research

Molecular evidence that Meloidogyne hapla, M. chitwoodi, and M. fallax are distinct biological entities

Abstract

Six isolats de #Meloidogyne hapla - quatre de la race A et deux de la race B -, huit de #M. chitwoodi et cinq de #M. fallax ont été soumis à une électrophorèse bidimensionnelle sur gel (2-DGE) afin d'étudier la similarité intraspécifique des isolats appartenant à chacune des trois espèces, ceci basé sur les protéines solubles totales. Pour chaque isolat, deux échantillons distincts de 50 jeunes femelles gravides ont été extraits des racines. Chaque échantillon a été utilisé pour réaliser un mini-gel bidimensionnel. Les mini-DGE révèlent une moyenne de 400 spots protéiniques par gel. A l'intérieur de chaque espèce, tous les gels ont été comparés entre eux pour identifier deux types de spot polymorphiques : les variants liés au point isoélectrique (IP), et les variants présents-absents (PA). Ont été observés parmi les isolats de #M. hapla, treize variants PA et neuf variants IP, pour #M. chitwoodi huit PA et aucun IP et pour #M. fallax deux PA et aucun IP, ceci correspondant à un polymorphisme de 5,0, 2,2 et 0,6% pour, respectivement, chacune des trois espèces. Ces valeurs impliquent une très faible variabilité intra-spécifique. Elles confirment également que ces espèces constituent des entités biologiques bien délimitées car la similarité entre ces espèces est significativement plus faible qu'entre isolats de la même espèce. L'utilisation de l'UPGMA pour les neuf variants IP de #M. hapla$ conduit à un dendrogramme de similarité séparant nettement les isolats de la race A de ceux de la race B. (Résumé d'auteur

    Similar works