Helium precipitation study in UO2 by Transmission Electron Microscopy

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Predictors of Visceral Leishmaniasis Relapse in HIV-Infected Patients: A Systematic Review

Visceral leishmaniasis (VL) is the most serious form of an insect-transmitted parasitic disease prevalent in 70 countries. The disease is caused by species of the L. donovani complex found in different geographical regions. These parasites have substantially different clinical, drug susceptibility and epidemiological characteristics. According to data from the World Health Organization, the areas where HIV-Leishmania co-infection is distributed are extensive. HIV infection increases the risk of developing VL, reduces the likelihood of a therapeutic response, and greatly increases the probability of relapse. A better understanding of the factors promoting relapses is essential; therefore we performed a systematic review of articles involving all articles assessing the predictors of VL relapse in HIV-infected individuals older than 14 years of age. Out of 178 relevant articles, 18 met the inclusion criteria and in total, data from 1017 patients were analyzed. We identified previous episodes of VL relapse, CD4+ lymphocyte count fewer than 100 cells/mL at VL diagnosis, and the absence of an increase in CD4+ counts at follow-up as major factors associated with VL relapse. Knowledge of relapse predictors can help to identify patients with different degrees of risk, facilitate and direct prophylaxis choices, and aid in patient counseling

COVID-19 symptoms at hospital admission vary with age and sex: results from the ISARIC prospective multinational observational study

Background: The ISARIC prospective multinational observational study is the largest cohort of hospitalized patients with COVID-19. We present relationships of age, sex, and nationality to presenting symptoms. Methods: International, prospective observational study of 60 109 hospitalized symptomatic patients with laboratory-confirmed COVID-19 recruited from 43 countries between 30 January and 3 August 2020. Logistic regression was performed to evaluate relationships of age and sex to published COVID-19 case definitions and the most commonly reported symptoms. Results: ‘Typical’ symptoms of fever (69%), cough (68%) and shortness of breath (66%) were the most commonly reported. 92% of patients experienced at least one of these. Prevalence of typical symptoms was greatest in 30- to 60-year-olds (respectively 80, 79, 69%; at least one 95%). They were reported less frequently in children (≤ 18 years: 69, 48, 23; 85%), older adults (≥ 70 years: 61, 62, 65; 90%), and women (66, 66, 64; 90%; vs. men 71, 70, 67; 93%, each P < 0.001). The most common atypical presentations under 60 years of age were nausea and vomiting and abdominal pain, and over 60 years was confusion. Regression models showed significant differences in symptoms with sex, age and country. Interpretation: This international collaboration has allowed us to report reliable symptom data from the largest cohort of patients admitted to hospital with COVID-19. Adults over 60 and children admitted to hospital with COVID-19 are less likely to present with typical symptoms. Nausea and vomiting are common atypical presentations under 30 years. Confusion is a frequent atypical presentation of COVID-19 in adults over 60 years. Women are less likely to experience typical symptoms than men

Evaluation de la prise en charge thérapeutique des patients infectés par le VIH, jamais traités, suivis au CHU de Fort-de-France de décembre 1996 à mai 2003

Devant le nombre grandissant de combinaisons anti-rétrovirales proposées en première intention, il était intéressant de pouvoir se pencher sur l'évolution locale des stratégies de l'arrivée des trithérapies. Nous avons observé que les combinaisons associant 2 inhibiteurs nucléosidiques soit à un inhibiteur de protéase soit à un inhibiteur non nucléosidique ou encore à un 3ème inhibiteur nucléosique sont efficaces. Celles comportant le nelfinavir ou l'efavirenz ont été les plus utilisées entre 1999 et 2001 contribuant ainsi à l'efficacité globale pour la cohorte suivie sur place. Il est intéressant de noter que les études prospectives et randomisées de la littérature confirment le bien fondé de ces choix et tout particulièrement la place de choix de l'efavirenz en première ligne dans les stratégies séquentielles qui sont désormais une préoccupation constante dans les choix initiaux. En 2003 la prise en charge thérapeutique des patients infectés par le VIH doit être globale prenant en compte à la fois l'aspect clinique, mais aussi l'aspect social, environnemental, psychologique, c'est cette stratégie qui est mise en place en MartiniquePARIS12-CRETEIL BU Médecine (940282101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

Mesures de contrainte dans les couches minces épitaxiées de semiconducteurs par la technique de la courbure adaptée à la microscopie électronique en transmission

TOULOUSE3-BU Sciences (315552104) / SudocSudocFranceF

Etude médico-économique de l'Enbrel(R)

MONTPELLIER-BU Pharmacie (341722105) / SudocSudocFranceF

Prise en charge de la toxoplasmose cérébrale chez le patient infecté par le VIH en Martinique (intérêt de l'association triméthoprim-sulfaméthoxazole)

La toxoplasmose est une infection bénigne et le plus souvent inapparente chez la personne immunocompétente, mais elle peut être très grave voire mortelle chez l'immunodéprimé, notamment chez le patient infecté par le VIH. En 2004, la prévalence de l'infection par le VIH reste importante dans les départements français d'Amérique, et la toxoplasmose cérébrale est la première infection opportuniste en Martinique. Le traitement de référence de la toxoplasmose cérébrale est l'association pyriméthamine-sulfadiazine. La tolérance à ce traitement est médiocre, obligeant à de fréquents arrêts de traitement. Depuis 1993, au CHU de Fort-de-France, l'association triméthoprim-sulfaméthoxazole a été utilisée en première ligne de traitement de la toxoplasmose cérébrale. Nous avons mené une étude rétrospective d'août 1993 à décembre 2003 pour évaluer l'efficacité et la tolérance de cette association dans le traitement d'attaque de la toxoplasmose cérébrale. Avec une efficacité de 77,1 % en intention de traiter et 11,5 % d'arrêts de traitement pour effets indésirables, l'association triméthoprim-sulfaméthoxazole paraît être une alternative valable au traitement de référence, avec comme avantages la disponibilité d'une voie intraveineuse, un nombre réduit de comprimés et un faible coûtFORT-DE-FRANCE-CHRU-BU (972332102) / SudocBESANCON-BU Médecine pharmacie (250562102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF