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    Les 100 médicaments essentiels. Une approche de médecine interne = 100 essential drugs. An internal medicine approach

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    DĂ©claration d'intĂ©rĂȘts : B. Grosbois : expert pour ActĂ©lion, Celgene, Octapharma, Shire. Recherche subventionnĂ©e par LFB, Janssen, Genzyme. L. Guillevin : conseiller scientifique ActĂ©lion, expert pour (et confĂ©rences rĂ©munĂ©rĂ©es par) GSK, CSL, Roche. L. Guillevin estime cependant n'avoir pas de conflit d'intĂ©rĂȘt concernant le prĂ©sent travail. C. Le Jeunne : expert pour Roche, Sanofi, Novartis, BSM, UCB. Essais thĂ©rapeutiques en cours pour Bayer, Pfizer, BMS. P. Morlat : expert pour Gilead, ViiV Health Care, BMS, Abbott, MSD. Ph. Morlat estime cependant n'avoir pas de conflit d'intĂ©rĂȘt concernant le prĂ©sent travail. P. Arlet, O. Aumaitre, J. Cosserat, A. Kettaneh, C. Massot et M. Thomas : aucun conflit d'intĂ©rĂȘt.International audiencePURPOSE: Up to 4600 drugs in about 15,000 pharmaceutical forms are available in France which may be a source of misuse with increased occurrence of side effects and costs. While the World Health Organization is encouraging each developed country to work out its own list of essential drugs. The list provided in 2008 by the French Office for the safety of health products has had so far limited impact on practice, so it became obvious to a group of internists to work out a "wise list" of 100 essential medicines covering 95% of the disorders observed in France. METHODS: In June 2011, 10 internists agreed to each provide a list of 100 essential medicines, according to individual experience. In December 2011, a meeting of the participants provided a list as initial consensus and mandated five among them to make proposals for those areas neglected by too many participants or in which needless dispersion of medicines was stated. After internet-facilitated exchanges, an additional list was validated in mild-January 2012. RESULTS: Fifty-four drugs were included in the list of initial consensus (including nine selected by all 10 participants), and 46 in the additional list. So the final "wise list" included 100 drugs. In June 2012, 56 of these drugs were available as generics. This list was compared to those lists set out by five countries in the European Union. CONCLUSION: Generating such a list is feasible. Undoubtedly still non-comprehensive, this list will benefit from the expertise of 14 general practitioners who are currently working out a similar list across France. The final list will be submitted for validation by the French associations of generalist teachers and Internists

    COVID-19 symptoms at hospital admission vary with age and sex: results from the ISARIC prospective multinational observational study

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    Background: The ISARIC prospective multinational observational study is the largest cohort of hospitalized patients with COVID-19. We present relationships of age, sex, and nationality to presenting symptoms. Methods: International, prospective observational study of 60 109 hospitalized symptomatic patients with laboratory-confirmed COVID-19 recruited from 43 countries between 30 January and 3 August 2020. Logistic regression was performed to evaluate relationships of age and sex to published COVID-19 case definitions and the most commonly reported symptoms. Results: ‘Typical’ symptoms of fever (69%), cough (68%) and shortness of breath (66%) were the most commonly reported. 92% of patients experienced at least one of these. Prevalence of typical symptoms was greatest in 30- to 60-year-olds (respectively 80, 79, 69%; at least one 95%). They were reported less frequently in children (≀ 18 years: 69, 48, 23; 85%), older adults (≄ 70 years: 61, 62, 65; 90%), and women (66, 66, 64; 90%; vs. men 71, 70, 67; 93%, each P < 0.001). The most common atypical presentations under 60 years of age were nausea and vomiting and abdominal pain, and over 60 years was confusion. Regression models showed significant differences in symptoms with sex, age and country. Interpretation: This international collaboration has allowed us to report reliable symptom data from the largest cohort of patients admitted to hospital with COVID-19. Adults over 60 and children admitted to hospital with COVID-19 are less likely to present with typical symptoms. Nausea and vomiting are common atypical presentations under 30 years. Confusion is a frequent atypical presentation of COVID-19 in adults over 60 years. Women are less likely to experience typical symptoms than men

    Pratique du saturomÚtre par les médecins généralistes de Midi-Pyrénées en 2012

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    TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocSudocFranceF

    Pression de prescription (étude de 599 consultations auprÚs de 4 médecins généralistes)

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    TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocTOULOUSE3-BU Santé-Allées (315552109) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    La Colchicine en thérapeutique (revue de la littérature)

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    TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Main brûlée et auto-rééducation (le cas de Django Reinhardt (1910-1953))

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    AprÚs une premiÚre partie constituant une biographie de Django Reinhardt (1910-1953), l'auteur discute dans un deuxiÚme chapitre des circonstances de l'accident (une brûlure) qui firent perdre au guitariste l'usage normal des deux derniers doigts de sa main gauche. Les faits et traitements sont étudiés à la lumiÚre des données de la science ayant cours au début du XXesiÚcle. Dans une troisiÚme partie, il est proposé un bilan lésionnel de la main de Django Reinhardt, bilan mis en opposition avec une approche des caractéristiques fonctionnelles de la main des musiciens. Sont ensuite décrites les différentes techniques employées par Django Reinhardt, lui permettant de poursuivre sa carriÚre de musicien.TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Hyperferritinémie et maladie de Charcot (sclérose latérale amyotrophique) (étude d'une série de 50 patients)

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    D'aprÚs l'état des connaissances, la maladie de Charcot ou sclérose latérale amyotrophique ne fait pas partie des causes d'hyperferritinémies. L'étude réalisée sur 50 patients atteints par la maladie montre qu'une part importante d'entre eux (28%) ont une ferritine supérieure aux valeurs usuelles. Ceci reste à démontrer par des travaux complémentaires, mais l'analyse des différents paramÚtres semble indiquer que l'hyperferritinémie correspond avec certains aspects cliniques de la maladie et qu'elle pourrait ainsi constituer un marqueur de la maladie. Le mécanisme de cette hyperferritinémie reste à déterminer mais manifestement, il semble qu'elle exprime le type d'une surcharge martiale, que l'on peut rapporter à plusieurs etudes récentes. En effet, ces travaux mettent en évidence par rapport à la population générale une augmentation de l'incidence de la mutation du gÚne de l'hémochromatose dans la SLA. Il s'agirait principalement du polymorphisme H63D qui constitue pour certains auteurs un facteur de risque ou de susceptibilité particuliÚre de développer la maladie.TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Myalgies, stéatose hépatique, dyslipidémie, un nouveau syndrome? (description d'une série préliminaire de 12 patients)

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    TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocTOULOUSE3-BU Santé-Allées (315552109) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    IntĂ©rĂȘt clinique du dosage de la vitamine B2 et de ses coenzymes

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    Le but de cette étude prospective avec analyse de cas est de rechercher une corrélation entre un déficit en vitamine B2 et des signes cliniques dont l'étiologie n'est pas établie chez des patients recrutés dans une consultation de médecine interne. Vingt-sept déficits en coenzymes B2 pour 55 patients sont retrouvés. Ces déficits sont essentiellement associés à des signes de neuropathies, de myalgie et d'asthénie/polyalgie. Cinq patients déficitaires ont été améliorés par la prise orale de vitamine B2. Dans les groupes myalgie et neuropathie , un taux significativement bas en coenzymes B2 est retrouvé. Cette étude semble indiquer l'existence d'un lien entre déficit en vitamine B2 et neuropathie périphérique sensitive. L'effet de la prise de corticoides au long cours sur les taux de vitamine B2 a également été étudié. Le traitement au long cours par corticoides s'accompagne d'un taux normal voire élevé en coenzymes (80%). Ces données restent à confirmer par des travaux complémentaires.TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
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