22 research outputs found

    Copy Book Art

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    In his introduction to this unconventional catalogue - which is also a Copy Art book composed of images and texts by 58 artists -, Huemer reflects on the development of photocopy as an art medium, and outlines his reasons for choosing the Maerz gallery as exhibition site. Biographical notes. Circa 223 bibl. ref

    Démarche-qualité appliquée aux projets de recherche

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    Une démarche-qualité est un processus mis en œuvre par l'institution pour maîtriser et assurer la qualité de ses activités afin d'améliorer sa performance et sa reconnaissance. Ce processus doit être continu dans le temps, progressif et demande l'adhésion de tous, en particulier de l'équipe de direction de l'institution. La démarche-qualité permet à l'institution d'identifier des risques prévisibles, des difficultés et des obstacles pensés comme des menaces au renforcement de la qualité de ses activités, de les analyser et de mettre en place des mesures correctrices et innovantes dans un processus d'amélioration continu. La démarche-qualité peut conduire à un objectif de certification sans que ce soit une obligation. Le présent guide se veut un outil permettant à l'institution et son personnel de s'approprier l'approche. Il ne doit pas être considéré comme une contrainte, mais un support d'accompagnement. En ce sens, il peut être abordé rubrique par rubrique indépendamment les unes les autres. Il n'est pas nécessaire de répondre à des questions pour lesquelles on ne dispose pas d'éléments pertinents. Il est aussi tout à fait possible que les utilisateurs puissent faire émerger d'autres indicateurs qui leursont propres.Les indicateurs proposés n'ont pas vocation à conduire les utilisateurs à unedémarche d'analyse complexe de données, mais à orienter leur réflexion dans laréalisation de l'auto-diagnostic pour améliorer le fonctionnement de l'institutiondans le cadre de la démarche-qualité

    Demain, la sixième République ?

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    La VIe République est une revendication quasi concomitante à la mise en place de la constitution du 4 octobre 1958. Depuis cette date, le projet d ’une révision radicale des institutions n 'a cessé de prospérer dans toutes les formations de l’échiquier politique, à droite comme à gauche, amenant successivement la plupart des leaders politiques à afficher, à titre individuel ou partisan, leurs intentions. Les candidats aux présidentielles 2007 ont été sommés de prendre position et d’avancer des propositions, qu’elles soient réformistes ou de rupture. Le débat institutionnel devrait ainsi, selon les commentateurs, être au cœur des prochaines campagnes électorales. Cette émulation de la créativité constitutionnelle, sous les sunlights des médias, n’a guère amélioré la lisibilité des modèles proposés et elle n’a pas davantage permis de dégager un consensus dans la société française sur le vent des réformes souhaitables et souhaitées. C’est donc dans ce contexte d’affaiblissement des institutions de la Ve République, qu’Henry Roussillon et Stéphane Mouton ont eu la très heureuse et opportune idée d’organiser, en avril 2006, un colloque sur “Demain, la VIe République ?” ce qui a permis de dégager, entre les participants, un certain nombre de convergence : une lecture très critique des institutions de la Ve République, l’appel à un changement profond du régime et du système politiques à défaut de justifier le changement de numérotation de la République, la nécessité de ramener le Président de la République au strict rôle arbitral qu’il n’aurait jamais dû cesser d’exercer, enfin le constat que nul ne prétend changer la politique en changeant de constitution. En même temps, quelques lignes de tension ont discrètement sous-tendu les interventions : tensions entre expertise technique et démocratie : la place du savoir expert et la place du citoyen profane ; tensions entre réforme institutionnelle et révolution conceptuelle : ce que l’ingénierie constitutionnelle sait résoudre et ce qui lui échappe ; tensions entre constitutionnalisme et politique : ce que le droit peut résoudre et ce qui résulte des urnes, le fait majoritaire ayant largement hanté les débats

    Qu'en est-il de la sécurité des personnes et des biens ?

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    Qu'en est-il, en ce début de XXIe siècle, de la sécurité des personnes et des biens ? Le constat est quasiment unanime, on observe, dans les différentes branches du droit, un double mouvement. D'une part, une extension considérable des domaines dans lesquels la sécurité des personnes et des biens est désormais prise en compte. À la vérité, elle semble être devenue une préoccupation inhérente à toute activité humaine. Chacun connaît, depuis longtemps, la sécurité sociale, la sécurité routière, la sécurité aérienne, la sécurité alimentaire, la sécurité médicale... À cette liste, déjà longue, s'ajoutent chaque jour de nouvelles conquêtes : la sécurité des jouets pour enfants, la sécurité des programmes informatiques, la sécurité des tunnels routiers... En quelques années, les normes de sécurité ont investi le droit du travail, le droit des contrats, et même le droit immobilier. En un mot, il n'y a plus de place dans notre société pour l'insécurité - si ce n'est comme source de responsabilité ou de sanction ! D'autre part, et dans le même temps, on constate un glissement de la sphère publique vers la sphère privée. Autrement dit, on assiste à une privatisation de la préoccupation de sécurité. Dans le passé, la sécurité des personnes et des biens relevait de la fonction étatique, au sens large. Elle concernait, au premier chef, les forces armées, la police, les tribunaux répressifs. Aujourd'hui, la sécurité n'est plus seulement l'affaire des pouvoirs publics, elle est devenue l'affaire de tous, individus ou entreprises. L'État se désengage, ou plus exactement déplace la charge d'une exigence de sécurité omniprésente, donc financièrement insupportable. À première vue, cette montée en puissance de la sécurité des personnes et des biens, à travers une réglementation de plus en plus contraignante, n'apparaît pas sans danger. Elle pourrait bien affecter, dans nos sociétés développées, deux valeurs aussi fondamentales que la liberté individuelle et le progrès technique. Mais il est vrai qu'il est également possible d'inverser le propos. On peut considérer, sans faire étalage d'un optimisme démesuré, que la sécurité est une condition nécessaire au plein épanouissement de la liberté et du progrès. Un monde plus sûr, cela peut être aussi un monde plus humain

    Réponse des têtes de bassin aux fluctuations environnementales, du Tardiglaciaire à l’Actuel : l’exemple du bassin supérieur de la Loire dans le massif du Mézenc (Velay-Vivarais, Sud-Est du Massif central, France).

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    International audienceDans le Massif central, les têtes de bassin (ordre Strahler 3-4 et inférieur) sont un domaine encore peu investi pour l’étude des flux hydro-sédimentaires liés aux fluctuations environnementales quaternaires. Le système hydrographique naissant recèle pourtant d’intéressantes archives sédimentaires, à l’échelle au moins des temps postérieurs au dernier glaciaire. Motivé par les observations préliminaires effectuées ces dernières années dans le massif du Mézenc (Velay oriental, bassin supérieur de la Loire), le programme WRACC, financé par l’Etablissement Public Loire et le FEDER, se propose d’aborder l’étude de ces dépôts et de leur environnement sous l’angle d’une approche géoarchéologique pluridisciplinaire. La prospection est en cours, et s’appuie sur des coupes naturelles ainsi que sur l’ouverture de tranchées en travers d’un fond de vallon (Champetienne) où se sont concentrées nos investigations. Les données analytiques ne sont pas encore disponibles. Il est cependant possible, grâce aux observations stratigraphiques et aux premières datations obtenues, de poser quelques jalons. A l’échelle de l’Holocène au moins, les cours d’eau semblent avoir fluctué dans leur fond de vallon sans progrès de l’encaissement, alternant phases de stockage et de déstockage. La forme des chenaux successifs et le gabarit des matériaux les remblayant témoignent des fluctuations corrélatives du style fluvial et de la compétence. Les séquences débutent généralement par une nappe alluviale très grossière d’âge indéterminé témoignant d’un système de forte énergie. Le 4e-5e siècle après J.-C. semble marquer le terme d’une phase de stabilité avec remaniement des horizons pédologiques et de la végétation. Après cette vigoureuse phase de détritisme, la période stable allant des 8e-9e siècles au 15e siècle est enfin suivie par une crise érosive de faible énergie à l’Epoque Moderne, où la part respective des forçages naturels (PAG) et anthropiques peut être plus particulièrement discutée

    Crise(s) et droit

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    La « Règle d'or », présentée partout comme le remède à la crise économique et financière européenne, n'illustre-t-elle pas parfaitement la relation qui unit la crise et le droit ? La solution aux dérives budgétaires et aux imprudences de la finance se trouverait dans un renforcement de la gouvernance, dans plus de droit. Un droit, en quelque sorte présenté comme la cause (par son absence ou sa mollesse) et la solution (par sa musculation) de la catastrophe économico-financière. Mais les crises ne sont pas que financières ou économiques. Il y a aussi des crises sociales, diplomatiques ou politiques,... des crises familiales, des crises sanitaires, des crises agricoles, des crises institutionnelles... C'est de toutes ces crises que traite le présent ouvrage, en s'efforçant de dégager les constantes dans l'approche de la crise par le droit, de rechercher les points de convergence dans les méthodes et techniques du droit pour prévenir et gérer les situations paroxysmiques, quelle que soit la situation de crise, qu'elle touche la cellule familiale, l'entreprise, la population d'un pays ou la finance internationale
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