110 research outputs found

    Parkinson's disease in Sub-Saharan Africa: A review of epidemiology, genetics and access to care

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    A low prevalence of Parkinson's disease (PD) has been reported in the Sub-Saharan Africa (SSA) region. The genetic causes and clinical features of PD in this region have been poorly described. Very few reports have examined the availability and access to evidence-based quality care for people living with PD in this region. We reviewed all publications focusing on idiopathic PD from SSA published up to May 2016 and observed a prevalence of PD ranging from 7/100,000 in Ethiopia to 67/100,000 in Nigeria. The most recent community-based study reported a mean age at onset of 69.4 years. The infrequent occurrence of mutations in established PD genes was also observed in the region. Treatments were non-existent or at best irregular. Additionally, there is a lack of well-trained medical personnel and multidisciplinary teams in most countries in this region. Drugs for treating PD are either not available or unaffordable. Large-scale genetic and epidemiological studies are therefore needed in SSA to provide further insights into the roles of genetics and other etiological factors in the pathogenesis of PD. The quality of care also requires urgent improvement to meet the basic level of care required by PD patients

    Homocysteinemie et accidents vasculaires cerebraux ischemiques au chu campus de lome

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    L’hyperhomocystéinémie est un facteur de risque vasculaire indépendant et modifiable. Sa place dans les accidents vasculaires cérébraux ischémiques est mal connue en Afrique sub-saharienne.Objectifs Evaluer la prévalence et les facteurs de risque vasculaires associés à l’hyperhomocystéinémie chez des patients à la phase aigue d’une ischémie cérébrale. Methode Il s’agit d’une étude prospective réalisée pendant 12 mois dans le service de neurologie du CHU Campus, portant sur 145 malades victimes d’AVCI. ResultatsNous avions recensé 90 hommes et 55 femmes soit un sex-ratio de 1,6. L’homocystéinémie moyenne globale était de 19.33 μmol/l. L’homocystéinémie était normale chez 44.1 % des patients.L’hyperhomocystéinémie modérée avait été retrouvée chez 44.8 % des patients (n=65) et l’hyperhomocystéinémie intermédiaire chez 11 % (n=16). L’analyse multivariée entre la variable homocystéine (patients avec hyperhomocystéinémie, patients sans hyperhomocystéinémie) et les autres facteurs (sexe, âge, diabète et hypertension artérielle) ne révèle aucune corrélation significative. Enfin 84.9% de nos patients étaient hypertendus tandis que 15.1% présentaient l’hyperhomocystéinémie comme seul facteur de risque cérébro-vasculaire. Conclusion La présence de l’hyperhomocystéinémie chez 55.9 % des patients souffrant d’AVCI impose une prise encharge adéquate de ce facteur de risque vasculaire

    Strokes among youth ( 15 to 45 years old) in the neurological department of the medical teaching hospital, campus-lome

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    Introduction En Afrique subsaharienne les accidents vasculaires cérébraux (AVC) représentent la troisième cause de mortalité et la première cause d’incapacité motrice dans les grands centres de neurologie. Ils surviennent souvent chez des sujets de plus de 50 ans. L’OMS a noté que le nombre de décès chez les adultes jeunes(15-45 ans) est relativement élevé dans les pays en voie de développement : plus de 30% contre 20% dans les pays riches.Objectif Notre travail avait pour buts d’étudier la fréquence, la morbidité, la mortalité des AVC et d’identifier leurs facteurs de risque chez les adultes jeunes dans le service de neurologie à Lomé.Méthode Il s’était agi d’une étude transversale prospective réalisée entre le 1er Janvier 1998 et le 31 Décembre 2007 chez des patients hospitalisés, âgés de 15 à 45 ans, sur des arguments cliniques et tomodensitométriques. Résultats Sur les 3976 patients hospitalisés, 1309 présentaient un AVC (32, 9%). Parmi eux 141 étaient âgés de 15 à 45 ans (10,8 % des AVC et 3,5 % des hospitalisations). Le déficit hémi corporel (51,1%), les troubles de la conscience (48,2%) et du langage (21,3 %) étaient les principaux motifs d’hospitalisation. L’hypertension artérielle (HTA) était observée dans 102 cas (72,3%). Le taux de mortalité globale était de 21% (18,8% pour ceux victimes d’AVC ischémique contre 24,3 % pour les AVC hémorragiques).Conclusion L’HTA représente le principal facteur de risque des AVC chez les sujets jeunes. Son dépistage et sa prise en charge devraient être précoces

    Encephalopathie epileptique infantile precoce d’etiologie anoxo-ischemique au Chu Campus de Lome (Togo)

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    L’Encéphalopathie Epileptique Infantile Précoce (EEIP) ou syndrome d’Ohtahara, qui est une forme rare d’encéphalopathie néonatale, présente des caractéristiques électro-cliniques, thérapeutiques et évolutives particulières. Ses étiologies, essentiellement structurelles, sont plus malformatives qu’anoxo-ischémiques pour la majorité des cas décrits dans la littérature. Nous rapportons les deux premiers cas d’EEIP d’étiologie anoxo-ischémique, confirmés par la tomodensitométrie cérébrale et suivis dans le service de neurologie depuis l’âge de 2 et 5 mois, respectivement. Les patients avaient des antécédents de souffrance cérébrale néonatale et, jusqu’à l’âge d’un an, présentaient une évolution clinique sévère marquée par la persistancede spasmes toniques en extension (plus de 20 crises par jour) et un retard de développement psychomoteur, malgré la prise de phénobarbital, de carbamazépine ou de valproate de sodium et de méthylprednisone. A l’âge de huit mois et un an, l’électroencéphalogramme de sommeil était toujours de type suppression-burst, tandis que celui de veille se transformait en hypsarythmie (syndrome de West).Mots-clés: Syndrome d’0htahara ; Encéphalopathie épileptique infantile précoce ; Syndromes épileptiques ; Anoxie cérébrale ; Lomé   Early infantile epileptic encephalopathy with anoxo-ischemic etiology at University Hospital Campus of Lome (Togo)Early Infantile Epileptic Encephalopathy (EIEE) or Ohtahara syndrome is a rare form of neonatal encephalopathy. It presents particular electro-clinical, therapeutic and outcome features. Its etiologies are essentially structural and more malformative than anoxo-ischemic for most of the cases which are described in literature. We report the first two cases of EIEE with anoxo-ischemic etiology, which were confirmed by CT-scan and followed up in the department of neurology since 2 and 5 months old, respectively. Patients had a neonatal cerebral pain history and, up to one-year-old, presented a severe outcome which was characterized by the persistence of tonic spasms in extension (more than 20 seizures per day) and psychomotor development delay, despite taking phenobarbital, carbamazepine or sodium valproate and methylprednisone. At eight months and one year old, the electroencephalogram of sleep presented showed suppression-burst pattern, while that of awakening was transformed into hypsarrhythmia (West’s syndrome). Key words: Ohtahara Syndrome; Early Infantile Epileptic Encephalopathy; Epileptic Syndromes; Cerebral Anoxia; Lomé

    Seroprevalence and Risk Factors of Toxoplasmosis in Togo

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    Objectives: Toxoplasmosis is caused by Toxoplasma gondii. 50 to 70% of African are contaminated and 60% to 80% in Togo. This parasitic infection involves disorders in immunocompromised persons and pregnant women. The purpose of this study is to evaluate the seroprevalence of toxoplasmosis and the risk factors of contamination in the Togolese population. Methods: Prospective studies from January 2012 to December 2015 concerned 7076 patients. A survey on the risk factors for Toxoplasma gondii contamination has done. The seroprevalence was monitored by examining serological antibodies IgG and IgM using ELISA method. Sampling of 200 excreta of domestic cats were analyzed by coproscopy examinations Results: The average age was 32.61±6.80 years old. The seroprevalence of IgM was 2.85%; and for IgG 59.7%. IgG were high in men (67.0% vs. 58.6%, p<0.0001); IgM were high in women (2.81% vs. 1.85%, p<0.01). In this study, we observed 57.49% immunized subjects. Regarding potential risk factors for contamination, the survey revealed that 80.5% of subjects consume raw garden produce, 65.4% non-potable and 8.3%  undercooked meat. In cats, 20.5% of them excreted oocysts of Toxoplasma gondii. Conclusion: The prevalence of the toxoplasmosis was high in the Togolese population because the risks factors were variable and the level of contamination were high too. The country’s health authorities, especially for the pregnant women, should install sensitization and prevention programs on the risks of the contamination of toxoplasmosis. The high proportion of the young subjects affected constitutes a socio-economical danger for the country

    Qualite de vie, anxiete et deprssion chez les survivants dávc au Togo

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    L’accident vasculaire cérébral (AVC) est la première cause de handicap physique et psychologique acquis dans le monde.Objectif Evaluer la qualité de vie et les troubles psychologiques des survivants de l’AVC.Matériel et Méthode Nous avons mené une étude prospective sur 12 mois, en utilisant les échelles d’anxiété et de dépression de Goldberg, le QOLIE-31 de la qualité de vie et le Rankin modifié pour l’étude du Handicap. Résultats Nous avons inclus 114 patients survivants d’AVC dont le déficit date d’au moins 6 mois. L’âge moyen était de 47 ans avec des extrêmes de 21 à 73 ans. Il y avait 83,3%(95) d’AVC ischémiques 16,7%(19) d’AVC hémorragiques selon le scanner. Nos patients étaient plus déprimés qu’anxieux avec des moyennes respectives 4,48 et 4,44 à l’échelle de Goldberg. La qualité de vie était altérée avec au QOLIE-31, une moyenne de 0,94. A l’échelle de Rankin modifiée nous avons observé 26,3%(30) survivants d’AVC qui ne présentaient pas de handicap, 38,6%(44) avaient un handicap léger, 31,6%(36) un handicap moyen et chez 3,5% (04) des patients le handicap était sévère. Conclusion Le handicap, l’anxiété et la dépression sont autant de paramètres mesurables qui altèrent la qualité de vie au quotidien des survivants d’AVC

    Le Phénobarbital dans la prise en charge des personnes souffrant d’épilepsie en pays Tamberma au Nord Togo

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    Introduction: Non-contagious neurological disease, stigmatizing, the most common worldwide, epilepsy is controllable in more than 70% of cases. Phenobarbital (PB) was used as a reference molecule for a strategy of community empowerment and decentralized of this disease, set up in countries Tamberma in northern Togo. Over 70% of patients with epilepsy are not supported in developing countries where the treatment gap (the difference between patients diagnosed and treated patients) is between 60-98%. In the case of our study this gap was estimated at 98% in 2001 to 4.08% in 2003. This study focuses on estimating the therapeutic hiatus in 2004, evaluating the efficacy of Phenobarbital and health system developed locally. Objectives: To evaluate the therapeutic gap; identify barriers to treatment-related PB, note side effects of the molecule; assess the cost of care for epilepsy annually. Results: sixty-six epileptics were followed in our study. There were 37 (56.1%) men and 29 (43.9%) women. The average age was 25.36 years with ages ranging from 3 to 60. The rate of epileptic seizures with regular rose from 81.8% in 2001 to 12.1% at the time of the survey. The therapeutic gap, from 4.08% in 2003 had risen to 12.12% in 2004. The PB was regularly distributed and 61 (92.4%) of epileptic patients receiving this medication regularly. By cons 2 (3%) did not meet the regularity of the decision and no information was available from 3 (4.5%). After initiation of treatment, 58 epileptic cases (87.9%) were seizurefree for at least one year. Side effects most often mentioned during therapy were drowsiness (50%) and fatigue (13.6%). It was probably increased by the consumption of alcohol by 57.6% of patients with epilepsy. The cost of treatment was estimated at 13.4 euros per year by epilepsy. Conclusion: The PB is a molecule very effective in the treatment of epilepsy in rural areas, more over it is more affordable.Introduction: Maladie neurologique non-contagieuse, stigmatisante, la plus répandue dans le monde, l’épilepsie est maîtrisable dans plus de 70 % des cas. Le phénobarbital (PB) a été utilisé comme molécule de référence pour une stratégie, de prise en charge communautaire et décentralisée de cette maladie, mise en place en pays Tamberma au Nord- Togo. Plus de 70 % des sujets épileptiques ne sont pas pris en charge dans les pays en voie de développement (PVD) où le gap thérapeutique est compris entre 60-98 %. Le gap du projet a été évalué à 98% en 2001, à 4,08 % en 2003. Notre étude porte sur l’estimation du gap en 2004 et l’évaluation de l’efficacité cette molécule. Objectifs : évaluer le gap thérapeutique ; répertorier les freins au traitement, liés au PB ; noter les effets secondaires de la molécule ; évaluer le coût de la prise en charge pour un épileptique par an. Résultats : Sur les 66 sujets épileptiques (H : 56,1 % ; F :43,9 %), l’âge moyen est de 25,36 ans; avec des âges extrêmes de 3 et 60 ans. Le taux d’épileptiques ayant des crises régulières était passé de 81,8 % en 2001 à 12,1 % au moment de l’enquête. Le gap thérapeutique, de 4,08 % en 2003 était monté à 12,12 % en 2004.Chez 71,2 % des sujets épileptiques il n’y avait jamais eu d’arrêt du traitement et 92,4% des 66 sujets épileptiques affirmaient prendre régulièrement leur traitement. En effet, 69,7 % craignaient une rechute et 3 % une aggravation de la maladie. Chez 95,5 % des sujets épileptiques, il était noté une amélioration de l’état général après la mise sous PB. Les effets secondaires les plus évoqués au cours du traitement étaient la somnolence (50 %) et la fatigue (13,6 %). Elle était sans doute majorée par la consommation d’alcool chez 57,6 % des sujets épileptiques. Le coût du traitement était estimé à 13,4 Euros par épileptique par an. Conclusion : le phénobarbital est une molécule très efficace dans le traitement de l’épilepsie en milieu rural ; de plus il est d’un coût abordable

    Opportunistes du VIH/SIDA en milieu hospitalier neurologique au Togo

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    IntroductionLa morbi-mortalité au cours du VIH/sida est souvent liée à des infections opportunistes (IO)  neurologiques. L’objectif de cette étude est de déterminer en milieu hospitalier neurologique au Togo, les principales IO et celles qui sont liées à un fort taux de létalité.MéthodesIl s’agissait d’une étude descriptive transversale sur 12 mois réalisée dans le service de neurologie du CHU Campus de Lomé de janvier à décembre 2008. Les patients hospitalisés et présentant une IO avec une sérologie VIH positive avaient été inclus. Le diagnostic des IO a été fondé sur la clinique et/ou les examens disponibles. Les examens paracliniques tout comme les frais d’hospitalisation étaient à la charge des patients.RésultatsSur 940 patients hospitalisés, 360 (38%) ont bénéficié d’une sérologie au VIH et 68 étaient positifs soit 7% des hospitalisés. Au sein des patients vivant avec le VIH (PVVIH), nous avons noté 66 cas d’IO (97% des PVVIH) et un taux de décès de 41% (28/68). Le déficit neurologique focal, les céphalées et les crises convulsives étaient les motifs d’admission les plus fréquents. La toxoplasmose cérébrale et la cryptococcose neuroméningée (CNM) étaient les IO les plus fréquentes touchant respectivement 54% et 10% des patients vivant avec le VIH (PVVIH). Le taux de létalité était de 33% pour la toxoplasmose cérébrale et de 28% pour la CNM.ConclusionLa CNM et la toxoplasmose cérébrale sont les IO à évoquer en cas d’atteinte du système nerveux central chez le PVVIH

    Encephalite limbique paraneoplasique, un syndrome mal connu : A propos d’un cas a Lome (Togo)

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    Introduction : Les encéphalites limbiques pures sont des complications rares des cancers. Elles affectent aussi bien les hommes que les femmes. La tumeur associée est le plus souvent un cancer du poumon à petites cellules.Cas clinique : Nous rapportons le cas d‘un patient de 78 ans, tabagique actif, hospitalisé pour un trouble de comportement à type d‘agressivité verbale avec propos incohérents dans un contexte d‘amaigrissement et d‘asthénie d‘aggravation progressive. L‘examen clinique retrouvait une amnésie antérograde avec des fabulations associées à une adénopathie sus claviculaire droite. Les explorations paracliniques ont permis de retrouver un carcinome pulmonaire avec à l‘IRM encéphalique, un hypersignal T2 dans la région  hippocampique gauche permettant de poser le diagnostic d‘encéphalite limbique paranéoplasique. L‘évolution sous chimiothérapie et radiothérapie a été favorable.Conclusion : L‘encéphalite limbique paranéoplasique constitue une entité rare et mérite d‘être suspectée au même titre que les autres causes d‘encéphalopathies. English title: Paraneoplastic limbic encephalitis, a badly known syndrome: A case report in Lomé (Togo) Background: Pure limbic encephalitides are unusual complications of cancers. Both men and women can be affected. The associated tumor is most often a small cell lung cancer.Case report: We reported the case of a 78-year-old patient who was an active tobacco addict. He was hospitalized for a behavioral disorder  like verbal aggression with incoherent speech in a context of progressive weight loss and asthenia. Clinical examination revealed anterograde amnesia with confabulations associated with right supraclavicular lymphadenopathy. Paraclinical explorations revealed a pulmonary carcinoma with at MRI, a T2 hypersignal in the left hippocampal region.Therefore, the diagnosis of paraneoplastic limbic encephalitis has been made. The evolution with chemotherapy and radiotherapy was favorable.Conclusion: Limbic paraleoplastic encephalitis is a rare clinical entity and should be rouled out during a work-up for every case of encephalitis

    SLA et VIH : Cas d’une patiente seropositive au VIH-1 et revue de la litterature

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    La Sclérose Latérale Amyotrophique est une pathologie neuro dégénérative rare. Son association avec le VIH l‘est encore plus. Dans le but de déterminer l‘implication du VIH dans la survenue de la SLA, nous rapportons le cas d‘une patiente de 51 ans, séropositive au VIH-1 qui a présenté une SLA à début spinal et qui est décédée après 30 mois d‘évolution malgré la prise en charge spécifique de la SLA et du VIH. Cette observation laisse persister une interrogation. Existerait-il un sous-type de VIH responsable du déclenchement de la SLA ? English title: ALS and HIV: A HIV-1 seropositive patient and literature review Amyotrophic Lateral Sclerosis is a rare neurodegenerative disease. Its association with HIV is even more so. In order to determine the involvement of HIV in the occurrence of ALS, we report the case of a 51-year-old female HIV-1 positive with spinal-onset ALS who died after 30 months despite the specific management of ALS and HIV. This observation leaves a question mark. Is there a subtype of HIV responsible for triggering ALS
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