuvants et menĂ©e pendant 28 jours surseulement 2 lapins par adjuvant, a montrĂ© une rĂ©tention de 78 % de l’Al de l’adjuvant phos-phate de 94 % de l’hydroxyde. Ces rĂ©sultats sont incompatibles avec une Ă©limination rapidede l’aluminium vaccinal par voie urinaire. L’étude de la distribution tissulaire a omis le muscleinjectĂ©, le ganglion de drainage, et l’os. Deux Ă©tudes thĂ©oriques ont calculĂ© le risque de l’Alvaccinal chez le nourrisson, par rĂ©fĂ©rence au Minimal Risk Level (MRL) par voie orale extra-polĂ© d’expĂ©riences animales. Keith et al. (2002) ont utilisĂ© un MRL trop Ă©levĂ© (2 mg/kg/j), unmodĂšle erronĂ© d’absorption immĂ©diate de 100 % de l’Al vaccinal, et n’ont pas tenu compte del’immaturitĂ© du rein et de la barriĂšre hĂ©mato-encĂ©phalique. Mitkus et al. (2011) ne considĂ©rantque l’Al absorbĂ© ont ignorĂ© l’Al particulaire dont la capture par les cellules immunitaires joueun rĂŽle dans la migration systĂ©mique et le potentiel neuro-inflammatoire de l’adjuvant. Son utilisation d’un MRL par voie orale est inappropriĂ© et d’un niveau (1 mg/kg/j) bien trop Ă©levĂ© auregard des travaux expĂ©rimentaux rĂ©cents. Les durĂ©es d’absorption calculĂ©es sont inexactes.Ces faiblesses conceptuelles et mĂ©thodologiques rendent souhaitable la rĂ©alisation de nouvellesĂ©tudes toxicocinĂ©tiques expĂ©rimentales de long terme afin que soit garanti l’innocuitĂ© desadjuvants Ă  base d’aluminium

    Inflammation and Autophagy: A Convergent Point between Autism Spectrum Disorder (ASD)-Related Genetic and Environmental Factors: Focus on Aluminum Adjuvants

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    International audienceAutism spectrum disorder (ASD), schizophrenia, and bipolar disorder are genetically complex and heterogeneous neurodevelopmental disorders (NDDs) resulting from genetic factors and gene-environment (GxE) interactions for which onset occurs in early brain development. Recent progress highlights the link between ASD and (i) immunogenetics, neurodevelopment, and inflammation, and (ii) impairments of autophagy, a crucial neurodevelopmental process involved in synaptic pruning. Among various environmental factors causing risk for ASD, aluminum (Al)-containing vaccines injected during critical periods have received special attention and triggered relevant scientific questions. The aim of this review is to discuss the current knowledge on the role of early inflammation, immune and autophagy dysfunction in ASD as well as preclinical studies which question Al adjuvant impacts on brain and immune maturation. We highlight the most recent breakthroughs and the lack of epidemiological, pharmacokinetic and pharmacodynamic data constituting a “scientific gap”. We propose additional research, such as genetic studies that could contribute to identify populations at genetic risk, improving diagnosis, and potentially the development of new therapeutic tools
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