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    Wind-tunnel calibration of a combined pitot-static tube and vane-type flow-angularity indicator at Mach numbers of 1.61 and 2.01

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    A limited calibration of a combined pitot-static tube and vane-type flow-angularity indicator has been made in the Langley 4- by 4-foot supersonic pressure tunnel at Mach numbers of 1.61 and 2.01. The results indicated that the angle-of-yaw indications were affected by unsymmetric shock effects at low angles of attack

    A submillimetre survey of the star-formation history of radio galaxies

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    We present the results of the first major systematic submillimetre survey of radio galaxies spanning the redshift range 1 < z < 5. The primary aim of this work is to elucidate the star-formation history of this sub-class of elliptical galaxies by tracing the cosmological evolution of dust mass. Using SCUBA on the JCMT we have obtained 850-micron photometry of 47 radio galaxies to a consistent rms depth of 1 mJy, and have detected dust emission in 14 cases. The radio galaxy targets have been selected from a series of low-frequency radio surveys of increasing depth (3CRR, 6CE, etc), in order to allow us to separate the effects of increasing redshift and increasing radio power on submillimetre luminosity. Although the dynamic range of our study is inevitably small, we find clear evidence that the typical submillimetre luminosity (and hence dust mass) of a powerful radio galaxy is a strongly increasing function of redshift; the detection rate rises from 15 per cent at z 2.5, and the average submillimetre luminosity rises as (1+z)^3 out to z~4. Moreover our extensive sample allows us to argue that this behaviour is not driven by underlying correlations with other radio galaxy properties such as radio power, radio spectral index, or radio source size/age. Although radio selection may introduce other more subtle biases, the redshift distribution of our detected objects is in fact consistent with the most recent estimates of the redshift distribution of comparably bright submillimetre sources discovered in blank field surveys. The evolution of submillimetre luminosity found here for radio galaxies may thus be representative of massive ellipticals in general.Comment: 31 pages - 10 figures in main text, 3 pages of figures in appendix. This revised version has been re-structured, but the analysis and conclusions have not changed. Accepted for publication in MNRA

    The Labor Market Experience of Engineers in North America

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    Bien des motifs, qui vont des valeurs qu'ils incarnent au rôle qui leur est dévolu dans la croissance économique, ont incité les spécialistes des relations professionnelles à s'intéresser aux catégories de salariés de haute qualification, ingénieurs et hommes de science principalement. Aussi les études sur cette question se sont-elles multipliées au cours des derniers dix ans. Mais, toutefois, on les a presque toujours présentées dans une optique étroite qui ne faisait guère de place à la perspective historique et à l'évolution d'ensemble. Les travaux destinés à éclairer les changements survenus dans le temps et les variations d'un pays à l'autre sont peu nombreux. De plus, l'analyse s'avère parfois contradictoire. Les uns parlent de pénurie de main-d'oeuvre ; d'autres, d'excédent.À la lumière de ce qui précède, nous avons fait une étude comparative des expériences vécues par les ingénieurs du Canada et des États-Unis sur les divers marchés du travail. Nous espérons pouvoir en faire bientôt autant pour les scientifiques. Nous avons considéré les sujets suivants : ( 1 ) l'arrière-plan de la scolarité ; (2) l'état de l'offre et de la demande; (3) la répartition et l'étalement; (4) les traitements ; (5) la mobilité et les migrations ; et (6) l'utilisation. Les résultats se fondent à la fois sur la recherche de première et de seconde main, y compris les thèses de doctorat des auteurs.Trois caractéristiques communes fondamentales se retrouvent chez les ingénieurs diplômés tant canadiens qu'américains. Celles-ci donnent des indices très nets en ce qui concerne le choix de cette discipline. D'abord, plus que pour les autres diplômés d'université, il y a de bonnes chances que ces hommes — il y a peu de femmes parmi les diplômés en génie — soient fils d'ouvriers qualifiés ou d'apparentés. De plus, les diplômés en génie donnent l'impression d'être ambitieux et intelligents, d'avoir des centres d'intérêt variés. Enfin, ils voient dans leur formation d'ingénieur une préparation appropriée et rigoureuse menant à une grande diversité d'emplois. L'interaction des facteurs précédents débouche sur une insuffisance de forte motivation dans le choix d'une carrière ou d'une vocation vraiment marquée. Si la satisfaction laisse à désirer au plan technique, le diplômé en génie n'hésitera pas à chercher ailleurs, souvent du côté des carrières administratives.Depuis 1900, tant au Canada qu'aux États-Unis, le nombre des ingénieurs s'est accru plus rapidement que la population, que la main-d'oeuvre et que les autres travailleurs professionnels en général. Pendant cette période, l'immigration a joué un rôle plus marqué au Canada qu'aux États-Unis quand il s'est agi de répondre à la demande. De même, il y a beaucoup plus d'ingénieurs canadiens que d'ingénieurs américains qui détiennent un diplôme collégial. Ces divergences peuvent s'expliquer par des politiques d'immigration et des concepts statistiques différents, la rapidité des changements techniques et l'accession des sans-diplôme à la profession.Les éléments déterminants de la demande d'ingénieurs se ressemblent d'un pays à l'autre. Les changements dans la structure économique ont joué un rôle prédominant ici comme là-bas. Les industries qui avaient et ont toujours le plus recours au savoir de l'ingénieur se trouvent être celles qui se développent le plus vite, du moins jusqu'à maintenant. En réalité, la demande ne provient que d'un nombre de sources relativement restreintes : les industries chimiques et électriques, certaines entreprises d'utilité publique, le gouvernement fédéral et quelques institutions appartenant au secteur tertiaire.Une analyse sommaire de la demande d'ingénieurs entre 1930 et 1960 indique que l'offre l'emportait dans les deux économies durant les années '30 et '40. Au cours des années '50 et au début des années '60, grâce à l'expansion de l'une et de l'autre dans le domaine technique, la situation s'est inversée. L'écart paraît assez tranché pour parler d'excédent dans les deux premières décennies et de pénurie par après. Les rapports provisoires des recensements laissent voir que l'équilibre s'établit à peu près entre l'offre et la demande dans les deux pays vers la fin des années '60.D'une façon générale, il y a beaucoup plus de ressemblance que de différence dans la répartition des ingénieurs dans l'un et l'autre pays, qu'il s'agisse de la concentration territoriale ou industrielle ou de la spécialité (génie civil, génie électrique, etc). À cause des besoins de l'industrie et des sociétés, les divergences sont beaucoup plus accusées quand il s'agit du premier emploi. Il ne fait pas de doute que la spécialisation des ingénieurs américains et le rôle relativement important qu'ils jouent dans les travaux de recherches et de développement constituent un double avantage. Par ailleurs, pour les ingénieurs canadiens diplômés, la recherche et le développement reste une activité de départ attrayante, mais elle est insaisissable.Comparés à l'ensemble, les traitements des ingénieurs ont baissé aux États-Unis et au Canada entre 1930 et 1950, mais, depuis la demie du siècle, ils ont pris une courbe ascendante et même dépassé le taux de croissance de rémunération de toutes les autres catégories de salariés. Depuis 1950, le pourcentage annuel du taux d'accroissement des salaires parmi les ingénieurs s'établit entre 4 et 9 pour cent par année tant au Canada qu'aux États-Unis, ceux des débutants dans la carrière s'élevant beaucoup plus rapidement que ceux des ingénieurs d'expérience. Reflet dela demande et d'un éventail plus grand de choix, c'est chez les débutants que la disparité dans les salaires est la plus prononcée entre les deux pays. Résultat jusqu'ici : un nombre important de jeunes ingénieurs canadiens émigrent aux États-Unis pour revenir plus tard quand ils ont pris de l'âge.Dans l'un et dans l'autre pays, les ingénieurs diplômés ont tendance à s'orienter vers les carrières administratives. Cette tendance est plus forte au Canada où la spécialisation offre moins de choix et où les ingénieurs subissent moins la concurrence des diplômés en sciences de l'administration. Les ingénieurs diplômés canadiens sont tout aussi mobiles que leurs collègues américains. Les jeunes ingénieurs changent en moyenne deux fois d'emploi tous les dix ans sur le marché du travail. Le taux de mobilité décroît avec l'âge, mais plus lentement que parmi les cols bleus. Les occasions de changer de travail ou de fonction à l'intérieur même des sociétés deviennent plus nombreuses et, souvent, elles freinent les déplacements d'un employeur à l'autre. Le chômage ne fait pas problème et, en dépit des coupures dans les contrats de la Défense aux États-Unis, vues en longue période, les perspectives d'emploi pour les ingénieurs sont bonnes. La tendance à l'immigration d'un côté à l'autre de la frontière se continuera. Jusqu'ici, des considérations d'ordre économique sont principalement à la source des mutations d'emploi et de l'immigration, mais on décèle également d'autres facteurs.L'éventail des postes occupés par les ingénieurs reflète les caractères de leur personnalité, leur formation scolaire et leurs expériences professionnelles. Si l'on considère l'élasticité du marché du travail comme critère d'une saine utilisation, il y a plusieurs indices encourageants : liberté de déplacement, grande amplitude de déplacement, présence d'une grande diversité d'emploi, adaptation aux conditions économiques et fréquemment, augmentation de salaire dès la mutation. D'une façon générale, les exigences de la fonction et les qualifications individuelles s'équilibrent bien. Mais que les employeurs réclament la possession d'un diplôme dans une spécialité, c'est quelque peu manquer de réalisme et se montrer faussement exigeant, surtout si l'on considère la proportion des ingénieurs diplômés qui déclarent n'utiliser que leurs connaissances de base dans leur travail.Les États-Unis, dont l'industrie est diverisfiée et avancée, peuvent offrir un meilleur choix aux ingénieurs qui recherchent un milieu de travail spécialisé et une activité professionnelle déterminée. Mais cette situation comporte comme conséquences le danger d'une spécialisation trop poussée et la possibilité de chômage. Les ingénieurs diplômés canadiens ont moins d'occasions de travailler toujours dans la branche de leur spécialité, mais ils trouvent à utiliser fort bien leur formation universitaire de base. On remarque que, dans les deux pays, à mesure que le temps passe, il y a progrès en ce qui concerne l'utilisation des connaissances en génie. Aussi, la majorité des ingénieurs diplômés estiment leur profession et ne se font pas faute de la recommander à qui veut poursuivre une carrière intéressante.The authors have undertaken a major project which they envision ultimately as an on-going analysis of the labor market behavior of technical and scientific manpower in highly developed economies. Their paper represents a first step in this direction

    Evaluation of sanguineous and crystalloid cardioplegic solutions during total heart-lung bypass in dogs

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    Twenty-four mongrel dogs were subjected to sanguineous and crystalloid cardioplegia for a period of thirty minutes at 20°C and 25°C systemic hypothermia during cardiopulmonary bypass. Cardioplegic solutions were administered at 4°C to induce cardioplegia. Physiological functions of the myocardium revealed that the cardiac function returned to normal sinus rhythm without any loss when blood cardioplegic solution was used at both hypothermic temperatures. The time taken for cardioplegia and cardiac electrical quiescence was achieved earlier at 20°C. Animals in sanguineous cardioplegic group revealed better functional return and revival of cardiac musculature in terms of lesser applications of defibrillator, lesser requirement of inotropic support and early cardiac contraction. This study revealed that sanguineous cardioplegic solution at a systemic temperature of 20°C was found to afford better myocardial protection during an arrest period of 30 minutes

    Evidence of strong stabilizing effects on the evolution of boreoeutherian (Mammalia) dental proportions.

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    The dentition is an extremely important organ in mammals with variation in timing and sequence of eruption, crown morphology, and tooth size enabling a range of behavioral, dietary, and functional adaptations across the class. Within this suite of variable mammalian dental phenotypes, relative sizes of teeth reflect variation in the underlying genetic and developmental mechanisms. Two ratios of postcanine tooth lengths capture the relative size of premolars to molars (premolar-molar module, PMM), and among the three molars (molar module component, MMC), and are known to be heritable, independent of body size, and to vary significantly across primates. Here, we explore how these dental traits vary across mammals more broadly, focusing on terrestrial taxa in the clade of Boreoeutheria (Euarchontoglires and Laurasiatheria). We measured the postcanine teeth of N = 1,523 boreoeutherian mammals spanning six orders, 14 families, 36 genera, and 49 species to test hypotheses about associations between dental proportions and phylogenetic relatedness, diet, and life history in mammals. Boreoeutherian postcanine dental proportions sampled in this study carry conserved phylogenetic signal and are not associated with variation in diet. The incorporation of paleontological data provides further evidence that dental proportions may be slower to change than is dietary specialization. These results have implications for our understanding of dental variation and dietary adaptation in mammals

    Edge Detection by Adaptive Splitting II. The Three-Dimensional Case

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    In Llanas and Lantarón, J. Sci. Comput. 46, 485–518 (2011) we proposed an algorithm (EDAS-d) to approximate the jump discontinuity set of functions defined on subsets of ℝ d . This procedure is based on adaptive splitting of the domain of the function guided by the value of an average integral. The above study was limited to the 1D and 2D versions of the algorithm. In this paper we address the three-dimensional problem. We prove an integral inequality (in the case d=3) which constitutes the basis of EDAS-3. We have performed detailed computational experiments demonstrating effective edge detection in 3D function models with different interface topologies. EDAS-1 and EDAS-2 appealing properties are extensible to the 3D cas

    The SCUBA 8-mJy survey - I: Sub-millimetre maps, sources and number counts

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    We present maps, source lists, and number counts from the largest, unbiassed, extragalactic sub-mm survey so far undertaken with the SCUBA camera on the JCMT. Our maps cover 260 sq. arcmin, to a noise level S(850)=2.5 mJy/beam. We have reduced the data using both SURF, and our own pipeline which produces zero-footprint maps and noise images. The uncorrelated noise maps produced by the latter approach have allowed application of a maximum-likelihood method to measure the statistical significance of each peak, leading to properly quantified flux-density errors for all potential sources. We detect 19 sources with S/N > 4, 38 with S/N > 3.5, and 72 with S/N > 3. To assess completeness and the impact of source confusion we have applied our source extraction algorithm to a series of simulated images. The result is a new estimate of the sub-mm source counts in the flux-density range S(850)=5-15mJy, which we compare with other estimates, and with model predictions. Our estimate of the cumulative source count at S(850) > 8 mJy is 320 (+80,-100) per square degree. Assuming that the majority of sources have z > 1.5, the co-moving number density of high-z galaxies forming stars at a rate >1000 solar masses per year is 10^-5 per Mpc^3, with only a weak dependence on the precise redshift distribution. This number density corresponds to that of massive ellipticals with L > 3-4 L* at low redshift and is also the same as the co-moving number density of comparably massive, passively-evolving objects in the redshift band 1<z<2 inferred from recent surveys of extremely red objects. Thus the bright sub-mm sources can plausibly account for the formation of all present-day massive ellipticals. Improved z constraints, and a proper measurement of sub-mm clustering can refine or refute this picture.Comment: Minor revisions. 27 pages, 13 figures. Higher resolution versions of Figs 5,6,7 and 8 are available from the autho

    Comment on ``Measurement of the 3^3He mass diffusion coefficient in superfluid 4^4He over the 0.45--0.95 K temperature range

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    The role of 3He-3He collisions in our diffusion experiment is addressed and shown to not be relevant to the measurement of 3He diffusion against phonons in superfluid helium.Comment: Two pages, in Europhysics Letters forma
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