22 research outputs found

    Responses of Mytilus galloprovincialis to challenge with the emerging marine pathogen Vibrio coralliilyticus

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    Vibrio coralliilyticus has emerged as a coral pathogen of concern throughout the Indo-Pacific reef. The interest towards understanding its ecology and pathogenic potential has increased since V. coralliilyticus was shown to be strongly virulent also for other species; in particular, it represents a serious threat for bivalve aquaculture, being one of the most important emerging pathogen responsible for oyster larval mortalities worldwide. V. coralliilyticus has a tightly regulated temperature-dependent virulence and it has been related to mass mortalities events of benthic invertebrates also in the temperate northwestern Mediterranean Sea. However, no data are available on the effects of V. coralliilyticus in the mussel Mytilus galloprovincialis, the most abundant aquacultured species in this area. In this work, responses of M. galloprovincialis to challenge with V. coralliilyticus (ATCC BAA-450) were investigated. In vitro, short term responses of mussel hemocytes were evaluated in terms of lysosomal membrane stability, bactericidal activity, lysozyme release, ROS and NO production, and ultrastructural changes, evaluated by TEM. In vivo, hemolymph parameters were measured in mussels challenged with V. coralliilyticus at 24h p.i. Moreover, the effects of V. coralliilyticus on mussel early embryo development (at 48 hpf) were evaluated. The results show that both in vitro and in vivo, mussels were unable to activate immune response towards V. coralliilyticus, and that challenge mainly induced lysosomal stress in the hemocytes. Moreover, V. coralliilyticus showed a strong and concentration-dependent embryotoxicity. Overall, the results indicate that, although M. galloprovincialis is considered a resistant species to vibrio infections, the emerging pathogen V. coralliilyticus can represent a potential threat to mussel aquaculture

    Validation de la fonctionnalité des continuités écologiques en milieu urbain : approches plurispécifiques et multi-sites

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    Maintaining connectivity across urban landscape, intrinsically fragmented, is a major issue of urban biodiversity conservation. Connectivity is increasingly taken into account by policy and stakeholders, especially through the establishment of the blue-green infrastructure. Multiple mapping tools allow to detect ecological networks (highly connected areas), however their functionnal validation is often lacking. The objective of this study is to validate least cost path analysis predictions in several cities with different biological models. Studied species vary in terms of dispersal means and capacities (flight, walk, crawling) and habitat requirement (e.g. herbaceous or forested habitats). Several protocols based on movement ecology and landscape genetic are applied, focusing on replication (within and among cities) and control of inter-individual variability. Our results indicate that movement is increased in predicted ecological networks when compared with areas predicted as poorly connected: the translocated hedgehogs travelled longer distances, several passerine responded to song playback over longer distances, and moths showed increased recapture rates. Indirect analysis on the garden snail showed a weak relation between population genetic differentiation and connectivity models. This work provides scientific support for the establishment of ecological networks in urban landscapes.Le maintien de la connectivité à travers les paysages urbains, par nature très fragmentés, est un enjeu majeur de conservation de la biodiversité urbaine. On observe une prise en compte croissante de la connectivité dans les politiques d’aménagement du territoire, notamment avec l’établissement de la trame verte et bleue. De multiples outils cartographiques permettent de mettre en évidence les continuités écologiques (zones de forte connectivité), mais leur validation fonctionnelle fait souvent défaut. L’objectif de cette thèse est de valider les prédictions d’un modèle de chemin de moindre coût, sur plusieurs villes et avec différents modèles biologiques. Les espèces étudiées présentent différents modes et capacités de dispersion (vol, marche, reptation) et des exigences écologiques spécifiques (préférences pour les milieux herbacés ou boisés). Des protocoles de validation basés sur l’écologie du mouvement et la génétique du paysage sont appliqués, dans un souci de réplication (au sein de plusieurs villes) et de contrôle de la variabilité inter-individuelle. Nos résultats montrent des mouvements accrus au sein des continuités écologiques comparés à ceux observés en contextes paysagers prédits comme non connectés : les hérissons transloqués s’y déplacent sur des distances plus longues, plusieurs passereaux répondent à la repasse de chant sur de plus longues distances et les papillons de nuit montrent des taux de recapture beaucoup plus élevés. Par ailleurs, les analyses indirectes réalisées sur l’escargot petit-gris montrent une relation assez faible entre la différenciation génétique des populations et les modèles de connectivité. Ce travail fournit des arguments scientifiques pour soutenir la mise en place de continuités écologiques en milieu urbain

    Validation de la fonctionnalité des continuités écologiques en milieu urbain : approches plurispécifiques et multi-sites

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    Maintaining connectivity across urban landscape, intrinsically fragmented, is a major issue of urban biodiversity conservation. Connectivity is increasingly taken into account by policy and stakeholders, especially through the establishment of the blue-green infrastructure. Multiple mapping tools allow to detect ecological networks (highly connected areas), however their functionnal validation is often lacking. The objective of this study is to validate least cost path analysis predictions in several cities with different biological models. Studied species vary in terms of dispersal means and capacities (flight, walk, crawling) and habitat requirement (e.g. herbaceous or forested habitats). Several protocols based on movement ecology and landscape genetic are applied, focusing on replication (within and among cities) and control of inter-individual variability. Our results indicate that movement is increased in predicted ecological networks when compared with areas predicted as poorly connected: the translocated hedgehogs travelled longer distances, several passerine responded to song playback over longer distances, and moths showed increased recapture rates. Indirect analysis on the garden snail showed a weak relation between population genetic differentiation and connectivity models. This work provides scientific support for the establishment of ecological networks in urban landscapes.Le maintien de la connectivité à travers les paysages urbains, par nature très fragmentés, est un enjeu majeur de conservation de la biodiversité urbaine. On observe une prise en compte croissante de la connectivité dans les politiques d’aménagement du territoire, notamment avec l’établissement de la trame verte et bleue. De multiples outils cartographiques permettent de mettre en évidence les continuités écologiques (zones de forte connectivité), mais leur validation fonctionnelle fait souvent défaut. L’objectif de cette thèse est de valider les prédictions d’un modèle de chemin de moindre coût, sur plusieurs villes et avec différents modèles biologiques. Les espèces étudiées présentent différents modes et capacités de dispersion (vol, marche, reptation) et des exigences écologiques spécifiques (préférences pour les milieux herbacés ou boisés). Des protocoles de validation basés sur l’écologie du mouvement et la génétique du paysage sont appliqués, dans un souci de réplication (au sein de plusieurs villes) et de contrôle de la variabilité inter-individuelle. Nos résultats montrent des mouvements accrus au sein des continuités écologiques comparés à ceux observés en contextes paysagers prédits comme non connectés : les hérissons transloqués s’y déplacent sur des distances plus longues, plusieurs passereaux répondent à la repasse de chant sur de plus longues distances et les papillons de nuit montrent des taux de recapture beaucoup plus élevés. Par ailleurs, les analyses indirectes réalisées sur l’escargot petit-gris montrent une relation assez faible entre la différenciation génétique des populations et les modèles de connectivité. Ce travail fournit des arguments scientifiques pour soutenir la mise en place de continuités écologiques en milieu urbain

    Validation of the green infrastructure functionnality in urban landscape : multi-species and multi-sites approaches

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    Le maintien de la connectivité à travers les paysages urbains, par nature très fragmentés, est un enjeu majeur de conservation de la biodiversité urbaine. On observe une prise en compte croissante de la connectivité dans les politiques d’aménagement du territoire, notamment avec l’établissement de la trame verte et bleue. De multiples outils cartographiques permettent de mettre en évidence les continuités écologiques (zones de forte connectivité), mais leur validation fonctionnelle fait souvent défaut. L’objectif de cette thèse est de valider les prédictions d’un modèle de chemin de moindre coût, sur plusieurs villes et avec différents modèles biologiques. Les espèces étudiées présentent différents modes et capacités de dispersion (vol, marche, reptation) et des exigences écologiques spécifiques (préférences pour les milieux herbacés ou boisés). Des protocoles de validation basés sur l’écologie du mouvement et la génétique du paysage sont appliqués, dans un souci de réplication (au sein de plusieurs villes) et de contrôle de la variabilité inter-individuelle. Nos résultats montrent des mouvements accrus au sein des continuités écologiques comparés à ceux observés en contextes paysagers prédits comme non connectés : les hérissons transloqués s’y déplacent sur des distances plus longues, plusieurs passereaux répondent à la repasse de chant sur de plus longues distances et les papillons de nuit montrent des taux de recapture beaucoup plus élevés. Par ailleurs, les analyses indirectes réalisées sur l’escargot petit-gris montrent une relation assez faible entre la différenciation génétique des populations et les modèles de connectivité. Ce travail fournit des arguments scientifiques pour soutenir la mise en place de continuités écologiques en milieu urbain.Maintaining connectivity across urban landscape, intrinsically fragmented, is a major issue of urban biodiversity conservation. Connectivity is increasingly taken into account by policy and stakeholders, especially through the establishment of the blue-green infrastructure. Multiple mapping tools allow to detect ecological networks (highly connected areas), however their functionnal validation is often lacking. The objective of this study is to validate least cost path analysis predictions in several cities with different biological models. Studied species vary in terms of dispersal means and capacities (flight, walk, crawling) and habitat requirement (e.g. herbaceous or forested habitats). Several protocols based on movement ecology and landscape genetic are applied, focusing on replication (within and among cities) and control of inter-individual variability. Our results indicate that movement is increased in predicted ecological networks when compared with areas predicted as poorly connected: the translocated hedgehogs travelled longer distances, several passerine responded to song playback over longer distances, and moths showed increased recapture rates. Indirect analysis on the garden snail showed a weak relation between population genetic differentiation and connectivity models. This work provides scientific support for the establishment of ecological networks in urban landscapes

    Title Ecological relevance of least cost path analysis An easy implementation method for landscape urban planning

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    International audienceLandscape connectivity promotes dispersal and other types of movement, including foraging activity; consequently, the inclusion of connectivity concept is a priority in conservation and landscape planning in response to fragmentation. Urban planners expect the scientific community to provide them with an easy, but scientifically rigorous, method to identify highly connecting contexts in landscapes. The least-cost paths (LCP) method is one of the simplest resistance-based models that could be a good candidate to spatially identify areas where movement is potentially favored in a given landscape. We tested the efficiency of LCP predictions to detect highly connecting landscape contexts facilitating individual movements compared to those performed in un-connecting landscape contexts. We used a landscape-level behavioral experiment based on a translocation protocol and individual repeated measures. In the city of Rennes (France), 30 male hedgehogs (Erinaceus europaeus) were translocated and radio-tracked in both highly connecting and un-connecting contexts, respectively, which were determined by the presence and absence of modelled LCPs. Individual movement patterns were compared between the two predicted contexts. Individuals travelled longer distances, moved faster, and were more active in the highly connecting contexts compared to the un-connecting contexts. Moreover, in highly connecting contexts, hedgehog movement followed LCP orientation, with individuals using more wooded habitats than other land cover class. By using a rigorous experimental design, this study validated the ecological relevance of LCP analysis to identify highly connecting areas, and could be easily implemented by urban landscape planners
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