35 research outputs found

    La cuisine d’une <i>domus</i> de Javols/<i>Anderitum</i> (Lozère), chef-lieu de cité des Gabales : l’alimentation d’une demeure aisée dans la seconde moitié du II<sup>e</sup> s. apr. J.-C.

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    International audienceA domus has been almost exhaustively excavated within a research program on the site of Javols/Anderitum, the capital of the Gabali in the Roman period. It is equipped, probably around the end of the 1st century AD, with a kitchen which develops until the early 3rd century, with important devices (3 ovens), before being demolished. The excavation, the study of these structures and analysis of the pottery and bioarchaeological remains (anthracology, carpology, archaeozoology, ichtyology) allow an approach of its functioning and part of the diet of a wealthy domus of this Roman town in a middle mountain region.Dans le cadre du programme de recherche concernant le site de Javols/Anderitum, capitale de cité des Gabales à l’époque romaine, une domus à été quasi exhaustivement fouillée. Elle est dotée, sans doute vers la fin du Ier s. apr. J. C., d’une pièce de cuisine qui évolue, avant d’être détruite, jusqu’au début du IIIe s., avec un équipement assez important (3 fours). Sa fouille, l’étude de ses structures puis celle des restes céramiques et bioarchéologiques (anthracologie, carpologie, archéozoologie et ichtyologie) permettent d’approcher son fonctionnement, et une part de l’alimentation d’une domus aisée de cette ville romaine de moyenne montagne

    Regional Patterns of Late Medieval and Early Modern European Building Activity Revealed by Felling Dates

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    Fredrik Charpentier Ljungqvist, Andrea Seim, Willy Tegel, Paul J. Krusic, Claudia Baittinger, Christelle Belingard, Mauro Bernabei, Niels Bonde, Paul Borghaerts, Yann Couturier, Anne Crone, Sjoerd van Daalen, Aoife Daly, Petra Doeve, Marta Domínguez-Delmás, Jean-Louis Edouard, Thomas Frank, Christian Ginzler, Michael Grabner, Friederike M. Gschwind, Kristof Haneca, Anton Hansson, Franz Herzig, Karl-Uwe Heussner, Jutta Hofmann, David Houbrechts, Ryszard Jerzy Kaczka, Tomáš Kolář, Raymond Kontic, Tomáš Kyncl, Vincent Labbas, Per Lagerås, Yannick Le Digol, Melaine Le Roy, Hanns Hubert Leuschner, Hans Linderson, Francis Ludlow, Axel Marais, Coralie M. Mills, Mechthild Neyses-Eiden, Kurt Nicolussi, Christophe Perrault, Klaus Pfeifer, Michal Rybníček, Andreas Rzepecki, Martin Schmidhalter, Mathias Seifert, Lisa Shindo, Barbara Spyt, Josué Susperregi, Helene Løvstrand Svarva, Terje Thun, Felix Walder, Tomasz Ważny, Elise Werthe, Thorsten Westphal, Rob Wilson, Ulf BüntgenAlthough variations in building activity are a useful indicator of societal well-being and demographic development, historical datasets for larger regions and longer periods are still rare. Here, we present 54,045 annually precise dendrochronological felling dates from historical construction timber from across most of Europe between 1250 and 1699 CE to infer variations in building activity. We use geostatistical techniques to compare spatiotemporal dynamics in past European building activity against independent demographic, economic, social and climatic data. We show that the felling dates capture major geographical patterns of demographic trends, especially in regions with dense data coverage. A particularly strong negative association is found between grain prices and the number of felling dates. In addition, a significant positive association is found between the number of felling dates and mining activity. These strong associations, with well-known macro-economic indicators from pre-industrial Europe, corroborate the use of felling dates as an independent source for exploring large-scale fluctuations of societal well-being and demographic development. Three prominent examples are the building boom in the Hanseatic League region of northeastern Germany during the 13th century, the onset of the Late Medieval Crisis in much of Europe c. 1300, and the cessation of building activity in large parts of central Europe during armed conflicts such as the Thirty Years’ War (1618–1648 CE). Despite new insights gained from our European-wide felling date inventory, further studies are needed to investigate changes in construction activity of high versus low status buildings, and of urban versus rural buildings, and to compare those results with a variety of historical documentary sources and natural proxy archives

    Le mobilier organique

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    Contribution à rapport de fouille préventiveVERRIER et alii Toulouse, « ZAC Niel » (31), Rapport d’opération d’archéologie préventive, Archeodunu

    Estimer le diamètre des bois carbonisés à partir de l'observation de la courbure des cernes de croissance des charbons de bois archéologiques : nouvelle contribution méthodologique Estimating the diameter of charred wood from the observation of the curvature of the tree rings of archaeological charcoal: a new methodological contribution

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    International audienceRecent developments of anthracology to better understand past woodland management and wood collection strategies, allow telling how landscape changed over centuries. Among these developments, a key role is occupied by the estimation of round wood diameter based on the analysis of charcoal remains. This approach, originally based on the qualitative observation of tree-ring curves, is now based on image analysismeasurement of ring-curvature. However, only a few anthracological studies are nowadays profiting from this technique, especially in rescue archaeology. In fact, round wood diameter estimation still requires expensive tools (e.g. digital cameras and programs for image analysis) and is quite time-consuming. Here I suggest an adapted qualitative model based on the observation of the three ring-curvature classes (curved, intermediate and straight) by defining their limit values. The first step of the model is based on the systematic study of tree-ring curves in observation windows with 10 and 5 mm sides on a perfect target and six cross sections of aged coppice oak (Quercus robur L.) and chestnut(Castanea sativa Mill.). This phase brings us to the estimation of the maximum curvature ray (in mm) for charcoal samples with curved tree-rings and for those with intermediate.rings. The second step consists in making a number of tests on the limit values obtainedby using an anthracological corpus well known: three experimental charcoal kilns for whichthe diameter of the wood samples contained had been made measuring before thecarbonization process occurred. To conclude, the limit values of the three classesmentioned have been confirmed and can be used for future anthracological analysesLes récents développements de l'anthracologie visent à renseigner les modes de collecte du bois, les pratiques sylvicoles et la physionomie évolutive des peuplements forestiers. Parmi ces développements, l'estimation du diamètre initial des bois carbonisés à partir de l'étude des charbons résiduels occupe une place centrale. Cette approche, initialement fondée sur l'observation de la courbure des cernes, s'appuie aujourd'hui sur la mesure précise du rayon de courbure (aussi appelé distance à la moelle) à l'aide de logiciels d'analyse d'images. Pourtant, force est de constater qu'encore trop peu d'études anthracologiques mobilisent cette approche, en particulier dans le milieu de l'archéologie préventive. Les raisons invoquées sont doubles : les équipements nécessaires (caméra et logiciels d'analyse d'images) ne sont pas encore assez démocratisés et la réalisation des mesures décuple le temps analytique. Cette approche devient donc incompatible avec les contraintes économiques de l'archéologie préventive. Pour dépasser cette limite, cet article propose une adaptation de la méthode qualitative basée sur l'observation de trois classes de courbures des cernes-courbe, intermédiaire, rectiligne-en définissant les valeurs limites des bornes de chacune de ces classes. Cette adaptation repose d'abord sur l'étude systématique des courbures de cernes dans des fenêtres d'observation posées sur une cible parfaite et six sections transversales de brins de taillis vieillis de chêne (Quercus robur L.) et de châtaignier (Castanea sativa Mill.). Cette première étape conduit à l'estimation des rayons de courbure maximums de chaque classe en mm. Dans un second temps, les valeurs limites obtenues sont testées sur un corpus anthracologique issu de trois charbonnières expérimentales pour lesquelles le diamètre initial des bois a été mesuré avant la carbonisation. In fine, les valeurs limites des trois classes de courbures sont validées et pourront être mobilisées dans les études anthracologiques ultérieures

    Saint-Vite (47), 32-34 rue du Lot, Le Moulin

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    Situé en bordure du Lot, le moulin de Saint-Vite, dont l'existence remonte au Moyen Âge, a été l'un des fleurons de l'industrie minotière aux XIXe et XXe siècles.Dans le cadre de la remise en navigabilité de la rivière Lot et du déplacement de la micro-centrale hydro-électrique, le Conseil départemental de Lot-et-Garonne et la SARL Moulin de Saint-Vite ont déposé conjointement une demande d'autorisation pour réaliser des travaux affectant le moulin et ses abords. Ce projet prévoit l'arasement total du site archéologique du moulin de Saint-Vite (XIIe-XIXe siècles) ainsi que la création d'une passe à poissons. Cette dernière, qui altérera le seuil du moulin, est créée dans le cadre de la restauration de la continuité écologique

    Saint-Vite (47), 32-34 rue du Lot, Le Moulin

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    Situé en bordure du Lot, le moulin de Saint-Vite, dont l'existence remonte au Moyen Âge, a été l'un des fleurons de l'industrie minotière aux XIXe et XXe siècles.Dans le cadre de la remise en navigabilité de la rivière Lot et du déplacement de la micro-centrale hydro-électrique, le Conseil départemental de Lot-et-Garonne et la SARL Moulin de Saint-Vite ont déposé conjointement une demande d'autorisation pour réaliser des travaux affectant le moulin et ses abords. Ce projet prévoit l'arasement total du site archéologique du moulin de Saint-Vite (XIIe-XIXe siècles) ainsi que la création d'une passe à poissons. Cette dernière, qui altérera le seuil du moulin, est créée dans le cadre de la restauration de la continuité écologique

    Saint-Vite (47), 32-34 rue du Lot, Le Moulin

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    Situé en bordure du Lot, le moulin de Saint-Vite, dont l'existence remonte au Moyen Âge, a été l'un des fleurons de l'industrie minotière aux XIXe et XXe siècles.Dans le cadre de la remise en navigabilité de la rivière Lot et du déplacement de la micro-centrale hydro-électrique, le Conseil départemental de Lot-et-Garonne et la SARL Moulin de Saint-Vite ont déposé conjointement une demande d'autorisation pour réaliser des travaux affectant le moulin et ses abords. Ce projet prévoit l'arasement total du site archéologique du moulin de Saint-Vite (XIIe-XIXe siècles) ainsi que la création d'une passe à poissons. Cette dernière, qui altérera le seuil du moulin, est créée dans le cadre de la restauration de la continuité écologique
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