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    Atelier sur la politique technologique du 4 au 30 avril 1983 : Sénégal; bibliographie

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    Réunion: Atélier sur la politique technologique, 4-30 avril 1983, Dakar, SNVersion préliminair

    Cultural Policies in Europe. From a State to a City-Centered Perspective on Cultural Generativity

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    ç·ćˆæ”żç­– / Multi Disciplinary policy studiesCultural policy in Europe is deeply rooted in the Welfare State doctrine that has been prevailing during the last half century. Its implementation has gone along with the invention and rise of educational policy, social policy and health policy. This paper sketches its evolution as a four phase move towards what has been emerging as the central dual content of the current public cultural policy: preserving and promoting heritage, and bringing the creative industries at the core of the so-called knowledge society. The general evolutionary trend shows four distinct phases: 1) the creation of a systematic cultural supply policy based on a limited definition of culture suitable for public financing and based on a vertical concept of democratization by conversion; 2) the gradual decentralization of public action, which leads to an increasing disparity in its aims and functions, and which challenges the initial universalist, top-down egalitarian model; 3) a revision of the legitimate scope of public action, which declares symbolically obsolete the founding hierarchy of cultural politics, that which would oppose high culture, protected from market forces and entertainment culture and governed by the laws of the industrial economy; 4) an increasing tendency to justify cultural policy on the basis of its contribution to economic growth and to the balance of national social diversity, which legitimises the regulatory power of public action as well encouraging the expansion of the creative industries and the demands for the evaluation of procedures and results. The last section of this paper moves away from the state centered perspective and focuses on the city as the incubator of cultural generativity, in order to suggest how a city-centered approach to cultural development challenges the state-centered doctrine of cultural policy

    Figures des sciences sociales (XIXe-XXe siĂšcles)

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    Ce numĂ©ro propose une galerie de portraits. Les personnalitĂ©s croquĂ©es ici n'avaient, jusqu'Ă  prĂ©sent, que rarement retenu l'attention des historiens. Certaines d'entre elles ont participĂ© aux activitĂ©s du mouvement leplaysien, voire exercĂ© quelques responsabilitĂ©s en son sein. Ainsi Jacques Bardoux et RenĂ© de Kerallain interviennent devant la SociĂ©tĂ© d'Ă©conomie sociale ou dans les CongrĂšs qu'elle organise de concert avec les Unions de la paix sociale et publient dans La RĂ©forme sociale, tandis que le magistrat Jules Lacointa est, lui, un dirigeant majeur du mouvement leplaysien, siĂšgeant au conseil d'administration de la SociĂ©tĂ© d'Ă©conomie sociale dĂšs 1882. Les influences leplaysiennes dans l'Ă©chantillon de personnalitĂ©s ici Ă©tudiĂ©es sont parfois plus diffuses et indirectes comme dans le cas du juriste belge Arthur Levoz, hĂ©rault de la protection de l'enfance, qui fut un disciple du pĂ©naliste Adolphe Prins, membre de la SociĂ©tĂ© belge d'Ă©conomie sociale. Par cette forte prĂ©sence des juristes, ce numĂ©ro prolonge l'enquĂȘte, inaugurĂ©e dans le numĂ©ro 135-136 (2002), sur les liens entre les professionnels du droit et le mouvement de FrĂ©dĂ©ric Le Play. L'action et la rĂ©flexion de ces figures font pleinement Ă©cho Ă  plusieurs thĂšmes rĂ©currents de la science sociale leplaysienne. Qu'il soit monarchiste ou libĂ©ral, chaque auteur ici Ă©tudiĂ© appelle de ses vƓux une rĂ©forme des mƓurs adaptĂ©e aux besoins du temps prĂ©sent. Adossant ces ambitions rĂ©formatrices sur des compĂ©tences intellectuelles attestĂ©es et des expertises raisonnĂ©es, il leur donne, le plus souvent, une orientation fonciĂšrement conservatrice mais non exempte d'un esprit de nouveautĂ© et d'ouverture. [PremiĂšres lignes

    Sciences sociales et approche relationnelle

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    La sociologie, comme l’économie dont elle est issue, et comme la plupart des sciences sociales, oscille entre deux approches : l’une qui veut que les phĂ©nomĂšnes sociaux soient interprĂ©tables en fonction d’un acteur rationnel, l’autre d’aprĂšs laquelle l’explication des phĂ©nomĂšnes sociaux rĂ©sulte de la possibilitĂ© d’en saisir les relations. Ces deux perspectives cohabitent souvent, mĂȘme au sein d’une mĂȘme thĂ©orie; mais elles sont contradictoires : le social ne peut ĂȘtre le strict produit d’actions individuelles en mĂȘme temps que celui des interactions humaines ou des relations entre les phĂ©nomĂšnes sociaux. C’est pourquoi l’interactionnisme s’impose aux thĂ©ories individualistes et pourquoi aussi l’idĂ©ologie d’un acteur rationnel, libre, intĂ©ressĂ©, intentionnel et stratĂ©gique n’annule pas toutes les dĂ©marches relationnelles. Les approches relationnelles sont essentielles aux sciences sociales bien simplement parce qu’il n’y a pas d’individu en dehors d’interactions humaines et qu’il n’y a pas non plus de phĂ©nomĂšne social qui ne soit pas ou bien un composĂ© de relations ou bien lui-mĂȘme en relation avec d’autres phĂ©nomĂšnes.Sociology, as well as most social sciences, alternates between two approaches: in one case, social phenomena should be understood through a rational actor, in the other, social phenomena is the result of the possibility to understand relations. These two perspectives, although contradictory, often cohabit, even within the same theory; sociality cannot be simultaneously the pure product of individual actions and of human interactions or of relations between social phenomena. This is why interactionism imposes itself upon individualist theories and why the ideology of a rational, free, interested, intentional, and strategic actor does not impend all relational research undertakings. Relational approaches are essential to social sciences simply because there is no individual without human interactions and because there is no social phenomena which is not either a combination of relations or itself in relation with other phenomena

    EnquĂȘte sur les pratiques de lecture Ă  la bibliothĂšque universitaire de l\u27Arsenal

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    Profils, pratiques et attentes des publics de la bibliothÚque de l\u27Arsenal, bibliothÚque centrale du SCD Toulouse 1 - Sciences sociales. Rapport d\u27analyse, questionnaire et résultats détaillés

    Du relatif dans les sciences sociales

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    Qu’enseigner des sciences sociales en quantification ?

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    International audienceJournĂ©e d'Ă©tudes « Enseigner le quanti. Les sciences sociales face aux nombres », Paris, 5 juin 2015 Titre : « Qu'enseigner des sciences sociales en quantification ? » RĂ©sumĂ© : La communication porte sur une licence professionnelle intitulĂ©e ChargĂ© d'Ă©tudes statistiques. Elle vise Ă  prĂ©senter la demande faite Ă  la sociologie, de confronter les Ă©tudiants « Ă  une problĂ©matique sociologique pour les aider Ă  construire une culture sociologique, Ă  acquĂ©rir un regard objectivant et Ă  construire une pratique de l'Ă©crit synthĂ©tique et analytique. » (Rapport d'Ă©valuation de CESTAT 2014), ainsi que les deux rĂ©ponses en termes de dispositifs et contenus pĂ©dagogiques successivement produits. Tandis que le premier consiste en la rĂ©alisation de diffĂ©rentes phases d'une enquĂȘte statistique rĂ©elle, le second vise Ă  l'acquisition de techniques qualitatives et questionne l'articulation avec le quantitatif au moyen d'une enquĂȘte de terrain. La problĂ©matique initiale, interrogeant les maniĂšres de familiariser aux sciences sociales des Ă©tudiants plutĂŽt Ă  l'aise avec les traitements statistiques, s'adjoint Ă  l'issue d'une socio-analyse d'une rĂ©flexion sur la pertinence d'une formation par la recherche lorsque les finalitĂ©s explicites du diplĂŽme sont une insertion professionnelle de niveau II. L'ensemble se situe dans une perspective qui souhaite creuser les maniĂšres de rendre compte en sociologie des pratiques pĂ©dagogiques. Il s'agit d'observer ce que l'on peut produire lorsqu'on s'appuie Ă  la fois sur l'exigence de rĂ©flexivitĂ©, d'objectivation et de prise de recul dont l'enseignant-chercheur fait preuve dans le cadre de ses pratiques de recherche, Ă  la fois sur les rĂ©sultats de recherches en sciences sociales sur le thĂšme de l'Ă©ducation

    Sciences sociales et drogues : la résistible aporie : commentaire

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    Werner Jean-François. Sciences sociales et drogues : la résistible aporie (Commentaire). In: Sciences sociales et santé. Volume 13, n°2, 1995. pp. 91-101

    Une histoire sans sciences sociales ?

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    Cet article discute l’association affirmĂ©e par David Armitage et Jo Guldi entre usage de sources numĂ©risĂ©es, quantification et retour Ă  la longue durĂ©e, sur la base d’une tradition d’histoire quantitative ouverte aux sciences sociales et renouvelĂ©e par la micro-histoire. Il rappelle que la numĂ©risation de nombreuses sources n’exonĂšre pas de toute prudence dans l’analyse, notamment du fait des biais qu’elle crĂ©e. Il insiste surtout sur le fait qu’elle ne rĂšgle en rien une question centrale pour la quantification : celle de l’anachronisme contrĂŽlĂ©, c’est-Ă -dire de la difficile crĂ©ation de catĂ©gories adĂ©quates lorsque l’on veut compter sur la longue durĂ©e. L’auteure discute aussi des implications d’un choix exclusif de la longue durĂ©e pour la rĂ©flexion historienne sur les causalitĂ©s. La longue durĂ©e n’est-elle qu’une Ă©chelle de pure description ? Si ce n’est pas le cas, peut-elle Ă©viter une version simpliste, de la dĂ©pendance au sentier ? Pour Ă©viter ces Ă©cueils, il faut prendre en compte les dĂ©bats des sciences sociales sur l’articulation des temporalitĂ©s et des causalitĂ©s.A History Free of the Social Sciences? According to David Armitage and Jo Guldi, digitized sources and quantification almost naturally lead to the sort of longue durĂ©e history that they try to promote. This paper questions this assertion on the basis of the long tradition of quantitative history, open to exchanges with the social sciences and revived, not annihilated, by microhistory. The digitization of numerous historical sources does not call for less caution in our analyses—quite the contrary, as it creates new biases. More importantly, it does not solve the crucial question of controlled anachronism, i.e. the need for carefully constructed categories in any quantification based on the longue durĂ©e. The article also addresses the implications of choosing the longue durĂ©e as the exclusive basis for reflections on historical processes and causality. Is longue durĂ©e purely a scale for description? If not, can it avoid a simplistic vision, a mono-causal path dependency? To avoid such pitfalls, the author advocates taking into account the wider debates within all the social sciences on timescales and causality

    Les sciences sociales et la simulation

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