81 research outputs found

    Interaction between root-knot nematodes and Solanum spp. : variation in pathogenicity, cytology, proteins and DNA = [De interactie tussen wortelknobbelnematoden en Solanum spp. : variatie in ziekteverwekkend vermogen, cytologie, eiwitten en DNA]

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    This thesis describes genetic variation in the root-knot nematodes Meloidogyne hapla, M. chitwoodi and M. fallax, particularly with respect to their pathogenicity on Solanum spp. Significant differences in virulence and aggressiveness were shown to exist between and within these species. Evidence for the occurrence of pathotypes of M. chitwoodi on S. bulbocastanum was obtained. Differences in virulence corresponded to differences in overall genetic variation, revealed by 2-D protein electrophoresis. A distinct species classification for Meloidogyne spp. was obtained by AFLPs and 2-D electrophoresis. In mating experiments M.chitwoodi and M. fallax appeared to be true biological species as testified by infertility of their hybrids. Abnormalities during meiosis in oocytes of an isolate of M. hapla and in spermatocytes of isolates of M. fallax resulted in limited sexual recombination. The combination of post-reductional meiosis and the fusion of the second polar body with the egg pronucleus is probably responsable for maintenance of heterozygosity in meiotic parthenogenetic Meloidogyne. The constant production of males in these populations makes the development of homogeneous isolates impossible. A method was described to conserve nematode germplasm by long-term preservation of juveniles in liquid nitrogen

    Cytology of parthenogenesis of five Meloidogyne species

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    La présente étude a porté sur l'ovogenèse de plusieurs isolats à parthénogenèse méiotique facultative - #Meloidogyne hapla race A, #M. chitwoodi, #M. fallax - et à parthénogenèse améiotique (mitotique) - #M. hapla race B, #M. javanica et l'isolat Xa appartenant à une espèce non identifiée - et ce au moyen d'une technique de coloration fluorescente au Hoechst 33258. En l'absence de fécondation, le nombre de chromosomes somatiques est rétabli par fusion du pronucleus et du second corps polaire chez les isolats de #M. hapla race A, dans tous les autres cas la réduction chromosomique est compensée par la duplication des chromosomes dans le noyau de l'oeuf après la première division. Chez l'une des lignées mono-femelles de l'isolat Xa le développement embryonnaire, génétiquement contrôlé, se produit à l'intérieur de la femelle. Cette étude confirme la grande variabilité des modes de reproduction des espèces de #Meloidogyne ce qui peut expliquer leur succès mondial. Dans un isolat de #M. hapla race A, seuls 12% des oocytes des femelles fécondées contiennent des spermatozoïdes et ce sont les oocytes en prophase 1 - au lieu de la prométaphase 1 - qui sont observés en position postérieure à la spermathèque. (Résumé d'auteur

    Molecular evidence that Meloidogyne hapla, M. chitwoodi, and M. fallax are distinct biological entities

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    Six isolats de #Meloidogyne hapla - quatre de la race A et deux de la race B -, huit de #M. chitwoodi et cinq de #M. fallax ont été soumis à une électrophorèse bidimensionnelle sur gel (2-DGE) afin d'étudier la similarité intraspécifique des isolats appartenant à chacune des trois espèces, ceci basé sur les protéines solubles totales. Pour chaque isolat, deux échantillons distincts de 50 jeunes femelles gravides ont été extraits des racines. Chaque échantillon a été utilisé pour réaliser un mini-gel bidimensionnel. Les mini-DGE révèlent une moyenne de 400 spots protéiniques par gel. A l'intérieur de chaque espèce, tous les gels ont été comparés entre eux pour identifier deux types de spot polymorphiques : les variants liés au point isoélectrique (IP), et les variants présents-absents (PA). Ont été observés parmi les isolats de #M. hapla, treize variants PA et neuf variants IP, pour #M. chitwoodi huit PA et aucun IP et pour #M. fallax deux PA et aucun IP, ceci correspondant à un polymorphisme de 5,0, 2,2 et 0,6% pour, respectivement, chacune des trois espèces. Ces valeurs impliquent une très faible variabilité intra-spécifique. Elles confirment également que ces espèces constituent des entités biologiques bien délimitées car la similarité entre ces espèces est significativement plus faible qu'entre isolats de la même espèce. L'utilisation de l'UPGMA pour les neuf variants IP de #M. hapla$ conduit à un dendrogramme de similarité séparant nettement les isolats de la race A de ceux de la race B. (Résumé d'auteur

    Genetic variation among parthenogenetic Meloidogyne species revealed by AFLPs and 2D-protein electrophoresis contrasted to morphology

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    Des isolats appartenant aux espèces parthénogénétiques améiotiques #Meloidogyne arenaria, #M. hapla race B, #M. incognita, #M. javanica et parthénogénéiques méiotiques #M. chitwoodi, #M. fallax, #M. hapla race A, #M. naasi ont été comparés quant à leurs protéines totales solubles - par électrophorèse sur gel en deux dimensions (2-DGE) -, leur ADN génomique total - par AFLP - et leurs caractères morphologiques - par mensurations directes et données provenant de la littérature. Ces données ont été transformées en coefficients de similarité en utilisant le coefficient Dice basé sur plus de 100 spots protéiniques, 192 fragments d'AFLP et 21 caractères morphologiques. Les dendogrammes, établis suivant la méthode UPGMA basés sur les données fournies par les protéines et l'ADN sont congruents. Le groupement des races A et B de #M. hapla montre une similarité élevée, les trois espèces tropicales #M. incognita, M. javanica et #M. arenaria forment un autre groupe et les espèces spécialisées envers les graminées, #M. naasi, #M. chitwoodi; #M. fallax, sont distantes des autres, les deux dernières montrant une similarité élevée. Le dendogramme basé sur les données morphologiques diffère de ceux basés sur les données moléculaires, notamment pour #M. incognita et #M. naasi$. Il est discuté de cette non correspondance entre données provenant des protéines et de l'ADN, d'une part, et données morphologiques, d'autre part. (Résumé d'auteur

    Preservation of Meloidogyne hapla and M. chitwoodi in liquid nitrogen: Differences in response between populations

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    A procedure for long-term preservation of gennplasm of Meloidogyne hapla and M. chitwoodi in liquid nitrogen is described, including a pretrearrnenr with 10% ethanediol for 2 h at room temperature and 40 % ethanecliol for 45 min on ice. Survival rates ranged from 45 to 98 % with an average of 75 %. Comparison of three different populations of M. hapla, two populations of M. chitwoodi and two populations of Meloidogyne n. sp. revealed a significantly higher survival for one M. hapla population, whiJe the survival rates of the other six were not significantly different. Ir was shown that higher lipid reserves in juveniles could possibly explain the high survival of this M. hapla population. Juveniles after freezing were able to reproduce on plants, but infectivity was significantly lower than of non-frozen juveniles. Ir is recommended to multiply juveniles, stored in liquid nitrogen, for one generation before being used as inoculum for experimentatio

    Vortex pinning in high-Tc materials via randomly oriented columnar defects, created by GeV proton-induced fission fragments

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    Extensive work has shown that irradiation with 0.8 GeV protons can produce randomly oriented columnar defects (CD's) in a large number of HTS materials, specifically those cuprates containing Hg, Tl, Pb, Bi, and similar heavy elements. Absorbing the incident proton causes the nucleus of these species to fission, and the recoiling fission fragments create amorphous tracks, i.e., CD's. The superconductive transition temperature Tc decreases linearly with proton fluence and we analyze how the rate depends on the family of superconductors. In a study of Tl-2212 materials, adding defects decreases the equilibrium magnetization Meq(H) significantly in magnitude and changes its field dependence; this result is modeled in terms of vortex pinning. Analysis of the irreversible magnetization and its time dependence shows marked increases in the persistent current density and effective pinning energy, and leads to an estimate for the elementary attempt time for vortex hopping, tau ~ 4x10^(-9) s.Comment: Submitted to Physica C; presentation at ISS-2001. PDF file only, 13 pp. tota

    Waardplantgeschiktheid van roos voor het wortelknobbelaaltje Meloidogyne hapla : zeven M. hapla-isolaten, zes cultivars en een onderstam

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    Het noordelijk wortelknobbelaaltje, Meloidogyne hapla, wordt de laatste jaren steeds vaker aangetroffen in substraatteelten van roos. Onderzoek naar de schadelijkheid en populatieontwikkeling van dit wortelaaltje bij roos op substraat vereist de aanwezigheid van een vatbare cultivar of onderstam en een M. hapla-isolaat dat tot aantasting in staat is. Omdat uit het eerste onderzoek bleek dat niet elke roos en isolaat een geschikte combinatie is, is een potproef uitgevoerd om geschikte roos/isolaat-combinaties te vinden. In de proef zijn zes rozencultivars, Black Beauty, Indian Femma!, Queensday, Red Berlin, Sunbeam en Vendela en de onderstam Natal Briar opgenomen in combinatie met zeven verschillende M. hapla-isolaten: Has, Haw, Hbz, Hby, Hh, Hj en RZ. Alle isolaten zijn getest in een zilverzand/perliet grof-substraat (2 : 1). Alleen het isolaat RZ is ook in kokos en perliet fijn beproefd. De planten zijn geïnoculeerd met 10.000 J2 van M. hapla per plant en negen weken later beoordeeld op aantallen eimassa’s per plant. Het tomatenras Moneymaker diende als zeer vatbare controle om de vitaliteit van de isolaten te controleren. In tegenstelling tot het tomatenras Moneymaker, waarop gemiddeld over alle M. hapla-isolaten 638 eimassa’s per plant aanwezig waren, waren de rozen met gemiddeld bijna 8 eimassa’s per plant beduidend minder vatbaar voor de geteste M. hapla-isolaten. Van de rozen zijn de onderstam Natal Briar en de cultivar Vendela het meest vatbaar, wat met name geldt voor de isolaten Hbz en Hh. Deze roos/isolaat-combinaties leverden 43 tot 58 eimassa’s per plant op. In combinatie met de andere cultivars varieerde het aantal eimassa’s voor Hbz en Hh van 0,2 tot 23,8 per plant. De isolaten Has, Haw, Hby, Hj en RZ, leverden bij alle onderzochte rozen geen of slechts weinig eimassa’s op, variërend van 0 tot 15,5 eimassa’s per plant. Dit onderzoek heeft vier roos/isolaat-combinaties opgeleverd waarmee de schade- en bestrijdingsproeven kunnen worden uitgevoerd, namelijk Natal Briar en Vendela in combinatie met de isolaten Hbz en Hh

    Learning from failure

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    We study decentralized learning in organizations. Decentralization is captured through a symmetry constraint on agents’ strategies. Among such attainable strategies, we solve for optimal and equilibrium strategies. We model the organization as a repeated game with imperfectly observable actions. A fixed but unknown subset of action profiles are successes and all other action profiles are failures. The game is played until either there is a success or the time horizon is reached. For any time horizon, including infinity, we demonstrate existence of optimal attainable strategies and show that they are Nash equilibria. For some time horizons, we can solve explicitly for the optimal attainable strategies and show uniqueness. The solution connects the learning behavior of agents to the fundamentals that characterize the organization: Agents in the organization respond more slowly to failure as the future becomes more important, the size of the organization increases and the probability of success decreases.Game theory

    Interactive effects of climate, land use and soil type on Culex pipiens/torrentium abundance

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    The incidence and risk of mosquito-borne disease outbreaks in Northwestern Europe has increased over the last few decades. Understanding the underlying environmental drivers of mosquito population dynamics helps to adequately assess mosquito-borne disease risk. While previous studies have focussed primarily on the effects of climatic conditions (i.e., temperature and precipitation) and/or local environmental conditions individually, it remains unclear how climatic conditions interact with local environmental factors such as land use and soil type, and how these subsequently affect mosquito abundance.Here, we set out to study the interactive effects of land use, soil type and climatic conditions on the abundance of Culex pipiens/torrentium, highly abundant vectors of West Nile virus and Usutu virus. Mosquitoes were sampled at 14 sites throughout the Netherlands. At each site, weekly mosquito collections were carried out between early July and mid-October 2020 and 2021. To assess the effect of the aforementioned environmental factors, we performed a series of generalized linear mixed models and non-parametric statistical tests.Our results show that mosquito abundance and species richness consistently differ among land use- and soil types, with peri-urban areas with peat/clay soils having the highest Cx. pipiens/torrentium abundance and sandy rural areas having the lowest. Furthermore, we observed differences in precipitation-mediated effects on Cx. pipiens/torrentium abundance between (peri-)urban and other land uses and soil types. In contrast, effects of temperature on Cx. pipiens/torrentium abundance remain similar between different land use and soil types.Our study highlights the importance of both land use and soil type in conjunction with climatic conditions for understanding mosquito abundances. Particularly in relation to rainfall events, land use and soil type has a marked effect on mosquito abundance. These findings underscore the importance of local environmental parameters for studies focusing on predicting or mitigating disease risk.Environmental Biolog
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